Coulonges-les-Hérolles

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Coulonges-les-Hérolles
Coulonges-les-Hérolles
La rue principale des Herolles.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Jean-Charles Varescon
2020-2026
Code postal 86290
Code commune 86084
Démographie
Population
municipale
233 hab. (2021 en diminution de 4,51 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 24′ 12″ nord, 1° 09′ 19″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 204 m
Superficie 18,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montmorillon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Coulonges-les-Hérolles
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Coulonges-les-Hérolles

Coulonges-les-Hérolles (prononcé [kulɔ̃ʒ lez‿eʁɔl] ; dénommée Coulonges jusqu'au [1]) est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Coulonges est la commune située la plus à l'est du département de la Vienne, aux confins du Poitou, du Berry et du Limousin. Elle est limitrophe des départements de l'Indre et de la Haute-Vienne.

La grande ville la plus proche de Coulonges est Limoges et se trouve à 64 km au sud à vol d'oiseau.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Au lieu-dit les Hérolles se tient chaque 29 de mois une foire importante attestée dès le Moyen Âge.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est arrosé par la rivière Benaize.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montmorillon à 22 km à vol d'oiseau[6], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 781,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coulonges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,8 %), zones agricoles hétérogènes (41,6 %), terres arables (11,1 %), forêts (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Coulonges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coulonges.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[18]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[20]. 22,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010, par la sécheresse en 2009, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Coulonges est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village proviendrait de "colungiis" qui est un mot dérivé du latin "colonica" qui signifie "terre sur laquelle est établi un colon"[23].

Par un décret du , la commune de Coulonges change de nom officiellement le et se voit ajouter le complément les-Hérolles (nom d'un hameau du nord de la commune) en devenant Coulonges-les-Hérolles[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Danièle Leclercq    
mars 2008   Raymond Gallet    

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 233 habitants[Note 3], en diminution de 4,51 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
621426360372692721708770785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
837772807822769825833838858
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
872870834697680653648639547
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
489492431406313256261261268
2015 2020 2021 - - - - - -
244234233------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

La densité de population de la commune est de 14 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).

Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 269 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (trois personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 266 habitants.

La répartition de la population par sexe, selon l'Insee, est de :

  • en 1999 : 52,5 % d'hommes et 47,5 % de femmes.
  • en 2005 : 52,1 % d'hommes et 47,9 % de femmes.

En 2005, selon l'Insee :

  • Le nombre de célibataires était de : 27,5 %.
  • Les couples mariés représentaient 54,1 % de la population.
  • Le nombre de divorcés s'élevait à 5,2 %.
  • Le nombre de veuves et veufs était de 13,3 % à Coulonges.

Économie[modifier | modifier le code]

Jour de foire.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[29], il n'y a plus que quinze exploitations agricoles en 2010 contre 21 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 766 hectares en 2000 à 1 696 hectares en 2010. 14 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre, de l'orge et du maïs), 2 % pour les oléagineux, 38 % pour le fourrage et 43 % reste en herbes[29].

12 exploitations en 2010 (contre 17 en 2000) abritent un élevage de bovins (1 570 têtes en 2010 contre 1 489 en 2000)[29]. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[30]. 14 exploitations en 2010 (contre 20 en 2000) abritent un élevage très important d'ovins (4 441 têtes en 2010 contre 6 905 têtes en 2000)[29]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[30]. L'élevage de volailles se maintient à un faible niveau : 174 têtes en 2000 répartis sur 5 fermes contre 131 têtes en 2010 répartis sur six fermes[29].

Marchés et foires[modifier | modifier le code]

Le hameau les Herolles est situé sur la commune de Coulonges, au carrefour de trois régions : Centre-Val de Loire, Limousin, Poitou-Charentes.

Le hameau accueille tous les 29 du mois une très grande foire aux bestiaux. Sur 11 hectares, 400 exposants reçoivent entre 8 000 et 18 000 personnes selon les mois.

En 2007, l'accordéoniste Manu Blanchet remporte le premier prix du trophée Jean Ségurel de la chanson régionaliste grâce à la chanson En revenant des Herolles[31].

Activité[modifier | modifier le code]

Le taux d'activité était de 56,8 % en 2005 et 59,4 % en 1999.

Le taux de chômage en 2005 était de 10,8 % et en 1999, il était de 16,3 %.

Les retraités et les pré-retraités représentaient 45,6 % de la population en 2005 et 30,7 % en 1999.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le moulin[modifier | modifier le code]

Un barrage retient l'eau tandis qu'un bief en conduit une partie jusqu'à un barrage équipé de vannes mobiles permettant de libérer un courant plus rapide qui entraine la roue à aubes du moulin. De nombreux moulins à farine ou à foulon furent installés le long de la Benaize dès le Moyen Âge.

Le château du Pin[modifier | modifier le code]

Le château du Pin dont le donjon est inscrit comme Monument Historique depuis 1979 et les logis, les communs et la terrasse depuis 2002.

Le donjon est une haute tour carrée située à l'arrière du logis. Il date du XIIIe siècle. Réaménagé au XVe siècle à des fins résidentielles, il est alors pourvus de cheminées, de fenètres rectangulaires et de coussièges. Le logis est de style classique. Datant du XVIIIe siècle, il est couvert de petites tuiles plates berrichonnes.

L'église de Coulonges[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul est une ancienne église d'un prieuré qui dépendait de l'abbaye Saint-Augustin-lès-Limoges. Elle devient au XIXe siècle, après la période révolutionnaire, l'église paroissiale du village. Les autres dépendances du prieuré sont vendus comme Bien National durant cette période.

L'église, du XIIe siècle et du XVe siècle, est un bâtiment modeste et sobre. Elle est construite en moellons couverts d'enduit. Le plan est simple: il se compose d'une nef unique avec un chevet plat à triplet.

La nef était charpentée à l'origine et a reçu, par la suite, une voûte sur croisées d'ogives à l'époque gothique. Le clocher est couvert d'ardoises. Il est plus tardif. Le portail Nord est du XVe siècle. Il est en calcaire à grain fin facile à sculpter. Les moulures des pieds droits et l'accolade du linteau sont de style gothique. Le portail nord a été inscrit comme Monument Historique en 1937[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 122-124, notice de Jean-Pierre S.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Décret no 2023-959 du portant changement du nom de communes
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Coulonges et Montmorillon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Montmorillon » (commune de Montmorillon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Montmorillon » (commune de Montmorillon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Coulonges », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Coulonges », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  23. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  24. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. a b c d et e Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  30. a et b Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  31. « En revenant des Hérolles » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  32. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105436