Kalymnos

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Kalymnos
Κάλυμνος (el)
Póthia, le port principal de Kálymnos
Póthia, le port principal de Kálymnos
Géographie
Pays Drapeau de la Grèce Grèce
Archipel Dodécanèse
Localisation Mer Égée (mer Méditerranée)
Coordonnées 36° 59′ 00″ N, 26° 59′ 00″ E
Superficie 109,67 km2
Géologie Île continentale
Administration
Périphérie Égée-Méridionale
District régional Kalymnos
Dème Kalymnos
Démographie
Population 16 576 hab. (2001)
Densité 151,14 hab./km2
Gentilé Kalymniote
Plus grande ville Póthia
Autres informations
Fuseau horaire UTC+2
Site officiel http://www.kalymnos-isl.gr
Géolocalisation sur la carte : Grèce
(Voir situation sur carte : Grèce)
Kalymnos
Kalymnos
Îles en Grèce

Kalymnos ou Calymnos (grec moderne : Κάλυμνος) est une île montagneuse de l'archipel du Dodécanèse dans la mer Égée. Elle se trouve à 12 km au nord de l'île de Kos, à 2 km au sud de Leros et près de la Turquie au niveau de la péninsule de Bodrum. Cette île gréco-romano-byzantine de l'Antiquité au XIVe siècle passa ensuite aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, aux Turcs ottomans au XVIe siècle et aux Italiens en 1911, avant de rejoindre la Grèce en 1947. Elle est principalement connue pour son activité de pêche aux éponges naturelles et depuis quelques années voit sa notoriété s'accroitre dans le domaine des sports d'escalade.

Les Kalymniotes sont les habitants de Kalymnos, Càlino en italien, Kilimli ou Kelemez en turc[1]. L'étymologie du nom est incertaine et discutée : de ϰαλυννος - kalynnos « couverte » (de maquis initialement), de ϰαλιμνημος - kalimnêmos « bonne nôtre » ou « bon souvenir », ou encore du phénicien karinan « carienne »[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Kalymnos est une île de 109,67 km2 (21 km de long par 13 km de large), la quatrième du Dodécanèse par sa taille, d'une forme géographique étonnamment similaire à la Grande-Bretagne (ou comparable à celle d'un scorpion). C'est une île calcaire, mais elle possède au centre une vallée composée de tuf, vestige d'un ancien volcan. La cime la plus haute est Panaghia Kyrapsili avec sa chapelle à 608 mètres d'altitude.

L'île et ses environs sont fréquemment secoués de tremblements de terre de moyenne amplitude. Toutefois en l'an 554, un tremblement de terre majeur provoqua un glissement de terrain qui sépara quatre îlots de l'île principale : ce sont Telendos à environ 800 m du rivage, Psérimos, Pláti Psérimou et Kalólimnos[3].

Les routes de cette petite île sont étroites, bordées de bosquets de pins et de beaucoup de lauriers-roses. Les maisons sont généralement blanches (pour éviter au maximum la chaleur).

En 2001, la population de l'île est estimée à 16 576 habitants. La ville principale de Kalymnos est Pothia, qui constitue également le port de l'île. Les quartiers portent le nom du saint auquel leur paroisse est consacrée. On y trouve une multitude de petits cafés et restaurants typiquement kalymniotes. Il n'y a pas beaucoup de plages à Kalymnos, les plus connues se trouvant à Myrties et Massouri. Les principales villes et villages de Kalymnos sont Pothia (10 149 habitants), Horio (3 311 habitants), Panormos (1 412 habitants), Emporio, Skalia, Arginonta, Massouri, Myrties (203 hab.), Melitsacha, Vathi (577 hab.) et Stymenia. Telendos, situé face à Kalymnos, abrite une jolie plage et plusieurs petits restaurants grecs.

L'union de l'île à la Grèce a été ratifiée le .

