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Préparation du calendrier pour 2007

janvier 2007 février 2007

En astronomie, une nébuleuse planétaire est un objet astronomique qui ressemble à un disque d'aspect nébuleux lorsqu'il est observé à basse résolution. En raison de cet aspect, semblable à l'aspect des planètes, l'adjectif « planétaire » lui a été attaché, et a été depuis maintenu pour conserver l'uniformité historique.

À partir d'observations plus détaillées (en particulier spectroscopiques) on sait désormais que les nébuleuses planétaires n'ont en fait aucun rapport avec les planètes ; Quand une petite étoile (moins de 8 masses solaires) vieillit et a fini de consommer tout son hydrogène, puis son hélium, son cœur s'effondre pour former une naine blanche, tandis que les couches externes sont expulsées par la pression de radiation...

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En astronomie, une nébuleuse planétaire est un objet astronomique qui ressemble à un disque d'aspect nébuleux lorsqu'il est observé à basse résolution. En raison de cet aspect, semblable à l'aspect des planètes, l'adjectif « planétaire » lui a été attaché, et a été depuis maintenu pour conserver l'uniformité historique.

À partir d'observations plus détaillées (en particulier spectroscopiques) on sait désormais que les nébuleuses planétaires n'ont en fait aucun rapport avec les planètes ; Quand une petite étoile (moins de 8 masses solaires) vieillit et a fini de consommer tout son hydrogène, puis son hélium, son cœur s'effondre pour former une naine blanche, tandis que les couches externes sont expulsées par la pression de radiation...

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mars 2007 avril 2007
Image du film « Voyage dans la Lune » (1902) de Méliès
Image du film « Voyage dans la Lune » (1902) de Méliès

La Lune est l’unique satellite naturel de la planète Terre, de diamètre de 3 476 km. La distance moyenne entre la Lune et la Terre est de 384 403 km, mais sa face visible nous est toujours la même. Vue de la Terre, la taille apparente de la Lune est presque exactement identique à celle du Soleil.

Son origine reste mystérieuse. L’hypothèse la mieux acceptée est celle de l’impact géant : une collision entre la jeune Terre et un objet de la taille de Mars aurait éjecté de la matière autour de la Terre, qui aurait fini par former la Lune, il y a 4,526 milliards d'années.

Le premier atterrissage humain eut lieu le 20 juillet 1969, en pleine guerre froide. Le premier astronaute à poser le pied sur la Lune fut Neil Armstrong, le capitaine de la mission Apollo 11. Mais Jules Verne, Georges Méliès et Hergé l’y avaient précédé en fiction.

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Image du film « Voyage dans la Lune » (1902) de Méliès
Image du film « Voyage dans la Lune » (1902) de Méliès

La Lune est l’unique satellite naturel de la planète Terre, de diamètre de 3 476 km. La distance moyenne entre la Lune et la Terre est de 384 403 km, mais sa face visible nous est toujours la même. Vue de la Terre, la taille apparente de la Lune est presque exactement identique à celle du Soleil.

Son origine reste mystérieuse. L’hypothèse la mieux acceptée est celle de l’impact géant : une collision entre la jeune Terre et un objet de la taille de Mars aurait éjecté de la matière autour de la Terre, qui aurait fini par former la Lune, il y a 4,526 milliards d'années.

Le premier atterrissage humain eut lieu le 20 juillet 1969, en pleine guerre froide. Le premier astronaute à poser le pied sur la Lune fut Neil Armstrong, le capitaine de la mission Apollo 11. Mais Jules Verne, Georges Méliès et Hergé l’y avaient précédé en fiction.

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mai 2007 juin 2007
Vue d'artiste de Gliese 581 c
Vue d'artiste de Gliese 581 c

En astronomie, les exoplanètes ou planètes extrasolaires sont les planètes orbitant autour d'une étoile autre que la nôtre (le Soleil). La première exoplanète fut découverte le 6 octobre 1995 par Michel Mayor et Didier Queloz (de l'observatoire de Genève). Depuis lors, plus de 200 planètes ont été détectées, dont Gliese 581 c, le 25 avril 2007, une exoplanète qui se situe dans la zone habitable et qui pourrait être une exoterre. La recherche des exoplanètes fait appel à plusieurs méthodes de détections des exoplanètes. La majorité de ces méthodes sont à l'heure actuelle indirectes, puisque la proximité de ces planètes avec leur soleil est si grande que leur lumière est complètement noyée dans celle de l'étoile.


