Espondeilhan

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 21 février 2022 à 15:44 et modifiée en dernier par WikiCleanerBot (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

Espondeilhan
Espondeilhan
Mur méridional de l'église Notre-Dame-des-Pins d'Espondeilhan.
Blason de Espondeilhan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée
Maire
Mandat
Christophe Llop
2020-2026
Code postal 34290
Code commune 34094
Démographie
Gentilé Espondeilhanais
Population
municipale
1 162 hab. (2021 en augmentation de 11,52 % par rapport à 2015)
Densité 229 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 26′ 28″ nord, 3° 15′ 47″ est
Altitude 60 m
Min. 60 m
Max. 123 m
Superficie 5,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Béziers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Béziers-3
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Espondeilhan
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Espondeilhan
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Voir sur la carte topographique de l'Hérault
Espondeilhan
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Espondeilhan

Espondeilhan est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Espondeilhanais.

Géographie

Carte.

Communes limitrophes

Communes limitrophes d’Espondeilhan
Coulobres
Puissalicon Espondeilhan Servian
Lieuran-lès-Béziers Bassan

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 14,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 16,9 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 595 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Servian », sur la commune de Servian, mise en service en 1980[6] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,1 °C et la hauteur de précipitations de 665,4 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 35 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Urbanisme

Typologie

Espondeilhan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[I 1],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (87,2 %), zones urbanisées (12,8 %)[18].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Histoire

Espondeilhan est l'un des fiefs historiques de la famille du Caylar (orthographié par la suite en de Queylar pour les branches d'Anduze et de Provence). Le premier du Caylar cité est Pierre du Caylar seigeur d'Espondeilhan dans une donation du de Pierre Raymond d'Espondeilhan. À cette époque la terre d'Espondeilhan, au nord de Béziers, a donc au moins deux familles seigneuriales : les d'Espondeilhan et les du Caylar. Quant à la filiation prouvée elle n'est agréée par Chérin que depuis Bernard du Caylar, peut-être son petit ou arrière-petit-fils, cité entre 1290 et 1294.

Toponymie

La commune a été connue sous les variantes : Bremundo d'Espondeilla (1170), Spondellano (1210), castrum de Spondellano (1247), Spondelhan (1529), Espondelhan (1571), Espondeyan (1636).

Le nom Espondeilhan dérive de celui d'un domaine gallo-romain Spondilius augmenté du suffixe -anum[19].

Plan cadastral d'espondeilhan (1832)

En occitan, la commune se nomme Espondelhan.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2020 Alain Romero DVG Retraité
mai 2020 En cours Christophe LLOP    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 1 162 habitants[Note 6], en augmentation de 11,52 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
180227228257278277309306291
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
296302336344402331328420431
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
476511503517481509502364368
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
316354323356517623831861970
2015 2020 2021 - - - - - -
1 0421 1471 162------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 465 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 1 145 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 430 [I 4] (20 330  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 11 % 9,4 % 13,9 %
Département[I 7] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 681 personnes, parmi lesquelles on compte 80,7 % d'actifs (66,8 % ayant un emploi et 13,9 % de chômeurs) et 19,3 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 9]. Elle compte 132 emplois en 2018, contre 114 en 2013 et 108 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 459, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 63,1 %[I 10].

Sur ces 459 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 95 travaillent dans la commune, soit 21 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

82 établissements[Note 9] sont implantés à Espondeilhan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 82 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
5 6,1 % (6,7 %)
Construction 30 36,6 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
16 19,5 % (28 %)
Information et communication 1 1,2 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 2 2,4 % (3,2 %)
Activités immobilières 4 4,9 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
12 14,6 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
8 9,8 % (14,2 %)
Autres activités de services 4 4,9 % (8,1 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 36,6 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 82 entreprises implantées à Espondeilhan), contre 14,1 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[24] :

  • Eclipse Auto, commerce d'autres véhicules automobiles (232 k€)
  • Les Toitures De Benjamin, travaux de couverture par éléments (215 k€)

Agriculture

La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[25]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la viticulture[Carte 3].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 36 29 20 25
SAU[Note 12] (ha) 290 281 233 254

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 36 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 29 en 2000 puis à 20 en 2010[27] et enfin à 25 en 2020[Carte 4], soit une baisse de 31 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[28],[Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 290 ha en 1988 à 254 ha en 2020[Carte 6]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 8 à 10 ha[27].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Portail de l'église Notre-Dame-des-Pins.

Héraldique

Les armoiries de Espondeilhan se blasonnent ainsi :

D'hermine, au sautoir losangé d'argent et de sable.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[26].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Espondeilhan » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Espondeilhan » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Espondeilhan » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Espondeilhan » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  6. « Station Météo-France Servian - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Espondeilhan et Servian », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France Servian - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Espondeilhan et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Espondeilhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Espondeilhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Espondeilhan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 143
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. « Entreprises à Espondeilhan », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  25. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  26. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  27. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Espondeilhan - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
  29. a et b « Eglise Notre-Dame-des-Pins », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • Paul Ambert et Marc Leblanc, « Le Poignard chalcolithique de la Croix-de-Fer (Espondeilhan-Hérault) : analyse d'une patine originale », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 93, no 4,‎ , p. 561-565 (lire en ligne)
  • Amis de Notre Dame des pins, Notre Dame des Pins : commune d'Espondeilhan, [s.l.], Amis de Notre Dame des Pins, [s.d.], 11 p.
  • Clément Coste, Études historiques et archéologiques sur quelques communes de l'ancien diocèse de Béziers, Béziers, Bénézech Roque,
  • Jean-Luc Esperou, « L'enceinte chalcolithique de la Croix de Fer et son architecture en terre cuite (Espondeilhan - Hérault) », Archéologie en Languedoc, no 30,‎ , p. 21-39
  • Louis Noguier, « Notice sur deux églises romanes anciennes : Saint-Aphrodise à Béziers, église d'Espondeilhan », Bulletin monumental, 4e série, t. 7,‎ , p. 161-170 (lire en ligne)
  • Louis Noguier, « Autels romans dans le Midi de la France », Bulletin monumental, 4e série, t. 7,‎ , p. 135-140 (lire en ligne)
  • Louis Noguier, « Notes archéologiques sur quelques églises romanes du Midi de la France », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 2e série, t. 5,‎ , p. 209-227

Fonds d'archives

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

Liens externes