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Au centre du Bourg, ''Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul'' (XII{{e}}-XIII{{e}} siècles, transformée {{s-|XVI|e}}), avec Fonts baptismaux de la Renaissance <small>(''ref.IMH PM77000881'')</small> ; inscrite aux [[Monuments Historiques]] depuis 1927 <small>(''ref. IMH PA00087042'')</small>. Petite chapelle dans le Marais, au dessus de la rivière.
Au centre du Bourg, ''Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul'' (XII{{e}}-XIII{{e}} siècles, transformée {{s-|XVI|e}}), avec Fonts baptismaux de la Renaissance <small>(''ref.IMH PM77000881'')</small> ; inscrite aux [[Monuments Historiques]] depuis 1927 <small>(''ref. IMH PA00087042'')</small>. Petite chapelle dans le Marais, au dessus de la rivière.


Nombreux petits ''moulins à eau'' (céréaliers ou manufacturiers), du XVI{{e}} au XVIII{{e}} siècles : (d'amont en aval) Vidal, Ramonets, Chair-auxGens, Planchotte, Gailles, Faubourg, Marais, Gué-Blandin, Crèvecoeur ; lavoirs du XIX° siècle : (d'Ouest en Est) : lavoir de Crèvecoeur, lavoir du Bourg, lavoir des Olivots.
Nombreux petits ''moulins à eau'' (céréaliers ou manufacturiers), du XVI{{e}} au XVIII{{e}} siècles : (d'amont en aval) Vidal, Ramonets, Chair-auxGens, Planchotte, Gailles, Faubourg, Marais, Gué-Blandin, Crèvecoeur ; et le liste pourrait être encore plus longue, avec les moulins disparus depuis longtemps, comme ceux retrouvé lors des prospections archéologiques menées par le Centre Féderal d'Archéologie de Crécy-la-Chapelle et le Service Régional d'Archéologie en 2001 à l'Est de la commune [http://pagesperso-orange.fr/pad.220961/GMIndex.htm].

Lavoirs du XIX° siècle : (d'Ouest en Est) : lavoir de Crèvecoeur, lavoir du Bourg, lavoir des Olivots.


Curieusement, le Monument aux Morts ne se trouve pas sur une place centrale au bourg, mais excentré au Faubourg, à l'entrée la rue de la Gare, lieu de départ pour le front de le Première Guerre Mondiale.
Curieusement, le Monument aux Morts ne se trouve pas sur une place centrale au bourg, mais excentré au Faubourg, à l'entrée la rue de la Gare, lieu de départ pour le front de le Première Guerre Mondiale.

Version du 25 mars 2008 à 15:26

Jouy-sur-Morin
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
(Melun)
Arrondissement Provins
Intercommunalité sans
Maire Luc Neyrinck
Code postal 77320
Code commune 77240
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 43″ nord, 3° 16′ 21″ est
Altitude Min. 94m m
Max. 181m m
Élections
Départementales La Ferté-Gaucher
Localisation
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Jouy-sur-Morin
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Jouy-sur-Morin

Jouy-sur-Morin est une commune française, située dans le département de Seine-et-Marne et la région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Jouyssiens.

Géographie

Commune de la Brie laitière (ou "Haute-Brie"), et de la vallée du Grand Morin ; Est de la région parisienne), à 75 km de Paris.

Proche de l'autoroute de l'Est (autoroute française A4) et longée par la route nationale 34, de la route départementale 204, elle est aussi traversée par la départementale 66.

Elle possède une gare (Jouy-sur-Morin - Le Marais) de la ligne Coulommiers - La Ferté-Gaucher ; de façon insolite, une carte postale ancienne de cette voie ferrée porte le nom de "Tranchée du lapin rose" (cf. carte éd.° L. Hincelin [1]).

La gare est maintenant fermée et remplacée par des bus pour la fin de ligne Transilien : TransilienLigne P du Transilien, qui se prend Gare de l'Est ou à Tournan ; correspondance avec le (RER)(A) (station Val de Fontenay) et avec le (RER)(E) (station Tournan-en-Brie).

