Saint-Nazaire-le-Désert

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Saint-Nazaire-le-Désert
Saint-Nazaire-le-Désert
Vue sur le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Diois
Maire
Mandat
Daniel Fernandez
2020-2026
Code postal 26340
Code commune 26321
Démographie
Gentilé Saint-Nazairais, Saint-Nazairaises
Population
municipale
206 hab. (2021 en augmentation de 18,39 % par rapport à 2015)
Densité 4,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 15″ nord, 5° 16′ 36″ est
Altitude Min. 527 m
Max. 1 447 m
Superficie 46,62 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Diois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Nazaire-le-Désert

Saint-Nazaire-le-Désert est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Nazaire-le-Désert est situé à 20 km au nord-ouest de La Motte-Chalancon.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le village est traversé par la Roanne, ainsi que par l'un de ses affluents, la Brette.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 949 mm, avec 8,1 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 011,8 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records ST-NAZAIRE-LE-D (26) - alt : 607m, lat : 44°33'16"N, lon : 5°17'05"E
Records établis sur la période du 01-07-1991 au 06-11-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −2,4 −2,6 −0,2 2,8 6,6 9,8 11,6 11,4 8,3 5,6 1,4 −1,7 4,2
Température moyenne (°C) 2,4 3 6,2 9,3 13,4 17,2 19,5 19,3 15,1 11,4 6,3 2,8 10,5
Température maximale moyenne (°C) 7,1 8,6 12,6 15,9 20,2 24,5 27,4 27,1 22 17,3 11,2 7,3 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−16,2
05.01.1995
−18,8
05.02.12
−15,2
02.03.05
−8,6
08.04.21
−2,8
07.05.19
0
04.06.01
2,8
17.07.00
2
31.08.1995
−1,3
18.09.01
−7,1
31.10.1997
−12,3
18.11.07
−16,8
30.12.05
−18,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
06.01.1999
22,2
20.02.1998
24,5
23.03.01
27,3
30.04.05
34,7
22.05.22
37,4
27.06.19
37,2
31.07.20
38,4
06.08.03
31,6
02.09.05
27,4
07.10.09
22,8
02.11.20
17,7
25.12.1997
38,4
2003
Précipitations (mm) 81,4 55,6 64,2 93,7 94,6 59,4 54,3 60 105,2 120,3 140,1 83 1 011,8
Source : « Fiche 26321003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le Col du Portail situé dans le périmètre de la commune permet de relier par la route la haute vallée de la Roanne à la vallée de l'Oule.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Nazaire-le-Désert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,6 %), terres arables (1,7 %), prairies (1,4 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Place du village de Saint-Nazaire-le-Désert.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

En 1891, le quartier l'Adret-de-Préneuf est attesté. Il était mentionné Ladrest au XVIIe siècle (parcellaire)[12].

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Sancti Nazarii in archipresbyteratu Dezerti (pouillé de Die).
  • 1415 : Sainct Nazere (rôle de décimes).
  • 1450 : mention de la paroisse quelquefois appelée paroisse de Montanègre : parrochia de Monteneges (Rev. de l'évêché de Die).
  • 1509 : mention de l'église paroissiale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse : ecclesia parrochialis Sanctorum Nazarii et Celsi in Deserto (visites épiscopales).
  • 1529 : Sant Nazari (archives hosp. de Crest).
  • 1576 : mention du prieuré : le prioré de Sainct Nazere (rôle de décimes).
  • 1620 : locus Sancti Nazarii in Deserto (registre paroissial de Saou).
  • 1740 : Saint Nazaire le Deser (Combe, notaire à Saint-Martin-en-Vercors).
  • 1891 : Saint-Nazaire-le-Désert, commune du canton de La Motte-Chalancon.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Néolithique

Vers 6 000 ans avant notre ère : les pasteurs du Cardial sont connus à Arnayon[réf. nécessaire].

Vers 4 000 ans : les Chasséens ont laissé d'abondantes traces de leurs activités dans les grottes des Sadoux, de Reychas et du Trou-Arnaud dont les porches servirent d'habitat, de bergerie ou de lieu d'offrande.
Ces premiers agriculteurs cultivent des pois et diverses variétés de blé. Ils élèvent des moutons, des chèvres et chassent le chamois et le cerf. Plusieurs haches en pierre polie, trouvées à Brette, à Chalancon, à Volvent, remontent à cette même époque néolithique[réf. nécessaire].

Âges des Métaux
  • Des sépultures chalcolithiques ont été découvertes au Trou-Arnaud[réf. nécessaire].
  • Des poteries campaniformes et du bronze final ont été découvertes à Reychas[réf. nécessaire].
  • Des vases contenant des grains de blé grillés (âge des Métaux)[14].

