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Saint-Mathieu (Haute-Vienne)

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Saint-Mathieu
Saint-Mathieu (Haute-Vienne)
La mairie et l'église.
Blason de Saint-Mathieu
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Ouest Limousin
Maire
Mandat
Agnès Varachaud
2020-2026
Code postal 87440
Code commune 87168
Démographie
Population
municipale
1 072 hab. (2021 en évolution de −1,38 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 24″ nord, 0° 45′ 32″ est
Altitude Min. 225 m
Max. 435 m
Superficie 40,39 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Mathieu
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Saint-Mathieu

Saint-Mathieu, Sant Matiá en occitan, est une commune du département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord Limousin.

Géographie

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Généralités

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Situation de la commune de Saint-Mathieu en Haute-Vienne.

Saint-Mathieu se situe dans les Monts de Châlus, dans la pointe Sud-Ouest de la Haute-Vienne. La commune est frontalière du département de la Dordogne.

Si la commune est posée en limite de l'ancienne région administrative Limousin, la limite occidentale du Limousin, entité géologique, historique et linguistique qui ne se confond pas avec la région administrative Limousin, se trouve à une vingtaine de kilomètres plus loin à l'ouest.

La commune est arrosée par la Tardoire et son affluent le ruisseau de la Colle, ainsi que par le Nauzon, affluent du Trieux.

L'activité agricole qui a façonné les paysages de Saint-Mathieu est toujours prédominante[réf. nécessaire].

Communes limitrophes

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Saint-Mathieu est limitrophe de sept autres communes, dont deux dans le département de la Dordogne. Au sud, la commune de Saint-Barthélemy-de-Bussière n'est limitrophe que sur 200 mètres.

Carte de Saint-Mathieu et des communes avoisinantes.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Poitou-Charentes » et « Aquitaine, Gascogne »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 089 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Champagnac-la-Rivière à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 189,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Mathieu est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (48,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,2 %), zones agricoles hétérogènes (26,6 %), prairies (17,7 %), zones urbanisées (4,5 %), terres arables (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Mathieu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels

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Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Mathieu.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 8,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Mathieu est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Comme l'atteste la dénomination occitane « Samatia », le nom de la commune n'a pas pour origine saint Mathieu mais plus vraisemblablement Mathias[réf. nécessaire].

Les plus anciennes traces de présence relevées sur le territoire de la commune datent de l'âge du fer. Ils sont constituées de tumili, monticules de terre recouvrant une sépulture et dont les fouilles ont mis au jour haches en pierre et urnes funéraires[réf. nécessaire].

À Saint-Mathieu, comme ailleurs, ces tumuli jalonnent les routes de crêtes situées sur les interfluves, telles la route de Saint-Mathieu à la Chapelle-Montbrandeix[réf. nécessaire]. Ces itinéraires celtiques, que l'on appelle localement des routes de « pouge », évitent consciencieusement les vallées pour des raisons évidentes de sécurité. Ils sont restés des lieux de passage fréquentés plusieurs millénaires après leur tracé puisque plusieurs départementales et voies communales suivent toujours leur parcours[réf. nécessaire].

De la période gallo-romaine, restent des éléments de construction de villa (exploitations rurales) tels que tuiles à rebord[réf. nécessaire] ou vestiges de murailles, notamment au village des Bussières[réf. nécessaire]. Pour l'anecdote, le nom de ce village apporte en lui-même des indices intéressants : Bussière, toponyme fréquent en Limousin vient de buscus, le buis. Or cet arbuste apprécie les terrains calcaires, et ne peut pousser spontanément sur la commune que s'il y a une forte présence de chaux dans la terre, comme sur les ruines des anciennes villa gallo-romaine aux murs maçonnés de chaux[réf. nécessaire].

