Lussac-les-Églises

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lussac-les-Églises
Lussac-les-Églises
Mairie de Lussac-les-Églises.
Blason de Lussac-les-Églises
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Bellac
Intercommunalité Communauté de communes Haut Limousin en Marche
Maire
Mandat
Daniel Maitre
2020-2026
Code postal 87360
Code commune 87087
Démographie
Gentilé Lussacois
Population
municipale
463 hab. (2021 en diminution de 11,64 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 20′ 47″ nord, 1° 10′ 32″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 255 m
Superficie 41,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châteauponsac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lussac-les-Églises
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lussac-les-Églises
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Vienne
Lussac-les-Églises
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Lussac-les-Églises
Liens
Site web www.lussac-les-eglises.fr/

Lussac-les-Églises est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Lussac-les-Églises est limitrophe des départements de l'Indre et de la Vienne. La plus grande ville la plus proche est Limoges qui est située à 70 km au sud.

Situation de la commune de Lussac-les-Églises en Haute-Vienne.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est arrosé au nord par la rivière Benaize, et au sud par la rivière l'Asse.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnac-Laval à 14,5 km à vol d'oiseau[4], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 880,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lussac-les-Églises est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,3 %), zones agricoles hétérogènes (32,7 %), terres arables (19,8 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (0,7 %), eaux continentales[Note 2] (0,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lussac-les-Églises est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lussac-les-Églises.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 38,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 2018 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Lussac-les-Églises est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Durant la Révolution, la commune porte les noms de La Patrie et de Lussac-la-Patrie[19].

En occitan, le nom de la commune est Luçac.

Ses habitants sont appelés les Lussacois[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'Expardelière[modifier | modifier le code]

L'Expardelière (L'Espardelière, Lépardelière, Lespardillière, Lesperdilliere ou encore Les Pardelieres sur la carte de Cassini), un hameau situé au nord-ouest de la commune(46° 21′ 39″ N, 1° 08′ 22″ E), était le chef-lieu d'une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem (L'Hôpital-de-L'Espardelière ; L'Hospital-de-L'Esperdillière) dont la fondation par ces mêmes chevaliers paraît antérieure au XIVe siècle[21]. Cette commanderie faisait partie du grand prieuré d'Auvergne et du diocèse de Limoges. Elle fut réunie avec la commanderie de Villejésus située à Villejésus en Charente[22] qui comptait également un deuxième membre, à savoir Fouqueure.

Quelques commandeurs de L'Expardelière[23]:

  • sans nom, le commandeur de Esperdeler (1374-1375)[24]
  • Frère Jean Calelh, commandeur de Leparselere, Leparseleria, Leparselerei (1383)[25]
  • Frère Guillaume de Grolée, commandeur de Lépardelière (1530-1534, 1535)[26]
  • Frère Antoine Cressin, commandeur de Lépardelière (1542, 1544)
  • Frère Jean de Robinet, commandeur de Lépardelière (1570)
  • Frère Ferréol Balbe, commandeur de Ville-Jesus, et Lesperdilliere (1595) ; Puis du Temple d'Ayen (?-1615)
  • Frère Anne de Naberat, commandeur de Ville-Jesus, et Lesperdilliere (1602-1614)[27]; Puis du Temple d'Ayen (1616-1630)
  • Frère Jean (Jehan) de Meaux, commandeur de Villejésus et de Lespardelière (1634)
  • Le commandeur Gaccelepre, commandeur de Villejésus et de son membre de l'Espardelière (1655)
  • César Bovier (1676-1683, 1680, 1690)[28] ; César Bonnier (1691). A été commandeur du Temple d'Ayen
  • Pierre de Saint-Laurent (1696-1699)
  • Michel Auteroche (1720). Commandeur de Villejésus en Charente (1729, )
  • Le chevalier de Modon (1736)
  • Gilbert Joset (1757)
  • Charles Joset (1780)