En astronomie, les exoplanètes ou planètes extrasolaires sont les planètes orbitant autour d'une étoile autre que la nôtre (le Soleil).

La première exoplanète fut découverte le 6 octobre 1995 par Michel Mayor et Didier Queloz (de l'observatoire de Genève). Depuis lors, plus de 200 planètes ont été détectées, dont Gliese 581 c, le 25 avril 2007, une exoplanète qui se situe dans la zone habitable et qui pourrait être une exoterre. La recherche des exoplanètes fait appel à plusieurs méthodes de détections des exoplanètes. La majorité de ces méthodes sont à l'heure actuelle indirectes, puisque la proximité de ces planètes avec leur soleil est si grande que leur lumière est complètement noyée dans celle de l'étoile.

juillet 2007 août 2007
L’astroblème de Rochechouart-Chassenon (entre la Haute-Vienne et la Charente, France), aussi surnommé la météorite de Rochechouart, est la conséquence de l'impact d'un astéroïde tombé sur Terre il y a environ 214 millions d'années.

Cet astéroïde d'un kilomètre et demi de diamètre a percuté la Terre à une vitesse d'environ 20 kilomètres par seconde, sur le lieu-dit de La Judie, dans la commune de Pressignac en Charente. Il laisse un cratère d'au moins 21 kilomètres de diamètre, ravage tout à plus de 100 kilomètres à la ronde (des éjectas retombent à plus de 450 kilomètres du point d'impact), et modifie les roches du sous-sol sur plus de 5 kilomètres de profondeur.

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Vue d'artiste de l'insertion de la sonde Cassini-Huygens dans l'orbite de Saturne.
Vue d'artiste de l'insertion de la sonde Cassini-Huygens dans l'orbite de Saturne.

Cassini-Huygens est une mission d'exploration spatiale de la planète Saturne et ses lunes par une sonde spatiale développée par l'agence spatiale américaine de la NASA avec des participations importantes de l'Agence spatiale européenne (ESA) et de l'Agence spatiale italienne (ASI). Lancé en octobre 1997 l'engin s'est placé en orbite autour de Saturne en 2004. En 2005 l'atterrisseur européen Huygens après s'être détaché de la sonde mère s'est posé à la surface de la lune Titan et a pu retransmettre des informations collectées durant la descente et après son atterrissage. L'orbiteur Cassini orbite depuis autour de Saturne et poursuit l'étude scientifique de la planète géante en profitant de ses passages à faible distance de ses satellites pour collecter des données détaillées sur ceux-ci. La mission d'une durée initiale de 4 ans a été prolongée à deux reprises  : de 2008 à 2010 (Equinox mission) et de 2010 à 2017 (Solstice Mission). Il est prévu que la sonde spatiale s'écrase sur la planète Saturne à l'issue de cette dernière phase.

Le principe d'une mission d'étude du système de Saturne émerge en 1982 à la fois dans les communautés scientifiques américaine et européenne. Après avoir travaillé sur des projets séparés, la NASA et l'Agence spatiale européenne lancent à la fin des années 1980 le développement d'une mission conjointe : la NASA développe l'orbiteur et l'ESA l'atterrisseur qui doit se poser sur Titan. Le projet frôle à plusieurs reprises l'annulation à la suite des difficultés budgétaires de la NASA. Des mouvements écologistes tentent d'interdire le lancement de la sonde spatiale à cause du plutonium embarqué pour alimenter en énergie la sonde spatiale. Finalement la sonde spatiale est lancée le 15 octobre 1997 par un lanceur lourd Titan IV-B.

Cassini-Huygens est une mission particulièrement ambitieuse et couteuse (3,26 milliards $) rattachée à ce titre au programme Flagship de la NASA. Avec une masse totale de 5,6 tonnes (dont 3,1 tonnes de carburant et 350 kg pour l'atterrisseur Huygens) il s'agit du plus gros engin spatial lancé vers les planètes externes. L'orbiteur Cassini embarque 12 instruments scientifiques dont un radar tandis que Huygens en emporte six. Cassini est stabilisé trois axes et son énergie est fournie par trois générateurs thermoélectriques à radioisotope utilisant du plutonium.

