Umpeau

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Umpeau
Umpeau
Clocher de l'église Saint-Lubin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Eric Colas
2022-2026
Code postal 28700
Code commune 28397
Démographie
Population
municipale
401 hab. (2021 en augmentation de 1,26 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 41″ nord, 1° 40′ 20″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 161 m
Superficie 11,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Umpeau
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Umpeau
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Umpeau
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Umpeau

Umpeau est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

  • Bréez

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 622 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sours à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 587,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Umpeau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (97,6 %), zones urbanisées (2,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Umpeau est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Umpeau.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[16]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 19,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 174 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 22 sont en aléa moyen ou fort, soit 13 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Unus Pilus en 1189 (Documents historiques et statistiques sur les communes du canton d'Auneau de Édouard Lefèvre, page 36/772), Unpeil en 1225 (ch. de la lépr. du Grand-Beaulieu), Unus Pillus en 1349[20], de l'ancien français *An(de)-pol, « l'étang »[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le nom primitif d'Umpeau venait d'une petite pièce de terres appelée "Peille". C'était l'endroit où l'on acquittait le péage sur la chaussée nommée "Pila"[22].

L'église d'Umpeau date du XIIe siècle. Elle est dédiée à saint Lubin. Cette église était primitivement un château fort.

Le premier curé connu était Mathieu en 1315.

À l'entrée intérieure, sous les dalles couvertes d'inscriptions presque effacées, reposent sans doute les corps des seigneurs :

Période Nom Fonction
An 1100 Raynold de Bray écuyer du Roy
An 1131 Robert d'Ugpau Chevalier
An 1225 Richard d'Ugpau Chevalier
An 1293 Philippe d'Ugpau Chevalier du Fief de la Chagrinière
An 1313 Jehan de Bray Chevalier
An 1360 Guillaume de Bray Chevalier

En 1669, le 27 août a eu lieu la première bénédiction de la grosse cloche de la paroisse Saint-Lubin d'Umpeau. Elle a été fondue dans la chapelle Saint-Nicolas de Chartres par Messire Pierre Jean, Officier du Chapitre de Chartres. Le parrain fut Guillaume le Beau et la marraine Marie Lemaire (femme du procureur du Roy)

En 1771, le 23 avril a eu lieu le second baptême de la cloche. Le parrain fut Michel Trubert et la marraine Marie Anne Maunoury.

En 1779, le 8 décembre, c'est la 3ème bénédiction de la cloche de l'édifice après refonte par Jean Baptiste Julliot d'Illout en Lorraine. Elle pèse 725 livres. Sa marraine : Noble Damoiselle Geneviève Louise de la Papotière

En 1791, c'est la construction d'un chapiteau devant l'église.

En 1900, le curé Huet demande au Maire l'autorisation d'arranger une chapelle sous le clocher (autorisé)

En 1902, le 1er juillet, la réfection complète de la couverture du clocher et de l'église est engagée. Il y aura un remplacement de la tuile plate par de l'ardoise et la pose d'un nouveau coq. Prix global : 4 000 Francs (Vassort d'Auneau)

En 1916, remplacement de la corde de la cloche. Coût : 5,2 kg x 4,50 francs = 23,40 F.

En 1918, le 11 novembre à 3 heures de l'après-midi, Thérèse Lorpin, femme Edelin, casse plusieurs maillets sur la cloche dans la joie de carillonner l'Armistice.

En 1931, c'est la réfection de l'enduit du pignon[23].

Le 15 juin 1940 à 14 heures, un bataillon des 4ème tirailleurs Tunisiens entre dans Umpeau. Les habitations sont investies pour loger les officiers ; les moutons égorgés pour nourrir les soldats.

Des avions mitraillent le village. Les habitants prennent peur et décident d'évacuer leur maison ; les voitures étant déjà chargées depuis plusieurs jours. Une femme se suicide dans la cour de la forge. Il faut l'inhumer sans cercueil, le menuisier étant déjà parti.

Certains vont jusqu'à Ozoir-le-Breuil. Cet abandon ne durera que quelques jours mais suffisamment longtemps pour que les habitations soient pillées.

Le bataillon Tunisien s'est replié dans la nuit du 15 au 16 juin 1940 sur Breez et Houville.

Vers midi, il est attaqué par une puissante armée allemande d'hommes et de matériel : le 28ème et 38ème bataillon d'infanterie.

Le combat dura jusqu'à 17 heures et fut meurtrier. on dénombra plus de 50 morts, 92 blessés et 93 disparus.

La grande aux Champarts de Breez fut transformée en hôpital de campagne durant ce combat.

