Louis Cyrus Macaire

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Louis Cyrus Macaire
Biographie
Naissance
Décès
Autres noms
L.-M. Cyrus, Dr Cyrus, Cyrus Macaire
Nationalité
Domiciles
Saint-Laurent-en-Caux (à partir de ), Madison (), Montréal (à partir de ), Le Havre (-), ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Enfant

Louis Cyrus Macaire né le à Saint-Laurent-en-Caux et mort le à Paris est un photographe français.

Il a travaillé avec deux de ses frères, Hippolyte Macaire et Jean Victor Warnod, et est le père de Sophie Macaire.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Louis Cyrus[Note 1] Macaire naît en 1807, à Saint-Laurent-en-Caux, fils de Marie Laurent Macaire, employé de la Régie des droits réunis, et de son épouse Anne Françoise Sophie Chapuy, établis à Doudeville[1]. Il a un frère aîné, Hippolyte François, et un cadet, Jean Victor, respectivement nés à Paris en 1804[2] et 1812[3]. En 1813, ses parents sont installés à Maastricht, où ils déclarent le décès d'un enfant né sans vie[4]. Vers 1816, ils sont de retour à Paris, où voit le jour leur fils Henri Félix[5].

Devenu artiste peintre[Note 2] et installé 6, quai Pelletier à Paris, Louis Cyrus Macaire épouse en 1836 Marie Éléonore Enselme Martin à Paris[6],[7]. Leur fille Sophie Laurence Marthe Macaire naît en 1841 dans l'État du Mississippi[8],[Note 3].

Carrière[modifier | modifier le code]

Émigration et débuts en photographie[modifier | modifier le code]

Dès 1839 — année de la présentation au public du daguerréotype par son inventeur Louis Daguerre — Louis Cyrus Macaire s'intéresse à la technique photographique qu'il cherche à améliorer en utilisant du brome[9],[10]. L'année suivante, il émigre aux États-Unis avec sa femme pour faire fortune[11]. Il est recensé à Madison, en Alabama[12], puis voyage en 1841 comme photographe itinérant à travers les États du Sud[13]. C'est ainsi que sa fille Sophie naît au Mississippi.

Macaire s'est fabriqué un appareil rudimentaire — une chambre obscure faite dans une boîte à cigares, munie d'une verre de lunettes en guise d'objectif — dont il se sert pour proposer des portraits à de riches Blancs[14]. Mais ces derniers lui abandonnent souvent les photographies, trop sombres car sous-exposées, dont ils se plaignent qu’elles les font « ressembler à des Noirs »[15]. Macaire, bien décidé à récupérer son argent, se met alors à vendre ces images aux esclaves de ses clients, dont la faible image de soi fait qu'ils croient se reconnaître dans les portraits de leurs maîtres.

En 1843, Macaire s’établit à Montréal. Dans une publicité qu'il fait paraître dans le journal montréalais La Minerve, il propose ses services sous le nom du Dr L. M. Cyrus, « inventeur du procédé pour obtenir les portraits au daguerréotype avec toutes les couleurs naturelles »[16]. Il continue d'apporter des améliorations techniques au procédé : il diminue le temps de pose à « une ou deux secondes »[17], fixe des images sur une glace en utilisant du collodion ou parvient à photographier à la lumière de la lune[10]. Mais son affaire commerciale est mise en banqueroute en 1847[18]. Par ailleurs, l'hôtel « de première classe » qu'il avait ouvert sur la place Jacques-Cartier est incendié en 1849[19],[20]. Macaire poursuit néanmoins ses expérimentations, obtenant des épreuves sur divers supports (tôle, carton, toile) et dépose un premier brevet en lien avec la photographie. Après être recensé comme daguerréotypiste à Broadway en 1851[21], il rentre en France.

Les frères Macaire[modifier | modifier le code]

Louis Cyrus Macaire et Jean Victor Warnod, [Navire quittant le port du Havre], 1851, daguerréotype, Paris, Bibliothèque nationale de France.