La commune est aussi desservie par les lignes départementales de bus 08, 10, et 29, avec arrêts dans les hameaux (carte du réseau départemental Darche-Gros en ligne [2]).

D'habitat très dispersé, la moitié de la population ne vit pas dans le bourg central en forme d'ancre, mais dans les hameaux périphériques, des deux côtés des boucles resserrées en forme de « M » de la vallée du Grand Morin.

Lieux-dits et écarts

  • pour le 1° cercle (hameaux en continuité avec le tissu urbain du bourg) : Le Faubourg, La Chair-aux-Gens, Beauchien, le Champlat, le Marais.
  • pour le 2° cercle (hameaux en discontinuité avec le tissu urbain du bourg) : le Hardroit, Voigny, Champgoulin, Pouligny, Le Montcel, Montigny.
  • pour le 3° cercle (hameaux les plus éloignés, de plus de 2 km, jusqu'à 5 km) : Laval-en-Bas et Laval-en-Haut, Le Jariel, Pinebard, Champcormolin, et Breuil.

Communes limitrophes

Les communes mitoyennes de Jouy-sur-Morin sont : Saint-Rémy-la-Vanne (Ouest), Saint-Léger (Nord), La Ferté-Gaucher (Est), Chartronges (Sud-Est), Choisy-en-Brie (Sud-Ouest).

Territoire

Sous l'Ancien Régime, si la paroisse et plusieurs hameaux de Jouy-sur-Morin figurent sur la carte de Cassini (XVIII° siècle), elle est aussi sur le Plan d'intendance de 1785. Si certains noms de lieux n'ont pas changés depuis (comme Voigny), on aura la surprise de trouver orthographier Le grand Champcormolin "Le grand Champ Cormorin", Pinebart "Pinnebart", Le Hardroit "Le Hardroy", Champgoulin "Champ Goulain", Pouligny "Poligny", Le Montcel "Le Moncel-sous-Jouy", Laval-en-Bas "Bas Val", et encore L'Epine Ovale "L'Epine au Val"...

Après la création de la commune en 1790, son organisation territoriale est définitivement fixée le 28 pluviôse an VIII sous Napoléon. Cependant des contestations continueront avec certaines communes voisines[1] : réglée par l'État en 1835 avec Chartronges, puis en 1935 seulement avec La Ferté-Gaucher (noyau urbain collé au chef-lieu du canton)... Elle est aujourd'hui l'une des plus vastes communes du canton de la Ferté-Gaucher, derrière Choisy-en-Brie et Amillis.

En zonage de services publics, Jouy-sur-Morin a les rattachements suivants. Office du Tourisme : de La Ferté-Gaucher; Musée : de Pays à Saint-Cyr-sur-Morin; Piscine : de La Ferté-Gaucher; Gendarmerie : de La Ferté-Gaucher; Tribunal : de Police de Coulommiers; Centre des Impôt : de Coulommiers; Trésorerie publique : de La Ferté-Gaucher; CPAM : de Coulommiers; Hôpital : de Coulommiers; DDSV : de Melun; DIREN : de Gentilly; Collège : de La Ferté-Gaucher; Lycée : de Coulommiers; ANPE : de Coulommiers; DDCCRF : de Melun; DRAC : de Paris; DDE : de Coulommiers, DDAF : de Melun. Et le CIS de La Ferté-Gaucher, bien qu'en première intervention existent sur place au village les pompiers volontaires du CPI de Jouy-sur-Morin.

Parc naturel régional (P.N.R.) : la commune de Jouy-sur-Morin est aussi incluse dans le périmètre d'étude du futur Parc Naturel Régional de la Brie et des 2 Morin[2].

Héraldique

Armes de Jouy-sur-Morin

Les armes de Jouy-sur-Morin se blasonnent ainsi :

ondé coupé ; au premier d'argent à la main dextre, appaumée de gueules surmonté d'une croisette haussé du même, au second d'azur aux trois coquilles d'or.

