Vielle-Tursan

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Vielle-Tursan
Vielle-Tursan
Rue principale et clocher de l'église Saint-Jean-Baptiste. Carte postale, début XXe s.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes d'Aire-sur-l'Adour
Maire
Mandat
Benoît Laborde
2020-2026
Code postal 40320
Code commune 40325
Démographie
Population
municipale
280 hab. (2021 en augmentation de 6,46 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 40′ 35″ nord, 0° 26′ 57″ ouest
Altitude Min. 64 m
Max. 142 m
Superficie 12,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mont-de-Marsan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Adour Armagnac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Vielle-Tursan

Vielle-Tursan est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

Localisation

Commune située dans le Tursan, dans le vignoble de Tursan, à la limite de la Chalosse à l'ouest, à 9 km des Pyrénées-Atlantiques au sud.

Sa préfecture Mont-de-Marsan est à 24 km au nord, Aire-sur-l'Adour à 15 km à l'est, Hagetmau à 11 km à l'ouest, Pau (Pyrénées-Atlantiques) à 42 km au sud-sud-est[1] (distances à vol d'oiseau).

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Vielle-Tursan[1]
Montsoué
Sarraziet
Fargues
Coudures
Aubagnan
Vielle-Tursan Saint-Loubouer
Bats

Hydrographie

Le Bas, affluent de rive droite du Gabas, traverse les terres de la commune[1].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 071 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bahus Fleton », sur la commune de Bahus-Soubiran, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 997,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Vielle-Tursan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mont-de-Marsan, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,4 %), zones agricoles hétérogènes (19,9 %), forêts (17,7 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Histoire

Protohistoire

Inscription ibère,
tumulus de la lande Mesplède

Les tumulus de la lande Mesplède, souvent cités comme "les tumulus de Vielle-Aubagnan"[21], se trouvent sur Vielle[22], entre Vielle à l'est et Aubagnan à l'ouest[23].

L'un de ces tumulus, exploré en 1914 par Pierre-Eudoxe Dubalen[24], a livré parmi son mobilier les restes de deux fragments que l'on interprète aujourd’hui comme deux phiales en argent avec des inscriptions ibériques[25] particulièrement intrigantes. La sépulture a été datée par son mobilier de l'époque du second âge du fer, et vraisemblablement de la fin du IIe siècle av. J.-C.[26]. Les phiales auraient été fabriquées dans un atelier de la basse vallée de l'Èbre à la fin du IIIe siècle av. J.-C.[22]. Ces inscriptions ont fait l'objet d'une abondante littérature scientifique[26] ; à ce jour les débats ont toujours cours quant à l'interprétation de cette découverte pour déterminer la part et les modalités de l'influence ibérique en Aquitaine avant la conquête romaine[27],[28],[29].

Époque gallo-romaine, Moyen-Âge

Probablement occupé dès la période gallo-romaine, le site de Vielle-Tursan s'est développé autour d'un castrum dont l'existence était mentionnée en 1279 et qui fut construit sur une pointe du promontoire où est le village. Vielle-Tursan fut avec Urgons une des seigneuries de la famille Castelnau. Par son testament du , Raymond Bernard de Castelnau, se préparant à partir pour l'Angleterre, désire être enseveli en l'église de Vielle, s'il vienne à mourir en pays étranger.

Temps modernes

Au XVIe siècle, Vielle n'appartient plus au Castelnau. On y trouve en 1566, Antoine de Montesquieu, seigneur de Sainte-Colombe, ensuite Jehan d'Artiguenave, originaire de Mont-de-Marsan. Pierre d'Artiguenave épousa Thérèse de Chambre. Plus tard, la baronnie de Vielle passa aux d'Antin, de Sauveterre-de-Béarn. Pierre d'Antin prit part à l'assemblée des Trois Ordres en 1789 à Tartas.

À un certain moment, Vielle fut en possession de l'abbaye de Saint-Sever. C'est sans doute alors que les moines bénédictins ont mis à l'honneur la culture en Tursan. Vielle fut renommée pour ses crus dont la gloire atteint son apogée au XVIIe siècle.

