Malay-le-Grand

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Mâlay-le-Grand
Malay-le-Grand
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Sens
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Sénonais
Maire
Mandat
Séverine Mainvis
2020-2026
Code postal 89100
Code commune 89239
Démographie
Gentilé Malaysien, Malaysienne
Population
municipale
1 578 hab. (2021 en augmentation de 1,74 % par rapport à 2015)
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 32″ nord, 3° 20′ 31″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 221 m
Superficie 21,8 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sens
(banlieue)
Aire d'attraction Sens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sens-2
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Mâlay-le-Grand
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Mâlay-le-Grand

Mâlay-le-Grand est une commune française située dans le département de l'Yonne (89) et la région de Bourgogne-Franche-Comté. Au dernier recensement de 2021, Malay-le-Grand comptait 1 578 habitants. Son altitude maximale est de 221 mètres.

Ses habitants sont appelés les Malaysiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation, description[modifier | modifier le code]

Mâlay-le-Grand est dans le nord du département de l'Yonne et le nord de la Bourgogne, à environ 4 km au sud-ouest du centre historique de Sens, sur la D660 menant à Troyes[1] (62 km à l'ouest)[2].

Le village, à environ 80 m d'altitude, se trouve dans la vallée de la Vanne, bordée au nord et au sud par des hauteurs menant à des plateaux qui avoisinent 200 m d'altitude[1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La D660 Sens-Troyes traverse le centre de la commune d'ouest en est ; c'était anciennement le chemin menant à Saint-Florentin et de là vers Bar-sur-Aube ou vers Tonnerre[1]. La D225 traverse le nord de la commune[1].

Une ligne de transport en commun INTERCOM de Sens passe à Mâlay-le-Grand :

  • Ligne 2 : Sens Garibaldi - Malay Pasteur ou Malay Route de Genève

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Vanne, affluent de l'Yonne en rive droite, arrose le bourg, coulant d'est en ouest. Le ruisseau de Mondereau, qui vient de Sens au nord-ouest, conflue avec la Vanne au bourg de Mâlay. Ce sont les principaux cours d'eau naturels traversant la commune.

L'aqueduc de la Vanne traverse aussi la commune, passant au nord de Mâlay[1]. Venant des « sources d'Armentières » à Saint-Benoist-sur-Vanne (25 km à vol d'oiseau à l'ouest de Mâlay - l'acqueduc s'appelle à cet endroit l'acqueduc d'Armentières), il fournit Paris en eau, pour un trajet de quelque 110 km[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Sens Saligny Malay-le-Petit Rose des vents
Maillot N Noé
O    Mâlay-le-Grand    E
S
Rosoy Véron Les Bordes

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 677 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sens », sur la commune de Sens à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 644,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22,6 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Malay-le-Grand est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sens, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[14] et 37 810 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sens dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,1 %), terres arables (39 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village de Maslacius subterior est cité en 519[20].

En 1003, le village est désigné sous le nom de Masliacus Major (« grand Malay »).

En 1187, la dénomination de Mâlay-le-Grand devient Malaium Vice-comitis (Mâlay-le-Vicomte) jusqu'à la Révolution. Ce n'est qu'alors que Mâlay-le-Vicomte redevint Mâlay-le-Grand et que le village voisin Mâlay-le-Roi devint Malay-le-Petit.

Histoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges ont été trouvés lors d'un sondage d'archéologie préventive vers le lieu-dit les Bas Musats[21],[22].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Les vestiges d'un aqueduc gallo-romain ont été trouvés en 2014. Abandonné au IIIe siècle, ses matériaux ont été récupérés aux alentours des Musats et il n'en reste là que la partie basse[21]. Appelé l'aqueduc Saint-Philbert, un manuscrit indique qu'il existait déjà en l'an 87, avec une capacité de 23 000 m3 par jour. De nos jours il serait visible seulement sur Mâlay-le-Grand[23].

Le lieu-dit les Pâquis[24] a livré quelques éléments de poterie culinaire de la Tène D2b, produits localement et d'un caractère archaïque marqué ; ils voisinent avec des poteries importées à pâte et engobe micacé de « type Besançon » et des marmites et couvercles à pâte claire et engobe micacé[25].

Noter aussi la présence de céramiques d’un groupe technique particulier, modelé et dégraissé de particules métalliques, de très bonne qualité. On les trouve dans la zone de la confluence Seine-Yonne et jamais plus au sud que la vallée de l'Yonne ; elles sont datées du IIe siècle[26].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Au VIIe siècle Mâlay est « un domaine royal à 1 lieue de la ville de Sens ». Le palais mérovingien est connu par des événements politiques majeurs, comme une assemblée de gouvernement autour de Clotaire II en 615, ainsi que l'élévation du petit Clovis II à la royauté de Neustrie et Bourgogne en 639[27]. En 657 ou 658 saint Emmon évêque de Sens y convoque le concile de Mâlay[28],[Note 5]. En 679 Thierry III y convoque un grand concile judiciaire, auquel participèrent cinq évêques métropolitains. Des traces identifiées avec ce palais ont été mises au jour dans les années 1990. C'était un édifice rectangulaire en dur de près de 300 m2 avec une ou deux salles de plus de 200 m2, détruit vers le Xe siècle[27].

