Boé

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Boé
Boé
Tour de La Cassagne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Pascale Luguet
2020-2026
Code postal 47550
Code commune 47031
Démographie
Gentilé Boétiens
Population
municipale
5 723 hab. (2021 en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015)
Densité 347 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 09′ 38″ nord, 0° 37′ 46″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 59 m
Superficie 16,5 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Agen
(banlieue)
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Agen-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Boé
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Boé
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Boé
Liens
Site web www.ville-boe.fr

Boé est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Boétiens et les Boétiennes. Elle est la 9e ville du département et la 4e de l’aire d'attraction d'Agen qui comptait une population de 120 576 habitants en 2019.

La ville de 5723 habitants, située sur la rive droite de la Garonne, est au cœur de l'agglomération d'Agen, structure intercommunale de 101 365 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans son unité urbaine, à une dizaine de kilomètres au sud-est d'Agen sur la Garonne. Elle fait partie des Villes fleuries avec trois fleurs.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Boé est limitrophe de huit autres communes, dont Sauveterre-Saint-Denis au sud-est par un quadripoint. Les communes limitrophes sont Agen, Bon-Encontre, Castelculier, Lafox, Layrac, Moirax, Le Passage et Sauveterre-Saint-Denis.

L’orientation et la localisation de Boé par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant (par route, de centre-ville en centre-ville) :

Ville[2] Agen Toulouse Bordeaux Montpellier Marseille Nantes Lyon Nice Paris
Distance

Orientation

Attenant

(N)

89 km

(SE)

123 km

(NO)

267 km

(SE)

393 km

(SE)

381 km

(N)

375 km

(NE)

533 km

(E)

539 km

(N - NE)

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L’altitude minimale est de 37 m, la maximale est de 59 m soit 48 m de moyenne. La mairie est à 46 m d’altitude.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par le canal du Midi et longée par la Garonne dans ses parties sud-ouest, sud et sud-est. Elle est aussi arrosée par le Mondot et la Séoune qui confluent avec la Garonne sur son territoire, tous deux affluents de la Garonne. On notera que le Gers conflue avec la Garonne en rive gauche à l'extrême sud de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 797 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estillac à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 708,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boé est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[13] et 80 711 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,5 %), terres arables (25,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16 %), zones urbanisées (15,9 %), eaux continentales[Note 3] (5,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Transport[modifier | modifier le code]

Transport routier[modifier | modifier le code]

Transport urbain[modifier | modifier le code]

Le réseau Tempo exploité par la société Keolis Agen et dessert les 29 communes de l'agglomération d'Agen soit un total de 92 042 habitants depuis le , en remplacement du réseau Transbus.

Transport fluvial[modifier | modifier le code]

Canal du Midi.

Le canal de Garonne passe dans la commune, elle possède un petit port de plaisance. Cette voie n’est utilisée que par les bateaux de plaisance, en grand nombre l’été. La Garonne n’est plus utilisée du tout.

Aéroport Agen-La Garenne[modifier | modifier le code]

Des vols vers l'aéroport Paris-Orly sont proposés, avec deux allers-retours quotidiens du lundi au vendredi et un aller-retour le dimanche soir.
41 138 voyageurs ont été transportés en 2014.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Boé est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[22]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1999, 2009, 2016 et 2021[24],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Boé.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 5]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 6],[28],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Équivalent gascon de l'occitan boièr « bouvier », que l'on francise en Boyer[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Communauté d'agglomération d'Agen[modifier | modifier le code]

Vue d'Agen et son agglomération.

La communauté d'agglomération d'Agen regroupe vingt-neuf communes de l'aire urbaine d'Agen, dont Boé.

L'idée d'un regroupement intercommunal est née dans les années 1960 sous l'impulsion de Pierre Pomarede, puis développée en 1974 par René Lajunie, alors maire de Bon-Encontre, et le docteur Esquirol, maire d'Agen. Au cours de leur mandat sera créé le District de l'Agglomération agenaise, ancêtre de la communauté d'agglomération d'Agen.

La communauté d'agglomération d'Agen a permis le développement des communes et de nombreux services dont les transports en commun desservant notamment la commune de Boé, mais aussi celui de la collecte des déchets commun à l'ensemble de l'agglomération.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

En 2010, la commune de Boé a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[31]. En 2013, la commune obtient le label « Ville Internet @@@@@ »

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1977 mars 2001 Guy Saint-Martin PS Conseiller général du canton d'Agen-Sud-Est (1985-2011)
Conseiller régional d'Aquitaine (1986-2010)
mars 2001 mai 2020 Christian Dézalos PS Conseiller général du canton d'Agen-Sud-Est (2011-2015)
Conseiller départemental du canton d'Agen-2 (depuis 2015)
mai 2020[32] En cours Pascale Luguet DVC Avocate

Écologie - recyclage[modifier | modifier le code]

La communauté d’agglomération a équipé tous les foyers de cinq conteneurs (verre, papier et journaux, ordures ménagères, emballages et déchets verts) dans le but d’un tri sélectif de l’usager. Plusieurs ramassages par semaine sont effectués séparément pour chaque matière.

