Jean Quatremer
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Jean Quatremer, né le à Nancy, est un journaliste français.
Il est correspondant à Bruxelles pour le quotidien français Libération depuis 1990. Il est perçu comme un journaliste « europhile ». Il est l'auteur de plusieurs livres et de plusieurs reportages sur la politique de l'Union européenne.
Il est aussi chroniqueur pour RMC et BFMTV[1].
Biographie
Jean Quatremer[N 1], naît le [3],[4] à Nancy[5].
Il étudie le droit[6][source insuffisante] (spécialisation en droit international privé, droit du commerce international et droit européen[7]) et a été chargé de travaux dirigés à la faculté de droit à Paris X-Nanterre et de Paris II-Assas[8][source insuffisante]. Il a aussi travaillé dans un cabinet d’avocats aux conseils[6].
Depuis septembre 1990, il est chargé de couvrir l’actualité communautaire pour le journal Libération dont il est le correspondant auprès des institutions européennes[9]. Dans ce même journal, de 1984 à 1990, il écrit dans la rubrique « Immigration » puis devient responsable du cahier « Europe » de 1990 à 1992. Il traite souvent des questions juridiques.
Jean Quatremer réalise[Quand ?] de nombreux reportages sur des sujets européens ou de société pour la télévision (France 2, France 5, Arte, Canal+ Belgique). Parmi ses films, on trouve : Faiseurs d'euros (2009), L'Union et la force (2009), Euro, quand les marchés attaquent (2010) (tous les trois réalisés avec Jean-Michel Meurice) ou encore Grèce année zéro (2014) réalisé avec Pierre Bourgeois.
En mai 2014, il tient, sur RMC, une chronique sur les élections européennes de 2014 dans l'émission Bourdin Direct[10].
Dès le premier tour de l'élection présidentielle de 2017, il soutient Emmanuel Macron et effectue un don à En marche[11].
Travaux et opinions
Le Nouvel Obs indique qu'il est « europhile »[12].
Dans une série d'articles[13],[14],[15], il a révélé la façon dont la Commission européenne minimisa les risques de transmissions à l'homme de la maladie de la vache folle.
Il a aussi contribué, avec d'autres journalistes, à révéler l'affaire des emplois fictifs d'Édith Cresson ; ce qui a abouti, en mars 1999, à la démission de la Commission Santer[16],[17],[18],[19].
Il a publié des enquêtes sur les écoutes américaines au sein de la Commission européenne[20], sur les dérives de la lutte anti-fraude à Bruxelles[21] ou encore plus récemment sur les problèmes de harcèlement moral à la Cour des comptes européenne[22] ou sur l'affaire Orphacol : un abus de pouvoir de la Commission[23],[24].
C'est aussi lui le premier à avoir évoqué publiquement, en juillet 2007[25],[26],[27], la relation particulière qu'entretient Dominique Strauss-Kahn avec les femmes, précisant que le candidat frôlait « souvent le harcèlement » et que cette relation risquait de lui coûter son poste au Fonds monétaire international[28],[29]. Le livre de Quatremer, Sexes, mensonges et médias revient d'ailleurs sur l'« omerta » médiatique dont bénéficieraient les responsables politiques[29].
En , une vive polémique fut déclenchée à la suite d'un article évoquant une ville de Bruxelles « pas belle » et victime de la bruxellisation[30].
En 2017, il déclare soutenir Emmanuel Macron comme candidat à la présidence de la république, en versant un don au mouvement En Marche anciennement La République en Marche, appelé depuis Renaissance[31].
Il est l'un des principaux fers de lance du scandale entourant la nomination de Martin Selmayr comme secrétaire général de la commission[32],[33].
À l’occasion de la pandémie de Covid-19, il adopte un discours critique envers les mesures de confinement adoptées dans la plupart des pays du monde. En , il s’exprime sur le fait que ces mesures lui semblent disproportionnées et s’accompagnent d’un coût économique déraisonnable face à la gravité de la situation sanitaire[34]. En , il affirme que « Les pays qui ont décidé d’un confinement total ont traité les citoyens comme des enfants incapables de se gérer »[35]. En 2021, il conserve cette opinion en affirmant : « On n'a jamais vaincu un virus en se terrant chez soi »[36].