L'officialisation du blason de la commune n'a été fixé que très récemment[3]. Il reprend les données historiques de la commune : le cours d'eau du Grand Morin, l'abbaye de Faremoutiers, et les insignes des châtelains de Jouy.

La couronne qui coiffe le blason signifie que le village a eu autrefois une enceinte (cf. toponymies de noms de rues jouyssiennes : "rue du Faubourg", "rue de la Poterne", "rue de La Porte d'en Haut"). Et les épis extérieurs symbolisent la caractère d'abord agricole de la commune.

Administration

Avant la construction de la mairie en 1888, les réunions du conseil municipal se tenaient dans le bâtiment de l'ancienne école[4].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1815 1824 Antoine Vidal SE Chamoiseau
1826 1836 Gabriel Vacheron SE Médecin
1836 1840 Antoine Vidal SE Chamoiseau
1840 1846 Augustin Brézillon SE NP
1846 1870 Gabriel Vacheron SE Médecin
1872 1878 Louis Dumont SE Directeur de papeterie
1878 1904 Henri Richard SE Agriculteur
1904 1919 Ernest Charzat SE Directeur d'usine
1919 1959 Eustache Lenoir SE Géomètre
1959 1971 Fernand Dubois SE NP
1971 1983 Elisabeth Bréant SE SP
1983 1995 Jean-Marie Wienert SE Géomètre
1995 2001 Agnès Pognot SE Expert-comptable
2001 2003 Gérard Valory SE Architecte
2003 2008 Agnès Pognot SE Expert-Comptable
2008 - Luc Neyrinck SE Artisan

Démographie

Par habitant, Jouy-sur-Morin est la deuxième commune du canton, derrière La Ferté-Gaucher et devant Choisy-en-Brie[5] :

Évolution démographique [3]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1956 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
1488 1629 1724 1775 1809 1684 1721 1786 1791 1770 1762 1835 1786 1940 1955 1947 1845 1705 1626 1675 1625 1442 1543 1558 1561 1531 1422 1615 1504 1660 1637 1806 1929 2000

La commune a la particularité de posséder deux écoles primaires : L'école du Centre (au milieu du bourg central), et l'École du Champlat (à la croisée du Bourg, de Champgoulin, du Marais, et de Voigny).

Histoire

Occupée depuis l'Antiquité, son nom latin était "Gaudiacus" (dont l'interprétation peut être double) ; puis devient "Johi" ou "Joy" au milieu du Moyen-Age. Elle était traversée sur ses hauteurs par la voie romaine reliant Lutèce (Paris) à Durocortorum (Reims) ; itinéraire repris par l'actuelle route nationale, mais qui n'était pas un axe majeur dans l'Empire Romain (province de Gaule Lyonnaise) comme l'était dans la région la voie entre Meaux (Iatinum, en pays Meldes) et Sens (Agedincum, en pays Sénons)[6].

Située entre les commanderies templières de Coulommiers et et La Ferté-Gaucher (templiers qui ne feront pas long feu et vit remplacés de force par les Hospitaliers), la cure est donnée par bulle papale en 1180, aux chanoines de la cathédrale de Meaux. La seigneurie, elle, appartenait d'abord à l’abbesse de Faremoutiers et fait alors partie, comme tout l'Est de la Brie (Brie Champenoise), du Comté de Champagne[7]. Ses vassaux châtelains de Jouy seront d'abord les Châteauvillain (jusqu"en 1310) ; puis à l'époque de la Guerre de Cent Ans les La Grange, guerre qui amènera une certaine insécurité dans les environs, par la circulation de bandes armées (prise et reprise de Coulommiers).

