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* [[23 septembre]] [[1969]] : l'[[Iris 80]] et sa fonctionnalité réseau [[Transiris]] présentés à la presse.
* [[23 septembre]] [[1969]] : l'[[Iris 80]] et sa fonctionnalité réseau [[Transiris]] présentés à la presse.
* [[juin]] [[1969]] : le capital de la CII profondément remanié, désormais détenu à 70 % par Fininfor, holding commun [[Thomson-CSF]] et la [[CGE]]<ref name="A beltran" />
* [[juin]] [[1969]] : le capital de la CII profondément remanié, désormais détenu à 70 % par Fininfor, holding commun [[Thomson-CSF]] et la [[CGE]]<ref name="A beltran" />
*{{date|29|octobre|1969|en informatique}}: première liaison [[Arpanet]], dans la salle de calcul du département informatique de l'[[Université de Californie à Los Angeles|Université de Los Angeles]] sur un [[CII 10070]]<ref>"Quarante ans après : mais qui donc créa l’internet ?" par [[Michel Elie]], sur le site de l'association VCAM [http://vecam.org/article1123.html]</ref>.
* [[1971]] : [[Louis Pouzin]] lance [[Cyclades (réseau)]] pour le [[datagramme]] sur des [[Iris 80]] de la CII
* [[1971]] : la CII lance la [[New Network Architecture]]
* novembre [[1970]] : création de [[Multinational Data]]
* décembre 1970, le [[Network Working Group]] d'[[Arpanet]] invente le [[Network Control Program (Arpanet)|NCP]], protocole de communication
* [[janvier 1971]]<ref>"La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 71), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [http://www.laurentbloch.org/MySpip3/spip.php?article246]</ref>: [[Michel Elie]], revenu à Paris, décrit le projet Arpanet lors d’une réunion organisée par la [[Délégation générale à l'informatique]]. Son responsable [[Maurice Allègre]] embauche<ref>"La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 72), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [http://www.laurentbloch.org/MySpip3/spip.php?article246]</ref> [[Louis Pouzin]] et cinq autres ingénieurs pour lancer une version française, le [[Cyclades (réseau)|réseau Cyclades]], hébergé un an plus tard par l’[[IRIA]]<ref>LE RÉSEAU CYCLADES ET INTERNET : QUELLES OPPORTUNITÉS POUR LA FRANCE DES ANNÉES 1970 ?" , par VALÉRIE SCHAFER. Professeur agrégée, doctorante à l'Université de Paris IV-Sorbonne, Comité d'histoire du Ministère des Finances, Séminaire Haute Technologie du 14 mars 2007, page 2 [http://www.comite-histoire.minefi.gouv.fr/industrie/haute_techno/documents6946/downloadFile/attachedFile_5/schafer-reseau-cyclades.pdf?nocache=1199972008.03] </ref>.
* [[1971]] : [[Michel Elie]] chargé de créer une [[Distributed System Architecture|New Network Architecture]] à la CII
* [[28 janvier]] [[1972]] : Accord entre CII et [[Siemens (entreprise)|Siemens]] pour fonder un consortium, nommé plus tard [[Unidata]]
* [[28 janvier]] [[1972]] : Accord entre CII et [[Siemens (entreprise)|Siemens]] pour fonder un consortium, nommé plus tard [[Unidata]]
* [[février]] [[1972]] : candidature de [[Philips]] pour rejoindre [[Unidata]]
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* [[4 juillet]] [[1973]] : Création officielle d'[[Unidata]]
* [[4 juillet]] [[1973]] : Création officielle d'[[Unidata]]
* [[1973]] : premières démonstration [[Cyclades (réseau)|Cyclades]], reliant les locaux de [[Rocquencourt]] à un laboratoire de [[Grenoble]] et ceux de l'[[Inria]]<ref>Entretien avec Louis Pouzin, par Isabelle Bellin, sur [[Interstices]] [https://interstices.info/jcms/c_16645/louis-pouzin-la-tete-dans-les-reseaux]</ref>
* [[1973]] : premières démonstration [[Cyclades (réseau)|Cyclades]], reliant les locaux de [[Rocquencourt]] à un laboratoire de [[Grenoble]] et ceux de l'[[Inria]]<ref>Entretien avec Louis Pouzin, par Isabelle Bellin, sur [[Interstices]] [https://interstices.info/jcms/c_16645/louis-pouzin-la-tete-dans-les-reseaux]</ref>
* [[2 octobre]] [[1974]] : la délégation à l'informatique supprimée<ref name="A beltran" />
* [[2 octobre]] [[1974]] : cinq mois après son élection, [[Valéry Giscard d'Estaing]] supprime la [[Délégation générale à l'informatique]<ref name="A beltran" />
* début [[1975]] : le gouvernement français négocie directement avec [[Bull]], [[Michel Barré]], patron de la CII n'est pas invité<ref name="A beltran" />
* fin [[1974]] : le gouvernement français négocie directement avec [[Bull]], [[Michel Barré]], patron de la CII n'est pas invité<ref name="A beltran" />
* [[20 mai]] [[1975]] : fusion de CII avec [[Bull|Honeywell-Bull]], la France se retire d'[[Unidata]]
* [[20 mai]] [[1975]] : fusion de CII avec [[Bull|Honeywell-Bull]], la France se retire d'[[Unidata]]
* [[1976]] : la [[New Network Architecture]] rebaptisée DSA
* [[1976]] : la [[New Network Architecture]] rebaptisée DSA

