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The Legend of Zelda
A Link Between Worlds
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Logo du jeu.
Développeur
Éditeur
Réalisateur
Hiromasa Shikata (directeur)
Eiji Aonuma (producteur)
Compositeur
Ryo Nagamatsu
Début du projet
Fin 2009
Date de sortie

AN :
EUR :
AUS :
JAP :

Franchise
Genre
Mode de jeu
Plate-forme
Langue
Évaluation
ACB : G ?
CERO : A ?
ESRB : E ?
PEGI : 7 ?
USK : 6 ?
Site web

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The Legend of Zelda: A Link Between Worlds (ou simplement A Link Between Worlds) est un jeu vidéo d’action-aventure développé par Nintendo EAD et édité par Nintendo sur Nintendo 3DS, sorti le en Amérique du Nord et en Europe, le en Australie et le au Japon. Il s'agit du dix-septième opus de la franchise The Legend of Zelda, et est le premier jeu original de la saga à sortir sur cette console.

Successeur spirituel de The Legend of Zelda: A Link to the Past, il n'en est néanmoins pas sa suite directe. Il met en scène Link, apprenti forgeron du royaume d'Hyrule chargé de retrouver la princesse Zelda, capturée par le sorcier Yuga et transportée dans le monde de Lorule, reflet inversé d'Hyrule.

Bien que le projet soit mis en chantier dès 2009, à la suite de la sortie de The Legend of Zelda: Spirit Tracks, avec les premières idées comme la fusion avec les murs, l'équipe de développeurs dirigée par Hiromasa Shikata connait des difficultés, des retards et des refus de la part de Shigeru Miyamoto, le créateur de la série. Le projet prend sa tournure finale en 2012, avec Eiji Aonuma à la production, avec l'ambition de repenser les conventions de la série, comme pouvoir faire les donjons dans l'ordre souhaité par le joueur, ou le système de location des objets.

Le jeu est très bien accueilli par la presse spécialisée, vantant notamment la qualité sonore du titre, ainsi que ses additions aux mécaniques de gameplay, ses énigmes et le design de ses donjons. Il reçoit ainsi plusieurs récompenses dans des cérémonies spécialisées, comme les Game Developers Choice Awards ou les D.I.C.E. Awards.

Trame[modifier | modifier le code]

Contexte[modifier | modifier le code]

Chronologie de la série The Legend of Zelda
La tradition divine et le Héros du temps
Défaite Victoire
Le déclin d’Hyrule
et le dernier Héros 		Le monde de l’ombre
et la descendance du Héros 		Le Héros du vent
et le nouveau monde
Chronologie de Breath of the Wild
Article détaillé : Chronologie des épisodes de la série The Legend of Zelda.

The Legend of Zelda: A Link Between Worlds[Note 1] est le dix-septième opus de la saga The Legend of Zelda[a 1]. Le jeu se situe chronologiquement au milieu de la temporalité dans laquelle Link a été incapable de vaincre Ganondorf dans l'épisode Ocarina of Time[1].

L'histoire débute près de 100 ans après les événements ayant eu lieu dans l'opus A Link to the Past, dans lequel une incarnation précédente du héros Link a vaincu Ganon, restaurant ainsi le Monde de la lumière et la Terre d'Or, tels qu'ils étaient avant l'arrivée de Ganon[2]. Cette incarnation du héros libère ensuite le Poisson-rêve de Maléficio dans The Legend of Zelda: Link's Awakening[a 2], et abat la réincarnation de Ganon dans The Legend of Zelda: Oracle of Seasons et Oracle of Ages[a 3].

Univers[modifier | modifier le code]

A Link Between Worlds se déroule dans un univers médiéval fantastique, le royaume d'Hyrule. L'action se situe dans le même monde que A Link to the Past, plusieurs générations après les événements survenus dans ce dernier[3]. Dans ce royaume, on retrouve des montagnes, un désert, des marais, un grand lac central, et de grandes plaines. Ce royaume est dirigé par la famille royale, dont la princesse Zelda fait partie. Près du château, situé au centre du royaume, on trouve le village Cocorico, près duquel habite Link, le héros de l'aventure, apprenti forgeron, réincarnation du héros ayant vaincu Ganon il y 100 ans.