Associé avec deux de ses frères, Hippolyte Macaire et Jean Victor Macaire dit Warnod[Note 4], il ouvre un atelier de daguerréotypie, au Havre, sur la jetée[23]. Leurs vues maritimes suscitent l'admiration, au point que l’Académie des sciences en fait état lors de sa séance du , mais les Macaire-Warnod ne livrent rien de leurs secrets de fabrication[24]. Ils sont probablement les premiers photographes à immortaliser le mouvement des vagues[25]. Le rôle précis tenu par chacun d'eux est mal connu et dans le journal La Lumière, Francis Wey attribue à Hippolyte Macaire seul la beauté « des ciels, des flots, des feux avec leurs flammes, des effets de soleil et des réflexions miroitantes sur les eaux de l'Océan »[26]. Mais Hippolyte meurt prématurément en avril 1852[2].

Louis Cyrus Macaire et Jean Victor Warnod poursuivent ensemble leur activité au Havre, où ils présentent durant l'été un « navire daguerréotype » lors de l'exposition de la Société des amis des arts[23]. En novembre, ils déploient leur activité à Paris, ouvrant une société en commandite par actions « ayant pour objet la création d'un établissement pour l'exploitation des produits de toute nature, du daguerréotype, de la photographie, de la galvanoplastie etc., sous la raison sociale Société Macaire et Warnod et Cie »[27]. L’établissement est situé 3 rue Laffitte, non loin du boulevard des Italiens. Bénéficiant du soutien du peintre de marine Théodore Gudin, les deux frères sont commissionnés en 1853 par l'État pour réaliser trente vues de « mer agitée, de ciels, de navires en marche »[28],[29]. En 1854, Macaire dépose un nouveau brevet, pour un « instrument de photographie ».

Le Musée central de la photographie[modifier | modifier le code]

En février 1855, Louis Cyrus Macaire propose à l'État la création d'une section photographie : dans une note du adressée au ministère d'État, il explique qu'elle aurait pour fonction de « rassembler tout ce que la photographie a pu ou pourra produire d'utile et de remarquable, et notamment tous les faits d'actualité dont, au moyen des procédés d'instantanéité, elle aura pu fixer l'irrécusable souvenir »[30]. Parallèlement, Macaire et Cie — le nouveau nom de sa société — a ouvert un nouvel établissement à Paris, baptisé Musée central de la photographie, sous la forme d'une société par actions[31]. Installé 16 passage Jouffroy, un passage couvert débouchant sur les grands boulevards, on y propose en particulier des portraits de grand format, dont la qualité est saluée par la presse[32],[33]. Les deux frères exposent leurs travaux dans plusieurs manifestations, en particulier outre-Manche[23].

Mais à partir de 1857, Louis Cyrus Macaire doit faire face à une série de déboires : en avril, la société en commandite qu'il a fondée en 1852 est placée en liquidation[34], entraînant en juin la vente du fonds du Musée central de la photographie[35]. La mise à prix initiale de 30 000 francs est réduite à 10 000, puis à 4 000 francs[36]. L'affaire est reprise par la société D'Artois et Cie[37], mais en janvier 1858, un violent incendie détruit entièrement les locaux[38]. En mars, au Havre, un chalet construit l'année précédente sur la jetée du nord, qui servait à la fois de logement et d'atelier à Macaire, est à son tour ravagé par le feu, et la domestique, enfermée seule sur les lieux au moment du sinistre, ne doit son salut qu'à l'intervention de Pierre Onésime Durécu, maître-hâleur du port[39],[40],[41]. Toutes les collections d'appareils photographiques et de daguerréotypes de Macaire sont détruites. Bien que l'atelier du passage Jouffroy ne soit plus géré par le photographe, plusieurs journaux font le lien entre les deux incendies[42],[43]. Sa faillite est annoncée le 20 octobre[44].

