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Wikipédia:Le Bistro/11 avril 2023

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Falaises de craie sur l'île de Rügen,
par Hanno Karlhuber, 2018.

Aujourd'hui, dans Wikipédia

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Le 11 avril 2023 à 23:55 (CEST), Wikipédia comptait 2 513 125 entrées encyclopédiques, dont 2 080 articles ayant obtenu le label « Article de qualité » et 3 840 articles ayant obtenu celui de « Bon article ». Pour améliorer le contenu de Wikipédia, nous vous proposons de travailler les articles ci-dessous. N'hésitez pas à ajouter des liens internes, des images, des notions encyclopédiques ou simplement corriger les fautes d'orthographe. Demandez de l'aide en cas de doute ou visitez la page des premiers pas des contributeurs.

Articles remarquables et labels

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Contrôlez, relisez, améliorez et actualisez si besoin ces pages labellisées un 11 avril :

Pommes à croquer

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Articles à améliorer

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Articles à créer

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L'hôtel aujourd'hui.
  • Rheinhotel Dreesen, un hôtel historique sur le bord du Rhin à Bonn où Hitler séjourna plusieurs fois, reçu Chamberlain et et lança la nuit des Longs couteaux.
✔️Rome2 [Discuter], le 11 avril 2023 à 14:45 (CEST)[répondre]
Train terrestre TC-497 Mark II.
  • LeTourneau Technologies, qui fut l'un des principaux constructeurs américains d'engins de chantier et de terrassement (fournissant 70% des engins de terrassement alliés pendant la Seconde Guerre mondiale) et qui développa le train terrestre (en) (overland train).
✔️ : Le premier c'est fait. — Rome2 [Discuter], le 11 avril 2023 à 22:20 (CEST)[répondre]
  • Glasgow Necropolis, cimetière à Glasgow
  • Recensement du Canada de 2021: les pages existent pour les recensements de 2006, 2011, 2016. Les données 2021 sont disponibles sur le site de Statistique Canada.

Suivi des débats d'admissibilité

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Anniversaires

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(Pour que l'on n'oublie pas le vôtre…)

Actualités techniques n° 2023-15

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MediaWiki message delivery 10 avril 2023 à 22:04 (CEST)[répondre]

bibliotheque wikipédia

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A quoi ça sert? Et qu'est ce que cela change par rapport à wikipédia? Pascompte (discuter) 11 avril 2023 à 13:17 (CEST)[répondre]

