Conliège

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Conliège
Conliège
Vue générale de Conliège
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Lons-le-Saunier
Intercommunalité Espace communautaire Lons Agglomération
Maire
Mandat
Jérôme Cordellier
2020-2026
Code postal 39570
Code commune 39164
Démographie
Population
municipale
656 hab. (2021 en diminution de 3,24 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 39′ 20″ nord, 5° 36′ 01″ est
Altitude Min. 302 m
Max. 550 m
Superficie 6,05 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lons-le-Saunier
(banlieue)
Aire d'attraction Lons-le-Saunier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poligny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Conliège

Conliège est une commune française, située dans le département du Jura de la Communauté de Communes ECLA en région Bourgogne-Franche-Comté. Ce village d'un peu plus de 700 habitants au début des années 2000— et qui a quelques atouts esthétiques[1] — essaie de compenser une perte d'activité capturée par la zone commerciale proche de Lons-Perrigny. Les habitants se nomment les Conliègeois et Conliègeoises.

Géographie

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Conliège
Perrigny Briod
Montaigu Conliège
Revigny Publy

Géologie

Le territoire communal repose sur le bassin houiller du Jura, où le charbon est découvert par un sondage[2].

Transports

Conliège fait partie des communes autour de Lons-le-Saunier bénéficiant de bus du réseau Tallis-Malis. Le village était autrefois desservi par les chemins de fer vicinaux du Jura.

Urbanisme

Typologie

Conliège est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lons-le-Saunier, une agglomération intra-départementale regroupant 11 communes[6] et 26 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,6 %), prairies (12,4 %), zones urbanisées (7,7 %), cultures permanentes (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), mines, décharges et chantiers (1,1 %), terres arables (0,5 %)[11].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

Tourisme, histoire et héraldique

Tourisme

Le bourg de type village-rue se développe en longueur dans un schéma en Y dont l’une des branches suit le ruisseau - la Vallière - et l’autre prend en écharpe le versant de la reculée. La partie basse, dont les noms des rues sont sans ambigüité - Rue Basse et Rue Neuve - offre un voyageur un paysage bâti caractéristique des XIXè et début du XXè siècles, tandis que la rue montante, la rue Haute, est bordée de bâtiments généralement plus anciens. Distribuées selon un plan d’urbanisation mitoyenne et serré, les façades XVIIIè y dominent. Mais de nombreuses portes cochères et ouvertures portent soit à la clef, soit au linteau une date plus ancienne, XVIè ou du XVIIè siècles. Cette abondance de marques dans l’architecture est un indice fort d'une forme d'aisance que la ville a connu à l’Époque moderne, plusieurs grandes familles locales y ayant élu domicile[13]. La rue Haute qui s’est appelée un moment Grand’Rue est potentiellement une des plus belles rues du département du Jura. La famille seigneuriale de Binans (aussi Binan ou Binand), y tint justice dans une maison encore visible (porte cochère remarquable). L’habitat ancien de Conliège exhibe clairement ce moment d’expansion sociale qui a fait entrer définitivement la Franche-Comté dans la sphère économique française. Divers monuments s’ajoutent à la palette : l’Eglise Notre-Dame, située au nœud du “Y”, flanquée de la mairie et du monument-aux-morts, borde la place qui est bercée par les trois filets d’eau qui dégueulent (sens propre, sens ancien) des dauphins de la fontaine d'époque Louis-Philippe. Une maison dite Maison de la Familiarité qui fonctionnait avec l’église borde l’autre côté de cette place. En haut de la rue Haute, une chapelle dédiée à Notre-Dame de Lorette précède une fontaine-captage de style belle-époque. L’ouvrage le plus populaire est sans doute l’ermitage (écriture ancienne : hermitage) qui, perché haut sur le versant nord de l’entrée de la reculée, est accessible par un chemin de randonnée qui conduit à Saint-Étienne-de-Coldre. Trois oratoires sont dispersés sur le territoire de la commune : celui de Sainte Anne (lien ici) sur le chemin qui monte à l'ermitage, celui du Saint-Esprit, face aux n°s 44 et 46 la rue Haute et celui de Saint-Roch dont le Saint qui fut vénéré pour éloigner la peste a disparu. Malgré un plan de circulation difficile à gérer, la promenade dans les rues de Conliège est plaisante. Ajoutons que les gares, gardes-barrières, tunnels et viaducs des voies ferrées qui bordent la Voie Verte conduisant de Perrigny à Revigny et au-delà de Louhans à Clairvaux-les-Lacs offrent au promeneur un parcours en pente douce des plus variés.