Dernières années[modifier | modifier le code]

En 1860, Louis Cyrus Macaire dépose en Grande-Bretagne un brevet pour un « substitut au nitrate d'argent »[45]. Sa fille Sophie Macaire, devenue artiste lyrique[Note 5] et résidant à Paris, le dépose en France sous le nom d'« encre photographique ». Par ailleurs, elle ouvre, avec Rosalie Gabrielle Audois, employée de commerce, une société « pour la fabrication par un procédé breveté, et la vente de bains photographiques sous la dénomination d'Encres photographiques ». Mais la société est déclarée nulle peu après[47]. De son côté, Jean Victor Warnod ouvre en 1861 avec le photographe Angelo Caccia un atelier photographique au Havre[48].

Deux ans plus tard, Sophie Macaire s'associe cette fois avec Eugène Alphonse Perrette et un associé anonyme[Note 6], pour exploiter un atelier de photographie, au 53 rue de La Rochefoucauld[49]. En avril 1864, un procès-verbal de défaut est dressé contre Perrette à la requête de Louis Cyrus Macaire, pour procéder à « l'adjudication de son fonds de photographie »[50].

En décembre 1868, Macaire lance Le Rayon bleu, un mensuel consacré à la photographie, emprunt d'ésotérisme[51]. Dix numéros paraissent, dans lesquels il signe ses articles « L.-M. Cyrus ». La parution du périodique est interrompue par sa mort.

Louis Cyrus Macaire meurt le en son domicile du 125 rue Montmartre[52], en raison d'un problème cardiaque[51]. Survenue pendant la Commune de Paris, sa mort n'est déclarée officiellement que quatre mois plus tard, par son frère Henri Félix[Note 7].

Jean Victor Warnod meurt probablement en 1892[53]. Sophie Macaire meurt en 1918, à son domicile parisien du 29, rue Mirabeau[8].

Photographies[modifier | modifier le code]

Gravure d'Elizabeth Barrett Browning d'après un daguerréotype de Macaire.
Elizabeth Barrett Browning, gravure de Thomas Oldham Barlow d'après un ambrotype de Macaire réalisé le au Havre[54].

Publications[modifier | modifier le code]

Brevets[modifier | modifier le code]

  • Brevet d'invention de quinze ans pour une planchette à règle mobile à l'usage des dessinateurs, dépôt du (INPI, cote 1BB1549).
  • Brevet d'invention de quinze ans pour un polissoir électro-magnétique appliqué au daguerréotype, dépôt du (INPI, cote 1BB10349).
  • Brevet d'invention de quinze ans pour un instrument de photographie, dépôt du (INPI, cote 1BB20864).
  • Brevet d'invention de quinze ans pour des perfectionnements aux instruments de photographie, (INPI, cote 1BB31369).
  • (déposé au nom de Sophie Macaire) Brevet d'invention de quinze ans pour une encre photographique, (INPI, cote 1BB45444).
  • Patent for an invention for a substitute for nitrate of silver particularly applicable to photographic purposes, [45].

Divers[modifier | modifier le code]

  • Note à l'appui de la demande en indemnité, adressée par Cyrus Macaire au gouvernement de S. M. la Reine d'Angleterre, Paris : impr. Aubusson et Kugelmann, [1853][60].
  • Note relative à la création d'une section de photographie au ministère d'État, .
  • Le Rayon bleu, périodique, Paris, no 1, 1868 - no 10, 1871.