À l'instar de A Link to the Past, A Link Between Worlds utilise le concept de deux univers parallèles[4]. Ce monde parallèle se nomme Lorule, et consiste en une version altérée et négative d'Hyrule. Plusieurs personnages présent dans le royaume d'Hyrule présentent ainsi un alter ego dans le royaume de Lorule, mais avec des caractères différents, comme Hilda, équivalent lorulien de la princesse Zelda[5]. Similairement au monde des ténèbres de A Link to the Past[6], les lieux de Lorule correspondent à des lieux présents dans Hyrule, le village Cocorico devenant par exemple un repaire de voleurs dans Lorule, ou le mont Hébra devenant une montagne enneigée[a 4]. Lorule possède également une Triforce, qui lui a été dérobée. À cause de cet événement, les habitants de Lorule deviennent plus agressifs et sinistres[a 5], certains allant jusqu'à envier les monstres qui rôdent dans les plaines de Lorule, ces derniers ayant l'air plus heureux. En conséquence, certains habitants portent des masques de monstres[a 6].

Personnages[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Link, Zelda et Personnages de la série The Legend of Zelda.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le jeu se déroule longtemps après A Link to the Past[7], après les évènements de Link's Awakening[8]. Link, jeune apprenti forgeron, doit rapporter à un soldat son épée oubliée. Arrivé au sanctuaire, il surprend le magicien Yuga[9] s'en prendre à la prêtresse Célès et la transformer en tableau. Link décide alors de s'approprier l'épée pour combattre Yuga mais en vain, ce dernier ayant pris la fuite et se dirigeant vers le château de la Princesse Zelda. Par la suite, le sage Sahasrahla convainc Link de retrouver trois pierres afin de récupérer l'épée de légende et vaincre Yuga. Cependant, le magicien parvient à transformer Link en peinture, ce dernier devenu alors prisonnier d'un mur de donjon. Heureusement, le mystérieux bracelet que l'étonnant coéquipier Lavio lui a donné plus tôt permet de conjurer ce sort et permet ainsi au jeune Link de se transformer en peinture et revenir à son état normal à sa guise.

Une fois les trois pierres et l'épée de légende récupérées, Link affronte de nouveau Yuga, mais sans succès, la Princesse Zelda ayant été transformée à son tour en tableau. Link découvre alors sur un mur du bureau de Zelda une faille particulière lui permettant d'atteindre un autre monde, celui de Lorule. Assistant alors à la résurrection de Ganon puis à sa fusion avec Yuga, il perd conscience à la suite d'un coup de celui-ci. Alors que tout semble perdu, un autre personnage intervient : la princesse Hilda, souveraine de Lorule, qui entrave Yuga puis sauve Link en le téléportant hors du palais de Lorule. Elle entre alors en contact télépathique avec Link, et lui indique que Yuga a emprisonné sept sages dans ses tableaux. Link se charge donc de parcourir les sept donjons de Lorule et de sauver les sages un par un, dans la forêt de squelettes, le repaire des bandits, le palais des ténèbres, le palais des sables, le palais du marais, le rocher de la tortue, et le palais de glace.

Se préparant à combattre, il entre dans le palais de Lorule, libéré de son sceau par Hilda. Après avoir vaincu les quatre gardiens, il entre dans la salle du trône. Là, il voit Hilda contemplant le portrait de Zelda. Celle-ci se tourne alors vers Link et lui raconte l'histoire de son royaume, comment il existait autrefois une Triforce propre à celui-ci, et qu'à la suite de multiples conflits visant à s'emparer de cette dernière les ancêtres de Hilda décidèrent de détruire le Pouvoir, plongeant Lorule dans la désolation. Elle expose à Link son but : acquérir la Triforce d'Hyrule, et de fait révèle son vrai visage : elle libère Yuga et s'empare de la Triforce de la sagesse contenue dans Zelda. Link ayant apparemment vaincu Yuga, elle demande à ce dernier de lui transférer la Triforce de la Force. Mais c'est Yuga qui absorbe Hilda et Link doit ainsi le vaincre une nouvelle fois. Ceci fait, Zelda redevient constituée de 3 dimensions. Mais Hilda se réveille et veut encore prendre la Triforce quand Lavio intervient, se révélant être le Héros de Lorule ayant déserté de ce pays, et convainc Hilda qu'il vaut mieux renvoyer Link et Zelda dans leur monde par la faille jadis utilisée par Yuga avec la complicité d'Hilda. Link et Zelda étant revenus en Hyrule, et la Triforce étant complétée, ils la touchent et font ensemble le vœu que la Triforce de Lorule soit recréée. Hilda les remercie alors de son royaume qui a retrouvé son panache d'antan.