Histoire[modifier | modifier le code]

Kalymnos était habitée dans les temps archaïques par les Cariens. Elle est citée dans le Catalogue des vaisseaux dans Iliade d'Homère, sous le nom d'« îles Calydnes[4] », au deuxième chant (676-680) comme apportant avec Kos, Nissiros, Kassos, et Karpathos, trente vaisseaux sous le commandement de Phidippe et Antiphos à l'armée des Argiens menée par Agamemnon et Achille.

Indépendante de l'époque archaïque au début de la période classique, elle passa sous la domination des Perses puis rejoint la ligue de Délos au Ve siècle av. J.-C. Au cours de la période hellénistique, Kalymnos passa sous le contrôle de Ptolémée Ier d'Égypte. La grotte des Nymphes était un lieu de culte dans l'Antiquité. L'île fut l'une des premières au début IIe siècle à se convertir au christianisme en raison de la proximité de PatmosJean l'Évangéliste séjourna.

Après la longue période byzantine, elle fut durant le XIIIe siècle utilisée comme base navale par les Vénitiens. En 1310, elle devint possession des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui construisirent un important château, puis fut souvent attaquée par les Ottomans (notamment en 1457 et 1460) avant d'être conquise par eux en 1522. Contrairement à ce qui s'est passé à Rhodes et Kos, il n'y eut pas de colonisation turque dans l'île qui resta intégralement grecque mais sous domination ottomane pendant quatre siècles, jusqu'au début du XXe siècle.

Le , lors de la guerre italo-turque, Kalymnos fut occupée par les marins de la Regia Marina : l'Italie prit le contrôle de l'île et du Dodécanèse jusqu'en 1943. Cette période de colonisation italienne fut marquée à Kalymnos, et d'une certaine manière dans tout le Dodécanèse, par le tracé des routes qui demeurent jusqu'à nos jours ainsi que par l'assimilation dans la cuisine locale de plats italiens comme la makaronada qui se décline aux légumes, aux fruits de mer, au fromage ou à la viande.

La chute de l'Italie mussolinienne en 1943 poussa les Allemands à entreprendre la campagne du Dodécanèse en  ; victorieux à la bataille de Cos, ils occupèrent tout le Dodécanèse jusqu'à l'armistice de . À cette date, Kalymnos passa durant deux ans sous protectorat britannique puis rejoint la Grèce en 1947, en même temps que le reste du Dodécanèse[5].

Un sérieux incident, en 1996, faillit provoquer un affrontement militaire entre la Grèce et la Turquie à propos de deux minuscules îlots rocheux et déserts, nommés Imia, légalement rattachés à Kalymnos mais que la Turquie revendique depuis 1986 (les cartes maritimes turques d'avant cette date reconnaissent le tracé de la frontière gréco-turque à mi-distance entre Ímia et la côte turque[6]) et qu'elle finit par occuper militairement. Le désaccord fut réglé l'année suivante en respect de la Convention de Montego Bay, établissant la souveraineté grecque, et les Turcs durent évacuer les îlots... tout en continuant à contester la souveraineté grecque dans le média, ce qui entretient un ressentiment anti-turc kalymniote, malgré le rapprochement des deux pays depuis 2000, à la suite du tremblement de terre dévastateur en Turquie du qui fit 17 000 morts.

Kalymnos est une île qui fut longtemps relativement pauvre, ce qui entraîna une forte émigration de sa population au cours du XXe siècle. Des familles kalymniotes de marins, pêcheurs, ouvriers ou scaphandriers collecteurs d'éponges sont parties pour la France, en Camargue (à Salin-de-Giraud et à Port-Saint-Louis-du-Rhône)[7], ainsi qu'aux États-Unis et en Australie, notamment à Tarpon Springs en Floride[5] et à Darwin dans le Territoire du Nord de l'Australie.

Administration[modifier | modifier le code]

Administrativement Kalymnos a, un temps, été soumise à l'île voisine de Kos, en conservant une certaine autonomie. Mais elle a aussi fait partie d'une confédération qui lui a permis d'assurer sa défense.