Au bord de la route de Breez à Cherville, au lieu-dit "La Pièce aux Lambert" un monument a été érigé en juillet 1948 en mémoire de Jacques Scufort, Maréchal des Logis, qui fut tué par un avion, avec un camarade alors qu'ils circulaient à bord d'un side-car[24].

En 1953, on repose le cadre extérieur de l'horloge du clocher avec un échafaudage extérieur.

En 1963, c'est le remplacement des petits bans de l'église par Bernard Heurtault. Coût : 2,14 F. Nouvelle réfection du clocher et pose d'un nouveau coq.

En 1970, on pose une sonnerie électrique.

En 1989 aura lieu la couverture du pan Ouest de l'église puis en 2001 la réfection de la couverture du pan Sud[25].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Il est à noter que les bâtiments abritant les anciens lieux de vie de la commune restent aujourd'hui existants. Le café Saint-Éloi, son épicerie attenante et les deux écoles primaires sont aujourd’hui des habitations[à développer].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2001 Gérard Ollivier    
mars 2001 mars 2014 Gilles Moreau    
mars 2014 janvier 2022 Jean Lamothe[26],[27]   Contremaître, agent de maîtrise
26 mars 2022 En cours Eric Colas    

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

En 2012, la commune d'Umpeau est entrée tardivement dans la communauté de communes de la Beauce Alnéloise (Auneau) à la suite d'une obligation légale.

Au 1er janvier 2017, elle rejoint la nouvelle intercommunalité d'Epernon devenue Les Portes Euréliennes d'Ile de France.

Le 1er janvier 2018, Umpeau intègre la communauté d'agglomération Chartres Métropole[28].

En janvier 2022, Jean Lamothe, maire d'Umpeau, démissionne de tous ses mandats[29].

Des élections partielles complémentaires sont organisées en mars 2022 pour élire deux nouveaux conseillers municipaux à la suite de la démission, en octobre 2021, de Marie-Paule Legrand, conseillère municipale et du maire[30].

Sept candidats se présentent pour deux postes de conseillers municipaux. Au premier tour, le dimanche 13 mars 2022, Marie-Paule Legrand arrive en tête avec 45 voix, suivie par Jérôme Peuvion avec 44 voix. 117 personnes ont voté pour un total de 316 inscrits sur les listes électorales. Sans majorité, un second tour a lieu le dimanche 20 mars pour départager les 7 candidats. Les 2 conseillers élus sont Marie-Paule Legrand avec 48 votes et Jérôme Peuvion avec 44 votes. Il y a 139 votants[31].

Un conseil municipal a lieu le vendredi 25 mars afin d'élire le nouveau maire. Marie-Paule Legrand et Éric Colas se portent candidats. Le conseil municipal vote en faveur d'Éric Colas avec 6 voix contre 5 pour Marie-Paule Legrand. À la suite de cette élection, Éric Colas propose d'élire 2 adjoints contre 3 auparavant. Grégoire Lamplé-Opéré est élu premier adjoint et Sylvain Alamichel comme second.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Les arbres centenaires bordant la place de l'Eglise, dans le cœur du bourg, ont été coupés au pied en février 2023. Cet abatage a donné lieu à une polémique sur le patrimoine végétal du village.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 401 habitants[Note 3], en augmentation de 1,26 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400423376424422372365354356
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
369367394395398385401402401
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
384385360323325325270285243
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
215175169203329381408411423
2014 2019 2021 - - - - - -
402407401------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Le 28 octobre 2022, en plus de son traditionnel « Portes à portes » pour Halloween, le comité des Fêtes a organisé un « Parcours de la Peur » de 300 mètres de long. Initialement prévu pour une longueur de 225 mètres, à l'installation le parcours a été agrandi par des zigzags sur la place de l’Église et rue du Tour de l’Église.

Ce sont 400 personnes qui ont visité cette attraction et elle a enregistré plus de 1000 passages en 4 heures. Ce sont 3 associations régionales et 13 entreprises qui ont participé à cet évènement.

La logistique a nécessité la livraison de plusieurs tonnes de matériels. Le plus grand des 3 tunnels pesait 1,3 tonne.

Le 22 mars 2023, le Comité des Fêtes lance un "Challenge Lutin" sur les réseaux sociaux afin de ravir le record du monde de la plus grande exposition de nains de jardin détenu par la ville de Brest depuis 2017. Grâce à un appel aux dons de nain, l'exposition se tiendra le 23 avril de la même année, lors de la fête du Printemps.

