Laluque
Laluque | |||||
![]() Laluque. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Tarusate | ||||
Maire Mandat |
Christophe Martinez 2020-2026 |
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Code postal | 40465 | ||||
Code commune | 40142 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Laluquois, Laluquoises | ||||
Population municipale |
1 054 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 51′ 17″ nord, 0° 59′ 30″ ouest | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 86 m |
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Superficie | 52,81 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Dax (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays morcenais tarusate | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Landes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.laluque.fr | ||||
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Laluque est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Commune située dans les Landes de Gascogne sur le Luzoû.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Les communes limitrophes sont Rion-des-Landes, Gourbera, Lesgor, Pontonx-sur-l'Adour, Taller, Bégaar et Saint-Vincent-de-Paul.
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Begaar », sur la commune de Bégaar, mise en service en 1973[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 069,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et à 17 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,8 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Laluque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dax, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 60 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (58,7 %), forêts (26,3 %), terres arables (9,7 %), zones urbanisées (2 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune de Laluque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels[modifier | modifier le code]
Laluque est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[23],[24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 436 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 43 sont en en aléa moyen ou fort, soit 10 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999
Risques technologiques[modifier | modifier le code]
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[27].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].
Risque particulier[modifier | modifier le code]
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Laluque est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Laluque, La Luca en gascon, vient du mot luca qui signifie guette « poste de guet, archère, arbalétrière dans un mur ».De plus, il y a le quartier de Larquier qui vient de arquèr en gascon qui se traduit par l'archer.
Le nom de la localité est attesté sous les formes : Sanctus Johannes de Luke au XI-XII siècle, la Luca, en latin en 1242 et en 1253, Vitalis de Luca en latin en 1276, La Luke en 1280, Laluque (carte de 1638), La Luque (cartes de 1647 et de 1714), Laluque (cartes de 1733)[30].
Histoire[modifier | modifier le code]
Antiquité[modifier | modifier le code]
La présence des Romains à Laluque est attestée par la découverte en , au lieu-dit le Cos dans la propriété de M. Cardenau, d'une urne enterrée contenant 180 pièces romaines.
Moyen Âge - Révolution[modifier | modifier le code]
Laluque était une paroisse de la seigneurie de Pontonx, appartenant à la vicomté de Tartas.
Sous occupation anglaise dès 1190, Edouard 1er Roi d'Angleterre reçoi la confirmation des coutumes de Laluque en 1255. La paroisse de Laluque relève directement du Roi d'Angleterre à partir de 1319.
En 1340, Edouard III d'Angleterre cède la seigneurie de Pontonx à Bernard-Ezi d'Albret vicomte de Tartas, Laluque redevient française.
Raymond de Boyrie rachète la baronnie de Pontonx le 20 février 1481. Il devint seigneur de Poy ou Pouy, baron de Pontonx, baron de Rion, seigneur de Lesgor, Carcen, St Jean et St Pierre de Lier, Vic et Gousse, du bois de Beguin, des péages de Brassenx.
La seigneurie de Laluque appartenent au de Boyrie est vendue au de Neurrisse au début du XVIIéme, devenant les barons de Laluque jusqu'à la révolution.
Pierre-François de Neurisse, baron de Laluque, avocat et lieutenant général de la sénéchaussée de Dax , qui avait présidé les Etats des trois Ordres à Dax en 1789, qui correspondait avec son fils émigré a Genève, donc ennemi de la République et arrêté et condamné à la guillotine à Dax le 11 avril 1794[31].
Epoque moderne[modifier | modifier le code]
Des mines de lignite sont exploitées entre 1859 et la fin des années 1930 sur le territoire communal[32].
- Mines de Laluque.
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Entrée de la mine.
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L'embarcadère.
- L'usine de carbonisation du lignite.
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En construction.
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Fin des travaux.
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L'étage de chargement de la batterie cornues.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35]. En 2020, la commune comptait 1 054 habitants[Note 7], en augmentation de 5,08 % par rapport à 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Sport[modifier | modifier le code]
Un club de football l'U.S.L (Union Sportive Laluquoise) depuis 1963, évoluant au niveau promotion deuxième division (anciennement promotion première division) dans le district des Landes.
Économie[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Stade municipal du Prat-du-Curé qui accueille l'équipe local U.S.Laluquoise.
Voies[modifier | modifier le code]
78 odonymes recensés à Laluque au | |||||||||||||||
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Allée | Avenue | Bld | Chemin | Cité | Impasse | Parvis | Place | Quai | Rd-point | Route | Rue | Square | Villa | Autres | Total |
1 [N 1] | 3 [N 2] | 0 | 33 | 0 | 12 | 0 | 3 [N 3] | 0 | 0 | 13 | 9 [N 4] | 0 | 0 | 4 [N 5] | 78 |
Notes « N » |
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Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap |
Édifices et sites[modifier | modifier le code]
- Gare de Laluque.
- Église Saint-Jean-Baptiste de Laluque.
Galerie de photos[modifier | modifier le code]
-
Église.
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Centre.
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Centre.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références[modifier | modifier le code]
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Begaar - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Laluque et Bégaar », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Begaar - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Laluque et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Laluque », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Bénédicte Boyrie-Fénié, DICTIONNAIRE TOPONYMIQUE DES COMMUNES. Landes et Bas-Adour, cairn,
- L'Aquitaine historique et monumentale : monographies locales illustrées. T. 2 / publiées par MM. Dufourcet, Taillebois et G. Camiade, 1890-1893 (lire en ligne)
- [PDF] IRSP, Réseau des mines de lignite de Laluque, Inventaire des Réseaux Spéciaux et Particuliers, (lire en ligne).
- https://www.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/landes,40/laluque,40142/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :