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Utilisateur:Raphael99/Paparazzi

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Paparazzi
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Logo de Paparazzi
Single de Lady Gaga
extrait de l'album The Fame
Sortie Drapeau des États-Unis
Drapeau de la France
Enregistré 2008
New Jersey - 150 Studios [1]
Durée 3 min 28 (Chanson)
7 min 37 (Vidéoclip)
Genre Electropop
Pop
Synthpop
Format CD Single
Téléchargement numérique
Auteur Lady Gaga
Rob Fusari [2]
Compositeur Lady Gaga
Rob Fusari
Producteur Rob Fusari
Label Streamline
Kon Live
Interscope Records
Cherrytree
Critique

Singles de Lady Gaga

Paparazzi est une chanson de l’artiste américaine Lady Gaga, sortie comme étant le dernier single de son premier album, The Fame. Écrit par Rob Fusari et Gaga, le titre est le troisième single de l’album au Royaume-Uni, en Irlande ainsi qu’en Italie, et le quatrième au Canada et aux États-Unis et le cinquième en Australie, en Nouvelle-Zélande et en France. Il est sorti le 6 juillet 2009 au Royaume-Uni et quatre jours plus tard en Australie. Initialement, LoveGame aurait dû être le troisième single dans le pays des Britanniques, toutefois, Paparazzi a finalement été choisi car LoveGame était potentiellement sujette à controverse à cause de ses paroles et de son vidéoclip [3]. Le morceau représente la lutte sans fin que mène Gaga pour atteindre la gloire qu’elle désire. Basée sur tempo rapide et dance, la chanson décrit à première vue un harceleur qui poursuit une autre personne pour atteindre la gloire et la célébrité.

Paparazzi a été acclamée par la critique pour son côté amusant et naturellement très compatible aux chansons qui passent dans les clubs. Le vidéoclip accompagnant le morceau montre Gaga comme étant une starlette qui se fait sans cesse traquée par les paparazzis et presque tuée par son petit copain. Elle survit finalement à l’agressivité de son conjoint et revient pour prendre sa revanche en l’empoisonnant et se dénonçant elle-même comme coupable par la suite. Le titre parvient à se classer dans le top 10 des classements australien, canadien, irlandais et britannique tandis qu’il atteint également la première position du hit-parade allemand et tchèque. Aux États-Unis et en France, la chanson atteint la sixième position du Billboard Hot 100, le palmarès respectif américain, et du Top 100 Singles, le hit-parade français.

Gaga interprète le morceau au The Fame Ball Tour, où il ouvre le bal du spectacle, aux MTV Video Music Awards 2009, où elle a entre autres gagnée le prix de la meilleure direction artistique et des meilleurs effets spéciaux pour le vidéoclip de Paparazzi ainsi qu’à Saturday Night Live, en octobre 2009. Elle interprète aussi la chanson lors de sa seconde tournée internationale, The Monster Ball Tour. Dans cette performance, Gaga s’inspire d’une tenue du film Le Magicien d'Oz, et toujours dans le thème de la féérie, elle se fait poursuivre par un lophiiforme.

Écriture et inspiration[modifier | modifier le code]

Dans une interview pour About, Gaga affirme qu’il peut y avoir différentes interprétations pour le single, en disant,

« Eh bien, je suis si ravie qu’il existe différentes interprétations, c’était l’idée. La chanson concerne plusieurs thèmes distincts – il s’agit d’une lutte, je veux la gloire ou je veux l’amour ? Il s’agit aussi de courtiser avec les paparazzis pour qu’ils tombent amoureux de moi. C’est à propos de la presse à scandale, si vous voulez, regardez des erstatsz imbéciles dans leur condition sociale. C’est une chanson d’amour pour les caméras, mais c’est aussi un morceau d’amour pour sur la célébrité et sur l’amour elle-même – Peut-on avoir les deux, ou non ? »[4]

Dans une interview avec le tabloïde australien Daily Telegraph, Gaga explique que la chanson concerne sa lutte avec l’égalité que sont le succès et l’amour [5]. Bill Lamb d’About assure que « le titre est en quelque sorte un hommage à la symbiose émotionnelle, mais ultimement, cela représente aussi la fausseté et les relations de ‘plastique’ basées sur les paparazzis et les photos, que possèdent les célébrités de nos jours [...] qui, pour le meilleur ou pour le pire, sont uniquement là pour alimenter la presse à potins, et dans un certain sens, amplifier la célébrité brute » [6].

