Blou

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Blou
Blou
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire
Maire
Mandat
Jean-Philippe Rétif
2020-2026
Code postal 49160
Code commune 49030
Démographie
Gentilé Blosiens
Population
municipale
944 hab. (2021 en diminution de 6,26 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 21′ 47″ nord, 0° 02′ 10″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 111 m
Superficie 21,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saumur
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Longué-Jumelles
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Blou
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Blou
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Blou

Blou est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce village angevin de l'Ouest de la France se situe dans la région angevine du Baugeois, au nord du bassin de la rivière de l'Authion[1],[2].

Sa frontière avec Vernantes est bordée par le méridien de Greenwich qui sépare les communes dans l'extrème est de Blou.[réf. nécessaire]

L'autoroute A85 traverse la commune entre l'échangeur de Saumur à Neuillé et l'échangeur de Longué-Jumelles.

Topographie[modifier | modifier le code]

Le bourg est dominé par une butte dominant la plaine de l'Authion d'où l'on peut apercevoir la ville d'Angers par temps clair[3].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sous-sol est essentiellement constitué de roches sédimentaires, terrains dominés à l'est par une butte constituée d'un calcaire détritique turonien appelé tuffeau[2].

De cette butte ont été extraites de très grandes quantités de tuffeau blanc servant à la construction des maisons de la région. Ces galeries ainsi creusées, ont servi au cours du XXe siècle à la culture des champignons de Paris[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 648 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil à 15 km à vol d'oiseau[7], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 612,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Blou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), forêts (12,5 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (1,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Bucardi de Blei en 1040, Blod en 1095, Bloe en 1200, Bleu en 1210, Blua en 1216, Blou en 1258[17],[18], Blou en 1793, Blon en 1801 puis Blou[19]. L'origine du nom est obscure mais dont certains pensent qu'elle pourrait provenir de la couleur de certaines terres aux reflets bleus[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Sa situation élevée au milieu d'un pays riche, au bord d'une vallée régulièrement inondée, est un refuge naturel dès les premiers âges. Une prospection archéologique du XXe siècle a montré que le territoire de Blou a connu une occupation relativement importante dès la protohistoire[4],[2].

Au point dit Le Grippeau, qui émerge le premier au-dessus des inondations de la Loire, on a trouvé des amphores romaines et des briques en abondance.[réf. nécessaire] Les voies antiques qui passaient par Blou ou aux environs immédiats étaient vraisemblablement la grande voie romaine d'Angers Tours par Robrica. Elle y croisait la voie de Saumur au Mans[4].

Des dalles ont été retrouvées auprès de La Modtaie et au lieu-dit Les pierres plates.[réf. nécessaire] Des trouvailles faites à Blou en 1856 indiquent la présence d'un centre gallo-romain important[4].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le baron de Blou, héritier des propriétaires gallo-romains, est le présentateur de la cure conférée par l'évêque d'Angers (archiprêtré de Bourgueil). Elle est d'abord chapelle domestique avant d'être transformée en paroisse au Xe ou XIe siècle. Une partie des dîmes est acquittée par les moines de Cunault[4].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Durant trois siècles (du XVIe au XVIIIe siècle), un pèlerinage pour les maladies de l'ouïe avait lieu au mois d'août, à la Saint-Louis. Celui-ci était très réputé et on y venait par milliers. Certainement l'origine de l'assemblée annuelle de la commune. La baronnie pouvait être le siège d'une des quatre baronnies d'Anjou et de ce fait existaient au XVIIe siècle à Blou, du personnel judiciaire et administratif. On constate aussi au XVIIIe siècle la présence d'un notaire royal et d'un maître chirurgien. La Citadelle, La Tour du Coq, Le Temple et La Cathédrale sont des noms de fermes qui rappellent des souvenirs du Moyen Âge. Le Mésanger est certainement une des plus anciennes fermes de Blou.[réf. nécessaire]

Un marché est passé en 1706 pour l'entretien de l'église. L'autel de la chapelle des fonts baptismaux, estimé gênant, avait été démoli en 1703. la couverture de l'église est réparée en 1707[20].

