La Motte-Chalancon
La Motte-Chalancon | |||||
Vue du village en 2022. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Die | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Diois | ||||
Maire Mandat |
Laurent Combel 2020-2026 |
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Code postal | 26470 | ||||
Code commune | 26215 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mottois, Mottoises | ||||
Population municipale |
405 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 29′ 09″ nord, 5° 22′ 49″ est | ||||
Altitude | Min. 517 m Max. 1 424 m |
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Superficie | 22,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Diois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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La Motte-Chalancon est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont dénommés les Mottois et les Mottoises.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située en Drôme provençale à 9 km au nord de Rémuzat, à 43 km à l'est de Dieulefit et à 25 km au sud-est de Saint-Nazaire-le-Désert.
Chalancon | Jonchères | Bellegarde-en-Diois | ||
Chalancon | N | Establet Rottier | ||
O La Motte-Chalancon E | ||||
S | ||||
Arnayon | Cornillon-sur-l'Oule | Rottier Cornillac |
Relief et géologie
[modifier | modifier le code]La commune est entourée de montagnes qui culminent à plus de 1 500 m d'altitude.
Elle est au croisement de quatre vallées et au commencement des gorges de l'Arnayon[1].
SItes particuliers :
- le mont Alayant est attesté en 1891[2].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par :
- le torrent l'Arnayon ;
- la rivière Oule.
- le Ruisseau d'Aiguebelle[3] est attesté en 1891. Il a sa source au col des Roustans sur la commune de Chalancon. Il traverse cette dernière puis passe sur la commune de La Motte-Chalancon où il se jette dans l'Oule après un parcours de sept kilomètres. En 1891, sa largeur moyenne est de 11,60 m, sa pente de 84 m, son débit ordinaire de 0,10 m3, extraordinaire de 15 m3[4].
- le ravin Aigue-Douce, affluent de l'Oule, est attesté en 1891[5].
La commune possède des eaux minérales alcalines[1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 911 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Bellegarde-en-Diois à 7 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 016,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]L'altiport
[modifier | modifier le code]Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , La Motte-Chalancon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), zones urbanisées (2,1 %), prairies (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
[modifier | modifier le code]Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Saint-Pierre est un quartier attesté en 1891[17]
Logement
[modifier | modifier le code]Projets d'aménagement
[modifier | modifier le code]Risques naturels et technologiques
[modifier | modifier le code]Toponymie
[modifier | modifier le code]Attestations
[modifier | modifier le code]Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :
- 1296 : La Mota (visites de Cluny).
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Mota (pouillé de Die).
- 1392 : Mota Chalanconis' (archives municipales de Gap).
- 1441 : Mota Dyensis diocesis (cartulaire de Die, 165).
- 1509 : mention de la paroisse : parrochia Mote (visites épiscopales).
- 1509 : mention de l'église Annonciation de la Sainte-Vierge : ecclesia Beate Marie Chalanconis (visites épiscopales).
- 1619 : mention de la paroisse : la cure de la Motte (rôle de décimes).
- 1891 : La Motte-Chalancon, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Die.
La graphie La Motte-Chalançon est aussi largement attestée mais semble erronée[19].
Étymologie
[modifier | modifier le code]Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Au néolithique, la région est habitée[réf. nécessaire].
Protohistoire
[modifier | modifier le code]Sépultures et monnaies gauloises[1].
Antiquité : les Gallo-romains
[modifier | modifier le code]- Sépultures et monnaies gallo-romaines[1].
- Restes d'une villa gallo-romaine[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
[modifier | modifier le code]La seigneurie :
- Au point de vue féodal, la terre était un fief des comtes de Diois[1].
- 1286 : possession des Bourdeaux[18].
- 1315 : la terre est partagée entre les Artaud et les Eurre[18].
- 1446 : la part des Artaud appartient aux Monteynard, qui la possèdent encore au début du XVIe siècle[18].
- Vers 1590 : la part des Eurre passe aux Moreton de Chabrillan[18].
- 1627 : le tout est acquis par les La Morte-Laval[18].
- 1760 : passe (par mariage) aux Chastellard, derniers seigneurs[18].
Le , pendant les guerres de Religion, le capitaine huguenot Charles Dupuy de Montbrun prend la ville d'assaut. Le village est pillé. Les huguenots massacrent ses habitants et « épousent les veuves et les filles de ceux qui furent tués », selon un témoin du temps[20].
Avant la Révolution française, la monarchie soutient la réaction seigneuriale par les édits de triage : le Devès, qui était un bois géré par la communauté, est confisqué par Mme du Châtelard, ce qui entraîne un procès entre la communauté et la dame (seigneur) du fief[21].
Avant 1790, la Motte-Chalancon était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die, dont l'église était sous le vocable de l'Annonciation de la Sainte-Vierge, et la cure de la collation de l'évêque. Les dîmes appartenaient au pitancier de Saint-Marcel de Die, comme prieur du lieu (Saint-Pierre)[18].
De la Révolution à nos jours
[modifier | modifier le code]En 1790, la Motte-Chalancon devient le chef-lieu d'un canton comprenant les municipalités de Arnayon, Establet, la Motte-Chalancon, Rottier, Saint-Ferréol et Villeperdrix. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) y ajoute les communes de Bellegarde, Brette, Chalancon, Çhaudebonne, Gumiane, le Petit-Paris, Pradelles, Rochefourchat, Saint-Dizier, Saint-Nazaire-le-Désert, Valdrôme et Volvent[18].