Composition[modifier | modifier le code]

Paparazzi possède un tempo assez rapide en comparaison aux précédents singles de la chanteuse, en particulier Poker Face et Just Dance, et contient un rythme imposant [7],[8]. La chanson détient un groove modéré de style électro-synth, se répertorie dans la clef mineure de Sol et a un tempo de 115 pulsations par minutes [9]. Le morceau se base dans la signature rythmique, Gaga ayant une gamme vocale tout d’abord dans de notes faibles, la G3 pour par la suite s’étendre dans de plus hautes, la E♭5. Selon Bill Lamb d’About, la voix de Gaga domine le rythme du titre, transportant l’auditeur de manière séduisante dans le complexe monde de la célébrité [6]. Toujours en matière de rythme, les accords du morceau contiennent une certaine chaleur en eux. Paparazzi est basée sur des sonorités légèrement « molles », faisant penser à de la fatigue, et incorpore des percussions transmettant des émotions [6]. Gaga a de plus précisé qu’avec ce titre, elle veut propager certains sentiments dont le désir sexuel, la crainte ainsi que la possibilité de « démissionner » de sa vie habituelle pour avoir du plaisir [6]. Lyriquement, Paparazzi concerne la traque et les pièges qu’impose la célébrité [10].

Accueil critique[modifier | modifier le code]

La chanson reçoit majoritairement des critiques musicales positives. Dans une critique d’un des concerts du The Fame Ball Tour, Jill Menze de Billboard complimente le chant du titre en disant « L’une des meilleures ballades de The Fame, Paparazzi, nous montre comment Gaga peut s’approprier différentes sortes de gammes vocales » [11]. De son côté, Alexis Petridis de The Guardian explique que « Vous pouvez rapidement oublier la plupart des chansons de The Fame, par contre, l’air de Paparazzi refuse d’être oublié et s’installe dans votre cerveau » [12]. Stephen Thomas Erlewine de Allmusic s’élance quant à une lui dans une description du morceau en écrivant qu’il est « de différents styles ; au début dans un genre de pop habituel pour s’aligner dans quelque chose d’encore mieux » [13]. Ben Norman d’About affirme que la chanson est sa favorite de l’album et qu’il la trouve « épatante » [14]. Priya Elan de The Times déclare que « Même le trio des pistes traitant sur la célébrité et la gloire (Paparazzi, Beautiful, Dirty, Rich et la chanson titre), qui sont le noyau de l’album, ne créent pas la controverse en offensant cette forme de célébrité mais plutôt en l’observant calmement » [15]. Bill Lamb également d’About estime que Paparazzi a été une des meilleures réalisations artistiques de Gaga. Il ajoute que la chanson représente parfaitement la symbiose qui unies les célébrités et les paparazzis, l’émotion des mots derrière la musique et qui démontrent l’insistance de la voix de Gaga tout au long du titre [6].

Evan Sadwey de PopMatters explique que Paparazzi et l’ancien single Poker Face sont tout deux comparables à son premier single, Just Dance, dû à leur style musical similaire, il ajoute toutefois que « Gaga n’a jamais eu l’envie de se répéter elle-même, ce n’était pas délibéré, la seule erreur qu’elle ait commise provient du fait qu’elle n’est absolument pas préparée pour ça » [7]. Se dirigeant vers une note négative, Freedom Du Lac de The Washington Post affirme que « même si Gaga modifie quelques partitions et crochets de Paparazzi lorsqu’elle la chante, la piste reste sans visage et ne transmet aucune réelle émotion » [16]. Revenant sur une lancée positive, Erika Howard de New Times Broward-Palm Beach déclare que Paparazzi est sans doute la chanson la plus répandue dans le monde de l’album [17]. Jon Caramanica de The New York Times explique que « Paparazzi est une lettre d’amour de la caméra adressée aux personnes photographiées, l’affection est valide dans les deux sens mais le second ne veut pas l’assumer. Chaque notion autant musicale que théâtrale que Lady Gaga imite est élaborée, Paparazzi en est la preuve, rien ne s’arrête à l’unique composition des paroles, la simplicité est absente mais tout cela cache de la sensibilité » [18]. Le magazine Pitchfork Media a classé Paparazzi au numéro 83 dans la liste des 100 meilleures chansons de 2009 [19].