Système de jeu[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Reprise d'A Link To The Past[modifier | modifier le code]

Nouveautés apportées au gameplay[modifier | modifier le code]

Concept de mur et de mondes parallèles[modifier | modifier le code]

Gestion de l'inventaire[modifier | modifier le code]

Le jeu reprend le système de jeu de base de la série The Legend of Zelda, avec des graphismes en 3D stéréoscopique. Le joueur contrôle Link en vue de dessus et explore un environnement ouvert composé de différents villages et décors variés. Au cours de son aventure, Link utilise une épée et différents objets nécessaires à sa progression dans le monde ou les donjons du jeu. L'utilisation de certains objets s'effectue grâce à un compteur d'endurance qui remplace les compteurs individuels des objets comme les flèches ou les bombes[10].

Contrairement aux anciens épisodes, les objets doivent être loués ou achetés à l'aide de rubis dans la boutique de Lavio[11],[12]. Ils peuvent être améliorés en trouvant les bébés de Big'ornette[9],[13]. Les donjons peuvent donc s'effectuer dans l'ordre souhaité par le joueur[14].

Une des nouveautés est la transformation de Link en peinture le rendant capable de se déplacer sur les murs. Le joueur doit donc utiliser ce mécanisme pour explorer le monde sous un nouvel angle pour atteindre des lieux inaccessibles ou résoudre des énigmes. Le jeu propose également une fonctionnalité StreetPass consistant à différents défis à accomplir en affrontant un Link noir[15]. Le jeu propose également plusieurs mini-jeux comme un jeu de base-ball[16] ou un autre d'esquive de poulets. Une fois le jeu terminé une première fois, un mode de difficulté supplémentaire est disponible[17].

Développement[modifier | modifier le code]

Genèse du projet, équipe et concept[modifier | modifier le code]

Changements apportés au système de jeu[modifier | modifier le code]

Graphismes, conception des lieux et des personnages[modifier | modifier le code]

Fin du processus et choix du titre[modifier | modifier le code]

Après la sortie de Spirit Tracks fin 2009, une grande partie de l'équipe a pris part au développement de l'épisode Wii, Skyward Sword. Seuls Hiromasa Shikata et Shiro Mouri sous la supervision d'Eiji Aonuma ont commencé à trouver de nouvelles idées pour le futur jeu sur la future console portable de Nintendo, la Nintendo 3DS. C'est pendant la première année de réflexion que l'idée de transformer Link en peinture murale intervient[18],[19]. Cette idée provient d'Ocarina of Time lorsque Link affronte Ganon se déplaçant à travers différents tableaux[20]. Un premier prototype est alors réalisé pour mieux concevoir ce qu'il est possible de faire avec ce nouveau système, dans un angle de caméra de trois-quart et un Link cartoon comme dans Spirit Tracks. Alors que le prototype est réalisé, le développement du jeu est suspendu aux alentours d'octobre 2010 afin d'aider aux développements des jeux du lancement de la Wii U[21].