La mission Cassini-Huygens a rempli tous ses objectifs scientifiques en fournissant une moisson de données sur Saturne, sa magnétosphère, ses anneaux, Titan et les autres lunes de la planète géante. Les caméras de l'orbiteur ont également fourni certaines des plus belles images du système solaire. Cassini a notamment permis d'obtenir les premières images détaillées de Phœbé, d'analyser en détail la structure des anneaux de Saturne, d'étudier Titan de manière approfondie et de découvrir une dizaine de nouvelles lunes de Saturne de petite taille (moins de 10 km), portant le nombre total de satellites saturniens à 62 (nombre connu au 1er mai 2012). La sonde a permis également de découvrir de nouveaux anneaux de Saturne.

septembre 2007 octobre 2007

L'étoile de Barnard est une étoile de la constellation d'Ophiuchus. Cette naine rouge de type M est principalement connue pour être l'étoile possédant le mouvement propre le plus important (10,3" par an). L'étoile est nommée en l'honneur de l'astronome Edward Emerson Barnard qui découvrit cette propriété en 1916. Située à une distance de 1,828 parsec (soit 5,96 années-lumière), c'est la cinquième étoile la plus proche de la Terre après le Soleil et les trois composantes d'Alpha Centauri. L'étoile est cependant invisible à l'œil nu en raison de sa faible luminosité.

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En astronomie, les Objets Herbig-Haro (ou objets HH) sont de petites nébulosités associées à certaines très jeunes étoiles, et qui se forment lorsque de la matière éjectée par ces étoiles naissantes entre en collision avec les nuages de gaz et de poussières environnant, à des vitesses de plusieurs centaines de kilomètres par seconde. Les objets Herbig-Haro sont omniprésents dans les régions de formation stellaire, et bien souvent il est possible d'en observer plusieurs autour d'une même étoile, alignés le long de son axe de rotation.

Ces objets sont des phénomènes éphémères, ayant une durée de vie de quelques milliers d'années tout au plus. Il est possible de les voir évoluer sur une période de temps relativement courte, alors qu'ils s'éloignent de l'étoile dont ils sont issus à travers les nuages de gaz interstellaire. Les observations du télescope spatial Hubble montrent des évolutions complexes en quelques années seulement, certaines parties s'affaiblissant tandis que d'autres s'illuminent, suivant la densité du milieu rencontré.

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novembre 2007 décembre 2007
En astronomie, les Objets Herbig-Haro (ou objets HH) sont de petites nébulosités associées à certaines très jeunes étoiles, et qui se forment lorsque de la matière éjectée par ces étoiles naissantes entre en collision avec les nuages de gaz et de poussières environnant, à des vitesses de plusieurs centaines de kilomètres par seconde. Les objets Herbig-Haro sont omniprésents dans les régions de formation stellaire, et bien souvent il est possible d'en observer plusieurs autour d'une même étoile, alignés le long de son axe de rotation.

Ces objets sont des phénomènes éphémères, ayant une durée de vie de quelques milliers d'années tout au plus. Il est possible de les voir évoluer sur une période de temps relativement courte, alors qu'ils s'éloignent de l'étoile dont ils sont issus à travers les nuages de gaz interstellaire. Les observations du télescope spatial Hubble montrent des évolutions complexes en quelques années seulement, certaines parties s'affaiblissant tandis que d'autres s'illuminent, suivant la densité du milieu rencontré.

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Mercure est la première planète du système solaire en partant du Soleil et la huitième en taille. Comme la Terre, elle est de type tellurique. Elle doit son nom au dieu Mercure, avatar romain du Hermès grec.

Connue depuis l’Antiquité — la première civilisation à en avoir laissé des traces écrites est Sumer (IIIe millénaire av. J.-C.) —, Mercure reste une planète mystérieuse puisque seulement 40–45 % de sa surface est connue.

Le symbole astronomique de Mercure est un cercle posé sur une croix et portant un demi-cercle en forme de cornes (☿), représentation du caducée.