En 1578, le bourg est fortifié, dans le contexte violent des Guerres de Religions qui ensanglantent alors les communes voisines de la Brie et leurs minorités protestantes (Coulommiers, Rebais, Saint-Siméon) ou lieux majoritairement Protestant comme La Ferté-sous-Jouarre. De façon très stable sinon, les châtelains de Jouy seront de 1478 à 1780 la famille des De Bonneval, vivant à Chauffour à l'extérieur du village. Du XVI° au XIX° siècles, se tiendront à Jouy deux foires annuelles, dont témoignent l'ensemble de grandes caves de stockage découvertes au bourg.

Sous l'Ancien Régime, Jouy-sur-Morin appartient administrativement à : l'intendance de Paris et au Bailliage de Meaux (administration royale) ; régie sous la coutume de Meaux, par le Parlement de Paris, et fiscalement au Grenier à sel de Provins (administration locale) ; au Diocèse de Meaux et à la Doyenné de La Ferté-Gaucher (administration religieuse)[8]. À cette époque, se maintenait encore ce qui a été depuis le Moyen-Age la principale activité manufacturière de Jouy-sur-Morin, favorisée par la rivière : le textile de toileries et surtout la tannerie ; par dérision, les habitants des villages voisins surnommaient par cette activité salissante les jouyssiens « les ventres jaunes ».

À la Révolution, troubles contre-révolutionnaires sur la commune (1793). A la fin des guerres de l'Empire (Campagne de France (1814)) , passages de cavaliers cosaques en 1814[9]. Au XIXe siècle, la renommée de Jouy-sur-Morin viendra de la fabrique du papier, là encore favorisée par l'eau, pour assignat puis billets de la Banque de France à la papeterie du quartier Crèvecoeur-Marais.

Pendant la Première Guerre mondiale, bref passage de la I° armée allemande (Bataille de la Marne) pendant trois jours de septembre 1914, jusqu'à la contre-attaque franco-anglaise sur La Ferté-Gaucher [10]. La Seconde Guerre mondiale verra sous l'Occupation l'interdiction de chasser avec fusils sur la commune (comme dans toute la France occupée) et l'installation d'un pylône de surveillance allemand au Chemin des Gailles (au dessus de la Chair-aux-Gens) ; le village sera libéré le 27 août 1944 par la III° Armée U.S.

Économie

Usine de papeterie pour billets, et de Tomette de Jouy ® (carrelage).

Nombreuses exploitations agricoles : élevages avicole (labélisé), laitier et porcins, cultures maraîchères (dont asperges), céréalières, et oléagineuse.

Commerces et services de proximité (bureau de Poste, pharmacie) ; nombreuses entreprises artisanales en B2B et en B2C.

Gîte rural (3 épis) au hameau de Breuil.

Monuments et lieux touristiques

Pont dit "des romains", pont moderne construit sur les vestiges de l'ancienne voie romaine, près du hameau du Montcel.

Au centre du Bourg, Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (XIIe-XIIIe siècles, transformée XVIe siècle), avec Fonts baptismaux de la Renaissance (ref.IMH PM77000881) ; inscrite aux Monuments Historiques depuis 1927 (ref. IMH PA00087042). Petite chapelle dans le Marais, au dessus de la rivière.

Nombreux petits moulins à eau (céréaliers ou manufacturiers), du XVIe au XVIIIe siècles : (d'amont en aval) Vidal, Ramonets, Chair-auxGens, Planchotte, Gailles, Faubourg, Marais, Gué-Blandin, Crèvecoeur ; et le liste pourrait être encore plus longue, avec les moulins disparus depuis longtemps, comme ceux retrouvé lors des prospections archéologiques menées par le Centre Féderal d'Archéologie de Crécy-la-Chapelle et le Service Régional d'Archéologie en 2001 à l'Est de la commune [4].

Lavoirs du XIX° siècle : (d'Ouest en Est) : lavoir de Crèvecoeur, lavoir du Bourg, lavoir des Olivots.

Curieusement, le Monument aux Morts ne se trouve pas sur une place centrale au bourg, mais excentré au Faubourg, à l'entrée la rue de la Gare, lieu de départ pour le front de le Première Guerre Mondiale.