Histoire

Le bourg de Conliège, qui a compté plus de 1 000 habitants au début du XIXe siècle[14], est un passage naturel entre la ville de Lons-le-Saunier et le Premier Plateau jurassien par la Reculée de Conliège. À la réforme cantonale de 2014, qui verse le village dans le nouveau canton de Poligny, Conliège perd son étiquette de chef-lieu de canton. En voie de devenir une cité résidentielle à la périphérie de Lons-le-Saunier, la « ville » ou « villette » (même source) a compté tous les corps de métier. La commune déborde sur un important espace agricole situé sur le plateau. La vigne occupait la quasi-totalité des versants. Cette culture a régressé brutalement à la suite de la crise du phylloxéra de la fin du XIXe siècle. Abandon accéléré par les conséquences des deux guerres mondiales du XXe siècle qui - outre la décimation de la population mâle en 1914-18 - ont empêché la reprise économique et accéléré l'exode rural vers la ville proche (6 km). Deux voies ferrées ont desservi Conliège « en bas » (le Tramway ou Tacot) et « en haut » (le train) pendant un peu plus d'un demi-siècle, le « train » à voie standard ayant mieux résisté (dernière circulation 1953[15]) que le Tram. Au début du XXIe siècle, la vigne retrouve progressivement une place notable sur les coteaux et la démographie se relève assez nettement. Plusieurs lotissements, dont certaines maisons ont pris soin de prendre un peu de cachet, se déploient à l’écart de la voie de circulation principale (la RD 678).

En 2014, le village ainsi que celui de Perrigny ont accueilli la 18e Percée du vin jaune. 43 000 personnes ont participé à cette manifestation ; Jean-François Stévenin en était le parrain.

Héraldique

Blason de Conliège Blason
D'azur à la croix de Lorraine fleuronnée d'argent mouvant d’un croissant du même; enlacée d'un cep de vigne d'argent, fruité de gueules, accosté de deux épis de blé d'argent, le tout mouvant du pied de la croix.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Christian Winkelmann RPR Conseiller général (1987-1994)
1995 janvier 2006 Alain Brune PS Professeur de sciences et techniques économiques
Député du Jura (1981-1993)
mort en fonction[16]
mars 2008 mai 2020 Roger Rey DVG Retraité
mai 2020 En cours Jérôme Cordellier    

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

En 2021, la commune comptait 656 habitants[Note 3], en diminution de 3,24 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1781 2011 2851 1461 1831 2231 2711 1551 136
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9821 0291 0261 0259951 4121 010920879
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
853857747611705757788787882
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
899938847779752731715711687
2018 2021 - - - - - - -
663656-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

  • Oratoire du Saint-Esprit (XVIIIe), Rue Haute, inscrit à l'IGPC depuis 1986[27].
  • Presbytère (XVIIIe), Rue Haute, inscrit à l'IGPC depuis 1986[28].
  • Croix de chemin (XIXe), Rue Basse, inscrite à l'IGPC depuis 1986[29].

Patrimoine civil

  • Maison de la Familiarité (XVIIIe), Rue Haute, inscrite à l'IGPC depuis 1986[47].
  • Moulin du Salot (XIXe-XXe), Rue Basse, inscrit à l'IGPC depuis 1995[49].
  • Tunnel ferroviaire des Cent Marches (XIXe).

Patrimoine naturel

  • Reculée de Vertancul.

Personnalités liées à la commune

  • Mile (ou Emiland) Pariset (XVIe s), archiprêtre et chancelier de l'église de Mâcon.
  • Louis Nachon (1898-1983), député sous la Troisième République.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Daniel Chaffanjon, « pages perso », Autour de Conliège, deux vallées, deux voies ferrées, Août 2013, consulté le 1er novembre 2014
  2. Georges Lienhardt, Géologie du bassin houiller stéphanien du Jura et de ses morts-terrains, Éditions Technip Chambéry, Impr. réunies, coll. « Mémoires du BRGM », , p. 39, figure 15.
  3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Unité urbaine 2020 de Lons-le-Saunier », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  13. Rousset, A. Dictionnaire historique, géographique et statistique des communes de la Franche-Comté, département du Jura. Besançon: Bintot. Vol. II. 1854, p. 275
  14. Rousset, A. Dictionnaire historique, géographique et statistique des communes de la Franche-Comté, département du Jura. Besançon: Bintot. Vol. II. 1854, p. 272-281
  15. Daniel Chaffanjon, déjà cité
  16. Bernard Girard, « Alain Brune (1944-2006) », Racines Comtoises, 20 décembre 2008, consulté le 8 mai 2010
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. « Nécropole », notice no PA00125403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. « Eglise de l'Assomption », notice no PA39000091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  23. Site de l'Ermitage
  24. « Ermitage », notice no PA000034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. « Oratoire Saint-Roch », notice no PA000092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Chapelle Notre-Dame-de-Lorette », notice no IA00015011, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Oratoire du Saint-Esprit », notice no IA00015012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Presbytère », notice no IA00015014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Croix », notice no IA00015033, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Oratoire Sainte-Anne », notice no IA00015036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Maisons 1 à 16 », notice no IA00015016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Maison 17 », notice no IA00015018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Maison 18 », notice no IA00015020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Maison 19 », notice no IA00015021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Maison 20 », notice no IA00015022, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Maison 21 », notice no IA00015023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Maison 22 », notice no IA00015024, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Maison 23 », notice no IA00015025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Maison 24 », notice no IA00015026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Maison 25 », notice no IA00015027, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Maison 26 », notice no IA00015028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Maison 27 », notice no IA00015029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Maison 28 », notice no IA00015030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Maison 29 », notice no IA00015031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Maison 30 », notice no IA00015032, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Maison de la Familiarité, Place de l'Eglise », notice no PA00101837, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Maison de la Familiarité, Rue Haute », notice no IA00015013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « Fontaine », notice no IA00015034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Moulin », notice no IA39000057, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.