Mauprévoir

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mauprévoir
Mauprévoir
L'église Sainte-Impère.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Jean-Michel Faroux
2020-2026
Code postal 86460
Code commune 86152
Démographie
Population
municipale
573 hab. (2021 en diminution de 8,76 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 10′ 26″ nord, 0° 31′ 05″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 188 m
Superficie 48,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Civray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Mauprévoir
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Mauprévoir
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Mauprévoir
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Mauprévoir

Mauprévoir est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Mauprévoir
Payroux Saint-Martin-l'Ars
Mauprévoir
Charroux Pleuville
(Charente)
Pressac

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La région de Mauprévoir présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées et de bocages.

Le terroir se compose[1] :

  • de calcaires pour 4 % dans les vallées étroites et encaissées et sur les terrasses alluviales ;
  • de groies superficielles pour 15 % dans les plaines calcaires (Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite) ;
  • d'argile à silex peu profonde pour 49 %, de Terres fortes pour 21 %, de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) pour 10 % et, enfin de Terres de brandes pour moins de 1 % sur les plateaux du seuil du Poitou.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est traversé par le Clain. La vallée du Clain débouche sur l'étang de Combourg (28 hectares) et d'un complexe d'étangs secondaires (Pressac, Charroux) définissant une zone remarquable pour son avifaune.

La commune est traversée par 23 km de cours d'eau dont le principal est le Clain sur une longueur de 6 km et sur une longueur de 8 km.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Vigeant à 11,67 km à vol d'oiseau[5], est de 0,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 0,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mauprévoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), prairies (21,6 %), forêts (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), zones urbanisées (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Mauprévoir est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Payroux, le Maury et le Clain. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2010[17],[15].

Mauprévoir est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[18]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 2],[19], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [20],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mauprévoir.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[22]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[23]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[24]. 98,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[25].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

D'après les travaux d'Auguste Longnon, Mauprévoir est la corruption du nom latin de la localité « Malo Presbytero » ou « Malum Presbyterum », ce qui après traduction donne littéralement « Mauvaise habitation de prêtre ». Toutefois « Malum » pris séparément peut aussi dire « ce qui est contraire au bien, à l'ordre, au devoir... » d'où peut-être l'origine : « Presbytère mal tenu » ?[réf. nécessaire]

Histoire[modifier | modifier le code]

Proto-histoire[modifier | modifier le code]

Époque gallo-romaine[modifier | modifier le code]

Mauprévoir est dans le territoire des Pictons.

Époque médiévale[modifier | modifier le code]

La découverte, peu avant 1937, de sarcophages mérovingiens, atteste de l’ancienneté de l’occupation du lieu. Cependant, aucun document historique ne fournit de précision à propos de la naissance du village. Il est certain, toutefois, que la seigneurie de Mauprévoir existait en 1179, car à cette époque, un nommé Audebert, viguier et sa femme Flandrine, font don d'un préhenbier de froment dans leur terre de Mauprévoir, à l’abbaye de Montazai (commune de Savigné).

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Mauprévoir accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires, comme le brûlement des titres féodaux le [26].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la ligne de démarcation traversait la commune[27], du au , laissant le chef-lieu en zone libre avec la majeure partie du territoire de la commune. À la fin de la guerre, un planeur Airspeed Horsa de la Royal Air Force (RAF), tracté par un bombardier Short Stirling en route vers Istres pour participer à l’opération Molten, en Italie, rompt son élingue. Son pilote doit procéder à un atterrissage d’urgence, au cours duquel seule l’extrémité de l’aile droite est légèrement endommagée en heurtant un chêne[28]. Des personnels de la RAF débarquent fin octobre à Biard, puis se rendent à Mauprévoir. L’aile est retoilée, et une élingue neuve fixée au planeur. L’extrémité du câble, en forme de large boucle, est fixée au bout de grandes perches dressées vers le ciel. Un C-47 Dakota vient ensuite lentement, en plein vol, accrocher cette boucle, et fait décoller le planeur, opération rarissime de récupération durant la Seconde Guerre mondiale[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1792 Pierre Corderoy ... ...
1792 1808 Jean-Jacques Petuaud-Letang (père) ... ...
1808 1816 Dumagny ... ...
1816 1820 Pierre-Constantin de Puyguyon ... ...
1820 1830 Dumagny ... ...
1830 1834 Baptiste Corderoy du Tiers ... ...
1834 1843 Jean-Jacques Petuaud-Letang (fils) ... ...
1843 1865 Auguste Maury ... ...
1865 1874 Théolin Rivière ... ...
1874 1888 Auguste Bergeron ... ...
1888 1891 Valentin Bonneaud ... ...
1891 1898 Alphonse Rivière ... ...
1898 1900 Jules Chevalaria ... ...
1900 1908 Jean Blanc ... ...
1908 1925 Joseph Farisy ... ...
1925 1929 Marc Bonneaud ... ...
1977 1995 Émile Bernard ... ...
1995 mars 2014 Jean-Michel Clément[30] PS député (depuis 2007)
mars 2014 En cours Jean-Michel Faroux LR Ancien agriculteur

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 573 habitants[Note 4], en diminution de 8,76 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9961 0651 0601 1311 1461 2001 1771 2861 216
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3031 2631 2661 2561 2271 3421 3531 4001 353
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3671 3891 3531 2151 2511 2321 1791 1741 110
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 036953796754740650652652634
2018 2021 - - - - - - -
590573-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 13 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France

Enseignement[modifier | modifier le code]

Depuis , l'école de Mauprévoir est en RPI avec l'école de Pressac. L'école de Mauprévoir est une école rurale comptant deux classes en 2014 : l'une regroupe les Grandes Sections et les CP, l'autre les CM1 et CM2.