Version du 12 mars 2014 à 22:17

Compagnie internationale pour l'informatique
Création 1966
Siège social FranceVoir et modifier les données sur Wikidata

La Compagnie Internationale pour l'Informatique (CII) est une société privée française créée en décembre 1966, dans le cadre du Plan Calcul, lancé par le gouvernement du général de Gaulle. Absorbée par Honeywell-Bull en 1975, elle devint partie de CII Honeywell-Bull, rebaptisé Bull en 1982.

Histoire de la CII

Le contexte à la création

Contexte commercial: IBM, Control Data... et le désert

La CII a une double mission (parfois appelée "Mission impossible", du nom d'une série télé née au même moment): l'informatique scientifique et l'informatique de gestion, alors toutes deux dominées par un monopole:

  • Le géant mondial de l'informatique IBM se désintéresse lui des supercalculateurs. Il préfère accroître encore son emprise sur l'informatique de gestion. Son grand système IBM 360 accroît sa part du marché mondial à partir de 1966. Le prédécesseur, l'IBM 1401, a déjà préparé le terrain. En France, par exemple, il a écrasé l'ordinateur Gamma 60 de Bull, pénalisé par des retards dans le développement du système d'exploitation[1] : c'est l'Affaire Bull[2]. Ployant sous une dette multipliée par six au début des années 1960[3], Bull affiche 205,7 millions de francs de pertes en deux ans[4]en 1964 et alignera au total six années de pertes[5]. Le premier constructeur français et européen, exsangue, n'a plus les moyens d'investir.

Face au double monopole d'IBM et de Control Data, l'Etat et les clients français veulent du sang neuf dans l'informatique, en gestion comme en calcul scientifique. Ils recherchent une capacité à développer les logiciels pour faire oublier le fiasco du Gamma 60. Pour cela, l'Etat créé l'IRIA et le Comité de recherche en informatique, alliés de la CII et pièces maîtresses de son Plan Calcul.

Contexte militaire et nucléaire: les grands projets gaullistes

En décembre 1964, le Washington Post révèle que le gouvernement américain a, dès le printemps 1963, et à la demande du Pentagone, écarté une commande de Control Data 6600 par le Commissariat à l'énergie atomique, jugée non-conforme aux clauses du Traité de Moscou contre la dissémination des armes nucléaires dans le monde. Le CEA a des gros ordinateurs IBM, mais moins intéressants et rapides que les machines de Control Data. Les scientifiques s'attendent à de nouveaux progrès dans la conception des supercalculateurs.