En 2020, Valeurs Actuelles fait part de la critique de Quatremer aux opposants de la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron: « c’est une hystérie collective dès qu’il s’agit d’une réforme » « il n’y a absolument pas de réflexion intelligente »[37].
En novembre 2021, dans Libération, Jean Quatremer publie une enquête sur de possibles fraudes à la Cour des comptes européenne. Son président, Klaus-Heiner Lehne, est accusé, avec d'autres membres d'abuser de notes de frais, d'avoir des primes pour des logements fictifs à Luxembourg, siège de l'institution européenne, de ne pas être présent à Luxembourg et de mener des missions d'enquête non-vérifiées[38]. En réaction, la commission du contrôle budgétaire du Parlement européen a lancé une audition dès le 30 novembre 2021[39]
Critiques
Pour l'ancien ministre des Affaires étrangères socialiste Hubert Védrine, Jean Quatremer est « un ayatollah du fédéralisme » européen[40]. L'économiste Frédéric Lordon a consacré à Jean Quatremer un article critique dans lequel il lui reprochait sa tendance à confondre critique de l'Union européenne et conspirationnisme. Selon lui, Quatremer serait le « journaliste le plus attaché à traîner dans la boue – y compris pour conspirationnisme – toute position de gauche critique de l’Europe »[41]. Cette façon de défendre l'Union européenne fait de Jean Quatremer « le meilleur agent de l'europhobie en France » pour le journaliste Daniel Schneidermann[42].
Acrimed mentionne que plusieurs membres du Parti du travail de Belgique (PTB, gauche radicale belge) lui reprochent de se présenter dans l'affaire DSK comme un « briseur de tabous » et un « journaliste d'investigation » alors qu'il n'a fait comme d'autres, que rapporter des rumeurs tout en passant à côté du sujet véritablement important : les méfaits de la politique du Fonds monétaire international. Les auteurs lui reprochent « de [ne généralement rien faire d'autre que] relayer les discours très officiels des institutions internationales, même lorsque, comme dans le cas de la crise de la dette grecque, le peuple s’y opposait »[43]. Il lui a également été reproché d'avoir accusé Jean-Luc Mélenchon d'antisémitisme[44] ou encore de soutenir la dictature castriste sur base d'informations fausses[45],[46].
En 2015, un documentaire de Jean Quatremer sur la politique en Grèce, relate la période allant de la victoire de la collation de gauche Syriza aux élections législatives de janvier 2015, à la réélection en septembre de son chef de file Alexis Tsipras à la tête du gouvernement, se terminant par la « reddition complète du gouvernement emmené par Syriza et à l’adoption d’un nouveau plan de rigueur tout aussi brutal que les précédents »[47]. Acrimed rapporte que ce documentaire diffusé sur Arte, « fait entendre qu'un seul et même refrain », celui des opposants politiques de Syriza à Bruxelles: les « adorateurs de l’Union européenne et de ses politiques d’austérité »[47]. Blaise Magnin écrit sur Acrimed que « La disproportion est telle qu’il ne s’agit plus seulement de déséquilibre. Jean Quatremer s’est assis sur toute forme de pluralisme pour livrer une histoire unilatérale, dans laquelle les vainqueurs sont invités à donner leur version des évènements sans être jamais contredits »[47].
En janvier 2015, Damien Lempereur, délégué national du parti Debout la France chargé des relations avec les partis politiques étrangers, répond à un article dans lequel Jean Quatremer critique Pános Kamménos, président du parti des Grecs indépendants, et allié de Syriza, le qualifiant notamment de « parti d’opportunistes, sans idéologie précise, un parti de réaction de la classe moyenne supérieure » . Selon Damien Lempereur, Jean Quatremer ne serait que le représentant d'une « oligarchie méprisante qui n’a pas encore compris que le réveil des peuples européens est en marche ». Il lui reproche de ne pas comprendre la situation grecque véritable et ne pas accepter « de voir son monde rêvé d’une Union européenne autoritaire, sans identité, construite contre les peuples, niant la richesse et la diversité des pays européens, s’écrouler devant lui »[48].