Dépendant administrativement du district régional de Kalymnos (district régional), la municipalité comprend également les îles de Psérimos, Telendos, Kalólimnos et Pláti Psérimou.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville de Kalymnos est jumelée avec celle d'Arles en France depuis 2004.

Économie[modifier | modifier le code]

Des Éponges Naturelles de Kalymnos.

Pêche aux éponges[modifier | modifier le code]

La pêche aux éponges semble pratiquée par les Grecs depuis plus de trois millénaires, si l'on en croit des passages des œuvres d'Homère remontant au IXe siècle av. J.-C.[8]. Avec l'invention du scaphandre à casque au XIXe siècle, cette pêche, en fait une cueillette sous-marine, est devenue à Kalymnos une partie importante de l'économie de l'île, qui devient le premier centre de production de l'ensemble de la mer Égée sous l'administration ottomane. L'exploitation des éponges était la propriété des grandes familles de l'île, qui avaient pu acheter bateaux et scaphandres, et possédaient le monopole du commerce[9]. De nos jours, cette activité demeure, mais en scaphandre autonome, les cueilleurs allant récolter les éponges jusqu'au large des côtes de la Tunisie. Elle est de plus en plus réglementée en raison d'une part de la raréfaction de la ressource, et d'autre part des accidents provoqués par les cadences des scaphandriers et le non-respect des tables de décompression. Le traitement de la récolte se réalise toujours sur l'île. L'île compte deux musées de l'éponge, l'un situé à Pothia et l'autre à Vlychadia à l'est de l'île.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Le port et la vallée de Vathi

L'autre activité de l'île est celle des cultures maraîchères (la surface cultivable de Kalymnos ne représentant que 18 % de la surface totale), principalement dans la vallée de Vathi, fameuse pour ses cultures de citrons et d'agrumes. L'apiculture est également une ressource traditionnelle de l'île, principalement avec la production de miel de thym. Depuis quelques années se développe une activité de pisciculture près de Vathi et dans le nord de l'île près d'Emporio. Les tentatives de poriféroculture (élevage des éponges) n'ont pas encore abouti.

Sources thermales[modifier | modifier le code]

La source thermale, bains chauds aux eaux minérales (thermopighai) est recommandée pour les personnes souffrant de rhumatisme, néphrite (médecine)s névralgiques, troubles des glandes endocrines, de l'appareil digestif, de l'appareil urinaire.

Secteur tertiaire[modifier | modifier le code]

Ces dernières années le développement du tourisme est devenu une ressource essentielle de Kalymnos durant la période estivale, notamment depuis l'ouverture du petit aéroport reliant l'île à la capitale grecque, sans passer par Kos et le ferry. Au-delà du traditionnel modèle hélio-balnéaire, la création de deux petits festivals internationaux, l'un d'escalade, l'autre de plongée sous-marine, ont également participé de façon majeure au développement de ce secteur et à la renommée de l'île à l'étranger jusqu'à représenter plus d'un tiers de la fréquentation touristique de l'île[10].

Transports maritimes[modifier | modifier le code]

Des services réguliers desservent le Pirée, Rhodes, l'île de Kos, Léros...

Transports aériens[modifier | modifier le code]

L'aéroport, en construction depuis 15 ans, a été inauguré le . Des vols Athènes-Kalymnos sont prévus avec une escale à Astipalea.

L'aéroport d'Antimachis est le plus important. Il est intermodal avec le bateau reliant Kalymnos aux ports de Kos (Dodécanèse) et Pothia.