En novembre 2011, après la sortie de Skyward Sword, Eiji Aonuma annonce la création d’un nouvel épisode sur Nintendo 3DS en précisant qu'il n’est ni une suite des précédents jeux sortis sur DS, ni un remake comme Ocarina of Time 3D[22]. En attendant de pouvoir reprendre la même équipe qu'auparavant, Aonuma fait appel à Kentaro Tominaga, pour prendre la suite de Hiromasa Shikata, et un nouveau programmeur pour reprendre les travaux déjà effectués. Tominaga commence par réaliser plusieurs donjons à partir de l'idée de peinture murale, mais ceux-ci ne plaisent pas à Shigeru Miyamoto, qui suggère à l'équipe de se rapprocher du style de A Link to the Past. Trois choix s'offraient alors à Nintendo : faire un remake de Majora's Mask, un remake ou une suite à A Link to the Past, ou alors quelque chose d'inédit[23]. Aonuma décide finalement de rajouter l'idée de la peinture murale sur la carte d’A Link to the Past avec une vue du dessus[24]. Le développement du jeu commence alors réellement après que Miyamoto ait donné son accord, ce dernier souhaitant voir un remake de A Link to the Past ou un nouveau jeu inspiré de celui-ci sur Nintendo 3DS[25].

Un des concepts forts sur le développement est le fait de repenser les conventions de la série. Les développeurs ont alors décidé de pouvoir parcourir le monde librement et effectuer les différents donjons du jeu dans l'ordre souhaité par le joueur, afin que celui-ci ne se retrouve bloqué. Cela passe alors par une nouvelle gestion des objets qui s'obtiennent habituellement dans les donjons. Ici, les objets sont disponibles dans une boutique en location ou à l'achat pour pouvoir explorer le monde librement[26]. Afin de rendre Link reconnaissable malgré la vue du dessus utilisée, les développeurs ont décidé d'incliner tous les éléments du jeu, Link compris[27]. Ensuite, ils se sont assurés dès le début du développement que le jeu tournerait à 60 images par seconde, afin de proposer une grande fluidité au jeu et une stabilité à la 3D stéréoscopique. Cela a également permis l'utilisation du stylet pour choisir et équiper les différents objets de Link, possible uniquement avec une fréquence élevée[28]. Un des donjons du jeu, la tour d'Héra, a été utilisé par l'équipe pour montrer les possibilités de ce Zelda, notamment la vision sur plusieurs niveaux en 3D stéréoscopique. Pour le design de Link dans le mur, l'équipe a réalisé plusieurs essais, en partant du Link en 3D de Spirit Tracks pour finalement aboutir sur la forme définitive, à savoir une forme de fresque[29].

Le jeu est officiellement dévoilé le 17 avril 2013 lors d’un Nintendo Direct[30],[31]. Il est intitulé Triforce of the Gods 2 au Japon, montrant le lien avec A Link to the Past, celui-ci s'appelant Triforce of the Gods au Japon. À l'étranger, le jeu est nommé A Link Between Worlds[32] car il ne s'agit plus de voyage dans le temps mais de voyage entre deux mondes, Hyrule et Lorule[26]. Le jeu est commercialisé le 22 novembre 2013 en Amérique du Nord et en Europe[33],[14], le 23 novembre en Australie et le 26 décembre au Japon

Bande-son[modifier | modifier le code]

La bande-son de The Legend of Zelda: A Link Between Worlds est composée et arrangée par Ryo Nagamatsu, déjà responsable de la composition de plusieurs bandes-son de jeux Nintendo, comme Super Mario Galaxy 2 ou Nintendo Land[34]. Certains morceaux issus de A Link to the Past sont réarrangés spécialement pour ce jeu, afin de renforcer le lien entre les deux jeux[35]. Contrairement à The Legend of Zelda: Skyward Sword, qui propose des musiques orchestrales[36], A Link Between Worlds n'utilise pas de sons provenant de vrais instruments, afin de proposer une qualité sonore optimale pour la Nintendo 3DS. Nagamatsu explique avoir fait ce choix très rapidement afin de satisfaire les joueurs jouant avec ou sans écouteurs[37].

La bande originale du jeu est composée et arrangée par Ryo Nagamatsu. Certains des morceaux sont des arrangements des originaux issus de A Link to the Past, du fait de la proximité entre les deux jeux[38]. Le jeu ne propose pas de musiques orchestrales comme dans Skyward Sword pour proposer une qualité de son optimale sur Nintendo 3DS[39].

La musique du château de Lorule a pour base la version inversée de la musique du château d'Hyrule provenant de A Link to the Past[40]. Le mode StreetPass propose deux versions remixées et réarrangés du thème du Temple de Zelda II: The Adventure of Link.