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1965 mars 1971 Fernand Petolon    
mars 1971 mars 1989 Andrée Peyretou SE  
mars 1989 juin 1995 Odette Belicot SE  
juin 1995 mars 2001 Daniel Guignard SE  
mars 2001 novembre 2010 Gilles Dupuis SE  
novembre 2010 mars 2014 Marie-Claude Dudognon SE  
mars 2014 En cours Daniel Maître[30]    

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 463 habitants[Note 4], en diminution de 11,64 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2981 4981 3401 5251 5501 6401 5121 6701 701
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7721 7871 7631 6851 6501 6521 7631 6861 671
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6511 6751 6461 3981 3701 2951 3271 1211 021
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
984912838818699588506496490
2015 2020 2021 - - - - - -
524466463------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Église Saint-Martial de Lussac-les-Églises

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • François de Bourdelle, premier chirurgien du roi Louis XIV et bienfaiteur de Lussac-les-Églises[34].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Lussac-les-Églises

Les armes de Lussac-les-Églises blasonnent ainsi :

Écartelé d'hermine à la bordure de gueules et d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bande brochante de gueules chargée de trois lionceaux d'argent ; sur le tout d'argent aux trois merlettes de sable[35].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Lussac-les-Églises et Magnac-Laval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Magnac-Laval » (commune de Magnac-Laval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Magnac-Laval » (commune de Magnac-Laval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Lussac-les-Églises », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  21. Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers en Limousin au Moyen Âge. État de la recherche et nouvelles considérations. », Revue Mabillon, no 14,‎ , p. 51-81 (lire en ligne)
  22. Il existe une commanderie homonyme en Indre-et-Loire (Bossay-sur-Claise) qui faisait partie du grand prieuré d'Aquitaine et qui est distante d'environ 68 kilomètres alors que Villejésus est à environ 140 kilomètres. Néanmoins, L'Expardelière se situait dans le comté de la Marche et cela semble être aussi le cas pour Fouqueure qui était également un membre de Villejésus en Charente, tout au moins à la limite entre ce comté et celui de Poitiers.
  23. Georges Guigue et Claude Faure, Inventaire-sommaire des Archives départementales antérieures à 1790 - Rhône : H 703 à 48 H 2400 : Ordre de Malte, Langue d'Auvergne, Henri Georg, (présentation en ligne) ; Roger Drouault, « Monographie du canton de Saint-Sulpice-les-Feuilles (Haute-Vienne) - suite », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. LVI, no 2,‎ , p. 336, lire en ligne sur Gallica.
  24. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -- Langue d'Auvergne, t. I, (lire en ligne), p. 197 (H. 244.)
    Ce document (H. 244) contient le nom latin de toutes les commanderies d'Auvergne à cette date.
    .
  25. Roger Drouault, « Documents inédits sur le canton de Saint-Sulpice-les-Feuilles de 1358 à 1785 », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. LVIII,‎ , p. 267 (doc. 5) (lire en ligne).
  26. Guigue et Faure 1932, p. 213.
  27. Alexandre-François Haudessens d'Escluseaulx, Privilèges des papes, empereurs, rois et princes de la chrétienté accordez à l'ordre Saint-Jean de Hiérusalem, Pierre-Augustin Le Mercier, , 1306 p. (lire en ligne), p. 865-868
    On voit également Ferréol Balbe le 8 novembre 1595 « commandeur de Ville-Jesus & dudit lieu de Lesperdilliere, membre en dépendant », cf. p. 867
    .
  28. Guigue et Faure 1932, p. 127, 210, 213
    Visite de la commanderie de Chambery au grand prieuré d'Auvergne en 1680, visite de celle de Bellecombe et de ses membres (Isère, grand prieuré d'Auvergne) en 1690, « Papier censif de la terre seigneurie et jurisdiction de la commanderie de Villejésus contenant les déclarations randues pour raison d'icelluy. », reconnaissances passées au profit du commandeur César Bovier de 1676 à 1683.
    .
  29. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  30. Conseillers municipaux
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. François de Bourdelle du 1er septembre 1677, demeurant à Paris, propriétaire à Lussac-les-Églises sur www.archives-hautevienne.com
  35. Site de la mairie.