Au Moyen Âge, le bourg de Saint-Mathieu connaît un développement important[réf. nécessaire]. L'édification du château-fort, situé derrière l'actuelle église, s'inscrit alors, comme les forteresses de Cromières, Vieux Château, la Besse, dans une zone de défense à la limite du Limousin, des Charentes et du Périgord. Du château fort, aujourd'hui, il ne reste que les corps de bâtiments et des vestiges de douves[réf. nécessaire]. La dernière tour existante est démolie en 1927[réf. nécessaire]. De sa construction en 1373 à sa vente comme bien national en 1799, ce château appartient à la même famille (ou à ses alliés) : les Vigier[19],[20],[21],[22],[23] (cf. aussi l'article Brie), dont les armes ornent le portail gothique flamboyant de l'église[réf. nécessaire]. C'est à cette famille que l'on doit, vers 1486, l'agrandissement de l'église primitive du XIIe siècle et de la nef romane. Tirant profit de la présence de ressources naturelles variées (eau, bois, minerai de fer), l'activité humaine s'est très rapidement consacrée à des productions pré-industrielles le long de la vallée de la Tardoire[réf. nécessaire]. La plus originale de ses activités est la confection de cottes de mailles. Cet équipement est en effet adopté au XIIe siècle par toutes les armées, sa production connaît une expansion considérable notamment dans les ateliers de Saint-Mathieu[réf. nécessaire]. Les hauts-fourneaux sont alimentés par le charbon des taillis de châtaigniers et le minerai est pris sur place. La force hydraulique fournie par les rivières ou les étangs assure le fonctionnement des marteaux pilons et des soufflets. Il existe encore à la fin du XVIIe siècle trois mailleries et Saint-Mathieu, comme toute la zone limousine de contact avec le Périgord, a longtemps fait de la forge sa spécialité (Séchères, le Buisson, la Couade qui produit des pointes jusqu'en 1938...). Après 1860, l'arrivée du fer lorrain et la substitution de la houille au charbon de bois mettent peu à peu un terme à cette industrie[réf. nécessaire].

Le , à l'issue de la messe, Martial Crouchaud, curé de Saint-Mathieu et Pierre Damet son vicaire prêtent serment et jurent d'être « fideles a la nation, à la loi et au Roy »[24].

Les foires qui se tenaient le 13 de chaque mois drainaient des centaines d'animaux bovins ou porcins. Avant la Seconde Guerre mondiale, le voyait se dérouler la foire aux haricots. Ce jour-là, sous la halle, c'est par tonnes que « les mongetas » étaient achetées par des commerçants venus de Charente et de Dordogne. Notre terroir donne paraît-il à cette légumineuse une cuisson et un goût remarquable[réf. nécessaire].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1967 ? Gabriel Marsaud UDR Ouvrier teinturier
         
mars 1977 mars 1983 Claude Thuillier UDF-CDS Conseiller d'ambassade
mars 1983 juin 1995 Claude Pauliat ADS Conseiller général (2001-2015)
juin 1995 mars 2001 Jean-Marie Demaison    
mars 2001 mars 2014 Bertrand Grébaux[25] PS Médecin
mars 2014
(réélue en mai 2020)
En cours Agnès Varachaud DVG Employée de commerce à Oradour-sur-Vayres

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 072 habitants[Note 2], en évolution de −1,38 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7031 7721 6682 1172 1932 1342 0572 3502 448
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3512 2802 3712 3462 3602 5012 5092 5812 526
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5042 5202 5382 3392 2232 0482 0361 9451 751
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7111 6131 4831 3641 2711 2331 1881 1861 164
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0991 0791 072------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Mathieu.
  • Le château Rocher.
  • Le lac de Saint-Mathieu.
  • Le pont du Moulin du Pont sur la Tardoire, monument historique inscrit depuis 1990[30] se trouve partiellement sur la commune.

Patrimoine naturel

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La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF).

  • La ZNIEFF de type 2 Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat)[31].
  • La ZNIEFF de type 1 Ruisseau de Nauzon qui fait partie du reseau hydrographique de la Tardoire et du Trieux[32].

Personnalités liées à la commune

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  • Michel Tixier (1796-1864), homme politique, est décédé à Saint-Mathieu.
  • Joseph Basset (1889-1959), homme politique, a été médecin à Saint-Mathieu.
  • Laurent Bourdelas, écrivain, a enseigné au collège (1996-1998).

