Chandolas

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Chandolas
Chandolas
Clocher de l'église du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ardèche
Arrondissement Largentière
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Beaume-Drobie
Maire
Mandat
Jean-François Thibon
2020-2026
Code postal 07230
Code commune 07053
Démographie
Gentilé Chandolassiens
Population
municipale
543 hab. (2021 en augmentation de 8,82 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 24′ 16″ nord, 4° 15′ 12″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 242 m
Superficie 11,63 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Cévennes ardéchoises
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Chandolas
Liens
Site web chandolas.fr
Vue ancienne de la commanderie de Jalès, une des mieux conservées en France (les bâtiments avaient été transformés en locaux agricoles, la chapelle servant d’écurie)

Chandolas est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Chandolassiens.

La commune est constituée de trois agglomérations principales : Chandolas, Maisonneuve, Les Martins/Lengarnayre, chacune possédant sa propre originalité architecturale.

Préservée du tourisme de masse, Chandolas a un aspect méridional avec ses vieilles maisons et ses rues tortueuses.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Chandolas est située dans une boucle en rive gauche de la rivière Chassezac, à 10 kilomètres à vol d'oiseau de Joyeuse, Ruoms, Vallon-Pont-d'Arc et Les Vans. La route entre Le Puy et Alès par Aubenas traverse la commune du nord au sud et franchit le Chassezac au pont de Maisonneuve.

La commune est principalement composée de trois bourgs possédant chacun leur propre originalité architecturale : le bourg centre de Chandolas et Maisonneuve près du Chassezac et les Martins situé sur le plateau au nord-ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est essentiellement constitué d'un plateau calcaire du Crétacé inférieur, principalement de l'étage Berriasien. Le nord de la commune, partie la plus élevée, est constitué de calcaires du Jurassique supérieur. Les rives du Chassezac sont constituées d'alluvions sur une largeur pouvant dépasser 500 mètres.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 985 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 3,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Grospierres à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 094,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est longé par le Chassezac, un des principaux affluents de l'Ardèche, d'une longueur de 84,6 kilomètres[7] et qui lui apporte ses eaux en rive droite.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La route départementale 104 (D 104) relie le bourg central à la ville de Joyeuse à Alès et Nîmes.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chandolas est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (66,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), forêts (8,6 %), zones urbanisées (6,2 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Croix de chemin.
  • Les Martins ;
  • Lengarnayre ;
  • Maisonneuve, ancienne paroisse connue au Moyen Âge sous le nom d'Avonas puis Maisonneuve d'Avonas ;
  • La Vignasse ;
  • Les Raynauds ;
  • La Roche ;
  • Le Chaussier ;
  • Le Serre.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestée sous les formes Scondolatis au Xe siècle, Scondalacio au XIVe siècle, Eschandolas en 1573, Chandollas en 1655 (Toponymie générale de la France d'Ernest Négre)[14].[réf. incomplète].

Hameau des Martins : vue du hameau situé dans la commune de Chandolas.

Histoire[modifier | modifier le code]

L’histoire de la petite communauté est marquée par le partage entre deux localités principales, à la fois unies et rivales, constituant deux paroisses : Chandolas et Maisonneuve. (la commune aurait donc pu s'appeler Chandolas les deux églises), ainsi que par l’ingratitude des sols pierreux, à l’origine du surnom des habitants (gratte lauzasses, en français gratte cailloux) qui fait oublier une petite plaine très fertile et les superbes falaises du Chassezac.

La présence humaine a laissé des traces depuis le Néolithique, avec des traces de grottes habitées; de nombreux dolmens dispersés dans les garrigues sont les témoins des époques reculées.

Les Gaulois font leur apparition avec la tribu celte des Volques Arécomiques venus de Gaule Belgique et dont la capitale est Nîmes. Les Romains ont laissé, avec le patois local (l’occitan) l’origine du nom venant peut-être de « gandola » déformé ensuite en eschandol/eschandolas ce qui aurait pu désigner les cultures en terrasse à présent envahies par une végétation sauvage. Dès cette époque Chandolas est rattaché à la région d’Uzès (l’Uzège) et tourne en fait, le dos au « Vivarais ». L’église catholique s’impose pour maintenir l’ordre face aux envahisseurs barbares des années « 500 ». L’église de Maisonneuve (qui s’appelait alors Saint Laurent d’Avonas) est présente au septième siècle. Celle de Chandolas sera construite plus tard, elle est présente au douzième siècle (on en voit des restes dans l’ancien bureau de poste). Chandolas aurait vu à l’époque un combat (sans doute des troupes de Pépin le Bref) contre les envahisseurs sarrasins.