Ça permet aux contributeurs réguliers d’accéder à des sources payantes. — Thibaut (discuter) 11 avril 2023 à 13:21 (CEST)[répondre]
Le summum pour une encyclopédie gratuite...Émoticône -- Adri08 (discuter) 11 avril 2023 à 13:40 (CEST)[répondre]
le vrai problème, c'est l'accaparement de la connaissance scientifique par les revues universitaires (qui font payer les auteur pour les publier !). C'est super d'avoir un outil qui permet l'accès gratuit à ces articles pour les contributeurices qui en font une synthèse et les vulgarisent :) Skimel (discuter) 11 avril 2023 à 13:57 (CEST)[répondre]
N'existe-t-il pas une liste de livres disponibles chez les uns et les autres en cas de recherche de sources ? - p-2023-04-s - обговорюва 11 avril 2023 à 13:58 (CEST)[répondre]
Oui : WP:Bibliothèque. — Thibaut (discuter) 11 avril 2023 à 13:59 (CEST)[répondre]
Normalement c'est le lecteur qui paye, comme pour tout journal ou magazine. Quand les auteurs payent, on se retrouve souvent dans le cas d'une revue prédatrice. Desman31 (discuter) 12 avril 2023 à 16:08 (CEST)[répondre]
C'est assez faux. La plupart des revues scientifiques font payer l'auteur pour la publication, et le font payer encore plus s'il veut que sa publication soit accessible à tout le monde ("open access"). Les revues qui ne le font pas sont relativement rares (et c'est bien triste) ... Thuiop (discuter) 12 avril 2023 à 16:11 (CEST)[répondre]
Bonjour @Thuiop, @Skimel où avez vous vu que les revues scientifiques font payer les auteurs ? Ayant moi-même publié plusieurs articles dans des revues, c'est le contraire, c'est la revue qui rémunère l'auteur en fonction la plupart du temps par le nombre de mots. Et comme le dit @Desman31, les revues comme tout journal, magazine font payer leur frais de publication, de diffusion et de leur personnel (comité de rédaction, maquettiste, imprimerie, distribution etc)... Donc remercions les accords de Wikipédia qui permet aux wikipédiens éligible à la carte de la La bibliothèque Wikipédia d’accéder gratuitement à des sources de qualité, des ouvrages de référence et des publications qui normalement sont disponibles seulement par abonnement. Parler d'accaparement de la connaissance scientifique par les revues universitaires est pour le moins surprenant.... pourriez-vous @Skimel donner des exemples.... Bernard Botturi (discuter) 17 avril 2023 à 09:46 (CEST)[répondre]
Vous ne parlez pas de la même chose ; vous parlez de revues grand public type Science et vie ou autre je suppose, tandis que nous parlions de revues scientifiques. Thuiop (discuter) 17 avril 2023 à 10:21 (CEST)[répondre]
Pas du tout @Thuiop je parle de revues scientifiques spécialisées et non de revues grand public type Science et Vie, encore une fois où avez vous vu que ces revues scientifiques font payer l'auteur pour la publication ??? C'est nouveau ça vient de sortir, ayant autour de moi de nombreux universitaires, auteurs qui ont publié au sein de diverses revues, vos propos les ont laissés pour le moins plus qu'étonnés. Je ne sais pas d'où vous sortez cette rumeur .... Bernard Botturi (discuter) 17 avril 2023 à 10:59 (CEST)[répondre]
@Bernard Botturi je suis pas expert.e sur le sujet, mais beaucoup de revues en Open Access font payer des Frais de traitement des articles (APC) pour que l'article soit publié en accès libre. Les tarifs pratiqués par les revues PLOS, par exemple, vont de 800$ à 2800$. Par contre, j'ai toujours entendu que les revues classiques avec abonnement (celles du groupe Elsevier par exemple) ne rémunèrent pas leurs auteurs, du coup je suis très surpris.e de ta phrase c'est la revue qui rémunère l'auteur en fonction la plupart du temps par le nombre de mots. Tu as des exemples ? Skimel (discuter) 17 avril 2023 à 11:23 (CEST)[répondre]
@Skimel, il faut bien distinguer les revues en Open Access https://journals.openedition.org/ et la majorité des revues accessibles par des agrégateurs comme Jstor, Persée, Cairn, je n'ai pas d'exemples pour le fait que c'est la revue qui rémunère l'auteur, c'est la pratique usuelle liée au droit de la propriété intellectuelle. En revanche des chercheurs débutants dans le domaine des sciences physiques,mathématiques, médicales doivent participer aux frais de publication, car la revue prend un risque quant à la diffusion de tels articles. Par ailleurs la diffusion par le net aux dépens des revues papiers change complètement l’économie des revues spécialisées. Pour en savoir plus :
Mais cela ne concerne nullement les articles publiés dans des revues de poésies, de littérature, d'archéologie.
Par conséquent soyez prudente et nuancée quant à la rémunération des droits d'auteurs, il y a comme le montre différents sources plusieurs cas de figures, toute généralisation est à éviter. Cordialement Bernard Botturi (discuter) 17 avril 2023 à 12:09 (CEST)[répondre]
@Thuiop Non c'est vous qui êtes dans le faux ! Je vais donc compléter ma première réponse, qui était restée "gentille". J'ai moi-même publié dans des revues scientifiques (en géosciences) et je fais le même constat que Bernard : ce n'est pas l'auteur qui paye mais le lecteur. Ces revues sont accessibles sur abonnement (format papier ou en ligne) lequel est souvent payé par l'université ou l'organisme de recherche pour lequel travaillent les lecteurs qui sont donc le plus souvent des chercheurs. Parfois l'auteur dont la publication est acceptée doit payer des "processing charges" (quelques dizaines de dollars), certains journaux proposent également des options payantes comme insérer une illustration en couleur, ou ajouter des pages à son article (la plupart des journaux ont une longueur limite=nombre de pages, pour les articles). Ces charges sont ridiculement petites comparé au prix d'un abonnement.