Les registres paroissiaux ne remontent qu'à 1608. La présence de la baronnie avait amenée l'établissement à Blou de tout un personnel judiciaire et administratif. On constate au XVIIIe siècle la présence de notaire royal (Thomas Dublier en 1731), d'un maitre chirurgien, etc. Il y avait un maître d'école (Jean Aubry) en 1623. L'excellence de l'air et du climat de Blou était reconnue dès le XVIIIe siècle. Une religieuse bénédictine de l'abbaye de La Fontaine-Saint-Martin, au diocèse du Mans, y vient s'y soigner en 1722. Cela ne l'empêche d'ailleurs pas d'y mourir. Baptême d'une fille "Maure" qui a pour parrain le curé de Brouage en 1644, baptême d'un certain Georges-César Hubert, "issu en droite ligne de la race de Saint Hubert". Il y avait dans la paroisse un curé et toujours au moins un vicaire.[réf. nécessaire]

Blou dépend au XVIIIe siècle de l'élection de Baugé, du grenier à sel de Saumur, et fait partie en 1788 du district de Baugé[20].

Révolution[modifier | modifier le code]

La commune fait partie en 1790 du district de Baugé et du canton de Longué[20].

Le curé Thiberge, précédemment vicaire et installé dans ses fonctions en 1747, cesse d'exercer en février 1790. Son vicaire, Olivier d'Olivet, est nommé en mai 1791. Il renonça à toute fonction ecclésiastique sous la Terreur. Jacques Gaussé, chapelain, prête serment et est élu curé constitutionnel de Fontaine-Guérin. Un prêtre nommé Pineau dessert la paroisse en 1800[20].

Le 6 pluviôse an II, l'agent municipal fait afficher et publier la tenue annuelle de cinq foires. Elles n'auront jamais d'existence réelle. On en revient après la Révolution à l'assemblée de la Saint-Louis, le dernier dimanche d'août[4].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Une nouvelle assemblée est créée à la gare à l'ouverture du chemin de fer, se tenant le deuxième dimanche de mai[4].

L'électricité est établie dans la commune en 1928 et l'éclairage public en 1932[4].

Pendant la Première Guerre mondiale, 38 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, un habitant est tué[3].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Gendreau    
1792 1805 René Ploquin    
1806   Dr Leblanc    
1809   Pierre Lair    
7 avril 1815   Lebrecq    
12 juillet 1815   Pierre Lair    
1826   Alexandre de Boylesve    
1831   Félix Daguin    
1842   Fr. Faucillon    
1847   Charles Lair    
1884   Henri Lair    
1904   Louis Aucher    
1908   Auguste Fusellier    
1919   Auguste Desfoyers    
1925   Eugène Launay    
1945   Charles Bizard    
...        
1991 mars 2008 Gérard Bousselin   Agriculteur retraité
mars 2008 mai 2020 Marie Seyeux[22] DVD Conseillère départementale depuis 2015
mai 2020 En cours
(au 1er juin 2020)
Jean-Philippe Rétif[23]   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire, après disparition de la communauté de communes Loire Longué[24], elle-même membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou.

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du canton de Longué-Jumelles et de l'arrondissement de Saumur[25].

Jusqu'en 2014, le canton de Longué-Jumelles compte huit communes, dont Blou. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune reste rattachée à ce même canton de Longué-Jumelles, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 944 habitants[Note 3], en diminution de 6,26 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9959371 0181 0361 1101 0831 0541 0421 061
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0451 0871 0391 0301 0651 0501 0691 0891 086
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0351 0411 006985918927940949998
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
9028678237997528249399461 022
2015 2020 2021 - - - - - -
1 007955944------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,8 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 519 hommes pour 476 femmes, soit un taux de 52,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,8 
5,7 
75-89 ans
6,8 
14,8 
60-74 ans
16,3 
22,8 
45-59 ans
21,4 
17,9 
30-44 ans
19,6 
15,5 
15-29 ans
13,2 
23,0 
0-14 ans
20,9 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école de garçons est achetée par la commune en 1848. Tout d'abord réparée en 1882-1884, des agrandissements sont réalisés en 1906. L'école des filles, située route de Vernantes, était établie en 1905 dans une maison appartenant au comte Charles Lair[3].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Le revenu fiscal médian par ménage sur Blou est en 2018 de 20 190 , pour une moyenne sur le département de 21 110 [33].

Population active et emploi[modifier | modifier le code]

La population âgée de 15 à 64 ans s'élève en 2017 à 602 personnes (pour 604 en 2007), parmi lesquelles on comptait 81 % d'actifs dont 71 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs[34].