Au Moyen Âge le seigneur du lieu sera le Commandeur de Jalès (où l’ordre des Hospitaliers –l’ordre de Malte- succédera à l’ordre du Temple). Le village de Chandolas est un poste frontière entre Vivarais et Uzège. Saint-Laurent-d’Avonas sera détruit par les routiers et reconstruit (d’où le nom de Maisonneuve). Pendant les guerres de Religion, l’église de Chandolas sera démolie par un raid des Protestants.

L’agriculture évolue et le XVIIIe siècle verra l’extension du mûrier et des arbres fruitiers en complément des céréales.

Le pont de Maisonneuve, inauguré en 1766, remplace un bac à traille sur la route d’Alès au Puy.

Sous Louis XV le seigneur sera le bailli de Suffren (il était si gros qu’il avait fallu lui aménager une table spéciale avec une échancrure pour sa bedaine)[15].

Chandolas n’est pas à l’écart des soubresauts de la Révolution. Dès 1735, des habitants se distinguent dans une révolte contre les impôts et en 1783 la révolte des « masques armés » (qui venaient brûler les papiers et rançonner les hommes de loi) est à noter. Un des habitants de Chandolas finira Baron d’Empire (le baron Thoulouze) mais trouvera la mort à Smolensk.

En 1790, Chandolas quitte définitivement l’Uzège pour être rattaché au département des « sources de la Loire » qui deviendra l’Ardèche.

L’économie prospère avec l’essor des vers à soie malgré les premières menaces de la « mondialisation »;(concurrence des soies d’Orient après le percement du canal de Suez).

Deux églises nouvelles sont construites à Chandolas et à Maisonneuve (une troisième est même commencée à Pazanan). La route vers Ruoms est ouverte en 1850. Dans ces années là, la vie politique est marquée par des affrontements sans nuances entre « rouges » (républicains) et « blancs » (royalistes et cléricaux). La guerre de 1870 mobilise quelques habitants contre les « Prussiens » et ... contre l’intérieur (la commune de Paris). La guerre de 1914 avec sa saignée et l’exode des survivants, marque le début d’un long déclin.

À Maisonneuve la présence d’une route fréquentée favorise l’installation de commerces et d’industries (charronnage, puis automobiles). Un des habitants de Maisonneuve (Jules–Aimé Dalzon) est co-auteur d’un brevet améliorant l’artillerie (canon sans recul) qui sera, hélas, reproduit partout vu sa meurtrière efficacité.

Chandolas est une des premières communes rurales à s’équiper de l’eau courante en 1930.

La guerre de 40 est marquée par son lot d’escarmouches, avec une bataille rangée à Maisonneuve en 1944.

L’après-guerre voit une période de renouveau, avec la création de coopératives vinicoles dynamiques et l’essor de productions fruitières dans la plaine du Chassezac mise en culture, alors que sont abandonnées les cultures en terrasse.

Mécanisation et concurrence étrangère voient l’agriculture faire place aux activités de loisirs, sans pour l’instant subir les méfaits du tourisme de masse. Chandolas et Maisonneuve sont devenus des lieux de résidence de retraite ou de vacances, avec aussi l'arrivée de jeunes résidents fuyant les villes. Les municipalités s’efforcent de donner vie au tissu associatif local très varié (des boules à la lecture en passant par la chasse) et de désenclaver le village en l’intégrant à une communauté de communes « portes de la Cévennes », devenue entre-temps « Beaume-Drobie » (entité administrative qui fonctionne avec des hauts et des bas, il n’est pas facile de gérer les compromis avec des intérêts divergents entre communes de taille, d’économie et de profil d’habitants très divers, ce qui conduit à une difficulté à faire émerger un projet porteur et fédérateur…), ce qui consacre une fois de plus Chandolas comme un village de transition, un trait d’union le long de l’axe de communication constitué par la route d’Alès au Puy, entre la plaine (et le Languedoc) et la « montagne ».