L'arrivée depuis quelques années de revues purement digitales et en "open access" changent la donne, on inverse les rôles : c'est l'auteur qui paye. Ce qui parait inévitable, étant donné que la lecture est gratuite il faut bien récupérer quelque part le cout du peer-review, de l'édition, de la publication, etc. (pour info il n'y a pas de publicités dans les revues scientifiques, contrairement aux revues professionnelles/corporatistes qui souvent en sont remplies). Afin de s'aligner sur ces nouvelles pratiques, certaines revues papiers proposent une option "open access" souvent à un prix exorbitant pour l'auteur, on est d'accord. Mais ce choix reste rare, et la plupart des chercheurs continuent de publier leur article de façon traditionnelle.
Bref, parler d' "accaparement de la connaissance scientifique par les revues universitaires qui font payer les auteurs pour les publier " c'est méconnaître profondément le fonctionnement des publications scientifiques, en tout cas dans les sciences exactes (je ne connais pas l'état des lieux en sciences humaines ou sociales). Desman31 (discuter) 17 avril 2023 à 14:29 (CEST)[répondre]
Veuillez m'excuser, dans mon champ de recherche au moins la plupart des journaux pratiquent principalement l'open access et ses charges exorbitantes (loin d'être "rare" d'ailleurs...), et les autres ont au moins le coût éditorial. Je reconnais que dans d'autres domaines le modèle lecteur-payeur est peut-être toujours plus répandu.
Cela dit, cela ne ne change absolument rien au propos. Les coûts sont démesurés, que ce soit pour l'abonnement ou pour le paiement de l'open access ; alors même que les journaux ne produisent pas le contenu des articles, qui vient généralement directement de l'argent public. Il n'y a pas de justification au fait que les universités doivent payer pour avoir accès aux recherches d'autres chercheurs, eux aussi payés avec de l'argent public... sachant d'autant plus que les coûts pour le journal sont virtuellement inexistants, leur principal intérêt étant qu'ils organisent le peer review, qui est sauf dans de rares exceptions non rémunéré. Et maintenant que quasiment tout passe par Internet, le coût de distribution est minime... et pourtant, si le quidam moyen souhaite consulter un article non open-access, il lui sera généralement demandé de débourser entre 15 et 60€. Alors désolé mais parler d'"accaparement de la connaissance scientifique par les revues universitaires", c'est totalement justifié.
Et en ce qui concerne de rémunérer les auteurs comme le mentionne @Bernard Botturi, je n'ai jamais entendu parler d'une telle chose, et certainement pas au nombre de mots. Cette explication : En revanche des chercheurs débutants dans le domaine des sciences physiques,mathématiques, médicales doivent participer aux frais de publication, car la revue prend un risque quant à la diffusion de tels articles. me paraît également complètement fantaisiste. Thuiop (discuter) 17 avril 2023 à 15:37 (CEST)[répondre]
Bonjour @Thuiop,@Desman31 effectivement mon incise En revanche des chercheurs débutants dans le domaine des sciences physiques,mathématiques, médicales doivent participer aux frais de publication, car la revue prend un risque quant à la diffusion de tels articles. est fantaisiste, pris dans mon élan j'ai dérivé. Le problème n'est-il pas avant tout celui de l'économie des revues ? Si une revue publie en open access, cela signifie que ses frais de publications doivent bien être rémunérés d'une façon ou d'une autre. Un scientifique a le choix de créer un blog ou site personnel, où il est libre de publier ce qu'il veut gratuitement. Mais s'il choisit d'être publié en open access, c 'est pour bénéficier du prestige, de la caution scientifique de telle ou telle revue, par conséquent c'est à l'auteur de payer les frais de publications (mise en page, maquettisme, relecture, maintenance des serveurs, etc...) le prix est-il exorbitant ? cela se discute...
Par ailleurs, il n'y a pas que des revues subventionnées, il y a aussi de très nombreuses revues publiées par des sociétés savantes associatives ou privées. Il faut également préciser que les bibliothèques des diverses unités de recherches sont toutes abonnées aux principales revues scientifiques de leur domaine donc parler d'"accaparement de la connaissance scientifique par les revues universitaires", est une expression plus que discutable, la notion d'accaparement est lié à une notion de mainmise sur des marchandises, des données dans un but spéculatif... ce qui est risible quand on connait les ressources des revues ; en revanche on peut parler de système élitiste, aristocratique.
Dans mon cursus de recherche j'ai toujours eu accès aux revues scientifiques. Ou alors faut-il parler d'accaparement au sens où le commun des mortels est contraint de payer plus moins cher la lecture d'un article, comme cela se pratique sur Cairn. Pour les profanes, il existe de nombreux sites de vulgarisation comme Futura, RTFlash, les chaines YouTube du CNRS et autres indexés par la Cité des Sciences et il y a toujours la possibilité d'emprunter telle ou telle revue auprès du réseau des médiathèques publiques. Cela dit, il est vrai que les prix pratiqués par Cairn-info sont élevés par comparaison avec ceux pratiqués par Jstor où par une simple inscription il est possible d’accéder gratuitement à 99 articles par mois. Cordialement Bernard Botturi (discuter) 18 avril 2023 à 09:24 (CEST)[répondre]
@Thuiop Je vous rejoins sur le caractère exorbitant du prix des abonnements. En revanche je ne vois toujours pas où est l'accaparement de la connaissance scientifique par les revues scientifiques. Le "quidam moyen" en général n'est pas capable de lire une publication scientifique ; le lectorat cible est bien le milieu universitaire. Le "quidam moyen" peut lire de bonnes revues de vulgarisation comme Pour la science, que j'apprécie moi-même de lire pour les domaines dans lequel je ne suis pas expert. Desman31 (discuter) 18 avril 2023 à 13:51 (CEST)[répondre]
Si les bibliothèques des universités sont abonnées aux différentes revues, c'est bien qu'elles paient pour accéder à ce contenu, donc que de l'argent public est dépensé pour accéder à des connaissances produites par de l'argent public...