Expositions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La mention de ce second prénom, Cyrus, a été rajoutée dans le corps de son acte de naissance.
  2. Selon son acte de mariage.
  3. Son acte de décès indique qu'elle est née à « Mississippi Spring », ce qui ne correspond à aucune commune actuelle.
  4. Par une ordonnance de 1847, Jean Victor Macaire a été autorisé à adopter le patronyme de Louise Amélie Warnod, la femme qu'il a épousée à Paris en 1843[22].
  5. Son nom n'apparaissant pas dans la presse, il est possible qu'elle ait utilisé un pseudonyme. C'est peut-être elle qui est présentée comme « Cyrus-Macaire, chanteuse légère » en 1862[46].
  6. Il est possible qu'il s'agisse de Macaire lui-même.
  7. Probablement à cause des incendies, en mai 1871, de l'état civil parisien, situé dans une annexe de l'hôtel de ville au 4, avenue Victoria.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Acte de naissance, , Saint-Laurent-en-Caux, Archives départementales de la Seine-Maritime [lire en ligne]
  2. a et b Acte de décès no 274, , Le Havre, Archives départementales de la Seine-Maritime
  3. Fiche de naissance, état civil reconstitué de l'ancien 10e arrondissement de Paris, , Archives de Paris
  4. Acte de décès d'un enfant né sans vie le , no 243, , Maastricht, Burgerlijke Stand in Limburg [lire en ligne]
  5. Acte de décès no 164, , Neuilly-sur-Marne, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis (note : il a 62 ans à sa mort)
  6. Fiche de mariage Macaire-Martin, paroisse Saint-Merry, état civil reconstitué de Paris, , Archives de Paris
  7. Reconstitution des actes de l'été civil : dossier du mariage Macaire-Martin du (rétabli le ), ancien 7e arrondissement de Paris, Archives de Paris, 5Mi1 2088 (vues 22 à 27/51)
  8. a et b Acte de décès no 354, , Paris 16e, Archives de Paris
  9. « Variétés. Paris sur les toits (Le savant dont nous allons entretenir le lecteur…) », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF, Le Siècle, (consulté le ), p. 3
  10. a et b Théophile Gautier, Revue de Paris, Aux bureaux de la Revue de Paris, (lire en ligne), p. 150
  11. Helmut Gernsheim et Alison Gernsheim, The History of Photography from the Camera Obscura to the Beginning of the Modern Era, New York, McGraw-Hill, (lire en ligne), p. 126
  12. United States Census, 1840, Alabama, Madison, South Half (vue 26/81), FamilySearch
  13. A History of Photography : Social and Cultural Perspectives, Cambridge [Cambridgeshire] ; New York, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-34407-4, lire en ligne), p. 29
  14. Francis Wey, « Comment le soleil est devenu peintre », sur Issuu, Musée des familles, juin 1853, vol. xx (consulté le ), p. 291
  15. Laurie Robertson-Lorant, Melville : a biography, New York : Clarkson Potter/Publishers, (ISBN 978-0-517-59314-1, lire en ligne), p. 347
  16. « Daguerréotype », sur numerique.banq.qc.ca, La Minerve, (consulté le ), p. 2
  17. « Portraits par le daguerréotype », sur numerique.banq.qc.ca, La Minerve, (consulté le ), p. 1
  18. « En banqueroute », sur numerique.banq.qc.ca, La Minerve, (consulté le ), p. 3
  19. Robert Walter Stuart Mackay, The Montreal Directory [microform] : new edition, corrected in May, 1849, Montreal, Lovell and Gibson, (ISBN 978-0-665-38392-2, lire en ligne), p. 297
  20. « Nous extrayons du journal des Débats de Paris... », sur numerique.banq.qc.ca, La Minerve, (consulté le ), p. 2
  21. John Doggett, Broadway in 1851, New York, [s.n.], (lire en ligne), p. 15
  22. Dictionnaire des familles qui ont fait modifier leurs noms, depuis 1803 jusqu'en 1865, contenant les noms, prénoms, professions et lieux de naissance de chaque individu cité, (lire en ligne), p. 116
  23. a b c d et e Dominique Rouet, « Photographier Le Havre en 1856. Macaire, Warnod, Le Gray », in Revue culturelle du Havre, , no 7, p. 32-51 [lire en ligne]