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Période celtique : un fer de javelot a été découvert à Gumiane[réf. nécessaire].

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

La région de la Roanne, à l'écart des voies de circulation, présentait peu de terroirs plats développés et se prêtait mal à la mise en valeur intensive que connurent les autres vallées dioises. Cependant la présence de fragments de tuiles à rebords dans pratiquement toutes les communes, montre une occupation effective mais dispersée. Les découvertes significatives restent rares[réf. nécessaire].

L'unique site de villa est aujourd'hui localisé au quartier des Gros d'Aucelon : débris de tegulae et de céramique commune grise et de sigillée[réf. nécessaire].
Une monnaie du IIIe siècle de notre ère a été retrouvée à la Haute Gumiane[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie :

  • Au point de vue féodal, la paroisse de Saint-Nazaire-le-Désert formait la terre de Montanègre (voir ce nom)[13].
  • XIIe siècle : fief des évêques de Die[14].

Avant 1790, Saint-Nazaire-le-Désert était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, appelée quelquefois paroisse de Montanègre, et dont l'église, dédiée à saint Nazaire et à saint Celse, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation d'Aurillac), auquel étaient unis, dès 1650, les prieurés de Guisans, le Merlet et le Petit-Paris, et dont le titulaire était collateur et décimateur dans ces quatre paroisses[13].

Montanègre[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1231 : Desertus vocatus Montanegre (Gall. christ., XVI, 208).
  • 1450 : Monte Neges (Rev. de l'évêché de Die).
  • XVIIe siècle : la tour de Montanègues (parcellaire).
  • 1788 : le marquisat de Montanègue (Alman. du Dauphiné).
  • 1891 : Montanègre ou Montanègue, montagne et château ruiné de la commune de Saint-Nazaire-le-Désert.

La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, la terre relève en fief des évêques de Die.
  • 1298 : une partie de la terre est acquise par les Sahune
    • 1336 : cette part est donnée aux dauphins.
    • Peu de temps après : elle est recouvrée par les Sahune.
    • Cette part passe aux Brotin.
    • Elle passe (par mariage) chez les Eurre.
  • Début XVIIe siècle : les Eurre, ayant acquis et joint à cette terre celles de Guisans, de Gumiane, de Paris et du Merlet, se qualifièrent marquis de Montanègue bien qu'il n'y ait jamais eu d'érection en marquisat.
  • Vers 1750 : la terre passe aux Verdeilhan des Fourniels, derniers seigneurs.

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, Saint-Nazaire-le-Désert devient le chef-lieu d'un canton du district de Die, comprenant les municipalités d'Aucelon, Bouvières, Brette, Chaudebonne, Gumiane, le Petit-Paris, Pradelles, Rochefourchat, Saint-Nazaire-le-Désert et Volvent. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de la Motte-Chalancon[13].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie-école de Saint-Nazaire-le-Désert.

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1871   ?    
1874   ?    
1878   ?    
1884   ?    
1888   ?    
1892   ?    
1896   ?    
? (1900) (décès) Joseph Aubert   notaire
1900   Albert Aubert (fils du précédent)   notaire
conseiller d'arrondissement (Canton de La Motte-Chalancon)
puis Conseiller général
1904   ?    
1908   ?    
1912   ?    
1919   ?    
1925   ?    
1929   ?    
1935   ?    
1945   ?    
1947   ?    
1953   ?    
1959   ?    
1965   ?    
1971   ?    
1977   ?    
1983   ?    
1989 2008 Claude Brès DVD conseiller général
2008 En cours
(au 26 novembre 2020)
Daniel Fernandez[16][source insuffisante] DVD Retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].

En 2021, la commune comptait 206 habitants[Note 2], en augmentation de 18,39 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0311 1421 1691 1181 1001 0771 000989883
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
882881893870836775719685685
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
677664580487440427391348289
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
283257205197168183144143190
2021 - - - - - - - -
206--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : le quatrième dimanche d'août[14].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

En 1992 : noyers, lavande (distillerie), pâturages (ovins, caprins)[14].

  • Produits locaux : fromage le Picodon[14].
  • Foires : les 10 février, 20 avril, 2 juin, le lundi après le quatrième dimanche d'août, le 22 septembre, le 16 octobre, le 14 décembre[14].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Camping municipal[14].
  • Chambres d'hôte[14].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Saint-Nazaire-le-Désert possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-le-Désert » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-le-Désert » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (L'Adet-de-Préneuf).
  13. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 353.
  14. a b c d e f g h i j k et l Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Nazaire-le-Désert.
  15. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 223 (Montanègre).
  16. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.