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'''Histoire :''' {{référence nécessaire|Fondé en [[1822]] par Mademoiselle Cougoul-Salignat et confié aux religieuses de la congrégation de Saint-Joseph de [[Chambéry]], le pensionnat Saint-Pierre a connu une grande expansion tout au long de son histoire. Le nombre croissant d’élèves à partir des [[années 1950]] a commandé de nouvelles constructions de [[1951]] à [[2002]]. Les sœurs de Saint Joseph ont confié en 1986 à un laïc, M. P. Deborbe, la direction du collège et du lycée Saint Joseph. En [[1992]], le lycée a pris le nom de ''Saint-Pierre'' en s’établissant également sur un deuxième site, à [[Vichy]]. P. de Saint-Sauveur est arrivé en [[1993]] à la tête du lycée puis en [[1994]] à celle du collège. À la rentrée [[2001]], par manque de dotation horaire, le site de Vichy a été rapatrié sur Cusset.}}
'''Histoire :''' {{référence nécessaire|Fondé en [[1822]]<ref name="carterethist">[http://pagesperso-orange.fr/carteret/Histoire%20Vichy.htm Histoire de Vichy, évoquant aussi celle de Cusset], sur le site d’A. Carteret (cliquer sur « Histoire de CUSSET »). <small>Dernier accès : 22 mars 2008</small></ref> par Mademoiselle Cougoul-Salignat et confié aux religieuses de la congrégation de Saint-Joseph de [[Chambéry]], le pensionnat Saint-Pierre a connu une grande expansion tout au long de son histoire. Le nombre croissant d’élèves à partir des [[années 1950]] a commandé de nouvelles constructions de [[1951]] à [[2002]]. Les sœurs de Saint Joseph ont confié en 1986 à un laïc, M. P. Deborbe, la direction du collège et du lycée Saint Joseph. En [[1992]], le lycée a pris le nom de ''Saint-Pierre'' en s’établissant également sur un deuxième site, à [[Vichy]]. P. de Saint-Sauveur est arrivé en [[1993]] à la tête du lycée puis en [[1994]] à celle du collège. À la rentrée [[2001]], par manque de dotation horaire, le site de Vichy a été rapatrié sur Cusset.}}


====Lycée Valery-Larbaud====
====Lycée Valery-Larbaud====

Version du 22 mars 2008 à 16:02

Cusset
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Vichy
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier
Maire René Bardet (PCF)
Code postal 03300
Code commune 03095
Géographie
Coordonnées 46° 08′ 07″ nord, 3° 27′ 26″ est
Altitude Min. 255 m m
Max. 483 m m
Élections
Départementales Chef-lieu de 2 cantons :
Cusset-Nord et Cusset-Sud
Localisation
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Cusset
Géolocalisation sur la carte : France
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Cusset

Cusset est une commune française, située dans le département de l’Allier et la région Auvergne.

La ville vit de l’agriculture et de petites et moyennes industries.

Cusset fait partie de l’aire urbaine de Vichy.

Géographie

Située sur le Sichon, affluent de l’Allier, sur les contreforts de la Montagne bourbonnaise, Cusset est mitoyenne de Vichy.

Histoire

De la période gallo-romaine ont été découverts des vestiges d'aqueducs et d'hypocauste qui attestent de la présence d’une villa.

En 886, Eumène, évêque de Nevers, fonde une abbaye bénédictine de femmes (le bâtiment est aujourd’hui occupé par l’hôtel de ville).

Le 17 juillet 1440, le dauphin Louis, futur Louis XI, s’y réconcilia avec son père Charles VII, mettant ainsi fin à la Praguerie.

Louis XI devenu roi, il fait rebâtir les fortifications de la ville par le maître d’œuvres Vauzy de Saint-Martin, de 1476 à 1483. Avec leurs murs à bossages, leur canonnières à embrasures à la française (en X), elles constituent le prototype de la fortification moderne, capables de répondre aux attaques des boulets métalliques ; Vauban s’en servira de modèle. Détruites petit à petit à partir du XVIIe siècle, il n’en subisiste qu’une tour (qui abrite le musée) et les « souterrains », c’est-à-dire les galeries de rez-de-chaussée des portes qui se sont retrouvées enterrées lors du comblement des fossés.