Le Comité des Fêtes organise les manifestations culturelles et festives suivantes[36] :

2023 2022
Date Évènement Date Évènement
08 janvier Galette des Rois
23 avril Fête du printemps :

Carnaval, défilé, char Chasse et pêche aux œufs Troc plantes

06 mars Carnaval
17 avril Chasse aux œufs
13 mai Soirée Western 21 mai Moules frites
26 mai Fête des Voisins
25 juin Vide greniers 26 juin Vide greniers
13 juillet Pique-nique pour la fête nationale 13 juillet Barbecue pour la fête nationale
17 septembre Après-midi jeux 18 septembre Après-midi jeux
28 octobre Halloween :

2ème édition du « Parcours de la Peur »

29 octobre Halloween :

1ère édition du Parcours de la Peur[37],[38]

10 décembre Noël :

Spectacle de magie

03 décembre Noël :

Spectacle de magie Cérémonie d'illuminations de la place de l’Église

19, 20, 21 et 22 décembre Chorale de rue, chants de Noël

Grand concert final sur la place du village le 22 décembre

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Elle date du XIIème sicèle et est dédiée à saint Lubin. Elle fut primitivement un château fort.

Après la guerre de 1914-1918, toutes les communes de France ont édifié un monument aux morts à la mémoire des soldats disparus au cours des précédents combats.

La commune d'Umpeau fait officiellement une demande au Ministère de l'Armée Française pour obtenir deux mortiers de tranchée afin de les placer de part et d'autre du monument aux morts.

En 1923, arrive en gare d'Houville la Branche, un wagon destiné à la Commune d'Umpeau. À la surprise du Maire et de son Conseil Municipal venus prendre possession de la livraison, c'est un canon de 77, appartenant à l'armée autrichienne, venant de Givet, que l'armée française offre à la commune.

Poids 1,7 tonne
Calibre 77 mm
Portée Environ 9 km
Vitesse obus Environ 420 m/s
Poids des obus 7,2 kg

Placé au départ près du monument aux morts, il devient encombrant sur la place de l'église. Il fut alors placé en retrait de celui-ci.

Le temps ayant oxydé la structure et détérioré, ce canon était devenu un vestige à l'entrée de l'église.

La municipalité prend contact avec deux associations spécialisées dans la restauration mais les échanges sont restés infructueux et ce projet n'a pu aboutir.

La restauration de 2005 est alors entreprise par deux conseillers municipaux[40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Citation littéraire[modifier | modifier le code]

« Un peu plus tard, ils traversèrent des villages dont les noms chantaient comme des poèmes à Jeanne : Occonville, Umpeau, Cherville, Villiers-les-Bois, Houville-la-Branche, Nogent-le-Phaye. »

— Michèle Sarde, Histoire d'Eurydice pendant la remontée, Paris, Seuil 1991, page 69-70.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Umpeau et Sours », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Sours », sur la commune de Sours - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Sours », sur la commune de Sours - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Umpeau », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Umpeau », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  21. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, Errance, , p. 39.
  22. Bulletin Municipal n°01, Umpeau, , Numéro 03 éd. (1re éd. 1995), 9 p., Page 02
  23. Bulletin Municipal n°07, Umpeau (no 7), (1re éd. 1995), 13 p., Page 04
  24. Bulletin Municipal n°03, Umpeau, , Numéro 03 éd., 9 p., Page 09
  25. Bulletin Municipal n°07, 7e éd. (1re éd. 1995), Page 4
  26. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  28. Bulletin Municipal 2018, Umpeau, , 17 p., Page 04
  29. « UMPEAU - Démission du maire Jean Lamothe | Radio Intensité », sur intensite.net (consulté le ).
  30. https://www.lechorepublicain.fr/umpeau-28700/actualites/le-deuxieme-tour-des-elections-municipales-dimanche-prochain_14099165/.
  31. https://www.lechorepublicain.fr/umpeau-28700/actualites/marie-paule-legrand-et-jerome-peuvion-ont-ete-elus-dimanche_14102885/.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. https://www.facebook.com/Comit%C3%A9-des-f%C3%AAtes-dUmpeau-102862125357979/.
  37. Centre France, « Umpeau - Un parcours de la peur pour Halloween », sur lechorepublicain.fr, (consulté le ).
  38. Centre France, « Umpeau - Pari réussi pour le parcours de la peur », sur lechorepublicain.fr, (consulté le ).
  39. Photographie en ligne dans la section Liens externes.
  40. Bulletin Municipal n°10, Umpeau, (1re éd. 1995), 24 p., Page 10