Sports et activités[modifier | modifier le code]

Société de tir[modifier | modifier le code]

La commune de Mauprévoir a, dans ses associations, la plus vieille école de tir de Poitou-Charentes (créée en 1974). "La Patriote" est en effet la société de tir de Mauprévoir. Elle possède deux infrastructures : le stand de 10 m et le stand de 50 m.

Économie[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que 36 exploitations agricoles en 2010 contre 40 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont toutefois augmenté de 7 % et sont passées de 3 817 hectares en 2000 à 4 094 hectares en 2010 dont 516 hectares sont irrigables[35]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[36].

40 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 16 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 33 % pour le fourrage et 6 % restent en herbes. En 2000, 3 hectares (0 en 2010) étaient consacrés à la vigne[35].

12 exploitations en 2010 (contre 13 en 2000) abritent un élevage de bovins (1 766 têtes en 2010 contre 1 341 têtes en 2000)[35]. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011[37].

16 exploitations en 2010 (contre 27 en 2000) abritent un élevage qui reste important d'ovins même s'il est en baisse (5 973 têtes en 2010 contre 7 859 têtes en 2000)[35]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[37]. En 2011, le nombre de têtes dans le département de la Vienne était de 214 300[38].

L'élevage de volailles a connu une très forte croissance et de vivrier, il est devenu industriel : 226 têtes en 2000 répartis sur sept fermes contre 20 664 têtes en 2010 répartis sur cinq fermes[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Impère[39] (XIIe siècle). De l’église médiévale, il reste qu'une partie des murs de la nef, du clocher et du chœur. Le désaxement entre nef et chœur témoigne de plusieurs étapes de construction au cours des siècles. La partie la plus ancienne semble être le chœur qui est fort développé (une dizaine de mètres).

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château.
  • Château (XVe siècle). Les constructions et les terres passent au XVe siècle dans les biens des religieux de Charroux. La famille Lesire Labrousse[40],[41] en fait l'acquisition au début du XIXe siècle. Le bâtiment du châtelet (entrée) est inscrit aux Monument Historiques depuis le 7 juin 2018.
  • Château de Chemouteau (XVIIe siècle et XIXe siècle). Propriété de la famille Bourdier de La Maillerie, elle passe en 1801 dans celle des Malapert puis en 1805 aux Loyseau de Grandmaison qui font ajouter une chapelle en 1842.
  • Château de Combourg (XIXe siècle).
  • Manoir de Philippière (XIXe siècle). Construit sur les bases d'un ancien bâtiment par M. Farisy, originaire de Bourgogne qui s'y établit en 1902.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • 23 % de la surface communale est classé zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[42] : c'est la région de Pressac et de l'étang de Combourg.
  • Cette zone est aussi classée par la Directive oiseaux[43] qui assure la protection des oiseaux sauvages et de leurs biotopes.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Sylvestre Loyzeau de Grandmaison (1770-1830). Garde du Corps du roi Louis XVI (1791). Commissaire des Guerres et de l'Exécutif dans la Vendée (1792). Maire de Charroux (1815-1823).
  • Johnny Griffin, (1928-2008). Saxophoniste de jazz étasunien mort à Mauprévoir en 2008.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Mauprévoir et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Deauville » (commune du Le Vigeant) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Deauville » (commune du Le Vigeant) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Mauprévoir », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  19. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mauprévoir », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  26. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 107
  27. Jean-Henri Calmon, Occupation, Résistance et Libération dans la Vienne en 30 questions, La Crèche, Geste éditions, coll. « 30 questions », , 63 p. (ISBN 2-910919-98-6), carte p 5
  28. Christian Richard, 1939-1945 : la guerre aérienne dans la Vienne, Geste éditions, , 348 p. (ISBN 2-84561-203-6), p. 309-310
  29. Christian Richard, op. cit., p. 311
  30. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a b c d e et f Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  36. Agreste – Enquête Structure 2007
  37. a et b Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
  38. Panorama de l’Agriculture en Vienne – Juin 2012 – Chambre d’Agriculture de la Vienne
  39. Cette sainte n’est connue que par le culte qui lui a été réservé à Mauprévoir. Un acte de l'Abbaye Saint-Augustin-lès-Limoges de 1184 cite une fête de sainte Impère (ou Impérie).
  40. Pierre-Désiré Lesire Labrousse, sieur de La Brousse (Saint-Martin-l'Ars, 1739-Mauprévoir, 1808) épouse le 21 novembre 1775 Véronique-Charlotte Pétuaud-Létang (Mauprévoir, 1752-Payroux, 1838).
  41. Armorial des familles du Poitou.
  42. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes, 2011
  43. DREAL Poitou-Charentes / MNHN, 2013