Tourisme et loisirs[modifier | modifier le code]

Escalade des falaises kalymniotes

Le tourisme, bien que présent, reste limité comparé à d'autres îles de la mer Égée et concerne surtout la période estivale. Des ferries relient Kalymnos à Athènes, Patmos, Rhodes et Kos. L'île est devenue plus fréquentée du fait d'écrivains en vogue ayant écrit à son sujet (Michel Déon, Céline Schmink[11], Katherine Ginsburg, etc.) et y résidant à l'année. De nombreux Anglais et Américains viennent passer leurs vacances à Kalymnos, ainsi que des vacanciers grecs vivant à l'étranger et qui retournent dans leur île d'origine pour les vacances et revoir leur famille. Kalymnos est une île dynamique, qui est animée les soirs d'été (grande variété de spectacles musicaux sur la place de l'église Christou dans le centre de Pothia, la célèbre discothèque du Club Loca à Masouri...). Le soir, tout le port est baigné de lumières nocturnes, et l'animation y est très vive.

Kalymnos est depuis quelques années également appréciée pour l'escalade de ses falaises, notamment près du village de Massouri où se situent la majorité des voies. En 2006 a été créé l'International Kalymnos Climbing Festival qui organise chaque année, avec le soutien de l'office de tourisme grec, une compétition regroupant environ 300 participants internationaux[12]. On compte maintenant 2 000 voies réparties sur 64 secteurs sur les îles de Kalymnos et Telendos. Le tourisme de l'île s'est donc reconverti à ce nouveau public et la saison touristique s'étend de début avril à fin novembre, voire après Noël.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Société kalymniote et les fêtes religieuses[modifier | modifier le code]

Kalymnos est avec Patmos l'une des îles de l'Égée où la vie religieuse est intense : ses vingt-une paroisses dépendent du patriarcat œcuménique de Constantinople et plus précisément de la Métropole de Léros, Kalymnos et Astypaléa. Comme dans de nombreuses îles, se trouvent quantité de monastères orthodoxes tels Agios Panteleimon, Agios Sabbas, Agia Katherina...

La coutume locale est parfois le tir de feu d'artifice ou de canon à blanc à l'arrivée des bateaux, cela peut effrayer mais c'est bon enfant. Cette tradition est particulièrement présente dans toute l'île au moment des fêtes de Pâques ou lors d'évènements importants.

Des fêtes religieuses se déroulent durant la saison estivale : la fête de St-Panteleimon le [13], la fête de Notre-Dame à Télentos le , la fête de la Croix de Néra[14] le .

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Le monastère de Tous-les-Saints,
  • Le monastère de Sainte-Catherine,
  • Le monastère de l'Assomption,
  • Le monastère de Routsos,
  • Le monastère de Saint-Panteleimon,
  • Le monastère de Notre-Dame de l'Annonciation.
  • A Khorion, l'église de Notre-Dame la Gracieuse ou des térébinthes, jadis cathédrale de Calymnos,
  • L'église de Christ-Sauveur,
  • L'église des saint-Apôtres,
  • L'église de la Croix,
  • L'église de Notre-Dame Kyrapsili,
  • L'église de Notre-Dame Keharitoméri de Chorio...

Patrimoine architectural civil[modifier | modifier le code]

  • Le château de Notre-Dame Chrysocheira,
  • Péra-Castro (le châtreau de l'autre côté),
  • L'hôtel de ville des Calymniens,
  • Le palais du Gouverneur,
  • La bibliothèque municipale,
  • La salle de lecture "Les Muses",
  • Les musées : Musée Folklorique et Archéologique, musée Nautique, musée de la Mer,
  • La maison traditionnelle de Kalymnos[15],
  • Les nombreuses et très belles statues qui agrémentent les différents quartiers de la ville sont dues aux artistes Michel Cokkinos et sa fille Irène.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Les recherches de paléoanthropologie ou paléontologie humaine, menées dans certaines grottes notamment par A.M. Maiuri, témoignent d'une vie humaine régulière sur l'île, datant du néolithique et de l'ère mycénien (grotte de Mandra ou Chiromandros et de Sainte Barbara).