Contexte financier: des actionnaires privés divisés et sceptiques

La CII est une société privée, avec pour actionnaire des industriels. En échange de ses subventions, l'État exige d'eux la fusion de trois petits constructeurs, aux produits parfois concurrents, qui forment la CII:

La SETI a des contrats avec EDF. La SEA et la CAE travaillent pour l'armée française, grâce à leurs licences de startup américaines en vue, qui ont conçu des calculateurs scientifiques: SDS pour la CAE, et surtout Control Data, pour la SEA.

  • Le deuxième actionnaire, la CSF, a annoncé de lourdes pertes en avril 1967, puis fusionné avec Thomson en 1969. Le nouveau groupe souhaite imposer à la CII les composants, pas toujours adaptés, de sa filiale Sescosem, crée en 1969 par fusion de SESCO (filiale de CSF, déficitaire) et COSEM (filiale de Thomson, positionnée sur le bas de gamme),

Contexte technologique: le problème des composants

  • La CII a été créée pour profiter des bonds technologiques permis au début des années 1960 par le recours aux circuits intégrés. Mais elle aura souvent du mal à se fournir à des prix et des qualités à la hauteur de ses développements. Ses premiers ordinateurs comportent près de 90 % de circuits intégrés américains, en particulier ceux de Texas Instruments. Le Plan Composants, qui sera lancé plus tard pour favoriser l'émergence d'usines françaises de semi-conducteurs, est précédé en 1972 par le "Plan électronique professionnelle", trop tardif, qui mettra du temps à "porter ses fruits, avec un taux de couverture de 117,6 en 1979 contre 98,5 en 1970"[6].
  • La pénurie de composants est d'autant plus problématique que la CII se dirige très tôt vers l'informatique distribuée et les calculateurs intelligents, capable de faire travailler de nombreux processeurs en même temps, grâce à des recherches sur les technologies d'adressage mémoire inspirées par les progrès réalisés par Seymour Cray chez Control Data, puis dans sa propre société fondée en 1972 et cotée à Wall Street, Cray Research.

Une stratégie basée sur les partenariats internationaux et l'innovation

A sa création, la CII doit se distinguer sur des marchés où IBM et Control Data l'attendent de pied ferme. Elle passe très tôt avec le second des accords de partenariats. Et joue de la crainte que le monopole du premier inspire dans les pays socialistes ou en voie de développement, pour y profiter de la vague d'investissements des années 1960.

La stratégie d'innovation

Six ans après sa création la CII investissait encore 20% de ses ventes en recherche, contre 6% à 7% pour la concurrente Bull[7]. L'Etat ne subventionne qu'une partie de cet effort. Il faut donc trouver très tôt des recettes.

La CII commença par fabriquer, comme la CAE dont elle hérite, des ordinateurs américains sous licence: le Sigma 7, de SDS, qui deviendra le CII 10070, et son petit frère Sigma 2, rebaptisé CII 10020.

Dès 1971, la CII a ses propres modèles de nouvelle génération: Mitra 15 ( plus tard en versions 115 et 215), Iris 50 (plus tard en Iris 45 et Iris 60) et Iris 80.

Le système d'exploitation du CII 10070 a été entièrement remanié par les équipes de l'IRIA[8], pour gagner en vitesse et sécurité, avec une structure favorisant les transferts d’information entre la mémoire principale et l’environnement extérieur, afin, éviter l’étranglement du débit des informations au niveau des accès en mémoire[9]. La CII s'inspire de la vision de Seymour Cray, révolutionnaire à l'époque, car beaucoup plus rapide que le classique grand système IBM, même si "l'architecture Cray" est plus consommatrice en ressources (processeurs, mémoires).

Ce nouveau système d'exploitation, appelé Siris 7, sera revendu le 30 octobre 1970 à Scientific Data Systems[10], dans une version considérablement améliorée par rapport à celle de SDS. Il est ensuite à nouveau amélioré, avec le travail de l'équipe de Jean Ichbiah et Claude Boulle, en incluant des fonctions de routage, par la couche logicielle Transiris: il devient Siris 8, utilisé avec un processeur (1971), puis deux (1974), puis trois.

