Saint-Lambert-la-Potherie

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Saint-Lambert-la-Potherie
Saint-Lambert-la-Potherie
L'église Saint-Lambert.
Image illustrative de l’article Saint-Lambert-la-Potherie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Corinne Grosset
2020-2026
Code postal 49070
Code commune 49294
Démographie
Gentilé Lambertois
Population
municipale
2 949 hab. (2021 en augmentation de 12,6 % par rapport à 2015)
Densité 214 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 29′ 04″ nord, 0° 40′ 34″ ouest
Altitude 40 m
Min. 39 m
Max. 76 m
Superficie 13,81 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Lambert-la-Potherie
(ville isolée)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Angers-3
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Saint-Lambert-la-Potherie
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Saint-Lambert-la-Potherie
Liens
Site web Site de Saint-Lambert-La-Potherie

Saint-Lambert-la-Potherie est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie

Localisation

Commune angevine, Saint-Lambert-la-Potherie se situe à 9 km à l'ouest d'Angers[1], aux abords de la route D 105, La Meignanne - Saint-Léger-des-Bois[2].

Communes limitrophes

Topographie, géologie et relief

Son territoire se situe sur les unités paysagères des marches du Segréen et du plateau du Segréen[3].

Le terrain silurien inférieur occupe toute l'étendue de la Commune.

La commune reste abondamment boisée : bois et étang occupent encore 200ha, 714ha sont encore exploité par l’agriculture en 2000. Une grande partie, classée en ZNIEF de catégorie 2, se situe dans la zone des affleurements granitiques, avec un maillage bocager important.

Hameaux et quartiers

En dépendent, les hameaux et les lieux-dits dont les noms suivent : l'Angevine, l'Archerie, la Bazinnière, le Beaumortier, la Bellangerie, Bois-des-Chatteries, le Bois-du-Vieux, les Bouillons, les Buissons, la Buronnière, la Chaussée, le Chêne-Vert, la Clairière, la Cotinière, le Défait, le Defay, les Ecots, les Eglantiers, la Farauderie, les Faux, la Fessardière, Flutourne, la Gilietterie, le Grand-Mainguet, la Grande-Pièce, la Grande-Rangée, les Landes, la Landière, le Landreau, les Lilas, Luigné, la Mainguettière, la Marionnière, le Morisson, la Morozière, les Noisetiers, l'Orangerie, la Pâquerette, la Perrière, le Pertuis, le Petit-Mainguet, la Petite-Rocée, Pont-Perrin, le Pré-de-la-Chaussée, la Renardière, Rocbrune, la Thuaudière, les Trois-Chênes, le Vallon, etc.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

  • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 667 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé, mise en service en 1937[10] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 693,3 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, dans le département de la Loire-Atlantique, mise en service en 1945 et à 79 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,5 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[16].

Urbanisme

Typologie

Saint-Lambert-la-Potherie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Lambert-la-Potherie, une unité urbaine monocommunale[20] de 2 949 habitants en 2021, constituant une ville isolée[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,5 %), forêts (21,4 %), zones urbanisées (10 %), terres arables (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %)[25].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

Toponymie

L'origine du nom pourrait venir du latin poterhia qui signifie : là où il y a de l’eau. L'antique forêt des Echats, aujourd'hui presque disparue, couvrait toute la contrée, mais parait avoir été de bonne heure défrichée de ce côté. L'église de Saint-Lambert est une des premières qu'on y trouve constituées, sur le bord mêmes des cultures nouvelles, dès le milieu du XIe siècle. Elle appartenait au chapitre de Saint-Maimbeuf par le don des comtes et des rois, et lui fut confirmée vers 1154 par le pape Adrien IV. L'évêque Jean Guillaume de Beaumont reconnut les droits des chanoines en 1212, à charge par eux de réserver sur les revenus 100 sols de rente pour la fabrique et autant pour le fêtage des chanoines qui venaient célébrer le service aux grandes fêtes. Les deux tiers des dîmes appartenaient d'ailleurs aux chanoines qui abandonnaient à leur vicaire perpétuel ou curé l'autre tiers et le revenu des novales.

