Asnières (Eure)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Asnieres (Eure))

Asnières
Asnières (Eure)
L'église Saint-Gervais.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Lieuvin Pays d'Auge
Maire
Mandat
Emmanuelle Viquesnel
2020-2026
Code postal 27260
Code commune 27021
Démographie
Gentilé Asniérois
Population
municipale
337 hab. (2021 en augmentation de 8,71 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 47″ nord, 0° 23′ 57″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 162 m
Superficie 8,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Beuzeville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Asnières
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Asnières
Géolocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Asnières
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Asnières

Asnières [anjɛːʁ][1] est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Asnières est une commune située dans l'Ouest du département de l'Eure et limitrophe de celui du Calvados. Selon l'atlas des paysages de Haute-Normandie, elle appartient à la région naturelle du Lieuvin[2]. Toutefois, l'Agreste, le service de la statistique et de la prospective du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, la classe au sein du pays d'Auge (en tant que région agricole)[3].

Le nord du territoire de la commune se caractérise par un paysage vallonné et très boisé. En effet, il est traversé par plusieurs vallées humides et sèches qui offrent des versants recouverts de forêt (bois des Criquets, bois de Launay, bois de Breval, bois de la Loge, etc.). Le fond des vallées de la Calonne et du ruisseau des Marnes présente de nombreuses prairies humides et bocagères d'une grande diversité écologique. Quant au sud du territoire, il s'étale sur le plateau et se caractérise par un paysage plus ouvert, davantage consacré aux cultures.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Calonne[5] et par le ruisseau des Marnes[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 867 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lieurey à 8 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 893,1 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Asnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,4 %), forêts (25,5 %), terres arables (22,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Asneriis (registre de Philippe Auguste) en 1184[20].

L'étymologie du nom de la commune vient de Asinaria, faisant ainsi référence à l'élevage des ânes domestiques (Equus asinus) pratiqué sur ce territoire.

Histoire[modifier | modifier le code]

À l'origine il existe deux paroisses, Saint-Jean-d'Asnières et Saint-Gervais-d'Asnières, les seigneurs et patrons de ces deux paroisses sont les de Carrey. Après la Révolution, ces paroisses deviennent communes. En 1843, une partie de la commune du Pin est rattachée à la commune de Saint-Jean-d'Asnières, puis en 1854 la fusion de Saint-Jean-d'Asnières et de Saint-Gervais-d'Asnières est actée, cette nouvelle commune prend alors le nom d'Asnières. Asnières retrouve après ces modifications ce qui semble avoir été son unité territoriale originelle.

Il existait un prieuré sous le vocable de St-Eustache, relevant de l'abbaye de Belle-Etoile. En 1604 le prieur était Pierre Larchier prêtre, qui vivait au manoir de la Prarie (Morainville) avec ses deux frères, Jacques écuyer Sr de la Prarie et Guillaume écuyer Sr de la Chênée, vivant "en une mesme maison, feu, lieu et mesnage, beuvance et mangeance d'un mesme pain, vin et viande". (Archive privée)

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1866   Eugène de Carrey d'Asnières    
avant 1981 1989 Serge Fauche DVG  
mars 1989 mars 2014 Myrtil Viquesnel UDI Retraité
Conseiller général du canton de Cormeilles (2004-2011)
mars 2014 En cours Emmanuelle Viquesnel    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Les chiffres du tableau joint correspondent à ceux de la commune de Saint-Gervais-d'Asnières pour la période de 1793 à 1851 puis à ceux de Saint-Gervais-d'Asnières plus ceux de Saint-Jean-d'Asnières à compter de 1854 date de la fusion des deux communes qui ont formé Asnières. La seule population de Saint-Jean était de 246 hab. en 1793, 241 hab. en 1800, 239 hab. en 1806, 247 hab. en 1821, 203 hab. en 1831, 185 hab. en 1836, 180 hab en 1841 et 244 hab. en 1846 après la réunion d'une partie du Pin à Saint-Jean.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 337 habitants[Note 2], en augmentation de 8,71 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1851 1856
391316433404403434403376557
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
564510498472426435394360331
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
344344313351308302331273241
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
308218217201216217228286311
2019 2021 - - - - - - -
340337-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