En ce qui concerne le travail du journal, il est ridicule par rapport au prix qu'il coûte. Publier un article en open access dans Nature coûte près de 10000€ ; vous pensez vraiment que la qualité du service rendu correspond à la somme payée ? Il n'y a même pas besoin d'aller très loin : des éditeurs comme Elsevier rapportent des marges délirantes (40%...), même après avoir grassement rémunéré ses directeurs. Ce système ne persiste que parce qu'on évalue les chercheurs à l'aune de leur publication dans des revues prestigieuses, en utilisant des métriques comme le nombre de citations qui sont peu représentatives de la qualité scientifique d'un travail.
Vous dites tous deux que le profane n'a qu'à aller lire des articles de vulgarisation : pourquoi ? Certes, la plupart des gens auraient du mal à lire un article scientifique, mais en quoi est-ce une justification de leur en priver l'accès en rajoutant une barrière de prix ? Alors même que le travail qu'il contient est le fruit de ses impôts ?
Le système de publication actuel est dans l'ensemble une énorme manne financière, effectivement nécessaire à l'époque du papier mais aujourd'hui maintenu dans un seul but de profit, aux dépends des chercheurs, du public et des institutions. Thuiop (discuter) 18 avril 2023 à 15:10 (CEST)[répondre]
bonjour @Thuiop, je pense que vous devriez vous renseigner sur les divers statuts des publications scientifiques, on ne peut pas comparer Elsevier qui est une entreprise privée, capitalistique et surtout un empire international avec la majorité des éditions universitaires qui ont des statuts de PME très divers : associatif, mutualiste, SCOP, SARL, etc...
Pour parler des seules éditions universitaires françaises, les subventions qu'elles touchent ne couvrent pas du tout l'ensemble des charges de ces éditions (budget de fonctionnement et budget d'investissement), par conséquent vous ne pouvez pas dire que leurs publications sont financées à 100% par l'argent public, c'est très, très loin de la réalité. Renseignez vous leurs bilans sont publics....
Les éditions de recherche scientifiques qui sont subventionnées à 100% par l'argent public sont gratuites d'accès au moins dans leur version numérique comme les productions de l'Irdes, l'Inra ou l'Ined, l'Inserm, certaines publications du CNRS, etc.
Écrire "Le système de publication actuel est dans l'ensemble une énorme manne financière, effectivement nécessaire à l'époque du papier mais aujourd'hui maintenu dans un seul but de profit, aux dépends des chercheurs, du public et des institutions" est pour le moins étonnant quand on sait que le secteur des éditions, en général, est malade, que ses marges sont minimes. À côté de géants comme Hachette ou Editis combien d'éditeurs indépendants comme La Bartavelle, La Part commune, La Maison de Poésie, et même Actes Sud etc... sont toujours dans des situations financières plus que compliquées. Il en est de même pour des éditions universitaires qui sont toujours déficitaires, ne tiennent que par la publications d'œuvres "grand public" et parfois par le mécénat.
La manne financière dont vous parlez est purement imaginaire, dire que les éditions universitaires françaises n'ont pour but que le profit est une rumeur sans fondement, une contre vérité. Même la plus importante des presses universitaires françaises telle que les Presses universitaires de Rennes sont très prudentes quant à leur politique éditoriale. Faites des recherches. Si vous voulez faire du profit, le secteur des maisons d'éditions universitaires est à fuir. Bernard Botturi (discuter) 19 avril 2023 à 08:43 (CEST)[répondre]
A l'instar des géants de l'édition littéraire, ces géants de la littérature scientifique représentent une large part des publications, en particulier en sciences dures[6] ; elles concentrent également les revues les plus prestigieuses. Se focaliser sur les presses universitaires, que je ne vise bien évidemment pas, est un non-sens. Thuiop (discuter) 19 avril 2023 à 10:40 (CEST)[répondre]
@Thuiop, vous êtes plus nuancé et nous sommes loin des financements publics... La majorité des chercheurs des universités américaines sont rémunérés par des fonds privées, c'est eux qui composent les cohortes des chercheurs publiés par ces géants. Quand un chercheur français veut être publié par ces géants, il se fait embaucher de façon contractuelle par une université américaine, qui participe au frais de publication de ses articles.... voili, voilou. Bernard Botturi (discuter) 19 avril 2023 à 11:26 (CEST)[répondre]
Euh... non, quand un chercheur français veut publier chez l'un de ses géants, de l'argent public est dépensé par son université pour la publication (dans le cas open access), et les universités sont abonnées à leurs revues pour ce qui est du modèle traditionnel... autant d'argent public qui est dépensé dans ce système. PS: voir par exemple ce récent article du Monde [7] : 120 millions d'euros y passent chaque année. Thuiop (discuter) 19 avril 2023 à 13:57 (CEST)[répondre]
bonjour @Thuiop je pense qu'il serait utile en regard de la complexité de la question, d’ouvrir un fil dédié à l'économie des revues scientifiques, car nous sommes très loin de l'utilité des apports de la Bibliothèque Wikipédia... Bernard Botturi (discuter) 20 avril 2023 à 09:45 (CEST)[répondre]
à quoi ça sert @Pascompte ? cela permet en formulant une requête sur la barre de recherche de la bibliothèque Wikipédia d'obtenir immédiatement les différentes sources disponibles, évitant par cela des recherches longues et fastidieuses. C'est une vraie mine d'or ! Essayez là et vous pourrez vous en faire une idée. Quand je crée ou améliore un article systématiquement je fais appel à la bibliothèque Wikipédia. Et les sources concernant mon domaine prédilection sont répertoriés sur ma page d'utilisateur, cordialement Bernard Botturi (discuter) 17 avril 2023 à 09:54 (CEST)[répondre]

