Guy Parzy

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Guy Parzy
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Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Acteur
Films notables La Folle Nuit
Le Maître de forges
La Maison d'en face

Guy Parzy[1] (état-civil inconnu) est un acteur de théâtre et de cinéma français, actif entre 1928 et 1947.

Biographie

En dehors de quelques articles parus dans la presse à l'occasion de premières au théâtre ou de sorties de films à l'écran, on ne sait pratiquement rien de Guy Parzy sinon qu'il fit carrière essentiellement dans la troupe de l'Odéon entre 1929 et 1944, théâtre où il aura l'occasion de jouer dans les pièces du répertoire classique aux côtés de Louis Seigner ou de Georges Chamarat, futurs sociétaires de la Comédie-Française.

Colette le remarque en à la générale de Jeanne Doré de Tristan Bernard. Elle écrit : "un jeune artiste, Guy Parzy, joua passionnément, avec un accent naturel et juste, le rôle du fils assassin"[2].

À l'occasion d'une chronique théâtrale publiée en 1937 dans le journal L'Opinion, le rédacteur de l'article écrit que « M. Guy Parzy, sous les traits de Zoubov, a été un comédien très adroit et très doué, qui ne tardera pas à se faire un grand nom parmi les jeunes premiers ».

Après la guerre, on le voit encore sur scène à la fin de 1946 et au début de 1947 à la comédie de Genève avant que l'on ne perde définitivement sa trace.

Au cinéma, Guy Parzy n'obtiendra que des seconds rôles dans seulement 6 films entre 1932 et 1943.

Théâtre

Filmographie

Notes et références

  1. Parfois orthographié Parsy.
  2. Colette au théâtre. Jeanne Doré à l'Odéon. Le Journal, 3 mars 1935, p. 6, lire en ligne sur Gallica. Cet article sera repris dans son recueil de critiques littéraires et cinématographiques La Jumelle noire en 1937.
  3. Le Gaulois au théâtre. La première et la reprise de ce soir. Le Gaulois, 6 décembre 1928, p. 4, lire en ligne sur Gallica.
  4. Les présentations. Vendredi 8 avril 1932. Compagnie Universelle Cinématographique. La Folle Nuit. Hebdo-film, 16 avril 1932, p. 8, lire en ligne sur Gallica
  5. Fox-Film. Les Bleux de l'amour. Hebdo-film, 3 décembre 1932, p. 14, lire en ligne sur Gallica.
  6. Ainsi va le monde ... Le Journal, 4 avril 1942, p. 2, lire en ligne sur Gallica.

Liens externes