Argueil

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Argueil
Argueil
La mairie.
Blason de Argueil
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité Communauté de communes des 4 rivières
Maire
Mandat
Isabelle Bréquigny
2020-2026
Code postal 76780
Code commune 76025
Démographie
Gentilé Argueilleux ou Argueillois
Population
municipale
348 hab. (2021 en augmentation de 2,35 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 30″ nord, 1° 30′ 57″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 210 m
Superficie 6,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gournay-en-Bray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Argueil

Argueil est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte de la commune.

Commune du pays de Bray, Argueil est le plus petit chef-lieu de canton de la Seine-Maritime. Les collégiens se rendent à La Feuillie.

Le bourg est situé à 9 km de Forges-les-Eaux, à 16 km de Buchy, à 18 km de Gournay-en-Bray et à 21 km de Lyons-la-Forêt.

Argueil était desservie par la gare de Sigy-Argueil située sur la ligne de Charleval à Serqueux aujourd'hui déferrée. De nos jours, la gare la plus proche d'Argueil est la gare de Forges-les-Eaux mais il vaut mieux aller jusqu'à la gare de Serqueux, située à 11 km bien mieux desservie (mis à part pour la direction de Gisors-Embranchement pour laquelle l'on choisira plutôt d'aller à Gournay - Ferrières située à 19 km).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays de Bray, bien arrosé et frais[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Forges-les-Eaux à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Argueil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,4 %), terres arables (39,1 %), forêts (8,1 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté pour la première fois sous la forme Orgoil vers 1043[14].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur le mot orgueil (mentionné pour la première fois comme nom commun en 1080 sous la forme orgoill[15]) et utilisé dans ce cas pour désigner un lieu remarquable, peut-être une maison forte[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village a été construit au pied de la colline du Mont Sauveur qui culmine à 210 m[17] qui servait de refuge aux villageois quand ils se sentaient menacés[réf. nécessaire].

Quand Philippe Auguste intégra la Normandie au domaine royal, le village s'installa dans le vallon[réf. nécessaire] traversé par la Roulée, affluent de l'Andelle[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la deuxième circonscription de la Seine-Maritime.

Elle faisait était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Argueil[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune intègre le canton de Gournay-en-Bray.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était le siège de la petite communauté de communes des Monts et de l'Andelle, créée en 2003.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[20], cette intercommunalité fusionne avec d'autres pour former, le , la communauté de communes des 4 rivières dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    J. Béal   Médecin
Conseiller général d'Argueil (1907→ 1919)
1930 1936 M. E. Boullet    
Les données manquantes sont à compléter.
1965 décembre 1974 Paul Lejeune    
janvier 1975 décembre 2012[22] Michel Cordonnier UMP Médecin puis retraité
Conseiller général d'Argueil (1998→ 2008)
Démissionnaire
janvier 2013 août 2016[23] Claudie Chapeyrou UMPLR Secrétaire de mairie
Démissionnaire
octobre 2016[24] En cours
(au 10 août 2020)
Isabelle Bréquigny   Vice-présidente de la CC des 4 rivières (2017 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[25],[26]

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune se dote en 2018 d'un composteur pour la destruction et la valorisation des déchets verts, cendres et fumiers, pour les habitants qui souhaitent bénéficier de ce service[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 348 habitants[Note 3], en augmentation de 2,35 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
496296342392463474474464501
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
511500475428430425424419471
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
434410415368420455431421356
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
366389374395379366344338330
2018 2021 - - - - - - -
342348-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Economie[modifier | modifier le code]

Les deux commerces de la commune (une épicerie et un coiffeur) sont réinstallés en 2018 dans l'ancienne mairie, réhabilitée à cet effet, et comprenant également une halle ouverte sous deux arcades et des toilettes publiques[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château d'Argueil, centre de vacances Odcvl.
  • Le château d'Argueil : château comportant un gros donjon d'habitation rectangulaire cantonné de tourelles en encorbellement, le tout élevé en brique et pierre aux XVe et XVIe siècles, auquel est accolé un corps de logis du XVIIIe siècle, et un parc. Cette demeure a appartenu successivement aux familles Havart, de Briqueville, de Frémont d'Auneuil, de Trie-Pillavoine, de Valon et de Castelbajac [32],[33].
Le manoir, construit dans la seconde moitié du XVe siècle par Jean de Scaneauville et terminé au XVIe siècle par les Briqueville, a remplacé un premier édifice saccagé par les Anglais en 1195 et rasé par Philippe Auguste en 1202[34]. Restauré par la suite, il est inclus en 1350 dans le douaire de la reine Blanche, veuve de Philippe VI de Valois[34].
La gestion du manoir[35] a été confiée à l'office départemental des centres de vacances et de loisirs, société coopérative française créée en 1939, qui commercialise principalement des séjours de vacances en France et à travers le monde pour groupes et familles.
  • Église Saint-Maurice.
  • Puits centenaire à la sente de Mont Huleu, rue de l'Abreuvoir, rénové en 2017[36].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

ZNIEFF de type 1

Le mont Sauveur est classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) [17].

