Aller au contenu

Jublains

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jublains
Jublains
« Dieu barbu », bronze de Laurent Semerie.
Fontaine située sur le côté de l'église, avec la représentation du dieu Océan, symbole de la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes Mayenne Communauté
Maire
Mandat
Alain Rondeau
2020-2026
Code postal 53160
Code commune 53122
Démographie
Gentilé Diablintes
Population
municipale
763 hab. (2021 en évolution de +5,53 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 23″ nord, 0° 29′ 42″ ouest
Altitude Min. 104 m
Max. 190 m
Superficie 36,01 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Mayenne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lassay-les-Châteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Jublains
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Jublains
Géolocalisation sur la carte : Mayenne
Voir sur la carte topographique de la Mayenne
Jublains
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Jublains
Liens
Site web www.jublains.fr

Jublains est une commune française, située dans le département de la Mayenne, en région Pays de la Loire. Elle est peuplée de 763 habitants[Note 1].

Implantée sur les vestiges d'une ville gallo-romaine autrefois appelée Noviodunum, Jublains s'étend sur 3 601 ha. La commune possède donc la particularité d'avoir été une cité romaine importante, et la faible urbanisation en fait un site avec une forte réserve archéologique : à cette fin, le département de la Mayenne y procède à des acquisitions foncières.

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

Géographie

[modifier | modifier le code]

La commune est située au cœur du Bas-Maine. Son bourg est à 11 km au sud-est de Mayenne, à 11 km à l'ouest de Bais, à 14 km au nord-ouest d'Évron et à 15 km au nord-est de Montsûrs[2].

Couvrant 3 601 hectares, le territoire de Jublains était le plus étendu du canton de Bais.

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 820 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Mayenne à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 849,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Au , Jublains est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mayenne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,5 %), terres arables (13,9 %), forêts (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), zones urbanisées (0,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Les formes attestées sont : Noiodunum, du gaulois novio dunum, « nouvelle forteresse », au IIe siècle[15], civitas Diablintum vers 400[16], secus Diablintas en 615[16], in condita Diablintica en 710[16], de Jublent vers 1100[16]. Il semble que ce soit l'ethnonyme Diablinti qui ait donné le nom à la cité dans l'Antiquité tardive, d'où le gentilé Diablinte.

À Jublains, on se méfie des coups de pioche… même dans son jardin. Ici, depuis la fin du XIXe siècle, quand on retourne la terre, on s'attend à tomber sur un vestige. Théâtre, nécropole, sanctuaire ou forteresse, c'est toute une ville gallo-romaine qui a été mise au jour et qui, selon les experts, s'étendait sur vingt-cinq hectares au Ier siècle. Quand les Romains conquirent la Gaule, ils trouvèrent ici un village construit au pied d'un temple de bois. C'était l'un des sanctuaires du peuple des Diablintes. Les Romains créèrent une ville, Noviodunum, chef-lieu de la cité des Diablintes. Le temple fut reconstruit en pierre et l'on éleva des monuments qui traduisent le mode de vie romain : thermes, théâtre, forum. Noviodunum a été dotée, dans la deuxième moitié du Ier siècle apr. J.-C., d'un réseau de rues perpendiculaires, typique des plans urbains romains.

Dans les années 1980, la commune décida de mettre en avant ce patrimoine. L'église fut surélevée pour permettre aux visiteurs d'accéder aux thermes et la mairie racheta du terrain afin de poursuivre les fouilles. En 1995, un musée consacré au passé antique du village fut aussi créé. Il dévoile des pièces exceptionnelles de verrerie et de poterie et organise des expositions thématiques. Ici, tous les , chacun participe à la « Journée gallo-romaine », une manifestation qui enchaîne démonstrations équestres, parcours archéologique guidé, ateliers artisanaux. En 2011, près de 35 000 personnes ont fait le déplacement[17]. Un aménagement urbain paysager a été réalisé afin de rendre plus visible la présence de la ville antique.

Ancien Régime

[modifier | modifier le code]

Durant l'Ancien Régime, la paroisse était divisée entre au moins deux seigneuries aux contours flous. L'une située aux Escotais[18] concernait plutôt le sud de la paroisse alors que l'autre au Bourgneuf (proche de la route du Mans à Mayenne) concernait plutôt le nord et s'étendait sur les paroisses voisines de Grazay et Hambers dont son siège était aux confins[19]. Cette dernière était propriété de la famille de Bouillé mais a été vendue au chapitre de la cathédrale du Mans en 1682, par Philippe de Bouillé qui avait des soucis financiers. L'autre seigneurie était, à la veille de la Révolution, la propriété de François de Brossard, intitulé seigneur de Jublains. Le château des Escotais fut démoli durant la guerre de Cent Ans et ne subsistent aujourd'hui plus que des ruines[18],[20].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
La mairie.
Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
(avant 1928) 16 décembre 1937 M. de Limerville   Propriétaire du château de Neuvilette
(démissionnaire)
1938 1939 M. Berson   (démissionnaire)
avril 1939   M. Goupil    
20 mai 1945 février 1971 Robert Chevalier   Ingénieur-conseil
février 1971 novembre 1985 Albert Rondeau   Gérant de la coopérative agricole locale
(démissionnaire)
1986 mai 1995 Robert Bourneuf   Agriculteur
juin 1995[21] mai 2020 Pierrick Tranchevent UDF, puis MoDem Cadre de santé (infirmier psychothérapeute)
mai 2020[22] En cours Alain Rondeau SE Agriculteur

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[22].