La bande son contenant 105 musiques du jeu est proposée en double disque sur le Club Nintendo en novembre 2014 au Japon[41] et en janvier 2015 en Europe[42].

Analyse[modifier | modifier le code]

Parallèle avec A Link To The Past[modifier | modifier le code]

Adaptation du mythe du héros[modifier | modifier le code]

Commercialisation[modifier | modifier le code]

Annonces[modifier | modifier le code]

Mise sur le marché[modifier | modifier le code]

Accueil[modifier | modifier le code]

Critique[modifier | modifier le code]

Aperçu des notes reçues
Presse papier
Média Note
Edge (UK) 8 / 10[43]
Official Nintendo Magazine 94 %[44]
Presse numérique
Média Note
Eurogamer (UK) 8 / 10[45]
Gamekult (FR) 8 / 10[46]
GameSpot (US) 9 / 10[47]
IGN (US) 9,4 / 10[48]
Jeuxvideo.com (FR) 17 / 20[49]
Agrégateurs de notes
Média Note
Metacritic 91 / 100[50]

modifier Consultez la documentation du modèle

Après avoir testé la version démo, le site Jeuxvideo.com qualifie le jeu comme étant « LE jeu de référence de la 3DS »[51].

Ventes[modifier | modifier le code]

Récapitulatif des ventes
Date Au niveau mondial Au Japon À l'étranger
[52] 2,18 millions 0,33 millions 1,85 millions
[53] 2,51 millions 0,47 millions 2,04 millions

Au Royaume-Uni, le site spécialisé GfK recense une entrée sur le marché à la neuvième place du classement, toutes plateformes confondues, lors de sa semaine de lancement, derrière Forza Motorsport 5 et Dead Rising 3[54]. Le cabinet d'étude de marchés NPD Group statue qu'environ 280 000 copies on été écoulées lors du mois de novembre 2013 aux États-Unis, sans compter l'offre promotionnelle comprenant le jeu et une Nintendo 3DS XL aux couleurs du jeu, qui s'est lui vendu à 125 000 exemplaires lors de la même période de temps[55]. Lors de sa première semaine d'exploitation au Japon, The Legend of Zelda: A Link Between Worlds est le jeu le plus vendu, toutes plateformes confondues, plus de 224 000 copies trouvant preneur[56].

En janvier 2014, A Link Between Worlds s'est vendu à plus de 100 000 exemplaires sur le territoire allemand, lui permettant de recevoir une récompense de la part de l'Association fédérale des logiciels de divertissements interactifs (de), l'association de producteurs de d'éditeurs de jeux vidéos allemande[57]. À la même période aux États-Unis, les ventes d'A Link Between Worlds grimpent à 750 000 unités écoulées[58].

Au , Nintendo annonce avoir vendu 2,5 millions d'unités partout dans le monde, ce qui en fait le neuvième jeu 3DS le plus vendu à cette date[59]. En août 2014, il est annoncé que le jeu cumule 1,09 million copies du jeu vendues aux États-Unis, ce qui fait de lui le neuvième jeu édité par Nintendo à dépasser le million d'unités écoulées[60].

Récompenses[modifier | modifier le code]

Récapitulatif des récompenses
Année Récompense Catégorie Statut
2013 Spike Video Game Awards Meilleur jeu sur console portable[61] Lauréat
Meilleur design[62] Nomination
Game Developers Choice Awards Meilleur jeu sur console portable[63] Lauréat
DICE Awards Meilleur jeu sur console portable[64] Lauréat
Meilleur jeu vidéo de l'année 2013[64] Nomination
Meilleur jeu d'aventure[64] Nomination

The Legend of Zelda: A Link Between Worlds est récompensé par plusieurs prix lors de sa sortie, comme celui du « Meilleur jeu sur console portable de l'année » décerné par les Spike Video Game Awards[61], Game Developers Choice Awards[63] et les DICE Awards en 2013[64]. Il est également nommé dans la catégorie « Meilleur design » à l'édition 2013 des Spike Video Game Awards, mais s'incline devant The Last of Us[62]. The Legend of Zelda: A Link Between Worlds est également nommé sans succès dans les catégories « Meilleur jeu vidéo de l'année 2013 » et « Meilleur jeu d'aventure » aux DICE Awards de la même année, perdant également dans ses deux catégories face à The Last of Us[64].

