Épenède

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Épenède
Épenède
Le bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Philippe Denimal
2020-2026
Code postal 16490
Code commune 16128
Démographie
Gentilé Épenédois
Population
municipale
176 hab. (2021 en diminution de 14,15 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 03′ 52″ nord, 0° 32′ 17″ est
Altitude Min. 144 m
Max. 194 m
Superficie 15,62 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Confolens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Épenède
Géolocalisation sur la carte : France
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Épenède
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Épenède
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Épenède

Épenède (Espeneda en marchois, dialecte occitan[1]) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Épenédois et les Épenédoises[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Épenède est une commune du Nord-Charente limitrophe du département de la Vienne située à 12 km au nord-ouest de Confolens et 55 km au nord-est d'Angoulême.

Le bourg d'Épenède est aussi situé à 6 km de Pressac (Vienne), 13 km de Champagne-Mouton, 14 km de Charroux, 26 km de Ruffec et 60 km de Poitiers[3].

La route principale de la commune est la D 30 qui va de Confolens à Charroux par Pleuville. La D 169 entre Alloue et Pressac traverse aussi le bourg[4].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune comporte de nombreuses fermes et hameaux, parmi lesquels l'Age Marenche, Chez Mathieu et la Grande Homarie, le Breuil, Villemiers, Puybertaud, Bonnezac, Savinaud, etc.[4].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Épenède
Pleuville Pressac
(Vienne)
Épenède
Alloue Hiesse

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du seuil du Poitou, mais aux premières assises du Massif central qui commence à la limite orientale de la commune. Les calcaires et marnes du Lias (Jurassique inférieur) apparaissent sur les flancs de la vallée du Transon à l'ouest, au centre de la commune et au nord-est. Le plateau est recouvert sur sa grande partie par des argiles marbrées et ferrugineuses, dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central et remaniées lors du Quaternaire[5],[6],[7].

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 180 m bordé au sud-ouest par la vallée du Transon. Le point culminant est à une altitude de 194 m, situé au nord du bourg à l'Age-Marenche (borne IGN et château d'eau). Le point le plus bas est à 144 m, situé le long du Transon en limite ouest. Le bourg, blotti dans une petite vallée, est à 168 m d'altitude[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Épenède.

La commune est située pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8] et pour partie dans la région hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie du Bassin de la Loire, au sein du Bassin Loire-Bretagne[9]. La ligne de partage des eaux traverse l'est de la commune. Elle est drainée par le Clain, le Transon, le ruisseau de la Grande Homarie, le ruisseau de Saunier et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[10],[Carte 1].

Le Clain limite la commune à l'est. D'une longueur totale de 144,3 km, prend sa source dans la commune d'Hiesse et se jette dans la Vienne dans la Vienne, à Cenon-sur-Vienne, après avoir traversé 34 communes[11].

Le Transon arrose le sud-ouest de la commune, et reçoit de nombreux petits affluents communaux, parfois intermittents. D'une longueur totale de 22,4 km, prend sa source dans la commune d'Alloue et se jette dans la Charente dans la Vienne, à Chatain, après avoir traversé 4 communes[12].

Le ruisseau de Maine-Bru passe au bas du village; il prend sa source à la Font Berger.

Le bourg est situé sur un petit affluent du Transon.

En raison du sol imperméable, de nombreux étangs et retenues d'eau jalonnent la commune, le plus grand est celui de la Lande d'Amboisnoir au nord[4].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par les schémas d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Clain ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[13]. Ils définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [14].Le SAGE « Clain», dont le territoire correspond au bassin du Clain, d'une superficie de 2 882 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[15]. Il est quant à lui une déclinaison du SDAGE du Bassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [16].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine et du seuil du Poitou.

Végétation[modifier | modifier le code]

Des landes occupent le nord, et des pâturages près de la vallée du Transon.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Épenède est une commune rurale[Note 1],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Confolens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,1 %), terres arables (35,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), forêts (5,4 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Épenède est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Épenède.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 156 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 78 sont en aléa moyen ou fort, soit 50 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une forme ancienne est Espeneda en 1280[27].

Le nom d'Épenède proviendrait de spinetum issu du latin spina (épine) et suffixe collectif -eta, « lieu où croissent les plantes épineuses »[28],[29].

Dialecte[modifier | modifier le code]

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est marchois[30]. Elle se nomme Espeneda en occitan[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'église datant du XIIe siècle aurait été incendiée pendant les guerres de religion. Vicairie perpétuelle de l'ancien diocèse de Poitiers, elle dépendait de l'abbaye de Charroux[31].

Au début du XXe siècle, on pouvait citer parmi les grands propriétaires de la commune : MM. de Montvallier, Mairat, Ribardière, Delage, d'Assit, etc[32].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 1989 Michèle Guinot    
1989 ? André Canon    
2001 2014 Roland Lhomme DVG Retraité cadre industrie
2014 2020 Gérard Bouvart DVG  
2020 En cours Philippe Denimal    

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 176 habitants[Note 3], en diminution de 14,15 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
584510460620526507543586541
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
504516473483512535554500468
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
465487447419427425355350311
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
323269256242209210209220185
2021 - - - - - - - -
176--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 44,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 78 hommes pour 102 femmes, soit un taux de 56,67 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,0 
8,7 
75-89 ans
17,1 
30,0 
60-74 ans
30,4 
26,2 
45-59 ans
20,9 
12,5 
30-44 ans
8,6 
11,3 
15-29 ans
10,5 
11,3 
0-14 ans
11,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Hilaire.
  • L'église paroissiale Saint-Hilaire date du XIIe siècle ou du XIIIe siècle, et a été remaniée au XIXe siècle, en particulier son clocher. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1965[39],[31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Épenède » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  2. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  4. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Carte et liste des communes du Bassin Loire-Bretagne », sur agence.eau-loire-bretagne.frr, (consulté le ).
  10. « Fiche communale d'Épenède », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  11. Sandre, « le Clain »
  12. Sandre, « le Transon »
  13. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  14. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « SAGE Clain », sur gesteau.fr (consulté le ).
  16. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sur sdage-sage.eau-loire-bretagne.fr (consulté le ).
  17. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Épenède », sur Géorisques (consulté le ).
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Épenède », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 186
  28. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 266.
  30. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  31. a et b « Église Saint-Hilaire (notice) », notice no IA16001673, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 156
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Épenède (16128) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. « Église Saint-Hilaire », notice no PA00104360, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Dujardin V., Moineau É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, n° 243, Geste éditions, 2007.

Liens externes[modifier | modifier le code]