Formes anciennes des noms : Ecclesia de nomine Sancti Lamberti, quae canonicorm Sancti Maurilli videtur esse 1050-1075, Presbyter Sancti Lamberti 1093, Persona Sancti Lamberti 1211, Ecclesia beati Lamberti de Poteria 1212, Dominus Sancti Lamberti de la Potherie 1230, Sanctus Lambertus de Poteriis 1576, St-Lambert-de-la-Potherie 1419, aux XVIe-XVIIIe siècles et jusqu'en 1830, La Potherie 1793, Saint-Lambert-la-Potherie XIXe siècle.

On appelle les habitants de Saint-Lambert-La-Potherie les Lambertois.

Histoire

Au Moyen Âge, le bourg dépendait de la sénéchaussée d'Angers.

Sous l'Ancien Régime, la paroisse dépendait de l'archidiaconé d'outre-Maine et du doyenné de Candé, de l’élection et des aides d'Angers, du district en 1788 de Saint-Georges-sur-Loire, puis en 1790 d'Angers.

Électrification du bourg en 1925.

Eau potable : adduction d'eau potable en 1965.

Politique et administration

Administration municipale

La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1790 Nicolas Huteau    
1790 1791 Nicolas Tassin    
1791 1793 Louis Grandin    
1796 1808 Toussaint Jouanneau    
1808 1810 Marin de Boylesve père    
1810 1811 Marin de Boylesve fils    
1812 1821 Toussaint Jouanneau    
1821 1827 François Rivron    
1827 1851 René Saulnier    
1851 1881 François Rivron    
1881 1883 Gonzalve Anatole Tessié de la Motte    
1884 1908 Eugène Chevalier    
1908 1922 André Tessié de la Motte    
1922 1943 Vîctor Giron    
1943 1947 Pierre Houdebine    
1947 1957 Alfred Rétif    
1957 mars 1983 Raymond Grasset    
mars 1983 juin 1995 Lucette Couette    
juin 1995 mars 2001 Gérard Heurtel    
mars 2001 mai 2020 Pierre Vernot[27] DVG Ingénieur
Vice-Président du SIÉML[28]
mai 2020 En cours
(au 29 mai 2020)
Corinne Grosset[29]    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole depuis disparition de la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole[30], elle-même membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[31].

La commune adhère également au syndicat intercommunal d'assainissement agricole du Brionneau et de la Mayenne (syndicat Brionneau-Mayenne).

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 2 949 habitants[Note 7], en augmentation de 12,6 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
406237427442414433429489484
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
475505500493495464471469475
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
415428424376374383366420428
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3854217441 6882 0792 2092 3562 3782 541
2017 2021 - - - - - - -
2 8432 949-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 400 hommes pour 1 480 femmes, soit un taux de 51,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,2 
3,5 
75-89 ans
3,8 
18,3 
60-74 ans
17,5 
20,2 
45-59 ans
19,2 
19,0 
30-44 ans
20,8 
15,9 
15-29 ans
16,3 
22,9 
0-14 ans
22,2 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Vie locale

Économie

Sur 111 établissements présents sur la commune à fin 2010, 9 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 13 % du secteur de la construction, 53 % de celui du commerce et des services et 18 % du secteur de l'administration et de la santé[38]. Fin 2015, sur les 144 établissements actifs, 7 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 62 % de celui du commerce et des services et 15 % du secteur de l'administration et de la santé[39].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Saint-Lambert-la-Potherie possède plusieurs monuments :