Performance dans les hit-parades[modifier | modifier le code]

Aux États-Unis, la chanson débute dans le classement américain, le Billboard Hot 100, à la 74e position dans la semaine du 12 septembre 2009. Quelques semaines plus tard, la piste atteint la 6e position qui a été sa plus haute réussite dans le palmarès, devenant par la même occasion le quatrième single consécutif de Gaga à atteindre le top 10 du classement américain [20]. Avec Paparazzi, Gaga rejoint Christina Aguilera, Beyoncé et Fergie en tant que quatrième femme de la décennie à classer quatre singles issus d’un premier album dans le top 10 du Hot 100 [21]. Le titre a également trôné sur le Billboard Pop songs, le hit-parade représentant les ventes de chansons pops aux États-Unis. Elle est ainsi devenue la première artiste en sept ans d’histoire du palmarès Pop Songs à classer quatre singles issus de son premier album au numéro 1 [22]. La chanson débute aussi dans le hit-parade Hot Dance Club Songs, qui expose les ventes de chanson dance clubs, comme l’indique son titre [23]. Certaines de ces positions sont selon Nielsen Soundsacan dû aux 2 millions de copies numériques du singles écoulées aux États-Unis [24]. Paparazzi entame sa montée dans le Canadian Hot 100 à la 92e place et la semaine suivante se déplace à la 47e position, devenant aussi la chanson la plus téléchargée au Canada lors de cette semaine [25],[26]. Peu à peu, la piste se dirige vers de hauts sommets pour enfin atteindre son apogée, la 3e position [27].

Le 1 juin, Paparazzi débute dans le hit-parade australien, le Australian Singles Chart, à la 73e position puis pour la semaine suivante accomplir une montée jusqu’à la 27e place [28]. La chanson monte peu à peu jusqu’à la 2e position, devenant ainsi le quatrième single de Gaga à se classer dans le top 5 australien [29]. Le morceau est certifié double disque de platine par l’Australian Recording Industry Association, en abrégé ARIA, pour ses 140 000 copies vendues [30]. Le 22 juin 2009, en Nouvelle-Zélande, Paparazzi démarre à la 23e position et augmente tranquillement pendant 8 semaines pour finalement atteindre la 4e place [31],[32]. Le titre est certifié disque d’or par la Recording Industry Association of New Zealand, couramment appelé RIANZ, après 14 semaines présentes dans le palmarès et 7500 exemplaires distribués [33].

En février 2009, la chanson débute dans le hit-parade britannique, le UK Singles Chart, à la 99e position dû à ses ventes numériques engendrées par la sortie de The Fame. Le 21 juin 2009, la piste fait son plus grand saut, atteignant la 13e position, une augmentation d’une trentaine de places comparée à la semaine précédente[34]. Les sept jours suivants, le morceau réussit à atteindre la 8e position pour ultimement se rendre jusqu’à la 4e positon la semaine suivante [35],[36]. Au cours de ses 49 semaines passées dans le palmarès britannique, la chanson s’est vendue à plus d’un demi-million de copies. La piste s’est également classée dans le Irish Singles Chart, le hit-parade irlandais, pour la première fois à la 18e position et un peu plus tard à la 4e place [37],[38]. Paparazzi a atteint la 1er position du classement allemand, devenant le deuxième pays où la chanson trône. Le titre s’amorce dans le palmarès des Pays-Bas à la 27e position [39]. Six semaines plus tard, elle atteint la 4e position du répertoire musical néerlandais [40]. En Italie, la chanson commence par se classer à la 9e position et parvient à toucher la 3e position, devenant son deuxième single à entrer dans le top 3 de ce pays [41]. Autour de l’Europe, Paparazzi s’est classée en 6e positon en France et en Belgique Wallonienne, 4e en Suisse ainsi que 3e en Autriche[41]. Dans le classement continental, le single est arrivé à rejoindre la 3e position[42].