Jean Quatremer prend violemment à partie les manifestants du mouvement des Gilets jaunes, qu'il qualifie dans différents tweets notamment de « beaufs poujadistes », « France moisie », « factieux » qu’il est « vraiment temps d’embastiller », « fascisme », « racistes », « homophobes »[49]. En janvier 2019, Frédéric Lemaire, du site Acrimed, le présente comme faisant partie des « journalistes en vue qui ont exprimé le plus bruyamment leur aversion » à l’égard de ce mouvement n'hésitant pas, selon lui, à relayer des fausses informations[50]. En réponse à des questions concernant les propos du journaliste, la rubrique Checknews de Libération préfère préciser que « non, la position de Jean Quatremer sur les gilets jaunes ne représente pas celle du journal »[51]. Cette hostilité du journaliste vis-à-vis du mouvement social est relevée par Marianne et Causeur [52],[53].
En 2020, Valeurs Actuelles rapporte que le journaliste de Libération, Tonino Serafini, se désolidarise du soutien de Quatremer à la réforme des retraites voulue par le gouvernement français, et l'interpelle avec cette remarque : « tu devrais » « lire l’avis du Conseil d’État qui étrille le projet de réforme des retraites. Il pointe les contours juridiques et financiers incertains du texte »[37].
Publications
Ouvrages
- Ces hommes qui ont fait l’euro, querelles et ambitions européennes, Paris, Plon, mars 1999, en collaboration avec Thomas Klau, journaliste au Financial Times Deutschland
- Les Maîtres de l’Europe, Paris, Grasset, mai 2005, en collaboration avec Yves Clarisse, journaliste à l’agence de presse Reuters.
- Du Larzac à Bruxelles, entretiens avec José Bové, Paris, Le Cherche midi éditeur, février 2011
- Sexe, mensonges et médias, collection « Tribune libre », Plon, mars 2012
- Debout l'Europe ! Manifeste pour une révolution postnationale en Europe[54], manifeste de Daniel Cohn-Bendit et Guy Verhofstadt suivi d'un entretien des auteurs avec Jean Quatremer, Acte Sud et André Versaille éditeur, octobre 2012
- Les Salauds de l'Europe, guide à l'usage des eurosceptiques, Calmann-Levy, mars 2017
- Il faut achever l'euro : tout ce que vous avez voulu savoir sur l'euro (sans oser le demander), Calmann-Levy, janvier 2019
Participations
- Notre Europe, sous la direction de Michel Rocard et Nicole Gnesotto, Robert Laffont, 2008
- 80 propositions qui ne coûtent pas 80 milliards, sous la direction de Patrick Weil, Grasset, février 2012
Distinctions
Le , son blog « Coulisses de Bruxelles » créé en décembre 2005 obtient le prix Louise-Weiss du journalisme européen[55],[6]. Le 13 février 2009, cinq journalistes grecs et lui-même reçoivent le prix du journalisme européen Konstadinos Kalligas pour leur « capacité, expérience, expertise et éthique »[56]. Ces deux prix lui furent décernés par l'Association des journalistes européens dont il devient le président de la section française entre 2008 et 2012 et est depuis lors président d'honneur.
Le 27 mars 2010, le prix Richelieu lui est remis par l'association de Défense de la langue française, en compagnie de Quentin Dickinson[57]. Le 30 juin 2010, il est récompensé par le prix de « l'initiative européenne » décerné par la Maison de l'Europe et le Club de la presse européenne[58] afin de « souligner les efforts qu'il déploie pour présenter dans la presse les questions européennes d’une manière claire, précise et vivante ». Le 29 août 2011, le centre d'études fédéralistes lui attribue, sur l'île de Ventotene, le prix Altiero Spinelli du journalisme européen[59]. Au cours de la même cérémonie, une médaille du président de la République italienne, Giorgio Napolitano, lui est remise pour l'ensemble de ses articles, livres et films consacrés à l'unification européenne[60][source insuffisante].
Il est plusieurs fois membre de jurys : celui du « prix du livre européen » créé en 2007 et attribué jusqu'en 2011 et celui du prix Louise Weiss du journalisme européen.
En janvier 2013, il est fait chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres, mais il annonce officiellement en mars 2013 qu'il refuse cette décoration, estimant « qu’un journaliste ne peut accepter une décoration » pour une question d'« indépendance »[61].
Notes et références
Notes
- Jean Quatremer est un nom de plume utilisé par le journaliste[2].