La commune dispose d’une déchèterie Z.A de Boé.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[33].

En bord de Garonne, au nord-ouest de la commune, le parc naturel Agen-Garonne Passeligne-Pélissier, ou parc naturel de Passeligne, s'étend sur soixante hectares dont la moitié est occupée par deux lacs[34]. Quatorze kilomètres de chemins y ont été tracés et le parc comprend des aires de jeux pour enfants, des terrains de sport et des zones de pêche no-kill[34].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 5 723 habitants[Note 7], en augmentation de 2,71 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
9371 1701 1021 1861 2261 2211 1311 1551 222
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 2041 2171 1721 1011 1071 1581 1621 1911 111
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 1041 1149641 0421 0601 1231 2421 3382 158
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
2 6333 2313 9604 0214 5035 1785 2785 4585 593
2021 - - - - - - - -
5 723--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Justice et sécurité[modifier | modifier le code]

Juridictions[modifier | modifier le code]

Boé dépend des tribunaux de :

(gère les départements du Lot, du Gers et Lot-et-Garonne)

Forces de l’ordre[modifier | modifier le code]

La commune de Boé a une police municipale.

Pompiers[modifier | modifier le code]

Les pompiers sont basés à Agen.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Clinique Saint-Hilaire.

Pour la santé la ville dépend de celle d’Agen :

  • Hôpital Saint-Esprit au nord d’Agen.
  • Clinique Saint-Hilaire Esquirol (sud d’Agen).
  • Hôpital de Monbran.
  • Hôpital psychiatrique-la Candélie à Foulayronnes.

Sports[modifier | modifier le code]

Club de rugby à XV, le Rugby Club Bon Encontre-Boé évolue en Fédéral 2 pour la saison 2010-2011.
Club de Tir à l'arc, le club des Archers de Boé, est l'un des trois plus grands clubs de France, et compte parmi ses archers des champions du monde et membres de l'équipe de France.

Culture[modifier | modifier le code]

Boé finance l'École de musique associative Musiquenvie

Médias[modifier | modifier le code]

Presse écrite[modifier | modifier le code]

On peut trouver dans la commune plusieurs types de journaux, Le Sud Ouest par exemple (siège à Bordeaux) avec une actualité nationale, régionale et locale, Le petit Bleu journal de l’Agenais ou la Dépêche du midi actualité du Lot-et-Garonne.

Radios[modifier | modifier le code]

Quatre radios émettent des décrochages à destination de l’agglomération agenaise :

  • Virgin Radio Agen (89.8 FM) ;
  • 47 FM (87.7 FM), créée en 2007 ;
  • ARL (95.9 FM) ;
  • Radio Bulle (93.6 FM).

Télévision[modifier | modifier le code]

Dans le département de Lot-et-Garonne les chaines régionales se limitent à France 3 Atlantique.

Possibilité d’avoir les programmes de la TNT.

Économie[modifier | modifier le code]

Petit village qui comporte très peu de commerçants et beaucoup d’habitations. Jusqu’il y a quelques années, simple banlieue rurale d’Agen, Boé est devenue peu à peu un pôle commercial d’importance. L’implantation de l’ENAP (école nationale d’administration pénitentiaire) délocalisée de Fresnes (région parisienne) à Agen, en , a en effet déplacé le centre de gravité de l’agglomération vers cette commune, qui accueille pour partie l’École, son restaurant géré par le CROUS, son gymnase. Le campus universitaire Michel-Serres, les résidences universitaires, le centre nautique de l’agglomération, jouxtent la commune.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Cèdres tricentenaires, château Saint-Marcel

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Thabita ressuscitée par saint Pierre, lithographie par Auguste Bry après le tableau par Alexandre Laemlein.
  • La tour Lacassagne, tour imposante qui a su protéger cet ancien village.
  • Église Saint-Sulpice de Boé
  • L'église Saint-Pierre de Saint-Pierre-de-Gaubert recèle un tableau d'Alexandre Laemlein (1813-1871), donné par l'État, figurant sans doute au Salon de 1843. Le tableau est classé au titre des monuments historiques et montre saint Pierre ressuscitant Thabita[39].
  • Les berges de la Garonne et le parc naturel Agen-Garonne Passeligne-Pélissier.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  6. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Distance entre Boé et les grandes villes et capitales », sur villorama.com (consulté le ).
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Boé et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Agen-La Garenne » (commune d'Estillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Agen », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Corinne Malet, « Une gare, un port, mais pas le bon nom », sur SudOuest.fr, (consulté le ).
  20. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Boé », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur edf.fr (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  30. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1702, (ISBN 2600028846).
  31. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 18/12/2009.
  32. Corinne Malet, « Pascale Luguet, élue sereine », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 21.
  33. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  34. a et b Jacky Sanugo, « Passeligne et l'embarras du choix », Le Mag no 297, supplément à Sud Ouest, 9 décembre 2017, p. 22-23.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « tableau : Thabita ressuscitée par saint Pierre », notice no PM47000072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 12 avril 2018.