Vidéoclip[modifier | modifier le code]

Développement[modifier | modifier le code]

Le vidéoclip est dirigé par le réalisateur suédois, Jonas Åkerlund, qui a précédemment réalisé plusieurs vidéos pour des artistes comme The Smashing Pumpkins, Madonna, Moby, Rammstein et U2. Pour ce clip, sa femme Bea Åkerlund est la styliste en chef et crée certains des costumes [43]. Gaga explique à MTV qu’elle a terminée le tournage « de ma vidéo Paparazzi, je suis vraiment comblée, le tournage s’est déroulé parfaitement. C’est comme un petit film » [44]. Le 26 mai 2009, dans une interview pour le The Canadian Press, Gaga décrit son vidéoclip comme étant « la plus merveilleuse et créative chose que j’ai faite à ce jour » [45]. Elle a par la suite fait une description plus ample du clip et expliqué le message qu’il transmet,

« C’est un vrai, génial et puissant message à propos des risques de la célébrité, de la mort et de la fin de la renommé, c’est destiné aux jeunes personnes. La vidéo explore l’idée certaines situations dans lesquelles les gens deviennent hyperboliques car c’est basé sur la célébrité, la pornographie et le meurtre. Ce sont les thèmes majeurs de mon vidéoclip qui contrarient pourtant. » [45]

Au Royaume-Uni et en Irlande, la vidéo est censée faire sa première le 4 juin 2010 sur la Channel 4. Le 29 mai 2010, la vidéo est piratée et fait son apparition frauduleuse sur plusieurs plateformes comme YouTube, suite à cela, Gaga écrit un message sur son twitter disant « Arrêtez de pirater ma vidéo de m****e », avec un lien menant vers le vidéoclip [46].

Scénario[modifier | modifier le code]

Le vidéoclip est un mini-film durant plus de 8 minutes mettant en vedette Gaga et l’acteur suédois Alexander Skarsgård qui incarne son petit copain. Le clip résume la vie d’une starlette, en l’occurrence Gaga, accusée de complot meurtrier, qui est sans cesse poursuivie par les paparazzis [46]. La vidéo s’ouvre avec un château près de la mer, où Gaga et son copain s’embrassent et se parlent en suédois sur un lit. Tout deux se dirigent vers le balcon et recommence à s’embrasser, pendant ce temps, un photographe caché sur un toit voisin prend des clichés de ceux-ci. Lorsque Gaga se rend compte que son conjoint a engagé le paparazzi pour en prendre des photos d’eux, elle tente de l’arrêter [47]. Comme sa tentative ne marche pas, elle lui lance une bouteille de champagne sur la figure. Enragé, il la jette par-dessus le balcon. Des photographes se ruent alors sur le corps ensanglanté de Gaga, gisant sur le sol tandis que des journaux proclament que sa carrière est finie [46]. Selon le magazine Rolling Stone, cette scène rend hommage au film d’Alfred Hitchcock, Sueurs froides [48].