  • Les châteaux de la Chaussée et de la Coltrie (XIXe siècle). Ce dernier a été détruit en 1978.
  • La chapelle de l'ancien château de la Coltrie, style XVe siècle, conserve d'anciens vitraux provenant de l'église de Saint-Mathurin.
  • Le dolmen de la Coltrie, monument à deux compartiments et portique écroulé. Deux haches en pierre polie ont été trouvées à la Coltrie, une à la Chaussée et cinq en divers points de la commune. Près du château de la Chaussée a été en outre mis au jour un polissoir.
  • La mairie : C'est l'œuvre de l'architecte Dellêtre. Elle se dresse au centre du bourg et comprenait à l'origine : une classe au rez-de-chaussée et une salle de mairie au 1er étage avec logement de fonction pour l'instituteur (adjudication des travaux le ). En 1987, cette vieille bâtisse centenaire, imposante mais inadaptée et partiellement occupée, a fait l'objet d'un réaménagement et d'une restauration complète pour répondre aux besoins d'une commune dont la population a presque quintuplé en vingt ans (coût de l'opération un million de francs).
  • Le 'monument aux morts : Il a été érigé dans le cimetière communal (délibération du C.M. en date du ). Une pyramide en pierre de Lavoux avec un piédestal sur lequel on peut lire les noms de 17 morts de la guerre 1914-1918 et des 6 morts de la guerre 1939-1945. Ce monument a été fourni par la maison Veuve Rouillard d'Angers.
  • L'église : dédiée à saint Lambert, évêque de Maastricht. Quoique modernisée au XIXe siècle, elle présente encore d'anciennes ouvertures romanes visibles dans son mur nord, vers le jardin du presbytère. Intérieurement se remarquent deux statues de saint Maurice et de saint Maurille et deux autels latéraux construits en 1717 par l'architecte Poisson et le sculpteur Dubois. Le chœur, voûté en croisée d'ogives meneaux saillants, sans clé, est éclairé par un médiocre vitrail moderne. Une travée, en avant de la nef, porte, accolé de quatre énormes contreforts, le clocher reconstruit en 1828 par l'architecte François. Une cloche, prénommée Antoine, a été baptisée le par Mgr Orchampt. Elle pèse 465 kg.
  • Le presbytère : en 1745, une expertise de la cure énumère cuisine, vestibule et salon, degré tournant à marches ardoisines, deux chambres hautes. Au haut du degré (sans doute en tourelle) se trouvait un pigeonnier dans la cour cellier, toit à porcs, poulailler, boulangerie, écurie, étable. L'année suivante ce bâtiment fut modernisé de fond en comble par le curé. Vendu pendant la Révolution, racheté à l'acquéreur par la famille de Boylesve et donné à la fabrique en 1836, placé sous séquestre en 1889 et remis au bureau de bienfaisance, il devient, en 1916, la propriété du comte de l'Estoille qui le remet, en 1935, à l'Association diocésaine.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Saint-Lambert-la-Potherie (49), consulté le 21 octobre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  2. IGN et BRGM, Géoportail Saint-Lambert-la-Potherie (49), consulté le 21 octobre 2012.
  3. Département de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Le Polygraphe, 2003, p. 168 et 158 — Données consultables sur WikiAnjou.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  10. « Station Météo-France Beaucouzé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Saint-Lambert-la-Potherie et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France Beaucouzé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Orthodromie entre Saint-Lambert-la-Potherie et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Unité urbaine 2020 de Saint-Lambert-la-Potherie », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  27. Ouest-France, Objectif pour le maire : réussir la réforme scolaire, article du 31 mars 2014.
  28. Syndicat intercommunal d'énergies de Maine-et-Loire.
  29. « Saint-Lambert-la-Potherie. Mairie : Corinne Grosset succède à Pierre Vernot », sur Ouest-France, (consulté le ).
  30. Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
  31. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Lambert-la-Potherie (49294) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  38. Insee, Statistiques locales du territoire de Saint-Lambert-la-Potherie (49), consultées le 12 mai 2013.
  39. « Dossier complet - Commune de Saint-Lambert-la-Potherie (49294) », sur Insee, (consulté le ).