  24. Académie des sciences, « MM. Macaire frères adressent, du Havre… », sur Gallica, Compte rendu des séances de l'Académie des sciences. Séance du lundi 13 octobre 1851 (consulté le ), p. 402
  25. (en) The J. Paul Getty Museum, Looking at the Landscapes Courbet and Modernism, Getty Publications, (lire en ligne), p. 39
  26. Francis Wey, « Des progrès et de l'avenir de la photographie », sur Gallica, La Lumière, (consulté le ), p. 138-139
  27. « Création d'une société en commandite par actions entre Louis Cyrus Macaire et Jean Victor Warnod […] », Archives nationales (cote MC/ET/CIX/1106), Minutes et répertoires du notaire Edmond BAUDIER, 31 mai 1842 - 14 décembre 1859 (étude CIX), sur FranceArchives (consulté le )
  28. Dossier d'acquisition de daguerréotypes de marines à Macaire et Warnod, février 1853-janvier 1856, Archives nationales (cote F21 112), cité dans The J. Paul Getty Museum, Looking at the Landscapes Courbet and Modernism, Getty Publications, 2007 (lire en ligne), p.  44 [lire en ligne]
  29. « Dossier 37 : Marines ; Paysages ; Scènes d'intérieur », sur www2.culture.gouv.fr, Archives nationales (consulté le ), cote F/21/112
  30. Louis Cyrus Macaire, « Note relative à la création d'une section de photographie au ministère d'État », , cité dans André Rouillé, La Photographie en France, textes & controverses, Paris, Macula, 1989, p. 332
  31. « Avis (MM. Cyrus Macaire et Cie…) », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF, La Presse, (consulté le ), p. 3
  32. Lord Wigmore, « Mouvement d'expansion des esprits », sur Gallica, L'Abeille impériale, (consulté le ), p. 7
  33. A. de Bragelonne, « Musée central de la photographie (passage Jouffroy) », Le Moniteur de la mode,‎ , p. 118-119 (lire en ligne)
  34. « Sociétés commerciales et industrielles. 4460 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF, Le Droit, (consulté le ), p. 4
  35. « Cahier des charges pour la vente d'un fonds de photographie désigné sous la raison sociale, Musée Central de la Photographie […] », Archives nationales (cote MC/ET/CIX/1131), Minutes et répertoires du notaire Edmond BAUDIER, 31 mai 1842 - 14 décembre 1859 (étude CIX), sur FranceArchives (consulté le ).
  36. « Cahier des charges pour la vente du droit à la location des lieux occupés par le fonds de photographie désigné sous la raison sociale, Musée Central de la Photographie, situé 16 […] », Archives nationales (MC/ET/CIX/1131), Minutes et répertoires du notaire Edmond BAUDIER, 31 mai 1842 - 14 décembre 1859 (étude CIX), sur FranceArchives (consulté le ).
  37. « Répertoire de renseignements. Sociétés par actions. Formations », sur Gallica, Gazette de l'industrie et du commerce, (consulté le ), p. 6.
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  40. La Gavinie, « Chronique (Le Journal du Havre annonce…) », sur Gallica, La Lumière, (consulté le ), p. 47 col. 3.
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  44. Jean-Jacques Henry (préf. Yves Leroy), Photographie, les débuts en Normandie, Le Havre, Maison de la culture du Havre, , 104 p. (ISBN 2-904836-23-3), p. 58.
  45. a et b (en) Great Britain Patent Office, Chronological Index of Patents Applied for and Patents Granted, G.E. Eyre and W. Spottiswoode, (lire en ligne), p. 119.
  46. « Bulletin de l'Agence centrale de l'Europe artiste (Parmi les artistes nouvellement inscrits dans nos bureaux...) », sur Gallica, L'Europe artiste, (consulté le ), p. 4
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  48. « Warnod et Caccia. Le Havre, Seine-Maritime », sur data.bnf.fr (consulté le )
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  64. « Exhibit: Sea and Sky », sur peib.dmu.ac.uk (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Jacques Henry (préf. Yves Leroy), Photographie, les débuts en Normandie, Le Havre, Maison de la culture du Havre, , 104 p. (ISBN 2-904836-23-3, lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]