  • La grotte de Képhala ou le Trou de Képhala,
  • La grotte des Sept Vierges ou la Retraite des Nymphes,
  • La grotte de Colonostilo,
  • La grotte de Skalion[16],
  • La grotte de Mandra ou Chiromandrès,
  • La grotte de Sainte-Barbara.

Personnalités liées à l'île[modifier | modifier le code]

  • Saint Sabas de Kalymnos, saint Patron de Kalymnos, mort sur l'île en 1948.
  • John Cannis, homme politique canadien né sur l'île en 1951.
  • Theo Mavrostomos, plongeur professionnel originaire de Kalymnos qui a atteint en caisson −701 m théorique de profondeur avec la Comex en 1992 soit la plus grande profondeur jamais atteinte par un être humain[17],[18].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. L.V. Bertarelli, Guida d'Italia, Vol. XVII, consociazione Turistica Italiana, Milano 1929.
  2. Søren Dietz et Ioannis Papachristodoulou, Archaeology in the Dodecanese, The National Museum of Denmark, Department of Near Eastern and Classical Antiquities, Copenhague, 1988.
  3. En l'an 554, un tremblement de terre sépara l'île en deux, et créa Telendos et trois petits îlots.
  4. Illiade, éditions Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 1955, p. 127.
  5. a et b (en) The Dodecanese, 13 or 14 places to unwind dans The New York Times du
  6. Carte hydrographique de la marine turque n° 2342 Ege Adalari - Türkiye-Yunanistan, Harta Genel Müdürlüğü, Ankara 1956
  7. Le peuple du sel (Une Grèce en Camargue) Documentaire de 52 min invitant à découvrir la vie, le territoire, la mémoire des Grecs de Camargue, enfants et petits-enfants de ces immigrés pauvres, venus de Kalymnos (une île du Dodécannèse célèbre pour ses pêcheurs d’éponges) ou d’ailleurs, débarqués à Salin-de-Giraud pour extraire et traiter « l’or blanc ».
  8. (en) Diving for Sponges Near Greek Island Flourishes Despite Hazards; Other Islands Lose Their Divers dans The New York Times du
  9. Le musée archéologique est situé à l'intérieur d'une très belle maison du XIXe siècle qui appartenait à la famille Boubàli. et (en) Sponge Fishing and the Sponge Trade sur le site officiel de Kalymnos
  10. Kalymnos : un paradis de l'escalade au pays des pêcheurs d'éponges : Ou comment l'escalade et les sports de pleine nature soutiennent l'activité touristique de l'île face aux difficultés rencontrées par le modèle hélio-balnéaire par Jean Scol dans Territoire en mouvement, 2006, no 3, pp. 21-41
  11. Biographie de Céline Schmink, Auteur-compositeur, chorégraphe et écrivaine française née à Montreuil-sous-Bois (93),
  12. (en) Kalymnos 4th Rock Climbing Festival: Overview sur le site officiel de Kalymnos
  13. Fêté le 27 juillet : Saint Grand Martyr et Guérisseur Panteleimon
  14. L'îlot de Néra avec son couvent
  15. Liste des musées à Kalymnos, Dodecanese
  16. Grotte de Skalion
  17. « La Comex, on n'avait jamais plongé aussi profond », La Provence, 18 août 2013.
  18. Virginie Félix, « Regardez L'Ivresse des profondeurs en replay sur Arte.tv », Télérama, 6 octobre 2020.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Skévos Zervos, La maladie des pêcheurs d'éponge nus et l'anémone de la mer Actinion. Communication à l'académie de médecine, Paris, 1938, 19 p.
  • Dimitris G. Davaris, Kalymnos, L'île des pêcheurs d’éponges, Guide touristique traduit par Jean Criticos, Athènes, 96 p.
  • Jean Ch. Zervos, Notes historiques,
  • H. Frangopoulos, Histoire de Calymnos,
  • G.S. Sakellariou, La résistance nationale religieuse de Calymnos en 1935, vol. I

Liens internes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]