Roquefort (Lot-et-Garonne)

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Roquefort
Roquefort (Lot-et-Garonne)
Mairie.
Blason de Roquefort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Patrice Fournier
2021-2026
Code postal 47310
Code commune 47225
Démographie
Gentilé Roquefortais
Roquefortaises
Population
municipale
2 102 hab. (2021 en augmentation de 15,49 % par rapport à 2015)
Densité 279 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 30″ nord, 0° 33′ 38″ est
Altitude 70 m
Min. 53 m
Max. 156 m
Superficie 7,53 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Agen
(banlieue)
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Ouest agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Roquefort
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Roquefort
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Roquefort
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Roquefort
Liens
Site web Site de la mairie

Roquefort (Recahòrt en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Roquefortais et Roquefortaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte du village et de ses principaux services.
Le village de Roquefort au cœur du relief lot-et-garonnais.

Commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans son unité urbaine à une dizaine de kilomètres au sud-ouest d'Agen, en Agenais en limite du Bruilhois.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Brax, Aubiac, Estillac, Laplume, Le Passage et Sainte-Colombe-en-Bruilhois.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estillac à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Roquefort est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[12] et 80 711 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,4 %), zones urbanisées (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), prairies (8,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %), forêts (1,2 %), cultures permanentes (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Roquefort est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[20]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1999, 2008, 2009 et 2021[22],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[23]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Roquefort.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[25]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2005, 2006, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Bruilhois.

La commune de Roquefort accueillit des habitants de Lemud, en Moselle, expulsés par les Allemands à l'automne 1940. Le village voisin de Laplume en accueillit aussi.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mai 2020 Jean-Pierre Pin DVD Retraité DDE[27]
mai 2020[28] novembre 2020 Jean-Louis Chau-Van    
novembre 2020[29] avril 2021 Alain Zanardo    
avril 2021[30] En cours Patrice Fournier    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32]. En 2021, la commune comptait 2 102 habitants[Note 4], en augmentation de 15,49 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
292271328300308303306301317
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
305302302292251272284290292
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
276275256253269289305304307
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3834975737379801 1981 5661 6121 767
2015 2020 2021 - - - - - -
1 8202 1262 102------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Elle fait partie de l’arrondissement d’Agen et de son aire urbaine qui compte une population de 103 715 habitants.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Activités et économie[modifier | modifier le code]

La commune de Roquefort-sur-Garonne est le lieu d'implantation du siège social du groupe Fonroche Énergie, œuvrant dans les énergies renouvelables[35]. L'établissement de cette société, dans la zone d'activité Ccmmerciale des Champs de Lescaze, a fait l'objet de réserves de Réseau Ferré de France. Il était en effet prévu que le terrain concerné accueille un passage de la ligne Ter reliant Roquefort et le centre-ville d'Agen. Toutefois, Fonroche Energies a obtenu l'autorisation de s'installer[36].

La ZAC accueille aussi d'autres entreprises impliquées dans le secteur de l'énergie et/ou de l'écologie : Boalia (construction Basse Consommation), Maisolia (amélioration énergétique de l'habitat), Sun Valley 2 (production d'électricité), une serre maraîchère[37], etc.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

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Françounett0 ("Françounette"), surnom d'une authentique et belle jeune fille de Roquefort dont l'histoire a été racontée par le poète-perruquier agenais Jasmin. La jalousie ordinaire et l'obscurantisme disaient que son mari ne survivrait pas à la nuit de noces. Françounette, seule, en souffrait beaucoup sous les invectives et la raillerie. Un jeune homme, touché par sa personnalité, l'épousa toutefois, survécut évidemment et permit d'en terminer avec cette terrible superstition.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Roquefort Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'azur à la fasce d'or accompagnée, en chef, de deux coquilles du même et, en pointe, d'un croissant d'argent, aux 2e et 3e d'azur au chevronel d'or accompagné en pointe d'une salamandre d'argent, couchée dans son brasier d'or, et surmontée d'un soleil du même.
Devise
"Virtutem fortuna"[38]
Détails
Reprise des armes des De Secondat, barons de Montesquieu et de Roquefort, avec l'accord de cette famille.
Officiel, blason adopté en 2013.

Galerie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Roquefort et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 d'Agen », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Roquefort », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Roquefort », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  27. http://www.adm47.asso.fr/annuaire.php?fiche=89&type=0
  28. Sylviane Goudenhooft, « En attendant, Chau-Van a été élu », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 24.
  29. É.V., « Déjà du rififi au sein de la toute jeune majorité municipale », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 26.
  30. Roquefort : le nouveau conseil installé, Patrice Fournier élu maire, La Dépêche du Midi, , consulté le .
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Les implantations de Fonroche Energies
  36. Article dans La Dépêche du Midi
  37. Bulletin Officiel Des Annonces Civiles et Commerciales (BODACC)
  38. Armorial de France