Jusqu’en 1866, date à laquelle le nombre d’habitants de Vichy dépasse celui de Cusset, Cusset est la grande ville de la région, avec des commerçants, des artisans, des foires attirant toute la montagne bourbonnaise.

Située en bordure d’une zone riche en sources minérales, elle commence à en forer à partir de 1840 et ouvre un établissement thermal en 1853 ; mais elle ne peut résister à la concurrence de Vichy. L’activité thermale cesse au début du XXe siècle.

De 1960 à 1977, une importante rénovation urbaine est menée.

Cusset a la particularité curieuse d’avoir connu deux sorcières :

  • Marie Filastre, brûlée vive sous Louis XIV pour avoir tenté d’empoisonner Mademoiselle de Fontanges à la demande de Madame de Montespan vieillissante et délaissée par le roi qui lui préférait sa jeune rivale.
  • Gabrielle Pagnat, emprisonnée pour escroquerie un siècle plus tard, les mentalités sur les dons supposés des sorcières ayant évolué.

Leur histoire a inspiré un roman, « Les Trois Perles de Domérat » d’Anna Galore.

Dans un autre registre, depuis le XIe siècle jusque dans les années 1950-1960, les collines aux alentours de Vichy et Cusset étaient couvertes de vignes, on peut parler ainsi de « l’ancien vignoble vichyssois ».

Héraldique

Jusqu'au XVIIe siècle, Cusset n’eut pour blason que les armes du chapitre Notre-Dame : « d’azur, au senestrochère d’argent, sortant de nuées de même, mouvant du flanc dextre de l’écu, tenant une épée aussi d’argent, la poignée et la garde d’or, sur la pointe de laquelle est posée une couronne aussi d’or ». En 1698, lorsque d’Hozier réalise l’Armorial général de la France, Cusset se voit doter d’un deuxième blason : « de gueules semées d’écussons d’or ».

À voir

Les souterrains de Cusset datant du XVe siècle sont exceptionnelement bien conservés. Il s’agit des anciennes galeries du rez-de-chaussée des portes de la fortification qui ceinturait la ville à la fin du Moyen Âge. Deux de ces portes sont aujourd’hui ouvertes au public : la porte de Doyat et la porte Saint-Antoine. Le départ se fait à partir du musée (du 1er juin au 30 septembre de 14 h à 19 h sauf le lundi).

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2008 René Bardet PCF Président de la Communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier et conseiller général du canton de Cusset-Nord
1995 2001 Joseph Bléthon DVD Vétérinaire
1977 1995 Jacques Milliet PS Professeur
1971 1977 André Rabineau (3e fois)    
1966 1971 André Pruneyre   Médecin
1965 1971 Jean Mathias   Commerçant
1953 1965 André Rabineau    
1952 1953 Claudius Gouttebel   Boucher
1947 1952 Georges Roux (2e mandat)    
1944 1947 Marcel Gannat    
1936 1944 Auguste Dupré    
1928 1936 Georges Roux    
1922 1928 Louis Villard    
1919 1922 Victor Fru    
1915 1919 Pierre Cornil    
1903 1915 Gilbert Roux    
1900 1902 Randoing    
1898 1900 François Frémont   Brasseur
1892 1898 James Combe    
1888 1892 Jean-François Radoult de la Fosse   Ingénieur
1883 1888 Gabriel Colas    
1878 1883 Gaspard Cureyras    
1876 1877 Félix Cornil    
1874 1876 Hubert Colombier    
1869 1874 Félix Cornil    
1852 1869 Joseph Fourneris    
janvier 1852 septembre 1852 François-Philibert Maguet    
octobre 1850 janvier 1852 Léon Forestier    
Mai 1850 octobre 1850 Henri-Ferdinand Rabourdin    
janvier 1850 mai 1850 Louis Liandon, Pierre-Louis Gaillard et Joseph Fourneris    
décembre 1849   Marie Barthelat    
Octobre 1848 décembre 1849 Isidore Serée    
mars 1848 mai 1848 Isidore Serée    
mars 1848 mars 1848 Jean Terson    
1830 mars 1848 Marie-Annet Arloing    
septembre 1804 1830 Claude Bouquet    
juillet 1800 septembre 1804 Dussaray-Vignolles (prénom inconnu)    
Septembre 1799 juillet 1800 Étienne-Benjamin Garand    

Démographie

Modèle:DemogFR

Par ailleurs, lors du recensement de 1999, la population totale, incluant les doubles comptes, était de 13 975 habitants.