En 1759, Vielle-Tursan est désigné sous le nom de Vielle-en-Chalosse, la Chalosse prise ici dans un sens extensif.

Politique et administration

Période Identité Étiquette Qualité
1995 2014 Annie Darracq PS Agricultrice
avril 2014 en cours Benoit Laborde PS Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 280 habitants[Note 7], en augmentation de 6,46 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
776740858678855855895890807
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
802770745700678674641649620
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
615624531461448434418367349
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
371345339310301291302302289
2015 2020 2021 - - - - - -
263278280------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

  • Église Saint-Jean-Baptiste de Vielle-Tursan.
  • Le lavoir : la source qui l'alimente date de l'époque quaternaire. Le lavoir date de 1891. On y accède très aisément depuis la place de la Mairie. Le linge était lavé avec des cendres. Le lavoir était considéré comme un lieu de rencontre entre les habitants du village. Ses abords sont fleuris et invitent au repos ou à la méditation. Son entretien est assuré par les adhérents du Club du 3e âge et la municipalité.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a b et c « Vielle-Tursan, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Bahus Fleton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Vielle-Tursan et Bahus-Soubiran », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Bahus Fleton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Vielle-Tursan et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. [Dubalen 1926] Pierre-Eudoxe Dubalen, « Tumulus de Vielle-Aubagnan », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 23, no 12,‎ , p. 315-316 (lire en ligne [sur persee]).
  22. a et b [Hébert 1990] Jean-Claude Hébert, « Les deux phiales à inscriptions ibériques du tumulus n° 3 de la lande « Mesplède » à Vielle-Aubagnan (Landes) », Bulletin de la Société de Borda, no 417,‎ , p. 1-40 (lire en ligne [PDF] sur archeolandes.com, consulté en ).
  23. « La lande de Mesplède entre Vielle-Tursan et Aubagnan, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées.
  24. [Dubalen 1914] Pierre-Eudoxe Dubalen, « Tombes aquitaniques », Revue des Études Anciennes, vol. 16, no 2,‎ , p. 217-218 (lire en ligne [sur persee]).
  25. [Gorrochategui 2013] Joaquín Gorrochategui, « Linguistique et peuplement en Aquitania », dans Anne Colin & Florence Verdin, L'âge du Fer en Aquitaine et sur ses marges. Mobilité des hommes, diffusion des idées, circulation des biens dans l'espace européen à l'âge du Fer (Actes du 35e colloque de l'Association Française pour l'Étude de l'Âge du Fer, Bordeaux, 2-5 juin 2011), éd. Ausonius, coll. « Aquitania » (no 30 (supplément)), (lire en ligne [PDF] sur aquitania.u-bordeaux-montaigne.fr), p. 17-, p. 20.
  26. a et b « Les inscriptions en caractères ibères d'Aubagnan dans les Landes », sur ikerketak.wifeo.com (consulté en ).
  27. [Gorrochategui 2002] (es) Joaquin Gorrochategui, « Nota sobre las inscripciones ibericas de Aubagnan (Landas, Francia) », dans X. Artiagoitia, P. Goenaga et J.A. Lakarra, Erramu boneta: Festschrift for Rudolf P.G. De Rijk [« Note sur les inscriptions ibériques d'Aubagnan (Landes, France) »], Bilbao, (lire en ligne [PDF] sur ojs.ehu.eus), p. 229-301.
  28. [Iglesias 2008] Hector Iglesias, « Observations concernant les récentes critiques et omissions de Joseba Lakarra à propos des recherches d'Hector Iglesias sur la problématique ”basco-ibérique” suivies d'une hypothèse inédite concernant l'inscription de Liria », Arse boletin anual del Centro Arqueologico Saguntino, Sagunto,‎ , p. 35-104 (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté en ), p. 90.
  29. [Lafon 1956] René Lafon, « Protohistoire des Landes. Les inscriptions en caractères ibères d'Aubagnan et les inscriptions latines d'Aire-sur-l'Adour, Landes de Gascogne et Chalosse » (Actes du IXe Congrès d'Études Régionales tenu à Saint-Sever les 28 et 29 avril 1956), Bulletin de la Société de Borda,‎ , p. 5-10.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.