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Sagelat

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Sagelat
Sagelat
Le bourg de Sagelat (à droite du rond-point).
Blason de Sagelat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède
Maire
Mandat
Olivier Merlhiot
2020-2026
Code postal 24170
Code commune 24360
Démographie
Population
municipale
316 hab. (2021 en augmentation de 3,95 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 18″ nord, 1° 00′ 46″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 219 m
Superficie 7,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Sagelat
Géolocalisation sur la carte : France
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Sagelat
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
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Sagelat
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Sagelat

Sagelat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

La Nauze à Sagelat.

La petite commune de Sagelat s'inscrit entre trois cours d'eau : la Nauze, un affluent de la rive gauche de la Dordogne, et deux de ses propres affluents de sa rive droite, les hauteurs du val du Mamarel et la Vallée (dérive du Valech) qui, de nos jours, connaît de longues et sévères intermittences.

La route départementale 710, de Ribérac au nord du Lot-et-Garonne (et qui se prolonge ensuite vers Fumel) lui accorde, pour quelques décamètres, un petit salut. La sécante principale de la commune est la RD 53.

Cette commune, jadis essentiellement agricole, vit de nos jours plutôt sur le tertiaire.

Communes limitrophes

Carte de Sagelat et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Pays de Belvès.

Sagelat est limitrophe de cinq autres communes.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 13 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,5 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 907 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 1 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 30 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Sagelat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41 %), zones agricoles hétérogènes (32,6 %), prairies (26,4 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Prévention des risques

À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2011 pour la Dordogne amont incluant la Nauze et ses rives, donc la zone basse du territoire de Sagelat[20],[21].

Toponymie

En français comme en occitan, la commune porte le même nom[22].

Histoire

Politique et administration

Rattachements administratifs

Dès 1790, la commune a été rattachée au canton de Belvès qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Le canton de Belvès est ensuite rattaché en 1800 à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[23].

Intercommunalité

Fin 2000, Sagelat intègre dès sa création la communauté de communes Entre Nauze et Bessède. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[24],[25].

Liste des maires

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1947 mars 1977 Fernand Garrouty apparenté SFIO Exploitant agricole
mars 1977 mars 2008 Jean-Louis Peyrus SE Directeur d'école primaire
mars 2008[26]
(réélu en mai 2020)
En cours Olivier Merlhiot SE[27] Podologue

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, Sagelat relève[28] :

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 316 habitants[Note 6], en augmentation de 3,95 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
491510520609533520528514555
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
563572562528506517485432409
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
417435395356344311337307321
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
293261253302300325348355311
2018 2021 - - - - - - -
321316-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

En 2015[32], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 134 personnes, soit 44,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (21) a augmenté par rapport à 2010 (15) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,7 %.

Établissements

Au , la commune compte 31 établissements[33], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans la construction, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[34].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Modèle:Message galerie

L'église Saint-Victor a d'abord dépendu de l’abbaye bénédictine de Fongauffier, fondée en 1095 par une femme nommée Eubolène, dans la dépendance de l'abbaye Saint-Géraud d'Aurillac[35]. Elle a été construite sur le site d'une ancienne villa gallo-romaine.

La fontaine de Fongauffier, épanchement d'une puissante source, fut le témoin d'un épisode historique qui donne une assise à la petite histoire. Au piédroit de cette fontaine, Waiffer, le dernier duc d'Aquitaine, se rafraîchissait quand la soldatesque de Pépin le Bref le surprit. Waiffer réussit néanmoins à s'échapper et passa la Dordogne au gué de Siorac distant de cinq kilomètres. Pépin le Bref, le père de Charlemagne, le rattrapa dans la forêt de la Double, à Eygurande, et l'assassina dès sa capture. D'aucuns situent là les prémices de l'adjonction de l'Aquitaine à la France carolingienne. Waiffer et « ses » gascons tenaient pour leurs terres indépendantes. Cependant, cet apport à la France ne fut réel que bien plus tard sous la monarchie capétienne et le comté du Périgord ne fut enchâssé à l'entité française qu'au XVIe siècle quand le Royaume de France passa aux mains d'un béarnais connu sous le nom d'Henri IV.

Le bourg abbatial de Fongauffier, érigé en 1094, prit le nom de Waiffer pour construire son toponyme. Waiffer, à la suite de multiples dérives, est devenu Gauffier avec autant de variantes orthographiques qu'on peut l'imaginer. L'assemblage de fon, de fontis, et de gauffier donne Fongauffier. L'abbaye moniale, tout comme les remparts du village, fut détruite avec la grande Révolution.

L'actuelle fontaine n'en est qu'un vestige altéré puisqu'elle fut recomposée en 1844.

Pour en terminer avec la petite histoire rappelons que l'écrasante majorité de la population locale n'avait jusqu'à la grande Révolution qu'une idée bien floue, voire inexistante, de la France et les repères se situaient au niveau des villages du proche voisinage et des seigneurs du lieu. L'occitan était la langue commune et le français ne commença à forcer les portes des chaumières, et encore péniblement, qu'à l'orée du XXe siècle.

Personnalités liées à la commune

  • Jean-Baptiste Lafon de Fongauffier : ce fonctionnaire des finances, né le à Sagelat, décédé le , s'impliqua fortement dans la présence française au Sénégal où il fut élu député pour une législature, le . Lafon siège à l'extrême gauche de l'époque (celle-ci était loin de la sensibilité maximaliste de nos jours) qui était dominée par Gambetta. Le tribun de la IIIe République était pratiquement un voisin puisque son père était un épicier cadurcien. On note que "de" Fongauffier ne correspond pas à une particule nobiliaire mais avait pour but d'identifier les Lafon dont le patronyme est courant, notamment en Périgord. Aux dernières années de sa de vie, Lafon fut conseiller général de son canton (Belvès) et repose au cimetière de Sagelat.
  • Jean Trémoulet (1909-1944), mécanicien a gagné les 24 Heures du Mans 1938, en compagnie d'Eugène Chaboud. Engagé dans la Résistance, il meurt à Puy Chanat, sur la commune de Sagelat, dans un accident de moto lors d'une mission.

Héraldique

Blason de Sagelat Blason
De sinople à la fasce ondée d’argent accompagnée de trois roues de moulin d’or[36]
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Sagelat et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Sagelat et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. PPR inondation - 24DDT20090002 - Dordogne Amont, DREAL Aquitaine, consulté le 13 février 2019.
  21. [PDF] Sagelat - Plan de prévention du risque inondation p. 22, DREAL Aquitaine, consulté le 13 février 2019.
  22. Le nom occitan des communes du Périgord - Sagelat sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 9 septembre 2020.
  25. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 9 novembre 2020.
  26. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 25 août 2014.
  27. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 3.
  28. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Dossier complet - Commune de Sagelat (24360) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
  33. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  34. Dossier complet - Commune de Sagelat (24360) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
  35. * Hugues Du Tems, Le clergé de France, ou tableau historique et chronologique des archevêques, évêques, abbés, abbesses, & chefs des chapitres principaux du royaume, depuis la fondation des églises jusqu'à nos jours, tome 2, p. 626-627, Chez Delalain, Paris, 1774 (lire en ligne)
  36. Blason de Sagelat sur le site de l'Armorial de France, consulté le 5 septembre 2013.