Transports

Transport routier

Cusset est accessible par les routes départementales :

Transport urbain

La ville de Cusset est desservie par les lignes Modèle:Bus Inter/4, Modèle:Bus Inter/5 et Modèle:Bus Inter/6 du réseau urbain Bus Inter.

Patrimoine

La ville possède de nombreux vestiges de la période médiévale.

En ville

Architecture religieuse

  • Cloître de l’abbaye, square Paul-Duchon, XIIe siècle. Des halles à ossature métallique y avaient été construites au XIXe siècle à l’emplacement du cloître roman ; leur démolition a permis de remettre au jour les arcades de pierre.
  • Ancienne maison des chanoines, 22 place Victor-Hugo, XIIIe siècle. Au XIIIe siècle, les moniales de Cusset font construire une église consacrée à Notre-Dame pour abriter une statue de Vierge à l’Enfant miraculeusement retrouvée à l’emplacement de l’actuelle place Victor-Hugo. L’église est alors desservie par des chanoines habitant dans une maison dont restent une fenêtre moulurée à meneaux et une partie à pans de bois.
  • Tour de la commanderie de Saint-Antoine, 34 rue du Général-Raynal, XIIIe siècle. C’est le dernier vestige encore debout de la commanderie de Saint-Antoine fondée au XIIIe siècle par les Hospitaliers de Saint-Antoine-de-Viennois pour aider les pauvres, sur un terrain donné par l’abbaye de Cusset. En 1768 l’ordre est réuni à celui de Malte. Son activité cesse avec l’avènement de la Révolution.
  • Croix du XVe siècle : en pierre, près du musée de la Tour Prisonnière. Elle vient de l’ancien cimetière, auparavant situé sur la place Victor-Hugo. Une face est ornée d’une Vierge à l’Enfant, l’autre d’un Christ en croix.
  • Église Saint Saturnin, place Radoult-de-La-Fosse : construite entre 1859 et 1868 par Jean-Baptiste Lassus et Hugues Batilliat à la place de l’ancienne église médiévale. Le chœur est encadré de chapelles rayonnantes. Le clocher et le chevet sont dus à la générosité de Napoléon III.
  • Ancien Hôtel Dieu, place du Centenaire-de-la-République :
    • pavillon d'entrée : construit en 1702, il permettait d’accéder à la cour de l’ancien Hôtel Dieu. Ce dernier bâtiment, reconstruit au XXe siècle, abrite une maison de retraite.
    • chapelle : elle a été construite dans les années 1860 par Hugues Batilliat en style néo-roman.

Architecture civile

  • Ancienne maison du bailliage, 8 rue du Censeur, XVe siècle.
  • Maison, 40 place Victor-Hugo, XVe siècle.
  • Porte en ogive, 6 rue du Général-Foy, XVe siècle.
  • Maison à pans de bois, rue Saturnin-Arloing, XVe siècle. Elle fut édifiée par un élu de Cusset, député aux États d’Auvergne. Elle accueille aujourd'hui l'Office de Tourisme.
  • Maison, 27 rue de la Constitution, XVe siècle  : deux portes en ogive et une baie cintrée.
  • Hôtel Jean de la Borderie, rue du Marché-au-Blé, XVe siècle : porte surmontée d’un tympan en ogive encadré de deux pinacles, grandes fenêtres à meneaux. Ce fut l’hôtel particulier de Jehan de la Borderie. C’est là que fut signée en 1440 la paix mettant fin à la Praguerie qui avait opposée le roi Charles VII aux grands seigneurs du royaume au sujet de la création d'une armée de métier.
  • Tourelle d’escalier, 5 rue Saturnin-Arloing, XVIe siècle. Une porte donne accès à un escalier à vis. Des colonnes cannelées supportent un fronton triangulaire. Au dessus, se trouve une fenêtre moulurée de rinceaux et flanquée des visages d’un homme et d’une femme sortant d'une gaine de feuillages.
  • Tribunal de Grande instance, 4 rue Gambetta, XVIe siècle. C’était la demeure de Jehan Corrier, lieutenant général du bailliage au XVIe siècle.