En 2017 on comptait 131 emplois dans la commune, contre 112 en 2007. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 431. L'indicateur de concentration d'emploi est de 65 %, ce qui signifie que la commune offre un nombre d'emplois inférieur au nombre d'actifs, indicateur en légère baisse par rapport à 2007 (66 %)[34].

Activités économiques[modifier | modifier le code]

La viticulture y est peu implantée au début du XXe siècle et se développe par la suite, comptant 46 hectares en 1921, puis 75 au milieu des années 1960[4].

Les carrières de tuffeau présentes au XIXe siècle, servant à la construction de maisons, le sont toujours dans les années 1960. Des carrières de silex, servant à l'empierrement des routes, sont également présentes à cette époque[4].

Au XXIe siècle, sur 67 établissements présents sur la commune à fin 2010, 45 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 31 % de celui du commerce et des services et 9 % du secteur de l'administration et de la santé[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame est un édifice roman dont la nef date du XIIe siècle. L'édifice a été restauré a plusieurs reprises, dont en 1861-1864 par l'architecte Charles Joly-Leterme, et en 1926-1928. Elle est classée au titre des monuments historiques[3],[36],[37].

Autres édifices : Le manoir de Champs Baugé est un édifice des XVIe et XVIIIe siècles, complété au XIXe[38]. Le manoir Notre-Dame Sainte-Catherine date des XVIe, XVIIe et XIXe siècles[39]. Le moulin Duvau de Blou (ou de la Croix-Orée) est un moulin à vent cavier du XVIIIe siècle[40]. Le château de la Baronnie date des XVIe, XVIIe et XIXe siècles[41].

Le château de la Modtais, des XVIIIe et XIXe siècles, est devenu au début du XXIe siècle un centre spirituel tibetin. Des moines Bön y résident et sont bien accueillis par la population blosienne. Ils accueillent des séminaires[42],[43].

La ferme du Petit Mésanger, des XVIIe et XVIIIe siècle, remaniée au XIXe, appartenait aux templiers puis aux hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem[44].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 382-385.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Département de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine et Loire, Angers, Le Polygraphe, (ISBN 2-909051-22-6, BNF 38989055), p. 59.
  2. a b et c Élisabeth Zadora-Rio, « Archéologie d'un espace rural : la genèse du parcellaire de la commune de Blou (Maine-et-Loire) », Revue Géographique de l'Est, t. 26, nos 3-4 « Géographie rétrospective des espaces ruraux »,‎ , p. 155-166 (DOI 10.3406/rgest.1986.1606).
  3. a b c et d Célestin Port 1965, p. 382.
  4. a b c d e f g h i et j Célestin Port 1965, p. 383.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Blou et Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Nicolas-de-Bourgueil », sur la commune de Saint-Nicolas-de-Bourgueil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Célestin Port 1965, p. 382 (formes anciennes du nom).
  18. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, (BNF 39295447), p. 32.
  19. EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Blou, consulté le 10 janvier 2021 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  20. a b c et d Célestin Port 1965, p. 384.
  21. Port 1965, p. 385, liste des maires de 1790 à 1965.
  22. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 18 avril 2014.
  23. « Blou. Jean-Philippe Rétif revêt l’écharpe de maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  24. Insee, Composition de l'EPCI de Loire-Longué (244900791), consulté le 15 août 2013.
  25. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Blou, consultée le 15 février 2015.
  26. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Blou (49030) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  33. « Comparateur de territoire : Commune de Blou (49030) », sur Insee (insee.fr), (consulté le ).
  34. a et b « Dossier complet : Commune de Blou (49030) », sur Insee, (consulté le ).
  35. Insee, Statistiques locales du territoire de Blou (49), consultées le 7 décembre 2012
  36. « Église », notice no PA00108976, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA00033698, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Manoir (lieu-dit Champs Baugé) », notice no IA00033720, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Manoir Notre-Dame, Sainte-Catherine », notice no IA00033712, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Moulin Duvau, de Blou ou de la Croix-Orée », notice no IA00051682, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Château de la Baronnie », notice no IA00033699, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Château (lieu-dit La Modtais) », notice no IA00033731, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Blou. 10 ans de spiritualité tibétaine au château de la Modtais », Le Courrier de l'Ouest,‎ (lire en ligne).
  44. « Ferme de templiers puis d'hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem dite l'Hôpital Mésanger », notice no IA00033735, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.