Références
- « Elections Européennes : la chronique de Jean Quatremer », Bfmtv.com, (consulté le )
- « M. Jean Quatremer » (version du sur Internet Archive), sur LesBiographies.com (documentation biographique des quotidiens de la Société générale de presse), 2 avril 2014
- « Fiche biographique », France Inter (consulté le )
- Jean Quatremer, « Thèmes récurrents : Introduction », International Law FORUM du droit international, Pays-Bas, Kluwer / International Law Association, vol. 3, no 4, , p. 204 (ISSN 1571-8042, lire en ligne)
- Raphaël da Silva, « Jean Quatremer : "En démocratie, ceux qui aspirent au pouvoir doivent être transparents" », Luxemburger Wort, 24 avril 2012.
- Jean Quatremer, Biographie de la documentation de Radio France, février 2012.
- Interview de Jean Quatremer, Arte, 13 février 2012.
- Jean Quatremer, « A propos — Jean Quatremer », sur Coulisses de Bruxelles, blogs.liberation.fr
- Télé grecque : comment a-t-on pu en arriver là ?, Le Point, 12 juin 2013.
- Élections européennes : la chronique de Jean Quatremer, sur le site de BFM TV.
- Robin Andraca, « Quatremer soutient Macron (mais ne le répétez pas !) », arretsurimages.net, 15 mars 2017.
- Daniel Schneidermann, « Barroso chez Goldman Sachs : un silence assourdissant », Nouvelobs.com, (consulté le ) : « La colère des europhiles est dirigée exclusivement... contre Barroso, que n’ont « jamais étouffé la morale et les convictions », tonne Jean Quatremer »
- Jean Quatremer, « La Commission européenne avait préféré minimiser l'affaire Vache folle: les documents qui accusent Bruxelles », Libération, (lire en ligne)
- Jean Quatremer, « La crise de la vache folle a été en grande partie gérée par des fonctionnaires détachés par Londres. Les experts très britanniques de Bruxelles. Les dysfonctionnements de la direction agriculture sont dénoncés dans un audit tenu secret. », Libération, (lire en ligne)
- Jean Quatremer, « Vache folle: l'homme du black-out. «Libération» révèle la responsabilité de l'ex-commissaire irlandais Ray MacSharry. », Libération, (lire en ligne)
- Jean Quatremer, « UE: rumeurs autour d'Edith Cresson. La commissaire européenne soupçonnée d'avoir favorisé un de ses proches. », Libération, (lire en ligne)
- Jean Quatremer, « Le système D des années Delors. L'accroissement du pouvoir de la Commission s'est accompagné d'une gestion «bricolée». », Libération, (lire en ligne)
- Jean Quatremer, « Six mois de grand déballage. Du premier article épinglant la Commission au rapport des sages, récit du scandale. », Libération, (lire en ligne).
- Kaboul: "dysfonctionnements" dans la sécurité des Européens, RTBF, 24 mars 2012.
- Jean Quatremer, « Big brother à la commission. », Libération, (lire en ligne)
- Jean Quatremer, « Caisses noires en Europe », Libération, (lire en ligne)
- Jean Quatremer, « Au Luxembourg, personne ne vous entend crier », sur Coulisses de Bruxelles, blogs.liberation.fr,
- Jean Quatremer, « La maladie orpheline, le médicament miracle et l’eurocrate », Libération, (lire en ligne)
- Expulsions en chaîne. Mystère médical à Bruxelles : l'affaire de l'Orphacol. La Revue de Presse, Jean-Christophe Martin, France Info, 11 janvier 2013.
- Jean Quatremer et l'affaire DSK : le triomphe des culs-bénis du journalisme ?, Bruno Roger-Petit, Le Plus-Le Nouvel Obs, 31 mai 2011.
- Jean Quatremer : Anne Sinclair a une vision pompidolienne de la société, blog de Renaud Revel sur le site de L'Express, 7 mars 2012.
- DSK / femmes : Quatremer regrette le silence de Libé, Arrêt sur images, 12 juillet 2011.
- Jean Quatremer, « FMI : Sarkozy propulse DSK et enterre Fabius », sur Coulisses de Bruxelles, blogs.liberation.fr,
- Sexe, mensonges et médias, retour sur l'affaire DSK, Raphaël Stainville, Le Figaro, 2 mars 2013.