La CII a développé des langages innovants (ADA et projet SFER). Elle a investi très tôt dans les réseaux informatiques à distance, avec une première démonstration en 1968, reliant le Sicob de La Défense à son siège. Elle est l'inspiratrice du réseau Cyclades, basé sur la technologie du datagramme, ensuite hébergé à l'IRIA. En novembre 1973[11], la première démonstration du réseau Cyclades relie trois ordinateurs en réseau, deux Mitra 15 de la CII en région parisienne et un IBM 360 à l'IMAG de Grenoble. En 1975, ce réseau connecte 25 ordinateurs des principaux centres de recherche français partenaires mais aussi de Rome et Londres[12]. Inspirée par le réseau Cyclades, la Distributed System Architecture de la CII est l'équivalent avant l'heure de Decnet, de DEC, et SNA d'IBM.

Cette stratégie permettra à la CII de se placer au premier rang des constructeurs européens de mini-ordinateurs, avec le Mini 6. Plus technicienne que marchande, elle n'a cependant pas atteint une rentabilité suffisante, ni un parc d'utilisateurs assez ancien, pour se permettre l'autonomie de décision vis-à-vis de ses maisons-mères, Thomson et CGE.

La stratégie internationale

En 1968 et 1969, deux jeunes ingénieurs de la CII, Gérard Deloche et Michel Elie, profitent des bourses du pour aller étudier à l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), où ils font successivement partie, en tant que seuls européens, du Network Working Group, chargé de concevoir les premiers protocoles de l'Arpanet. Michel Elie, qui a participé à la première liaison Arpanet en 1969, est chargé par la CII de développer une New Network Architecture à la CII, qui deviendra la Distributed System Architecture, appelée aussi "DSA-ISO", car reconnue en 1978 par les instances internationales pour constituer le nouveau Modèle OSI, l'un des ancêtres d'Internet, avec Arpanet.

Dans les pays de l'Est, la CII a réalisé "une percée estimée à un milliard de francs"[13] en 1974. L'Iris 50 a été construit sous licence en Roumanie, à partir de 1968[14], en tant que Felix C256, et livré à Cuba, la Chine et la Corée du Nord. Des coopérations importantes ont été signées avec la Russie[15], l'Algérie et le Chili de Salvador Allende.

Dès 1970, la CII a un développement suffisant pour se rapprocher d'autres constructeurs européens: l'anglais ICL, né en 1968 de la fusion de de plusieurs constructeurs, dont International Computers and Tabulators (ICT) est sollicité. En novembre 1970, un accord est trouvé, qui associe aussi Control Data: c'est le consortium "Multinational Data", basé à Bruxelles[16], qui renonce cependant à aller trop loin, Control Data craignant qu'IBM ne s'en serve contre lui dans le cadre de leur conflit juridique. Control Data se borne alors à inscrire à son catalogue l'Iris 60 de la CII[16].

En janvier 1972, c'est Siemens qui a sollicité la CII, suivi par Philips. Tous trois forment le consortium Unidata, créé pour mieux concurrencer IBM en Europe. Siemens exigeant la compatibilité IBM pour les nouveaux développements, CII sacrifie deux de ses prototypes prometteurs. Unidata souhaite alors devenir un "Airbus de l'informatique".

En 1975, le gouvernement de Valéry Giscard d'Estaing, confronté au premier choc pétrolier et à la pression d'actionnaires, Ambroise Roux et Georges Pébereau, de la Compagnie générale d'électricité, se retira d'Unidata. Il fit absorber la CII par Bull-Honeywell, constituant CII Honeywell-Bull, contre l'avis du PDG de la CII Michel Barré et de l'un des actionnaires, Thomson, qui se rallie ensuite au choix imposé. Les développements Unidata sont stoppés, alors que le consortium a 13,2%[17] des ventes d'ordinateurs européens en 1973, et 9,8% du parc européen.