  • Pisciculture sur la Calonne au hameau Saint-Jean

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Asnières compte plusieurs monuments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • L'église Saint-Gervais (XIIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe)[25]. Située dans le bourg, cette église d'origine romane (XIIe siècle) fut sous le patronage de la famille d'Asnières jusqu'au XVe siècle puis de l'abbaye bénédictine de Saint-Evroult. Diverses familles seigneuriales ont succédé dont la famille Carrey au XVIIe siècle qui l'a reconstruite. L'architecture alterne briques rouges et encadrements saillants de pierre blanche. La nef subsiste depuis son origine. Les contre-tables datent du XIIIe siècle. Le chœur fut reconstruit au XVIIe siècle, le porche actuel - à l'origine en pan de bois - et la croix monumentale du cimetière sont du XIXe siècle ;
  • Le presbytère (XVIIIe)[26] ;
  • Le château d'Asnières (XIe, XVIIe et XVIIIe) au lieu-dit de Saint-Jean[27]. Ce château (propriété privée) est situé près de la Calonne ;
  • Le château de Saint-Gervais (XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe)[28]. Ce château (propriété privée[29]) est situé sur les hauteurs de la commune près de la route de Thiberville ;
  • Un manoir des XVIe et XIXe siècles au lieu-dit la Motte[30] ;
  • Une ferme des XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit les Vaux-Bellanger[31] ;
  • Plusieurs maisons d'architecture normande datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles[32],[33],[34].

Autres lieux :

  • Le moulin à blé d'Asnières, sans activité depuis 1955, propriété privée ;
  • Le manoir de la Fontaine Belle-Eau, ancienne hostellerie dite la Maison Belleau - en 1735, le propriétaire était Michel Mouton ;
  • Sur une dérivation de la Calonne subsistent les traces de deux moulins détruits en 1913 :
    • le Moulin Ferréol qui fut moulin à huile, moulin à papier puis « écancherie » ;
    • le moulin du Génie qui fut moulin à huile, moulin à papier et « écancherie ».
  • Au lieu-dit Annerolles subsistent les traces du moulin d'Annerolles qui fut moulin à huile et écancherie ;
  • Sur le sentier pédestre des collines, le marcheur trouvera une pierre druidique appelée « Pierre de la Motte ». La tradition rapporte que les druides s'asseyaient sur cette pierre en bordure de voie romaine pour parlementer. Il est dit aussi que le à minuit, il s'en échappe feux et serpents ;
  • La mairie, qui date de la fin du XIXe siècle.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Natura 2000[modifier | modifier le code]

  • Le haut bassin de la Calonne[35].

ZNIEFF de type 1[modifier | modifier le code]

  • La côte du bois de Bréval[36]. La pelouse nitrofuge à Gaudinie fragile (Gaudinia fragilis) constitue un habitat remarquable, notamment parce qu'elle est très localisée dans le Lieuvin. Elle abrite quelques espèces rares comme l'Astragale à feuilles de réglisse (Astragalus glycyphyllos) et la Sauge des prés (Salvia pratensis). Enfin, le bois présente de nombreuses espèces végétales caractéristiques de la chênaie-charmaie.
  • Saint-Jean, le château d'Asnières [37].
  • La fontaine Bullet[38].

ZNIEFF de type 2[modifier | modifier le code]

  • La haute vallée de la Calonne[39].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Guillaume d'Asnières, évêque de Lisieux, y est né.
  • François Salerne (1706-1760), né dans la paroisse de Saint-Gervais d'Asnières, médecin et naturaliste (ornithologue).
  • Caroline de Combray (1773-1809), meneuse de brigands qui se sont illustrés en 1805, à la côte de Gueptant, en s'attaquant aux diligences sous l'Empire.
  • Michel Hébert, magistrat rouennais puis parisien, homme politique de l'Eure et ministre, y est mort en 1887.
  • Gaétan Lesage [40] (1896-1949) producteur des Fromages de la Fontaine Belle-Eau à Saint-Jean d'Asnières, commandant F.F.I. (pseudos Émile, Max), chef d'arrondissement. Ses deux fils Pierre et Lucien furent déportés et disparurent au camp de Neuengamme (Allemagne) le .
    Apposée le sur le manoir de la Fontaine Belle-Eau, une plaque mémorielle rend hommage à la famille Lesage (municipalité d'Asnières & amicale des anciens du maquis Surcouf).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  2. « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
  3. « Zonages », sur Agreste (consulté le ).
  4. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Calonne (I03-0400) ».
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ruisseau des Marnes (I0365000) ».
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  10. « Orthodromie entre Asnières et Lieurey », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Lieurey » (commune de Lieurey) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Lieurey » (commune de Lieurey) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 355.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Église Paroissiale Saint-Gervais », notice no IA00050091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Presbytère », notice no IA00050092, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « château d'Asnières », notice no IA00050084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « château de Saint-Gervais », notice no IA00050087, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Château de Saint-Gervais », sur chateau-de-saint-gervais.fr (consulté le ).
  30. « Manoir », notice no IA00050090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Ferme », notice no IA00050089, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Maison », notice no IA00050085, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Maison », notice no IA00050086, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Maison », notice no IA00050088, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Le haut bassin de la Calonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  36. « La côte du bois de Bréval », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  37. « Saint-Jean, le château d'Asnières », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  38. « La fontaine Bullet », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  39. « La haute vallée de la Calonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  40. Raymond Ruffin, Le Prix de la Liberté, Editions Cheminement, , 309 p..

Liens externes[modifier | modifier le code]