La scène suivante arrivée, Gaga sort d’une limousine, et se fait transportée jusqu’à une chaise roulante par un de ses danseurs. C’est lors de cette séquence que la chanson s’entame [49]. Alors que les danseurs tournoient autour d’elle et que des femmes se joignent à la chorégraphie, elle commence à marcher sur un tapis mauve à l’aide d’une paire de béquilles, tout en portant un bustier métallique doré et en étant coiffée d’un casque de la même matière. D’après Entertainment Weekly, ce costume de cyborg présenté comme une paire de collants est similaire à l’habit de George Michael dans son vidéoclip Too Funky [49]. Cette scène est entrecoupée par des cadavres de mannequin gisant un peu partout autour du manoir [46]. Le prochain plan montre Gaga dans un habit noir en latex, assise sur un divan et pendant un court moment, accompagnée d’un trio de rockeurs heavy metal, plus précisément lors du moment où elle chante les paroles « Loving you is cherry pie » qui se traduit par « T’aimer est la cerise sur le gâteau ». Le trio, connu sous le nom de Snake of Eden, s’est fait connaitre dans l’émission de télé-réalité Daisy of Love [49]. Selon MTV, cette scène est un clin d’œil à la chanson Cherry Pie de la formation américaine Warrant [46]. Cette séquence est dédiée aux débuts de Gaga en tant que danseuse dans les clubs rocks. Après cela, le refrain reprend avec Gaga vêtue d’un habit noir et blanc ainsi que d’une moitié de robe noire sur sa jambe droite [47]. Elle danse avec cette tenue dans une spacieuse salle accompagnée d’une demi-dizaine de danseuses portant des habits similaires. La vidéo continue et arrive au pont musical, où Gaga est habillée d’une robe composée de bandes de films et coiffée d’un Mohawk de plumes noires et blanches, semblable à celui que les guerriers romains traditionnels portent [46].

Dans la scène suivante, Gaga et son petit copain, avec un cache-œil dû à la blessure que lui a causée la bouteille de champagne, lisent des magazines sur un sofa dans le salon de thé. Gaga est quant à elle vêtue d’une combinaison jaune avec des lunettes circulaires noires et de grandes épaulettes [47]. The Guardian compare cet habit à celui que porte la souris fictive Minnie Mouse [50]. Gaga prend finalement sa revanche sur son conjoint et glisse un peu de poison, qui était camouflé dans sa bague voulant faire un clin d’œil à la rumeur qui courrait sur Lucrèce Borgia, dans un jus alcoolisé qu’elle lui sert peu après. Après la mort de celui-ci, elle appelle le 9-1-1 en disant à la réceptionniste « I just kill my boyfriend » qui se traduit par « J’ai simplement tué mon petit copain » [46]. La police arrive sur les lieux et arrête Gaga qui, habillée d’un habit noir et d’une perruque en forme de conne, marche jusqu’à la voiture de police tout en étant harcelée par la foule de paparazzis qui désirent des photos [46]. La scène est entrecoupée par de gros plans de journaux disant qu’elle est revenue dans le monde de la musique, qu’elle est innocente et qu’elle reconquis sa célébrité [47]. Le vidéoclip se termine avec Gaga qui, posant pour sa photo d’emprisonnement, imite un mannequin et est vêtue d’une robe métallique en forme de tulipe, qui est la même que sur celle de la pochette du single. Le Daily Mail compare cet habit avec un accoutrement que porte la chanteuse Beyoncé Knowles dans sa tournée I Am... Tour [51].

Réception[modifier | modifier le code]

Daniel Kreps de Rolling Stone compare la vidéo avec le clip November Rain. Les scènes où l’on peut voir des mannequins morts ont été acclamés par celui-ci en disant qu’elles étaient le fil conducteur du vidéoclip, il a complimenté la vidéo pour « sa qualité cinématographique, qui est difficile à égaler, il vous faudra surement un peu d’indulgence pour voir ce que représente cette vidéo mais ça en vaut le coup ». Il ajoute à propos du piratage de la vidéo que c’est « bien plus qu’une simple fuite ; ça mériterait surement un tapis rouge » [48]. Anne Pickard de The Guardian salue la vidéo en disant que « le travail accompli dans le clip est vraiment percevable ». Cependant, elle trouve que le vidéoclip est trop long pour une simple chanson [50]. Le clip a été nommé aux MTV Video Music Awards 2009 dans les catégories meilleure direction, meilleure ingénierie, meilleurs effets spéciaux, meilleure cinématographie et meilleure direction. En plus des quatre nominations pour Poker Face, elle réussit à égaliser Beyoncé en tant que personne ayant le plus de nominations cette année [52]. Le vidéoclip remporte finalement le prix de la meilleure direction artistique ainsi que celui des meilleurs effets spéciaux [53]. Le vidéoclip pour le single Telephone est une continuation de celui de Paparazzi, et également un mini-film. Il commence là où Paparazzi s’est arrêté, Gaga entrant en prison [54].