Sentiers de randonnées (GR) : le GPR (sentier de Grande Randonnée de Pays, balisage rouge et jaune) « des Deux Morins » traverse la commune su Sud-Est ou Nord-Ouest. Et le PR (sentier de Petite Randonnée, balisage jaune) du « Pont des Romains » le rejoint sur une partie du parcours. Tout à l'Est de la commune, un autre PR, le « Ramonnets-Montigny » passe par les les anciennes mines et les nouveaux plans d'eau.

Promenades et haltes le long des berges de la rivière du Grand-Morin ; chemins dans les petits bois (Rongeriaux de la Piesles -menant au sentier de randonnée du GR 14 (balisage rouge et blanc)-, Bois Brayer, bois des chemins des Gailles, autours de Chauffour et de Pouligny).

Culture

Fête patronale, chaque premier Dimanche de Juillet.

Loisirs

Pêche : le Grand Morin est en aval de La Ferté-Gaucher, cours d'eau de catégorie 2 (population de cyprinidés -gardons, carpes, tanches- et des carnassiers -brochets, perches). Sorties naturalistes : petits bois de feuillus, avec leurs champignons saisonniers et présence de faune observable (chevreuils, lièvres, perdrix, faisans). Sport : par rotation, Tournoi de tennis des Deux Morins ; grandes installations de musculation, et pratique importante du cyclotourisme. Colonie de vacances du Château de Chauffour (XIX° siècle). La nuit, la discothèque située à Champgoulin est très bien notée dans le milieu de la musique Electro.

Événements

Témoignage d'O.V.N.I. le 30 septembre 1954 : le 30 septembre 1954, Eugène Farnier, membre de la société des ingénieurs civils de France, dit avoir observé pendant 20 minutes une soucoupe volante au-dessus du lieu-dit "Les Gailles"[11].

Personnages historiques

Village natal (1873) du poète Léon Charpentier, chroniqueur parisien ("En roulant") sous la III° République.

Village natal (1895) du pilote du guerre Jean Navarre, une jeune tête brûlée surnommée "la sentinelle de Verdun" ; as de la chasse française de la Première Guerre Mondiale, il reçoit la Légion d'Honneur et comptera une trentaine de victoires dont 12 homologuées.

Curiosités locales

Animaux domestiques : depuis 2003, Jouy-sur-Morin possède sur la commune le seul refuge animalier en France spécialisé dans les nouveaux animaux de compagnie, le refuge F.R.E.E. (Furets, Rongeurs, Etc, Etc).

Voir aussi

Article connexes

Bibliographie

  • Ordonnance du 19 octobre 1935, portant fixation de la limite territoriale entre la commune de Jouy-sur-Morin et celle de La Ferté-Gaucher.
  • Devillers Stéphane : Un ensemble souterrain découvert à Jouy-sur-Morin (Seine-et-Marne) ; Bulletin du Groupement archéologique de Seine-et-Marne, 2002, n°43, pp. 37-44.
  • Devillers Stéphane : Eglise Saint-Pierre et Saint-Paul (Jouy-sur-Morin), évolution du plan et de la morphologie de l'édifice ; Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de l'arrondissement de Provins, 2003, n°157, pp. 93-130.
  • Cartes postales anciennes de Jouy-sur-Morin : éditions Caron, éditions Hincelin, éditions Jacob (et éditions jouyssiennes L. Denis) sur C.P.A.77 [5] ; réf. : carte C240N13, carte C240N25, carte C240N74, carte C240N92.

Liens externes

Notes et références

  1. cf. archives départementales
  2. cf. séance plénière du Conseil Régional d'Île-de-France, du 28 juin 2007
  3. cf. délibération du conseil municipal de 2002
  4. cf. genea77
  5. INSEE 2006
  6. cf. Table de Peutinger
  7. cf. La Gazette des Ventres Jaunes 2002)
  8. cf. S.H.A.G.E. 2005
  9. cf. La Ferté-Infos 2004
  10. cf. Association Batmarn 1998
  11. France-Dimanche, 24 octobre 1954