A Link Between Worlds reçoit également des prix de la part de la presse spécialisée. Le site américain GameSpot lui décerne notamment le prix de « Meilleur jeu sur Nintendo 3DS de l'année »[65], ainsi que le plus prestigieux « Meilleur jeu vidéo de l'année »[66]. Dans cette même catégorie, le site spécialisé Polygon le classe second, derrière Gone Home[67],[68].

Récapitulatif des récompenses (presse spécialisée ou public)
Année Récompense Catégorie Statut
2013 GameSpot's Game of the Year 2013 Awards Meilleur jeu sur Nintendo 3DS[65] Lauréat
Meilleur jeu vidéo de l'année[66] Lauréat
Polygon's Games of the Year 2013 Meilleur jeu vidéo de l'année[67] 2de place

Postérité[modifier | modifier le code]

Importance et suite[modifier | modifier le code]

Triforce heroes suite directe : [69]

Influence sur le reste de la série[modifier | modifier le code]

Musique et produits dérivés[modifier | modifier le code]

Reprise de contenu et caméos[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. ↑ ゼルダの伝説 神々のトライフォース2 Zeruda no densetsu: Kamigami no Toraifōsu tsū, dans sa version originale japonaise.

Références[modifier | modifier le code]

Références bibliographiques
  1. ↑ Aonuma 2013, Catalogue des jeux, p. 237.
  2. ↑ Courcier et El Kanafi 2016, Chapitre IV : Zelda: Link's Awakening - Théâtre nocturne, p. 52-53.
  3. ↑ Pelland 2001, p. 124
  4. ↑ Yamamori et Sakai 2018, p. 301
  5. ↑ Yamamori et Sakai 2018, p. 33
  6. ↑ Yamamori et Sakai 2018, p. 32
Autres références
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  3. ↑ (en) Andrew Webster, « 30 years of Zelda: a timeline of the legend so far », sur The Verge, (consulté le )
  4. ↑ (en) Jeff Balakar, « Exclusive: Zelda 3DS 'feels totally different,' needs to be played in 3D », sur CNET, (consulté le )
  5. ↑ Jihem, « Zelda 3DS : Découvrez Lorule et Hilda », sur Jeuxvidéo.com, (consulté le )
  6. ↑ « Zelda III », Nintendo Player, no 7,‎ , p. 38-43.
  7. ↑ « A Link Between Worlds n'est pas la suite directe de A Link to the Past », sur nintendo-master.com, .
  8. ↑ (en) « The Legend of Zelda: A Link Between Worlds’ Place In The Zelda Timeline Detailed », sur siliconera.com, (consulté le )
  9. ↑ a et b (en) « NYCC: Zelda Producer Reveals New Princess, Lorule Kingdom, and Item Upgrades », sur IGN,
  10. ↑ « Defacing dungeons in The Legend of Zelda 3DS », sur Joystiq,
  11. ↑ « A Link Between Worlds : Aonuma nous parle de rubis et d'annualisation », sur p-nintendo.com,
  12. ↑ « Zelda - A Link Between Worlds : des artworks entre deux mondes », sur p-nintendo.com,
  13. ↑ « A Link Between Worlds : réponses d'Aonuma et images inédites », sur p-nintendo.com,
  14. ↑ a et b « Date de sortie pour Zelda : A Link Between Worlds », sur Jeuxvideo.com,
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  17. ↑ « Un nouveau mode de difficulté pour Zelda : A Link Between Worlds », sur Jeuxvideo.com,
  18. ↑ « Interview de Eiji Aonuma (Zelda) », sur Jeuxvideo.com,
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  21. ↑ « Iwata demande 2. "Ne nous oubliez pas !" », sur nintendo.fr (consulté le )
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  29. ↑ « Iwata demande 5. "On peut faire ça ?" », sur nintendo.fr (consulté le )
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Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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