En 1893, La Motte-Chalancon est le deuxième village de la Drôme à être équipé de l'électricité grâce au projet privé de Romain Laganier[réf. nécessaire].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Tendance politique et résultats
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La Motte-Chalancon était chef-lieu de canton jusqu'en .
Le redécoupage des cantons du département l'a placée dans le canton du Diois[23]).
Politique environnementale
[modifier | modifier le code]Villes et villages fleuris
[modifier | modifier le code]Village fleuri[1].
Finances locales
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]La Motte-Chalancon est jumelée avec Stembert Verviers Belgique, depuis 1971[24].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2021, la commune comptait 405 habitants[Note 1], en évolution de −2,88 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Le village a subi l'exode rural.
Services et équipements
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Fêtes : le 14 juillet et le deuxième dimanche d'août[1].
Loisirs
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]- Centre sportif[1].
Médias
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]En 1992 : vignes, lavande (distillerie et coopérative), agneaux de la Drôme, apiculture (miel)[1].
Autres : élevage ovin, noix, agriculture biologique[réf. nécessaire].
Commerce
[modifier | modifier le code]- Une supérette (livraison des courses par voiturette robotisée[29][source insuffisante]).
Tourisme
[modifier | modifier le code]- Syndicat d'initiative (en 1992)[1].
- Station climatique[1].
- Station Verte (de vacances)[réf. nécessaire].
- Camping[1].
Revenus de la population et fiscalité
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Village ancien homogène : ruelles, passages voûtés, vieilles facades, fontaines[1].
- Église Notre-Dame de La Motte-Chalancon, romane : chevet (ou chœur) du XIVe siècle[1].
- Elle a été construite au XIIe siècle dans l'enceinte de l'ancien château fort du Xe siècle. Elle domine le village dont les constructions sont étagées autour d'elle en cercles concentriques.
- Au XIVe siècle, des travaux tentèrent de lui donner un aspect gothique mais ils restèrent inachevés pour des raisons financières.
- De 1896 à 1897, de grands travaux transforment l'église avec la construction de la voûte gothique de la nef.
- En 1961, une restauration est entreprise dans l'esprit du concile Vatican II, sous l'impulsion des Frères des Campagnes qui viennent de s'installer dans le village.
- Les deux vitraux du chœur et celui à l'ouest sont non-figuratifs (bleu au levant et rouge au couchant, donnant des lumières très différentes en fonction de l'ensoleillement). Ils ont été réalisés par les maîtres verriers de Valence : Mlle Girardet et Mr Thomas. Les vitraux de la nef sont l'œuvre de l'artiste autrichien Florian Jakowitch qui a travaillé sur place trois étés de suite. Il avait pour tâche de représenter les principaux personnages de l'histoire sainte[réf. nécessaire].
- Château de la Charce : style Renaissance. Autrefois imposant, il est aujourd'hui ruiné[1].
Patrimoine culturel
[modifier | modifier le code]Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du parc naturel régional des Baronnies provençales (départements de la Drôme et des Hautes-Alpes).
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Louis Evesque (1855-1907), médecin à la Motte-Chalanon et homme politique, maire, conseiller général puis député y est né.
- Patrice Jeener (1944-), graveur et artiste-mathématicien français, habite et a installé son atelier dans la commune[30].
- Coline Serreau (1947-), actrice réalisatrice scénariste compositrice, et chef de chœur à la chorale du Delta. Elle est venue à la Motte-Chalancon dans le cadre du festival « Rencontres culturelles » en et en est devenue la marraine.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]La Motte-Chalancon possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- La Motte-Chalancon sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Motte-Chalancon.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 4 (Alayant).
- « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aiguebelle).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 2 (Aigue-Douce).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Motte-Chalancon et Bellegarde-en-Diois », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bellegarde-en-Diois », sur la commune de Bellegarde-en-Diois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 357 (Saint-Pierre).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 238.
- L. Rondonneau (éditeur), Collection générale des lois, depuis 1789 jusqu’au 1er avril 1814, tome huitième, IIe partie, Paris, 1818, p. 717 : « Arrêté contenant Rectification de ceux qui ont ordonné la Réduction des Justices de paix des Départemens [sic] de la Drôme, de la Haute-Garonne, du Gers, de la Mayenne, de la Meurthe, de Sambre-et-Meuse, de la Somme et de la Vendée. Du 22 février 1802 [3 Ventôse an 10]. — (III. B. 228 bis, n.° 5.) […] Canton de la Motte Chalancon. Au lieu de la Motte-Chalançon, Saint-Nazaire, lisez la Motte-Chalancon, Saint-Nazaire-le-Désert. »
- Roger Pierre, « Un épisode peu connu des guerres de religion : Les défenseurs de la cause commune et La guerre des Paysans », Bulletin de l'association universitaire d'études drômoises, no 15, , p. 8 (lire en ligne).
- Roger Pierre, « Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution », Études drômoises, no 64, , p. 20.
- « Annuaire des Communes de la Drôme », sur Association des Maires et Présidents de… (consulté le ).
- Décret no 2014-191 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Drôme
- jumelage
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- L'Express du 15/07/2021.
- « Gravure sur Cuivre Patrice Jeener | La Drôme Tourisme », sur ladrometourisme.com, (consulté le ).