Interprétations en direct[modifier | modifier le code]

Le 14 février 2009, Gaga interprète pour la première fois Paparazzi lors d’une émission britannique, le The Album Chart Show, dans le cadre de la promotion de The Fame [55]. La chanson est aussi interprétée en version piano acoustique sur la chaine Capitale Radio 95.8, le 1 mai 2009 [56]. Le 26 juin 2009, Gaga interprète la piste en sortant d’un cube argenté, sur la scène du Glastonbury Festival [57]. La chanson prend une grande place dans sa première tournée, The Fame Ball Tour, où elle est la première à être interprétée. La vidéo introduisant l’interprétation de Paparazzi, nommée The Heart, montre Gaga jouant différents personnages, incluant un qui se surnommé Candy Warhol, inspiré du créateur du pop-art Andy Warhol [58]. Lors de la performance, elle est vêtue d’une robe argentée et noire accessoirisée d’un court tutu et d’un péplos [59],[60],[61],[62]. Elle est entourée des plaques argentées que tiennent ses danseurs, conçus de miroirs, qui camouflent complètement Gaga jusqu’au milieu de la chanson [8],[63]. Le plateau est recouvert de brouillard électronique et de lumières s’allumant et s’éteignant qui s’ajoutent à la fumée[62],[60].

La piste est également interprétée aux MTV Video Music Awards 2009 [64]. L’interprétation commence avec gisant sur le sol, derrière elle, des escaliers qu’on peut trouver dans un château se dessinent. Le refrain venu, Gaga tourne autour de la scène tout en courant, puis elle exécute une culbute dernière un danseur et se dirige sur un fauteuil roulant. Elle se déplace ensuite vers un piano blanc où elle y joue une courte pièce tout en mettant son pied sur le clavier. Puis, elle contourne une seconde fois la scène, cette fois-ci avec du sang sortant de sa cage thoracique. Elle s’effondre alors sur le sol et se lamente en criant, et c’est alors qu’un de ses danseurs la soulève doucement. Gaga est subitement soulevée du sol avec une corde agrippée à sa main, imitant une pendaison. Ses yeux injectés de sang et son corps recouvert de cette même substance, elle se fige jusqu’à ce que les rideaux se ferment [64]. Elle commente plus tard que son interprétation est pour ses fans en expliquant « Je voulais faire une vraie et réelle performance dans laquelle je ne me faisais seulement tuer par des paparazzis pour faire bon, sans plus [...] C’est vraiment pour mes fans, qui je savais seraient là pour m’applaudir et m’apprécier comme je suis » [65].

La chanson a été interprétée dans la trente-cinquième saison de l’émission de comédie Saturday Night Live, avec une chorégraphie similaire à celle des VMA [66]. Paparazzi fait également partie de la liste des chansons interprétées lors du The Monster Ball Tour. Lors de la première partie américaine de la tournée, elle est vêtue de très longues extensions à ses cheveux ainsi que d’une imposante veste noire de latex. À chacune de ses tresses est attachées un danseur ce qui en totalise normalement quatre. En guise d’arrière-plan, des étoiles ornent le fond électronique [67]. Lors des spectacles de la partie européenne, asiatique et de la seconde américaine, Gaga change le concept et la performance de la piste. Elle est vêtue d’une robe verte-émeraude accessoirisée de pierres de la même couleur vers le bas, et est attaquée par un géant et mécanique lophiiforme qui désire la dévorer, mais il se fait tuer suite aux étincelles qui surgissent de la tenue de Gaga [Note 1],[68].