De nouvelles entités ont poussé (pays...) pour créer des espaces de projet dans le cadre des régions.

Pour le futur des réflexions sont toujours en cours sur les orientations à trouver et, en évitant des constructions touristico-concentrationnaires, essayer de gérer le compromis entre artisanat, industrie, évolution du parc immobilier et équipement associé[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1795 Thoulouze Joseph Paul    
1795 1800 Chamontin Louis    
1800 1815 Antoine Tournaire    
1815 1816 Jean Serre de Pazanan    
1816 1820 Paul Joseph Thoulouze    
1820 1830 Jean Serre de Pazanan (réélection)    
1830 1857 Jean Louis Thibon, fils    
1857 1870 Isidore Thibon    
1870 1871 Émile Thibon    
1871 1911 Auguste Joseph Dalzon    
1911 1929 Auguste Ernest Dalzon    
1929 1959 Édouard Dalzon    
1959 1989 Roger Dupuy    
1989 2001 Bernard Chazalon    
mars 2001 mars 2008 Michel Dayre    
mars 2008 mai 2020 Alain Mahey[17] DVG Retraité de l'enseignement
Président de la communauté de communes
mai 2020 En cours
(au )
Jean-François Thibon[18]   Ingénieur - Entrepreneur

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 543 habitants[Note 2], en augmentation de 8,82 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7006576157269519289449861 107
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0531 0571 0351 004881811793783748
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
700690590520517527524435407
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
407411394383366342426450487
2018 2021 - - - - - - -
510543-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la zone de distribution de deux organes locaux de la presse écrite :

Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.
Il s'agit d'un journal quotidien de la presse écrite française régionale distribué dans la plupart des départements de l'ancienne région Rhône-Alpes, notamment l'Ardèche. La commune est située dans la zone d'édition d'Aubenas et Privas-Vallée du Rhône.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Deux églises du XIXe siècle avec croix et vestiges du cœur médiéval (campanile, chapelle, maison claustrale : ensemble Saint-Martin).

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Monolithe du Ranc-Redon, vue splendide sur les gorges du Chassezac et quelques dolmens ;
  • Maisons à architecture typique : des cœurs de villages préservés et homogènes, magnaneries ;
  • Vestiges du village médiéval de Chandolas : chapelle Saint-Blaise et campanile XIIe siècle ;
  • Murs en pierres sèches, terrasses, capitelles, grangettes de vigne ;
  • Rivages du Chassezac ;
  • Pont de Maisonneuve sur le Chassezac, construit en 1766, qui a remplacé un ancien bac ;
  • Nombreuses croix ;
  • Jardins clos[23] et économie de l'eau : puits, citernes, gours et manlèves ;
  • Églises néo-gothiques de Chandolas, Maisonneuve ;
  • Anciennes écoles à Chandolas et Maisonneuve ;
  • Mairie-bibliothèque.

Zones naturelles protégées[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Alphonse Thibon, ancien homme politique conservateur.
  • Jean-Joseph Thoulouze, avocat et conventionnel.
  • Jean Martin Thoulouse, baron d'Empire, mort à Smolensk en 1812.
  • Aimé Dalzon (Maisonneuve), inventeur équipement d'artillerie rapide.
  • Jules Thibon, peintre.
  • Alphonse Gurlhie (Artiste d'Art brut), né en 1862 à Chandolas et décédé en 1944 à Beauchastel (Ardèche) - Voir bibliographie et liens externes.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Chandolas possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Chandolas et Grospierres », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Grospierres », sur la commune de Grospierres - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Grospierres », sur la commune de Grospierres - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière le Chassezac (V5040500) »
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France: Tome 3, page 1409
  15. Jean-Pierre Dalzon, Promenade entre VIVARAIS et UZEGE ou ... CHANDOLAS de la pierre taillée à '"agrotourtique"
  16. « Chandolas - Un peu d'histoire », sur chandolas.fr (consulté le ).
  17. « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  18. Liste des maires de l'Ardèche [PDF], Préfecture de l'Ardèche, (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Jean-Pierre Dalzon, « Les jardins clos de Chandolas, une action de mémoire et de recensement : dans cahier consacré aux Jardins en Ardèche... espaces paysagers témoins de leur temps », Cahier de Mémoire d'Ardèche et Temps Présent, no 108,‎