Le lieu-dit la Corvée a livré les restes d'un habitat du XIe siècle, le long de l'aqueduc gallo-romain de Sens. Ils couvrent une surface de plus de 100 m de long sur environ 25 m de large[29].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La commune disposait d'une gare qui se situait sur la ligne de Coolus à Sens, fermée au transport des voyageurs le 2 octobre 1938.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1925 ? M. Thonnellier PC-SFIC  
1995 mars 2008 Francis Merat    
mars 2008 juin 2016 Guy Crost[30]    
juin 2016 En cours Séverine Mainvis    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 1 578 habitants[Note 6], en augmentation de 1,74 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
928879995932882886908934975
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
921949950930907890907860849
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
794754728639708750688670770
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8117811 0291 2061 4191 5381 5731 5691 510
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5511 5581 578------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de la Houssaye (fin XVe, remanié aux XVIe et XVIIe siècles) ; la cloche en bronze de sa chapelle, inscription « IHS MARIA Msr FRANCOIS DE BERBIZY CHEVALIER SEIGR DE LA HOUSSAIS MA FAICT FONDRE 1654 », classement au titre d'objet MH .
  • Les vestiges d'un aqueduc romain vers le lieu-dit la Foucauderie (3,8 km sud-est du bourg[35],[36]) et vers les Bas Musats (voir la section « Histoire > Antiquité »).
  • La tour carrée du XVIe siècle flanquée de contreforts, attenante à l'église Saint-Martin de style ogival (1865).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Notes pour la démographie
  1. Le conseil municipal a décidé de faire restaurer le lavoir, autrefois couvert d'un toit en chaume. Voir « Malay-le-Grand : L'ancien lavoir va être restauré », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne [sur lyonne.fr]) et « Le lavoir municipal en cours de restauration », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne [sur lyonne.fr], consulté le )..
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Malay-le-Grand est à environ 4 km (1 lieue) du vieux centre de Sens, Malay-le-Petit un peu plus loin à environ 7 km[1]. Il est donc probable que le concile de Malay s'est déroulé à Malay-le-Grand.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f « Malay-le-Grand et Malay-le-Petit, carte interactive » sur Géoportail..
  2. « Malay-le-Grand », sur google.fr/maps.
    Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "itinéraires".
  3. Damien Jullemier, « Aqueduc de la Vanne » (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Malay-le-Grand et Sens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Sens », sur la commune de Sens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Sens », sur la commune de Sens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Sens », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Michel de la Torre, Yonne : histoire, géographie, nature, arts, Paris, éd. Deslogis-Lacoste, (ISBN 2739950896).
  21. a et b [Lamotte et al. 2015] Didier Lamotte, « L'aqueduc romain de Sens et ses abords (Malay-le-Grand, Yonne) (extraits du rapport de diagnostic) - Rue de l’Industrie - RN 60 - Les Bas Musats » (rapport de diagnostic archéologique), INRAP Grand Est sud,‎ (lire en ligne [sur researchgate.net], consulté le ).
  22. « Les Bas Musats, carte interactive » sur Géoportail..
  23. « Les sources - Le bîme », sur patrimoine-vanne.info (consulté le ).
  24. « les Pâquis, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
  25. [Mouton-Venault et al. 2015] Sylvie Mouton-Venault, Anne Ahü-Delor, Daniel Barthèlemy, Sylvie Humbert, F. Barthèlemy, A. Corsiez, C. Hervé, M. Joly et A. Saggese, « Évolution des répertoires de la céramique culinaire en Champagne, Bourgogne et Franche-Comté au cours des cinq premiers siècles de notre ère », Revue archéologique de l’Est, t. 64, no 187 =,‎ (ISSN 1760-7264, lire en ligne [pdf, sur journals.openedition.org], consulté le ), p. 165.
  26. Mouton-Venault et al. 2015, p. 167.
  27. a et b Josiane Barbier, Les palais francs avant Charlemagne, t. Les Carolingiens dans le bassin mosan, autour des palais de Herstal et de Jupille, Namur, Les dossiers de l’Institut du patrimoine wallon, 27, , 19-28 p., PDF (lire en ligne), p. 25-26.
  28. [Lebeuf 1738] Jean Lebeuf, Recueil de divers écrits pour servir d'éclaircissemens à l'histoire de France, et de supplément à la Notice des Gaules, t. 1, Paris, Jacques Barois Fils, , 416 p., sur books.google.fr (lire en ligne), p. 208.
  29. [Perrugot 1995] Didier Perrugot, « Malay-le-Grand (Yonne). La Corvée », Archéologie médiévale, no 25,‎ , p. 208 (lire en ligne [sur persee], consulté le ).
  30. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 27 décembre 2013.
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Portrait : le chercheur Didier Perrugot a découvert un aqueduc gallo-romain », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne [sur lyonne.fr], consulté le ).
  36. « La Foucauderie, carte interactive » sur Géoportail..