Reprises[modifier | modifier le code]

Une reprise a été interprétée par Greyson Michael Chance, un jeune garçon de 12 ans venant de l’Oklahoma, aux États-Unis. La vidéo de son interprétation, réalisée à son école secondaire dans le cadre de la « Chorale de la soirée », est mise en ligne sur sa chaine YouTube et reçoit rapidement des millions de visionnements [Note 2]. Soraya Roberts de Daily News commente que « Sa voix ainsi que sa tonalité sont impressionnantes et surpasse la moyenne, il pourrait probablement avoir une chance d’avoir un look Justin Bieber-esque et d’obtenir un succès dans le même genre » [69]. Greyson a interprété la chanson dans le talk-show The Ellen Degeneres Show, et a reçu un appel de Gaga lui souhaitant bonne chance pour sa future carrière [70]. Le groupe rock We The Kings a également repris la chanson en juin 2009, et mis peu après une vidéo de cette reprise sur la plateforme YouTube [71]. Finalement, le pianiste coréen Yoonha Hwang a effectué une version instrumentale de la chanson, et l’a aussi mise sur le réseau YouTube [72].

Liste des éditions[modifier | modifier le code]

  1. Paparazzi (Album Version) – 3:29
  2. Paparazzi (Filthy Dukes Remix) – 5:21
  • Drapeau de l'Australie Drapeau du Canada Remixes Itunes australien & canadien [76],[77]
  1. Paparazzi (Stuart Price Remix) – 3:19
  2. Paparazzi (Moto Blanco Edit) – 4:05
  3. Paparazzi (Filthy Dukes Club Mix) – 5:21
  4. Paparazzi (James Carameta Tabloid Club Edit) – 4:27
  • Drapeau de l'Irlande Drapeau du Royaume-Uni Remixes Itunes irlandais et britannique [78],[79]
  1. Paparazzi – 3:27
  2. Paparazzi (Filthy Dukes Club Mix) – 5:21
  3. Paparazzi (Moto Blanco Edit) – 4:05
  4. Paparazzi (Stuart Price Remix) – 3:19
  5. Paparazzi (Yuksek Remix) – 4:47
  • Drapeau des États-Unis Remxixes Itunes américain [80]
  1. Paparazzi (Demolition Crew Remix) – 3:55
  2. Paparazzi (Moto Blanco Edit) – 4:05
  3. Paparazzi (Stuart Price Remix) – 3:19
  4. Paparazzi (Filthy Dukes Club Mix) – 5:21
  • Drapeau des États-Unis CD single remixes américain [81]
  1. Paparazzi (Demolition Crew Remix) – 3:55
  2. Paparazzi (Moto Blanco Edit) – 4:05
  3. Paparazzi (Stuart Price Remix) – 3:19
  4. Paparazzi (Filthy Dukes Club Mix) – 5:21
  5. Paparazzi (James Camareta Tabloid Club Edit) – 4:27
  6. Paparazzi (Album Version) – 3:29
  7. Paparazzi (Instrumental Version) – 3:29
  • Drapeau de la France Drapeau de l'Allemagne CD single remixes & Remixes Itunes français & allemand [82],[83],[84]
  1. Paparazzi (Moto Blanco Edit) – 4:05
  2. Paparazzi (Moto Blanco Bostic Dub) – 6:42
  3. Paparazzi (Demolition Crew Remix) – 3:55
  4. Paparazzi (Stuart Price Remix) – 3:19
  5. Paparazzi (Filthy Dukes Club Mix) – 5:21
  6. Paparazzi (Yuksek Remix) – 4:47
  7. Paparazzi (James Camareta Tabloid Club Edit) – 4:27
  8. Paparazzi (Radio Edit) – 3:28
  • Drapeau des États-Unis Remixes Itunes #2 américain [85]
  1. Paparazzi (Chew Fu Ghettohouse Radio Edit) - 3:39
  2. Paparazzi (Yuksek Remix) - 4:47
  3. Paparazzi (James Camareta Tabloid Club Edit) - 4:27

Crédits[modifier | modifier le code]

Source: [1]

Classements, certifications et successions[modifier | modifier le code]

Classements et certifications[modifier | modifier le code]