Site classé

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Charlotte-Blanche-Marie-Sophie de la Rochefoucauld, marquise de Castelbajac, morte au château d'Argueil à 77 ans.
  • Pierre Colombel (1755 à Argueil-1841), homme politique.
  • Claude Marie II Ruffo de Laric dit « Le Chevalier » (Grenoble, - Argueil-en-Bray, ), 3e fils du comte Ruffo de Laric. Il épouse Anne Louise de Trie-Pilavoine, meurt au château d'Argueil à l'âge de 80 ans.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Argueil

Les armes de la commune d'Argueil se blasonnent ainsi :
D’azur à la croix alésée d’argent accompagnée de trois fleurs de lys d’or rangées en chef et d’un mont de trois coupeaux du même mouvant de la pointe.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Argueil et Forges-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Forges » (commune de Forges-les-Eaux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisse de la Seine-Maritime, Éd. Picard, Paris, 1979, p. 31
  15. Alain Rey (sous la direction de), Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert, 2012, p. 2352a.
  16. François de Beaurepaire, op. cit..
  17. a et b ZNIEFF 230000785 - Le mont Sauveur sur le site de l’INPN..
  18. [1] histoire du manoir d'Argueil'
  19. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  21. « Les maires de Argueil », sur francegenweb.org (consulté le ).
  22. Michel Cordonnier met fin à quarante ans de vie d'élu in L'Éclaireur brayon n° 6106 du 5 décembre 2012.
  23. Marie-Géraldine Dartois, « Démission. Claudie Chapeyrou n’est plus maire : Dans une lettre adressée aux habitants d'Argueil, le premier magistrat Claudie Chapyrou annonce qu'elle quitte ses fonctions de maire pour des raisons de santé », L'Éclaireur - La dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claudie Chapeyrou était maire depuis 2013. Elle avait été élue suite à la démission de Michel Cordonnier ».
  24. Marie-Géraldine Dartois, « Isabelle Bréquigny élue maire d’Argueil : Le maire et les adjoints ont été élus à Argueil. Le nouveau conseil compte 5 femmes et toutes les générations sont représentées », L'Éclaireur - La dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseillère municipale depuis 2008 et 1re adjointe depuis 2014, elle a été élue au 1er tour avec 10 voix sur 11 ».
  25. Marie-Géraldine Dartois, « Municipales2020 : Isabelle Bréquigny est candidate à sa succession à Argueil : Maire depuis octobre 2016, Isabelle Bréquigny est candidate aux élections municipales à Argueil. Son équipe est constituée de 7 nouvelles têtes et de 4 conseillers sortants », L'Éclaireur - La Dépêche,‎ (Maire depuis octobre 2016, Isabelle Bréquigny est candidate aux élections municipales à Argueil. Son équipe est constituée de 7 nouvelles têtes et de 4 conseillers sortants, consulté le ).
  26. « Liste des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime (consulté le ).
  27. Marie-Géraldine Dartois, « Création d’un grand composteur communal dès l'an prochain à Argueil : Un composteur communal et une collecte payante (20 euros par an), c'est le choix de la commune d'Argueil pour régler la question des déchets verts », L'Éclaireur - La dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Marie-Géraldine Dartois, « L’ancienne mairie d’ Argueil transformée en halle commerciale : A Argueil, l'ancienne mairie va devenir halle commerciale et salle de réception d'ici 2018. Un projet mûrement réfléchi par la municipalité qui permet de sauver le bâtiment », L'Éclaireur - La dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Dieudonné Dergny, La Normandie Monumentale et Pittoresque, Seine-inférieure, Le Havre, Lemale et Cie, imprimeurs, éditeurs, (lire en ligne), p. 275-276.
  33. Philippe Seydoux, Châteaux du Pays de Caux et du Pays de Bray, Paris, Éditions de la Morande, , 128 p. (ISBN 2-902091-17-6), p. 10.
  34. a et b Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 223.
  35. Manoir d'Argueil.
  36. Marie-Géraldine Dartois, « Le puits centenaire ressort de l’oubli près de Forges-les-Eaux : Le puits plus que centenaire de la sente Huleu vient d'être restauré à Argueil. Une remise en état réalisée par un employé municipal aux mains d'or », L'Éclaireur - La dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Le château d'Argueil et son parc », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).