Héraldique

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Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

Deux blasons accolés:
1) D'azur à trois fasces d'argent.
2) Parti: au 1er d'azur à trois fasces d'argent au 2e coupé au I cinq points d'azur équipollés à quatre points d'argent au II d'azur à la croix d'argent.

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Mathieu et Champagnac-la-Rivière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Champagnac la R » (commune de Champagnac-la-Rivière) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Mathieu ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Mathieu », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. « Monographie du canton de St-Mathieu, p. 62 », sur Gallica, Bibliothèque nationale de France ; Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, 1883.
  20. 1) Saint-Mathieu : dans la deuxième moitié du XVIe siècle, Antoine de Vigier seigneur de Saint-Mathieu, chevalier des ordres du roi, épousa Jeanne de Pierre-Buffière mais mourut sans enfant ; sa veuve se remaria en 1595 avec Paul de Tournemine/de Tournemire, qui devint par là seigneur en partie de Saint-Mathieu. Au XVIIe siècle, Anne de Vigier dame de Saint-Mathieu, dernière de sa lignée, épouse en 1639, sans postérité, Yrieix de Chouly de Permangle († 1679 ; fils de Paul de Chouly, † 1623 ; fils lui-même d'Yrieix, † 1599). Si ce mariage resta lui aussi sans postérité, les descendants des Chouly de Permangle étaient nombreux par les frères et sœurs cadets (Jean, Jacques, Françoise, Anne, Hélène), ou les cousin(e)s d'Yrieix. Une nièce hérite, Anne-Thérèse de Chouly-Permangle de Brie, fille de Jacques — fils cadet de Paul et frère cadet d'Yrieix ; elle épouse en 1673/1678 Charles-Joseph de Ferrières de Sauvebœuf ci-dessous. 2) Pierre-Buffière : au XVIe siècle, François, baron de Pierre-Buffière, a pour fils Jean-Geoffroy, et pour petit-fils Philippe, † 1582. La fille de Philippe, Marguerite de Pierre-Buffière, épouse 2° Antoine-Charles de Ferrières de Sauvebœuf, † 1663, d'où trois enfants sans postérité. La succession passe alors à un demi-frère de ces enfants, un fils du second lit d'Antoine-Charles : Charles-Joseph de Ferrières de Sauvebœuf ci-dessus, chevalier, désormais baron de Pierre-Buffière, † 1695, qui devint donc aussi seigneur de Saint-Mathieu et de Brie par son mariage avec Anne-Thérèse de Chouly-Permangle. La fille de ces derniers, Marie-Anne-Thérèse de Ferrières de Sauvebœuf baronne de Pierre-Buffière (1re baronnie du Limousin), vicomtesse de St-Mathieu et dame de Brie, † 1770, épouse en 1696 ou 1719 (?) Charles, marquis de Vassan : d'où Marie-Geneviève de Vassan, vicomtesse de St-Mathieu et baronne de Pierre-Buffière, † 1794, qui, veuve héritière de son cousin Jean-François de Ferrières, chevalier, marquis de Sauvebœuf, épouse en 1743 Victor de Riquetti et donne naissance au fameux Mirabeau en 1749. Les Riquetti de Mirabeau furent donc les héritiers de Saint-Mathieu, Brie, Pierre-Buffière, Sauvebœuf...
  21. « La baronnie de Brie (à Champagnac-la-Rivière, Haute-Vienne), p. 119-120 », sur Cussac et sa région (Haute-Vienne), par Pierre Macaire.
  22. « Jacques et Anne-Thérèse de Chouly de Permangle », sur Geneanet Pierfit.
  23. « Antoine et Charles-Joseph de Ferrières de Sauveboeuf », sur Geneanet Pierfit.
  24. Archives départementales de la Haute-Vienne - 3 E 168 / 2 - pp. 138-139.
  25. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires [PDF]
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Pont du Moulin du Pont sur la Tardoire (également sur commune de Saint-Mathieu), consultée le . », notice no PA00100518, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. ZNIEFF 740000072 Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat), INPN.
  32. ZNIEFF 740030033 Ruisseau de Nauzon (reseau hydrographique de la Tardoire et du Trieux secteur Haute Vienne) sur le site INPN