Pays Position Temps au hit-parade Certification
Drapeau de l'Allemagne Allemagne [86] 1er 35 semaines Disque d'or Or [87]
Drapeau de l'Australie Australie [29] 2e 19 semaines Disque de platine 2 × Platine [30]
Drapeau de l'Autriche Autriche [88] 3e 27 semaines
Drapeau de la Belgique Belgique (Fr) [88] 6e 24 semaines
Drapeau de la Belgique Belgique (Nl) [88] 7e 17 semaines
Drapeau du Brésil Brésil [89] 1er 20 semaines
Drapeau de la Bulgarie Bulgarie [90] 3e 12 semaines
Drapeau du Canada Canada [27] 3e 31 semaines
Drapeau du Chili Chili [89] 3e 13 semaines
Drapeau du Danemark Danemark [88] 2e 16 semaines
Drapeau de l'Espagne Espagne [88] 46e 4 semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis [20] 6e 27 semaines Disque de platine Platine [91]
Drapeau des États-Unis États-Unis (téléchargement légal) [92] 3e 33 semaines
 Europe [42] 3e 45 semaines
Drapeau de la Finlande Finlande [88] 9e 3 semaines
Drapeau de la France France [93] 6e 30 semaines
Drapeau de la Grèce Grèce [89] 16e 2 semaines
Drapeau de la Hongrie Hongrie [94] 10e 4 semaines
Drapeau de l'Inde Inde [89] 9e 5 semaines
Drapeau de l'Irlande Irlande [38] 4e 24 semaines
Drapeau de l'Italie Italie [41] 3e 14 semaines
Drapeau de la Nouvelle-Zélande Nouvelle-Zélande [32] 5e 16 semaines Disque d'or Or [33]
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas [40] 4e 15 semaines
Drapeau du Portugal Portugal [89] 8e 28 semaines
Drapeau de la Tchéquie République tchèque (airplay) [95] 1er 41 semaines
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni [36] 4e 49 semaines Disque d'or Or [96]
Drapeau de la Russie Russie (airplay) [97] 8e 53 semaines
Drapeau de la Slovaquie Slovaquie [98] 5e 24 semaines
Drapeau de la Suède Suède [88] 22e 40 semaines
Drapeau de la Suisse Suisse [88] 4e 28 semaines Disque d'or Or [99]
Drapeau de Taïwan Taïwan [89] 2e 19 semaines
Drapeau de l'Ukraine Ukraine [89] 18e 2 semaines
Classement de fin d'année [Note 3]
Pays Position Année Période
Drapeau de l'Allemagne Allemagne [100] 23e 2009 2008 - 2009
Drapeau de l'Australie Australie [101] 12e
Drapeau du Canada Canada [102] 18e
Drapeau des États-Unis États-Unis [103] 53e
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni [104] 18e
Classement de fin de décennie [Note 3]
Pays Position Décennie Période
Drapeau de l'Australie Australie [105] 78e 2000 2000 - 2010

Successions[modifier | modifier le code]

Historique de sortie[modifier | modifier le code]

Pays Date Format
Drapeau de l'Irlande Irlande [106] 5 juillet 2009 CD Single
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni [106] 6 juillet 2009
Drapeau de l'Australie Australie [74] 10 juillet 2009
Drapeau de l'Italie Italie [107] 17 juillet 2009
Drapeau des États-Unis États-Unis [108] 8 septembre 2009
Drapeau de l'Allemagne Allemagne [109] 11 septembre 2009
Drapeau de la France France [110] 7 décembre 2009

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Un lophiiforme est un groupe de poissons vivant dans les fonds de la mer, celui qui évoqué est se nomme Poisson-Ange. Il est régulièrement reconnu pour avoir une « lumière » sur sa tête due à la noirceur de son habitat naturel.
  2. Une école secondaire équivaut au lycée en France, elle est utilisée dans la plupart des institutions américaines. Toutefois, comparée au système de scolarisation français, l'école secondaire, aux États-Unis, poursuit les jeunes de l'âge de 12 à 19 ans, soit jusqu'à l'université.
  3. a et b Un classement de fin d'année est une addition des ventes de l'année entière. Il compile tous les achats numériques et physiques, en suivant les critères habituels, pour finalement en faire un palmarès des chansons les plus vendues de l'année. Toutefois, ces classements ne sont pas nécessairement présents dans tous les pays car ils nécessitent une certaine industrialisation. Similairement, des palmarès de décennie existent qui eux compilent les ventes d'une décennie entière.

Références[modifier | modifier le code]

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