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Pont de Jargeau
Illustration.
Géographie
Pays Drapeau de la France France
Commune de Jargeau à Saint-Denis-de-l'Hôtel
Coordonnées géographiques 47° 52′ 08″ N, 2° 07′ 30″ E
Fonction
Franchit Loire
Fonction pont routier et piétonnier
Caractéristiques techniques
Type Pont à ossature mixte
Longueur 323 m
Largeur 10 m
Matériau(x) Acier et béton
Construction
Construction 1988

Carte

Le pont de Jargeau est un pont à ossature mixte du département du Loiret qui franchit la Loire à Jargeau. Il supporte la route départementale D 921 qui relie la commune de Saint-Denis-de-l'Hôtel sur la rive droite à la commune de Jargeau sur la rive gauche. Il est entré en service en 1988. Auparavant, deux autres ponts avaient marqué l'histoire gergolienne : le pont de pierre (XIIIe siècle au XVIIIe siècle) et le pont suspendu (XIXe siècle et XXe siècle).

Tracés des ponts de Jargeau[modifier | modifier le code]

Tracés des ponts de Jargeau
Côté gergolien, le pont de pierre favorisait le quartier canonial ; le pont suspendu, la Grande-rue commerçante ; le pont à ossature mixte, la fluidité de la circulation sur le boulevard Carnot.

Trois ponts différents ont jalonné l'histoire des communes de Jargeau et Saint-Denis-de-l'Hôtel, chacun d'eux privilégiant un tracé spécifique. Sur la rive droite (Saint-Denis-de-l'Hôtel), les deux premiers ouvrages eurent un seul et même débouché, à savoir, la rue commerçante de la ville (Grande-rue). A contrario, sur la rive gauche (Jargeau), le pont de pierre et le pont suspendu n'eurent pas la même issue sur la ville. En effet, il semble qu'au XIIIe siècle, le tracé du pont privilégia la collégiale et son quartier canonial à la Grande-Rue commerçante. Le pont de pierre arrivait alors au niveau de la bien nommée "rue de l'ancien pont", dans l'axe du quartier canonial. Au XIXe siècle en revanche, le tracé du pont privilégia le centre de vie de la population, dans l'axe de la Grande-rue commerçante, à l'image de ce qui existait à Saint-Denis-de-l'Hôtel. A la fin du XXe siècle, devant l'importance du trafic routier moderne, le tracé du nouveau pont fut décalé en amont sur le fleuve. Jargeau comme Saint-Denis-de-l'Hôtel choisirent de dévier leurs centres commerçants afin d'écouler au mieux le flux automobile, sur un nouvel axe à Saint-Denis-de-l'Hôtel (avenue des Fontaines), et sur le boulevard Carnot côté gergolien. Ce tracé moderne modifia considérablement la vie des "Grande-rue" tant dionysienne que gergolienne.

Le pont de pierre[1][modifier | modifier le code]

XIIIe siècle[2][modifier | modifier le code]

S'il est possible que des ponts de bois aient existé avant le XIIIe siècle, la première mention d'un pont de pierre remonte au début du XIIIe siècle. Manassés de Seigneulay, évêque d'Orléans entre 1207 et 1221 et devenu Seigneur temporal de la ville de Jargeau, fit construire un pont de pierre pour relier la ville de Jargeau à la rue principale de Saint-Denis-de-l'Hôtel. Ce pont, considéré à l'époque comme un des plus importants sur le fleuve, coupait la Loire en diagonale. Il semble que ce pont possédait quinze piles et seize arches.

XVe siècle[modifier | modifier le code]

Au XVe siècle, durant la guerre de Cent ans, anglais et français se disputèrent Jargeau et son pont sur la Loire. Les archives du Loiret conservent un mandement du Duc d'Orléans daté de 1420, ordonnant de "faire rompre" le pont de Jargeau en raison de la menace des anglais[2]. La lutte pour ce point stratégique déboucha sur la Bataille de Jargeau remportée par les troupes de Jeanne d'Arc en 1429.

XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

Le pont de pierre connut bien des vicissitudes, dues en particulier aux inondations qui le détruisirent à plusieurs reprises. A la suite des évènements de la Fronde, la partie qui avait été détruite fut reconstruite en bois et un droit de péage fut établi pendant vingt ans.

XVIIIe siècle[2][modifier | modifier le code]

Louis XIV fit faire d'importants travaux sur le pont à la fin du XVIIe siècle. La crue de 1789 et les glaces de 1790 mettent le pont à rude épreuve. En 1790, un bâteau "se met en travers" provoquant l'affaissement de la quasi-totalité du pont vers l'aval. Seule une arche demeure. L'ouvrage ne fut alors pas reconstruit immédiatement et la traversée dut se faire par une passerelle, puis un bac pendant une quarantaine d'années.