Rappel : Wikimédia France vous convie à une rencontre wikimédienne à Lille jeudi 13 avril 2023

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Vous habitez Lille ou sa région, vous êtes contributeur·trice sur les projets Wikimédia (Wikipédia, Wikimédia Commons, Wiktionnaire, etc.), bénévoles , membres adhérents à Wikimédia France ( https://dons.wikimedia.fr/adhesion/ ) ou simplement curieux·ses :-) ?

Venez échanger avec la communauté wikimédienne/wikipédienne lilloise et l'association Wikimédia France de 18h à 20h au POP café. Au programme: questions, échanges, rires (oui on a programmé ça aussi :-)) et discussions autour des projets Wikimédia.

Le POP café, si vous ne connaissez pas, c'est un café coopératif de quartier d'éducation populaire au numérique et de services de proximité, situé dans le quartier lillois de Wazemmes. (Métro M1 station Gambetta ou M2 arrêt Montebello).

--Luc Hervier WMFr (discuter) 11 avril 2023 à 15:25 (CEST)[répondre]

Merci pour le rappel. Pourquoi pas… VateGV ◦ taper la discut’ ◦ 11 avril 2023 à 15:47 (CEST)[répondre]
c'est bien de mettre ce genre de chose sur Wikipédia:Rencontres/Nord-Pas-de-Calais. non? -- Chatsam (coucou) 12 avril 2023 à 22:21 (CEST)[répondre]