Laval-du-Tarn

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Laval-du-Tarn
Laval-du-Tarn
Le château de la Caze.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn
Maire
Mandat
Bernard Bonicel
2020-2026
Code postal 48500
Code commune 48085
Démographie
Gentilé Lavalais
Population
municipale
98 hab. (2021 en diminution de 3,92 % par rapport à 2015)
Densité 2,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 21′ 17″ nord, 3° 21′ 15″ est
Altitude Min. 449 m
Max. 1 021 m
Superficie 36,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Canourgue
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Laval-du-Tarn

Laval-du-Tarn (en occitan ou catalan La Val de Tarn) est une commune française, située dans le sud-ouest du département de la Lozère en région Occitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Tarn et par deux autres cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « gorges du Tarn et de la Jonte ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Laval-du-Tarn est une commune rurale qui compte 98 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 554 habitants en 1901. Ses habitants sont appelés les Lavalais ou Lavalaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Laval-du-Tarn est située sur le causse de Sauveterre, à une altitude moyenne de 810 m (entre 449 m et 1 021 m), dans la partie sud-est du canton de la Canourgue. Les communes limitrophes sont La Canourgue à l'ouest, Chanac au nord, Sainte-Enimie à l'est, et La Malène au sud.

Laval-du-Tarn est dans le fuseau horaire CET (UTC+1). Elle est située à environ 510 km au sud de Paris, à 95 km au nord-ouest de Montpellier, et à 22 km au sud de Mende. Par sa superficie, elle se place au 129e rang des 1 545 municipalités[1] du Languedoc-Roussillon.

Le village comprend les hameaux de Grandlac, Boujassac, Segondes, Lueysse, Mijoule, Composinho Montredon, Perrières, Rausas et le Château de la Caze.

4,23 km2, soit 11,5 % de la superficie totale de la commune, sont couverts par la forêt[2].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Laval-du-Tarn[3]
Chanac
La Canourgue Laval-du-Tarn Gorges du Tarn Causses
La Malène

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Laval-du-Tarn est traversée par la route départementale D 998, qui la relie à Banassac, dans la vallée du Lot, à 20 km, et à Sainte-Enimie, à 8,5 km.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 185 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Pierre-des-Tripiers à 19 km à vol d'oiseau[6], est de 9,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11].

La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[12],[13].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « gorges du Tarn et de la Jonte »[15], d'une superficie de 41 801 ha, englobant le territoire de près des trois-quarts de la population de Vautours fauves des grands causses qui furent l'un des principaux sites français de réintroduction de cette espèce[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[17] :

  • « les gorges du Tarn, de Mont-Rose à Hauterive » (278 ha), couvrant 2 communes du département[18] ;
  • la « vallée du Tarn, du château de la Caze aux Vignes » (128 ha), couvrant 5 communes du département[19] ;
  • le « versant sud du causse de Sauveterre à Pougnadoires » (118 ha), couvrant 2 communes du département[20] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] :

  • le « causse de Sauveterre » (19 759 ha), couvrant 11 communes du département[21] ;
  • les « gorges du Tarn » (14 434 ha), couvrant 19 communes du département[22].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Laval-du-Tarn est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[I 1],[24]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), zones agricoles hétérogènes (34,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,1 %), prairies (1,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Laval-du-Tarn est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tarn. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1994[28],[26].

Laval-du-Tarn est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[29]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[29],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laval-du-Tarn.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[31]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 68,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 140 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 130 sont en aléa moyen ou fort, soit 93 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Laval-du-Tarn appartenait historiquement au Gévaudan. La première mention du village date de 1279. La paroisse est créée en 1308.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Laval-du-Tarn sont appelés les Lavalois. Laval-du-Tarn arrive en 1270e place des 1 545 municipalités du Languedoc-Roussillon, pour ce qui est de la population.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 98 habitants[Note 6], en diminution de 3,92 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400335421409452444404479447
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
459461480480550517521539509
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
554503504424431392333252213
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
206202163136136109107107106
2017 2021 - - - - - - -
9698-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Laval-du-Tarn est membre de la communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à La Canourgue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de La Canourgue pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[39].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Laval-du-Tarn[40]
Période Identité Étiquette Qualité
1896 1904 Félix Jaques    
1904 1920 Joseph Viby    
1920 1944 Félix Jaques    

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 3,3 % 3,4 % 0 %
Département[I 6] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 57 personnes, parmi lesquelles on compte 74,1 % d'actifs (74,1 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 25,9 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 8]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 23 en 2013 et 27 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 45, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,7 %[I 9].

Sur ces 45 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 42 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 82,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 6,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de la Caze[modifier | modifier le code]

Le château de la Caze, de style Renaissance, est sur les berges du Tarn, à Laval-du-Tarn, à 8 km au sud-ouest de Sainte-Enimie auquel il est relié par la route D 907bis. Il est construit au XVe siècle par les Soubeyrane. La Révolution française en fait une prison. Actuellement (2012), c'est un hôtel privé de luxe.

Le château date des années 1490, 1630 et 1637. Il a été restauré aux XIXe et XXe siècles. Sont protégés les tour, salon, élévation, toiture et décor intérieur. Il est classé Monument historique par arrêté du [41]

Autres[modifier | modifier le code]

  • Dans les hameaux de Lueysse, Périeyres et Rauzas, des bâtiments agricoles des XVIIe et XVIIIe siècles ont été conservés.
  • Le domaine de Grandlac, dont la maison-forte date du XVe au XVIIe siècle. Elle a été reconstruite au XIXe siècle.
  • L'aire des Trois-Seigneurs montre les restes d'un cromlech mégalithique de l'âge de pierre, d'un rayon de 60 mètres[42].
  • La commune abrite 18 dolmens.
  • Site archéologique de la grotte du Sabot.

Architecture religieuse[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Laval-du-Tarn » (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laval-du-Tarn » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laval-du-Tarn » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Base de données de la région Languedoc-Roussillon
  2. Site France, le trésor des régions
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Laval-du-Tarn et Saint-Pierre-des-Tripiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Pierre-des-Tripiers » (commune de Saint-Pierre-des-Tripiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Pierre-des-Tripiers » (commune de Saint-Pierre-des-Tripiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  11. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laval-du-Tarn », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  18. « ZNIEFF « les gorges du Tarn, de Mont-Rose à Hauterive » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF la « vallée du Tarn, du château de la Caze aux Vignes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  22. « ZNIEFF les « gorges du Tarn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Laval-du-Tarn », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  29. a et b « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  31. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  32. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laval-du-Tarn », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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