Auberives-sur-Varèze

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Auberives-sur-Varèze
Auberives-sur-Varèze
La mairie-école
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité CC Entre Bièvre et Rhône
Maire
Mandat
Nelly Claret
2022-2026
Code postal 38550
Code commune 38019
Démographie
Gentilé Auberivois
Population
municipale
1 472 hab. (2021 en diminution de 1,08 % par rapport à 2015)
Densité 209 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 31″ nord, 4° 49′ 08″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 256 m
Superficie 7,05 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Auberives-sur-Varèze
(ville-centre)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vienne-2
Législatives 8e circonscription de l'Isère
Localisation
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Auberives-sur-Varèze
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Auberives-sur-Varèze

Auberives-sur-Varèze est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Auberives-sur-Varèze est située à 12 km de Vienne et sur la rivière Varèze, un affluent gauche du Rhône. Bien que située dans l'aire urbaine de Vienne, la commune est rattachée à la communauté de communes Entre Bièvre et Rhône.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six autres communes :

Rose des vents Saint-Prim Les Côtes-d'Arey Rose des vents
N Cheyssieu
O    Auberives-sur-Varèze    E
S
Clonas-sur-Varèze Roussillon Assieu

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversée par la Varèze, un affluent gauche du Rhône[1]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 797 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 775,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Auberives-sur-Varèze est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Auberives-sur-Varèze, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 2 508 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (32,8 %), terres arables (32,7 %), forêts (13,9 %), zones urbanisées (13 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), prairies (3,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 647, alors qu'il était de 606 en 2013 et de 553 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89 % étaient des résidences principales, 0,3 % des résidences secondaires et 10,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 86,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 13,2 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Auberives-sur-Varèze en 2018 en comparaison avec celle de l'Isère et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,3 %) inférieure à celle du département (8,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,9 % en 2013), contre 61,1 % pour l'Isère et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Auberives-sur-Varèze en 2018.
Typologie Auberives-sur-Varèze[I 1] Isère[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 89 84 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,3 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 10,7 7,7 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

On peut accéder au centre de la commune en empruntant l'autoroute A7 depuis Vienne-sud (au nord) ou Chanas (au sud).

La route nationale 7 (RN7) traverse le territoire de la commune.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Auberives porta plusieurs noms : Auberives de Vienne, Auberives de Roussillon. Elle est renommée Auberives-sur-Varèze, en 1938[17] du nom de la rivière qui la traverse et sans doute pour la distinguer d'une autre commune de l'Isère, Auberives-en-Royans.

Son nom provient du latin Alba Ripa signifiant « Blanche Rive », en raison de la présence dans le sol de kaolin, exploité autrefois par les potiers.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire d'Auberives est très ancienne, comme celle des communes voisines du nord du canton.

Vestige le plus ancien la Grande Borne, caillou roulé par les glaciers, à la croisée des communes de Roussillon à Assieu, et d'Auberives à Ville-sur-Anjou. Il fut, parait-il, utilisée par les druides…

Au XIe siècle, le territoire était couvert d'une immense forêt, peuplée surtout de cerfs et de sangliers. Au XIIe siècle, on chassait aussi les loups, dont le souvenir aurait donné son nom à la forêt de Louze. À la fin du XIe siècle, le seigneur d'Auberives était un chevalier vassal de Roussillon, nommé Angérius. Au début du XVe siècle, le seigneur d'Auberives est Louis II de Chalon-Arlay, prince d'Orange, allié du duc de Bourgogne. Au moment de la bataille d'Anthon du , le château est assiégé et démantelé par Raoul de Gaucourt, gouverneur du Dauphiné. Depuis cette date, le château n'est plus qu'une ruine. Un pan de mur subsistant sert en partie d'enceinte au cimetière actuel.

La route du péage en 1910.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Vienne du département de l'Isère.

Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de 1793 à 1801, elle faisait partie depuis cette date du canton de Roussillon[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Vienne-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription de l'Isère.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Auberives-sur-Varèze était membre de la communauté de communes du Pays Roussillonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Entre Bièvre et Rhône, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1947 mars 1983 René Gay[18],[19],[Note 3]    
mars 1983   Guy Brenier[21],[22]    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2020 Nicole Bernard[22]    
mai 2020[23] septembre 2022[24],[25] Dorothée Zaborowski   Employée
Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
septembre 2022[26] En cours
(au 10/5/2023[20])
Nelly Claret   Profession intermédiaire administrative de la fonction publique

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 1 472 habitants[Note 4], en diminution de 1,08 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 512357499610694753712750776
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
670650664616619557569535532
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
530514482466432450460493506
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4985486517108961 1591 3501 3951 459
2014 2019 2021 - - - - - -
1 4721 4801 472------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Entre 1790 et 1793, les communes de Cheyssieu, Clonas-sur-Varèze, Saint-Alban-du-Rhône et Saint-Prim fusionnent au sein d'Auberives. Ces communes reprennent leur autonomie entre 1795 et 1800[17], ce qui explique le pic de population constaté uniquement en 1793 (1 512 habitants).

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère (Vienne), un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Économie[modifier | modifier le code]

Sur une surface de 704 hectares, malgré la très forte diminution du nombre d'agriculteurs, Auberives est toujours une commune essentiellement agricole exploitant, avec les prairies et les bois de la Varèze, des espaces importants d'arbres fruitiers, avec quelques champs conservant les cultures traditionnelles.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Roch du XIXe siècle, dont la restauration a eu lieu de 2021 à 2023[30],[31]. mode="packed"
  • Ruines du château fort d'Auberives, du XIIe siècle[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Louis Mandrin, le contrebandier, est passé par là en rayonnant dans la région. Il avait un repaire à Reventin (4 km).[réf. nécessaire]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. La salle des associations de la commune porte le nom de ce maire[20]
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Varèze (V3300500) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Auberives-sur-Varèze et Reventin-Vaugris », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Reventin », sur la commune de Reventin-Vaugris - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Auberives-sur-Varèze », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « René Gay a fêté ses 100 ans », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « René Gay, ancien maire, nous a quittés », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. a et b Colette Roux, « La salle des associations devient l’espace René-Gay : Ce lundi 8 mai, une cérémonie a été organisée pour renommer la salle des associations d’Auberives-sur-Varèze en espace René-Gay. Une façon de rendre hommage à cet ancien maire de la commune », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5748.
  22. a et b Colette Roux, « Nicole Bernard nommée maire honoraire : À l’occasion de la cérémonie des vœux de la municipalité à la population, le dimanche 8 janvier, Nelly Claret, maire d’Auberives-sur-Varèze, a remis son diplôme de maire honoraire à Nicole Bernard », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Répertoire des maires, version au 2 décembre 2020, Ministère de l'intérieur
  24. Georges Aubry, « Sept élus démissionnent : les électeurs vont retourner aux urnes : Alors que sept conseillers municipaux ont démissionné, des élections municipales sont prévues les 18 et 25 septembre. Deux listes s’affronteront, une autour de la maire Dorothée Zaborowski, une autre autour des élus dissidents », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Colette Roux, « Élections municipales : la liste et les projets de Dorothée Zaborowski, maire sortante », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Colette Roux, « Nelly Claret élue maire de la commune », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Site ledauphine.com, article "Un chantier de restauration d’envergure pour l’église St-Roch".
  31. Colette Roux, « La restauration de l’église Saint-Roch inaugurée », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 978-2-911148-66-8), p. 667.