PDG successifs

Dates clefs

Voir aussi

Bibliographie

  • P.-E. Mounier-Kuhn, CNRS, “French Computer Manufacturers and the Component Industry, 1952-1972” , History and Technology, 1994, vol. 11.
  • P.-E. Mounier-Kuhn, CNRS, “Le Plan Calcul, Bull et l’industrie des composants : les contradictions d’une stratégie”, Revue historique, 1995, vol. CCXC n° 1, pp. 123-153.
  • Jean Bellec, Fédération des Équipes Bull, Musée virtuel de Bull et de l'informatique Française
  • J.-M. Quatrepoint et J. Jublin, French ordinateurs. De l’affaire Bull à l’assassinat du Plan Calcul, Paris, Alain Moreau, 1976.
  • J.-P. Brulé, L’Informatique malade de l’État, Les Belles-Lettres, 1993.
  • Code Source, la revue des 40 ans de l'INRIA n° 9 Un nouveau paysage politique de l'informatique en France (5 mars 2007)

Références

  1. Jean-Pierre Brulé, L'informatique malade de l'Etat, Editions Les Belles Lettres, , 381 p. (ISBN 2-251-48000-5), p. 91
  2. Georges Vieillard, L'Affaire Bull, 1969
  3. Jean-Pierre Brulé, L'informatique malade de l'Etat, Editions Les Belles Lettres, , 381 p. (ISBN 2-251-48000-5), p. 365
  4. "Le «Plan Calcul» par François-Henri Raymond [1]
  5. Jean-Pierre Brulé, L'informatique malade de l'Etat, Editions Les Belles Lettres, , 381 p. (ISBN 2-251-48000-5), p. 365
  6. "Ruptures ou continuités dans la politique industrielle française en électronique ?" par Jean-Louis Perrault, et Sidy Modibo Diop dans la Revue d'économie industrielle 1983 [2]
  7. French ordinateurs, par Jacques Jublin et Jean-Michel Quatrepoint, Éditions André Moreau, 1976, page 130
  8. "Témoignage sur l’Internet et les réseaux (1969-1978)", article de Michel Elie dans Entreprises et Histoire" en 2002
  9. Fiche technique du 10700, sur le site des anciens de CII HB [3]
  10. Fiche technique du 10700, sur le site des anciens de CII HB [4]
  11. "Entretien avec Louis Pouzin", par Isabelle Bellin, le 19/03/2007 [5]
  12. "Entretien avec Louis Pouzin", par Isabelle Bellin, le 19/03/2007 [6]
  13. Jublin et Quatrepoint, p. 127
  14. Jublin et Quatrepoint, p. 126
  15. French ordinateurs, par Jacques Jublin et Jean-Michel Quatrepoint, Éditions André Moreau, 1976, page 126
  16. a et b Jublin et Quatrepoint, p. 77
  17. Jublin et Quatrepoint, p. 133
  18. a b c et d "Histoire d'un pionnier de l'informatique: 40 ans de recherche à l'Inria", Par Alain Beltran,Pascal Griset, page 129 [7]
  19. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées fhr
  20. "Quarante ans après : mais qui donc créa l’internet ?" par Michel Elie, sur le site de l'association VCAM [8]
  21. "La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 71), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [9]
  22. "La France en réseaux (1960-1980)", par Valérie Schafer (tome 1, page 72), extraits repris sur le site de Laurent Bloch [10]
  23. LE RÉSEAU CYCLADES ET INTERNET : QUELLES OPPORTUNITÉS POUR LA FRANCE DES ANNÉES 1970 ?" , par VALÉRIE SCHAFER. Professeur agrégée, doctorante à l'Université de Paris IV-Sorbonne, Comité d'histoire du Ministère des Finances, Séminaire Haute Technologie du 14 mars 2007, page 2 [11]
  24. Entretien avec Louis Pouzin, par Isabelle Bellin, sur Interstices [12]