Architecture militaire

  • Fortification construite entre 1476 et 1483 par Vauzy de Saint-Martin à la demande de Louis XI :
    • Musée de la Tour-Prisonnière, rue des Fossés-de-la-Tour-Prisonnère : en calcaire et en basalte. Cette tour est le dernier vestige encore debout des fortifications de la ville. Il servit de prison à partir du XVIe siècle, et ce jusqu’aux années 1960. Il accueille le musée depuis 1980.
    • Portes de Doyat (place du Centenaire-de-la-République) et de Saint-Antoine (place de la République) : anciennes portes d'accès des fortifications ; démolies, leurs galeries de rez-de-chaussée sont aujourd'hui souterraines.

Architecture carcérale

  • Ancienne prison des femmes, boulevard du Général-de-Gaulle ; elle date de 1824. Au rez-de-chaussée se trouvaient les cellules des prisonnières, l’infirmerie et le parloir, l’appartement du gardien se situant au 1er étage. On accède au bâtiment par la porte en plein cintre d’un avant corps. La prison est fermée en 1960, puis acquise par la commune. Désormais, elle accueille les réserves du musée de la Tour-Prisonnière.

Architecture industrielle

  • L'ancien moulin du Chambon, rue du Faubourg-de-Chambon :
    • Minoterie : construite en 1808 à la place d’un moulin datant de 1771. Le bâtiment a été modifié en 1853.
    • Maison du meunier : Construite au XIXe siècle par Rose-Beauvais.
    • Tours, rue Andreau. Datant de 1943, elles marquent l’entrée du parc du Chambon.
  • Ancien moulin des Cours, angle rue des Moulins et cours Lafayette ; il a fonctionné jusqu'en 1960.

Architecture thermale

  • Source Tracy, cours Tracy ; le pavillon octogonal en fer a été érigé en 1845. Température 13 °C.

À l’extérieur

Architecture religieuse

  • Ancienne chapelle Sainte-Foy à Aubepierre, XIIe siècle, en pierre, à plan basilical à simple abside. Le lieu-dit Aubepierre appartenait à l’abbaye de Cusset. Aubepierre formait une paroisse.
  • Manoir d’Aubepierre, XVe siècle. À partir de 1517, ce village fut la demeure des abbesses de Cusset.
  • Chapelle Sainte-Madeleine sur la route de Molles, XIIe siècle. Fondation de l'abbaye de Cusset, elle fut desservie par des Capucins jusqu’en 1789.
  • Chapelle Sainte-Anne à Chassignol, XIIe siècle - 1694. Au début du XIIIe siècle, l’abbaye de Cusset acquiert Chassignol et y crée un prieuré dédié à Sainte Anne. Elle fut souvent remaniée.

Architecture industrielle

  • Moulin de Ribière, XIXe siècle ; ce fut l’un des plus grands moulins à farine des environs. La roue à aube et la maillerie subsistent encore.
  • Moulin Saint Jean, XVIIIe siècle ; dernier moulin en activité de la vallée du Sichon. On peut cependant encore voir tourner la double roue à aube rénovée en 2000. La propriété accueille aujourd'hui des chambres d'hôtes.

Culture

La commune dispose de plusieurs infrastructures consacrées à la culture.

  • L’école municipale de musique, installée dans l'hôtel de La Borderie et dont l’enseignement concerne la flûte, le hautbois, la clarinette, le saxophone, la trompette, le cornet, le bugle, le saxhorn baryton, le trombone, les percussions, le violon, l’alto, le violoncelle, la guitare, le piano, l’accordéon et la cornemuse.
  • La bibliothèque municipale, qui dispose de 13 000 ouvrages.
  • Le théâtre municipal, situé près de la mairie, et actuellement en reconstruction.
  • L’espace Chambon, construit en 1993, qui comporte plusieurs salles, dont l’une a une capacité de 600 places assises, ce qui permet d’accueillir des pièces de théâtre, des bals, des salons ou des expositions.