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 763 habitants[Note 4], en évolution de +5,53 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Jublains a compté jusqu'à 1 968 habitants en 1856.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2651 6031 5311 7661 8081 8371 8831 9251 897
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9681 8461 8881 7401 7121 6531 6451 5971 531
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4481 3881 2951 0981 0851 0981 0449911 006
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
980918761731718699689685716
2018 2021 - - - - - - -
740763-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Jublains est une cité du Pays d'art et d'histoire Coëvrons-Mayenne.

Site archéologique

[modifier | modifier le code]

Les aménagements du site mettent en évidence les ruines de l'ancienne cité gallo-romaine de Noviodunum : pans de murs, tracés de voies romaines, rues bordées de maisons.

Le théâtre

[modifier | modifier le code]
Le théâtre de Jublains vu d'un des vomitoria.

Le théâtre qui accueille des manifestations en période estivale, a été construit vers 80 apr. J.-C. : établi sur le versant du plateau qui borde la ville, face à un beau panorama de bocage, avec en arrière fond, les collines des Coëvrons, il fut offert à la cité par un riche commerçant du nom d'Orgétorix.

À un premier monument, de plan provincial presque circulaire, s'est substitué ensuite un théâtre plus vaste permettant également d'y donner des spectacles ayant lieu en amphithéâtre. Les combats de bêtes fauves semblent n'avoir jamais eu lieu ici, de par l'absence d'installations assurant la sécurité des spectateurs.

Le dégagement total de la bâtisse a eu lieu dans les années 1980. Des spectacles de théâtre, cinéma, concerts s'y déroulent chaque année.

Le théâtre avec panorama sur le mont Rochard.
L'enceinte extérieure de la forteresse vue du sud-est.

Le castellum est une fortification carrée de 117,50 m sur 104,25 m. Une tour ronde défend chacun des quatre angles. Cinq autres tours sont disposées sur les faces. Ces neuf tours, pleines à l'intérieur, ont un diamètre de 6 à 7 m.

La bâtisse a longtemps été considérée comme défensive, certains historiens lui attribuant désormais une fonction de stockage de grains ou de biens plus précieux, comme l'or.

Église Saint-Gervais-et-Saint-Protais, contenant les vestiges des thermes.

Les anciens thermes sont situés sous l'actuelle église. Ils occupaient un îlot urbain large d'une soixantaine de mètres. Le bâtiment des bains s'élevait au milieu d'une enceinte de portiques et de salles annexes.

On y voit encore en particulier la belle piscine dallée de schiste des bains froids et le système de chauffage par circulation d'air brûlant sous le sol. Un éclairage animé (Fondation Électricité de France) guide la visite. Transformé en lieu de culte lors de la christianisation, le monument se visite sous l'église actuelle.

On trouve un temple de la Fortune, situé sur le monticule de la Tonnelle, ayant succédé à un sanctuaire important de l'époque gauloise.

Autres monuments

[modifier | modifier le code]

Le musée archéologique

[modifier | modifier le code]

Un musée archéologique, inauguré en 1995, rassemble un certain nombre de pièces présentes pour certaines d'entre elles dans des collections publiques depuis parfois plus d'un siècle. Outre des pièces archéologiques trouvées sur ce site, d'autres éléments trouvés à divers endroits permettent d'appréhender l'histoire de la Mayenne depuis la Préhistoire jusqu'à l'époque moderne.

Activités, label et manifestations

[modifier | modifier le code]

La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[28].

L'Association sportive de Jublains fait évoluer une équipe de football en division de district[29]. La couleur du club est bleue.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

. Guillaume des Escotais, né vers 1300 à Jublains et mort en 1379, chanoine dominicain.

. Autres membres de la famille noble et seigneuriale des Escotais : cf. au XVIIIe siècle Roland, Louis et Louis-Joseph (mais leur comté des Escotais était sis à La Roche et Neuillé).

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Population municipale 2021.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 151
  2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
  3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Jublains et Mayenne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mayenne », sur la commune de Mayenne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Mayenne », sur la commune de Mayenne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Jublains ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mayenne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
  16. a b c et d Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 154.
  17. GEO no 397 de mars 2012 p.117
  18. a et b Nicolas de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, tome 4, Paris, (lire en ligne), p. 140.
  19. Archives départementales de Sarthe, G1000 à G 1032
  20. Verger, F. J., Notice sur Jublains, dans le département de la Mayenne: fouilles faites en 1834, Nantes, 1835, p.112 et suivantes
  21. « Pierrick Tranchevent et Nicole Morin candidats », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. a et b « Municipales à Jublains. Premier mandat de maire pour Alain Rondeau », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM53000229, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  29. « Site officiel de la Ligue du Maine – AS Jublains » (consulté le ).

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • J. Naveau, Recherches sur Jublains (Mayenne) et sur la cité des Diablintes, Documents archéologiques de l'Ouest, 1997
  • F.-J. Verger, Fouilles faites à Jublains en . - plaquette, illustrations. Laval : H. Godbert Libraire-Éditeur, 1840
  • Henri Barbe, Jublains (Mayenne). Notes sur ses antiquités. Époque gallo-romaine pour servir à l'histoire et à la géographie de la ville et de la cité des Aulerces-Diablintes, Le Mans, Impr. Monnoyer, 1865

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]