- Jean-Laurent Cassely, « «Bruxelles pas Belle» vs «Paris pourri»: un article de Jean Quatremer déclenche une polémique en Belgique », sur Slate,
- Robin Andraca, « Quatremer soutient Macron », Arretsurimages.net, (consulté le )
- (en) « A Sudden Promotion Raises Questions in the Brussels Bubble », sur nytimes.com, (consulté le )
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- Olivier Mouton, « C'est dingue de plonger le monde en récession pour une pandémie qui a tué moins de 100000 personnes », sur Le Vif,
- Antonin Marsac, « Jean Quatremer: "Les pays qui ont décidé d’un confinement total ont traité les citoyens comme des enfants incapables de se gérer" », sur La Libre,
- Jean-Baptiste Boursier, « "Dans l'histoire, on n'a jamais vaincu un virus en se terrant chez soi", affirme Jean Quatremer », sur BFM TV,
- « Quand deux journalistes de Libération règlent leurs comptes en place publique », Valeursactuelles.com, (consulté le ), lien archivé à archive.ph
- Jean Quatremer, « Fraudes à la tête de la Cour des comptes européenne », sur Libération (consulté le )
- AFP, « Audition de la Cour des Comptes européenne par le Parlement après des accusations d'abus », sur La Libre.be (consulté le )
- Antoine Schwartz La gauche française bute sur l’Europe Le Monde diplomatique, juin 2011
- Frédéric Lordon Conspirationnisme : la paille et la poutre, Frédéric Lordon, La pompe à phynance - Blogs du Monde diplomatique, 24 août 2012
- Daniel Schneidermann, « Comment on devient "rouge brun" pour Quatremer », publié le 6 mars 2015 sur le site Arrêt sur images
- Daniel Zamora, Le journalisme subversif selon Jean Quatremer, de Libération, Acrimed, 24 août 2011
- Blaise Magnin et Henri Maler Mélenchon antisémite ? De la « petite phrase » déformée au « clash » obsessionnel Acrimed, 27 mars 2013
- Pierre Rimbert Vite fait, bien faux Le Monde diplomatique, mars 2013
- Cuba, Jean Quatremer, monde-diplomatique.fr, mai 2013
- Blaise Magnin, « Sur Arte, le procureur Jean Quatremer instruit le procès à charge de Syriza », Acrimed.org, (consulté le )
- Daniel Lempereur, En réponse à Jean Quatremer, debout-la-france.fr, 15 janvier 2015.
- Etienne Campion et Hadrien Mathoux, « Centrisme autoritaire : top 10 des "modérés", champions du mépris de classe », sur Marianne,
- Frédéric Lemaire, Jean Quatremer, grand pourvoyeur de « fake news » sur les gilets jaunes, acrimed.org, 17 janvier 2019
- Pauline Moullot, Les positions du journaliste de Libé Jean Quatremer sur les gilets jaunes gênent-elles la rédaction ?, liberation.fr, 11 janvier 2019
- Quand le gilet est jaune, l'éditocrate voit rouge, marianne.net, 4 janvier 2019
- Yves Mamou, Mais enfin, pourquoi les médias sont-ils la cible des gilets jaunes?, causeur.fr, 5 janvier 2019
- Livre paru simultanément en Allemagne, Grande-Bretagne, Espagne, Italie, Benelux, Pologne et Grèce.
- « Les lauréats 2006 », sur Prix Louise Weiss
- (en) « AEJ Media Prizes », sur Association des journalistes européens
- « Deux journalistes européens lauréats du prix Richelieu 2010 », sur Défense de la langue française
- « Prix de l’Initiative Européenne, 7ème édition » (version du sur Internet Archive), sur Maison de l'Europe de Paris
- (it) « Premio Giornalistico "Altiero Spinelli" », sur Istituto di Studi Federalisti Altiero Spinelli
- Jean Quatremer, « Prix Altiero Spinelli du journalisme européen », sur Coulisses de Bruxelles, blogs.liberation.fr,
- Jean Quatremer, « Décoré à l’insu de mon plein gré », sur liberation.fr, (consulté le )
Liens externes
- Blog « Coulisses de Bruxelles, UE » de Jean Quatremer
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