Enseignement

Écoles primaires

  • École primaire Liandon
  • École primaire de Presles
  • École primaire Les Darcins.
  • Écoles primaire et maternelle privées Notre-Dame.

Collèges

  • Collège Maurice Constantin-Weyer
  • Collège Saint-Joseph

Lycées

Lycée public de Presles/Lycée professionnel Albert-Londres

Le 21 septembre 1964, le lycée de Presles ouvre ses portes avec Mme Tartinville proviseur.

En 1985, les Restos du cœur sont créés à Vichy par Jacques Lapalus, ancien professeur au lycée de Presles († 1988).

  • Fréquentation : 2 300 élèves en 2000

Personnalités liées à ce lycée :

  • Georges Malbrunot, otage avec Christian Chesnot et libéré après quatre mois de détention en Irak. Originaire de Montaiguët-en-Forez, il avait passé son bac au lycée de Presles.

Lycée Saint-Pierre

Lycée situé allée Pierre Berthomier[1].

Histoire : Fondé en 1822[2] par Mademoiselle Cougoul-Salignat et confié aux religieuses de la congrégation de Saint-Joseph de Chambéry, le pensionnat Saint-Pierre a connu une grande expansion tout au long de son histoire. Le nombre croissant d’élèves à partir des années 1950 a commandé de nouvelles constructions de 1951 à 2002. Les sœurs de Saint Joseph ont confié en 1986 à un laïc, M. P. Deborbe, la direction du collège et du lycée Saint Joseph. En 1992, le lycée a pris le nom de Saint-Pierre en s’établissant également sur un deuxième site, à Vichy. P. de Saint-Sauveur est arrivé en 1993 à la tête du lycée puis en 1994 à celle du collège. À la rentrée 2001, par manque de dotation horaire, le site de Vichy a été rapatrié sur Cusset.[réf. nécessaire]

Lycée Valery-Larbaud

Le lycée Valery-Larbaud est un lycée public situé boulevard Gabriel Péronnet[3], auquel il doit son nom à l’écrivain Valery Larbaud, né en 1881 et décédé à Vichy en 1957.

Histoire : La construction de ce lycée a débuté en 1998[4].

Ouvert en septembre 1999, le lycée Valery-Larbaud est une réalisation du conseil régional d’Auvergne. Son coût total est de 2 759 327 euros, soit 18,1 millions de F.

Inauguration : il a été inauguré le 28 janvier 2000 en présence du Président du Conseil régional, du recteur, des élus, du personnel et des élèves de l’établissement[4]. Il remplace l’ancien lycée professionnel Abel Boisselier, qui datait de 1835.

Lieux de culte

La messe est célébrée à l’église Saint Saturnin.

  • Église Saint-Saturnin de Cusset
  • Chassignol (chapelle Sainte-Anne)
  • Hôtel-Dieu
  • Sainte-Madeleine

Personnalités liées à la commune

  • Napoleon III, l'Ardoissière étant son lieu de promenade favori.
  • Claude Nougaro, qui fut inscrit au collège de Cusset en 1945. Il y écrivit ses premiers poèmes.
  • René Barjavel, qui fréquenta lui aussi le Collège de Cusset, de 1923 jusqu’à son Baccalauréat en 1927.
  • Jean Giraudoux, dont le frère aîné, Alexandre, était médecin à Cusset. L’écrivain le visitait régulièrement. Une rue de la ville porte son nom.
  • Maurice Constantin-Weyer, qui vécut un temps à Cusset. Le collège municipal porte son nom.

Voir aussi

Notes et références

  1. 46° 08′ 06″ N, 3° 27′ 31″ E
  2. Histoire de Vichy, évoquant aussi celle de Cusset, sur le site d’A. Carteret (cliquer sur « Histoire de CUSSET »). Dernier accès : 22 mars 2008
  3. 46° 07′ 38″ N, 3° 26′ 44″ E
  4. a et b Source : ac-clermont.fr, inauguration du lycée Valery-Larbaud

Liens internes

Liens externes

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