Le pont suspendu[1][modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le pont suspendu

La construction d'un ouvrage moderne, de type suspendu, fut décidée par ordonnance royale du . L'hypothèse de s'appuyer sur les restes du pont de pierre fut un temps évoquée. Cependant, la gêne due à la présence des fondations du pont de pierre ainsi que la nécessité d'assurer l'accès direct au centre de Jargeau et à sa Grande-Rue commerçante, amenèrent le concessionnaire à proposer un ouvrage situé à 80 m à l'aval du précédent. Les restes du pont de pierre furent définitivement détruits. Les essais, pour une charge répartie de 200 kg/m², furent réalisés le , et le nouveau pont ouvert à la circulation le .

Reconstruction de 1847[modifier | modifier le code]

L'ouvrage initial comportait cinq arches de 54 m, l'accès à Jargeau se faisant par une levée perpendiculaire à la rive et de 50 m de longueur. En raison de cette réduction du débouché, la crue du provoqua la destruction de la cinquième travée et amena le concessionnaire à construire une sixième arche.

Reconstruction de 1872[modifier | modifier le code]

Lors de la guerre de 1870, le pont fut mis hors d'usage sur ordre de l'autorité militaire française. Le , la suspension de la travée rive gauche était rompue, ce qui entraînait l'écroulement de la première travée et la détérioration de la deuxième. Rétablies provisoirement par une passerelle limitée à 1000 kg, les deux travées furent reconstruites en 1872, avec une suspension renforcée. L'ouverture à la circulation fut effectuée le après des essais satisfaisants.

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Reconstruction de 1926[modifier | modifier le code]

Remis au département du Loiret le , l'ouvrage ne subit aucune modification jusqu'en 1913. A cette date, un câble s'étant rompu, la société Arnodin présenta un projet de consolidation et de renforcement qui prévoyait la réfection complète du tablier et de la suspension.

Les travaux ajournés par la première Guerre mondiale furent décidés et repris en 1924 suite à la délibération du Conseil Général du Loiret du . Le projet fut établi par les sociétés Arnodin et Keinekugel le Cocq de Jargeau en tenant compte de la circulaire du sur les charges roulantes. Après des essais satisfaisants, le pont fut ouvert à la circulation le .

Renforcement de l'ouvrage 1934-1937[modifier | modifier le code]

En 1932, la route supportée par le pont fut classée route nationale n°721 et l'entretien de l'ouvrage incomba au Ministère des Travaux Publics.

Suite à une fissuration due au gel, les culots en fonte des câbles suspenseurs et des câbles de retenue furent remplacés par des culots en acier moulé en 1934.

Étant donné l'augmentation de la circulation en quantité et en charge, il fallut procéder en 1937 au renforcement de l'ouvrage. Cette amélioration fut obtenue par le renforcement des massifs d'ancrage, des tiges de suspension et des poutres de rigidité.

Reconstruction de 1942[modifier | modifier le code]

Le pont suspendu en juin 1940 après les bombardements de l'aviation italienne

En juin 1940, lors de la retraite des troupes françaises, les bombardements italiens provoquent la rupture des câbles suspenseurs et des haubans de solidarité entraînant l'effondrement des deux travées rive droite. La restauration de l'ouvrage fut confiée à l'entreprise Baudin (Baudin Chateauneuf) par un marché du . Les travaux furent achevés le .

Reconstruction de 1944[modifier | modifier le code]

Le pont suspendu en août 1944 après les bombardements de l'aviation alliée

En août 1944[3], l'aviation alliée détruisait un câble suspenseur amont de la troisième travée rive droite. Les suspentes se trouvant libres en tête, tout l'ensemble du tablier bascula en pivotant autour de la suspension aval. Durant toute l'exécution des travaux de remise en état par l'entreprise Baudin, jusqu'au , un ouvrage provisoire en charpente permettait le passage des piétons et des véhicules légers.

Reprise des pylônes - 1950-1951[modifier | modifier le code]

Du fait de leurs remaniements successifs, les pylônes sur appuis étaient très hétérogènes et très mal protégés contre l'action des eaux. Leur protection et leur renforcement furent réalisés par un "gainage" en béton armé et par la pose d'une bavette en zinc à leur sommet.

Remplacement de la suspension - 1964-1965[modifier | modifier le code]

A la suite de la rupture de plusieurs fils sur l'un des câbles porteurs, les deux câbles de la nappe en cause ont été déposés et le deuxième câble, apparemment intact fit l'objet d'un examen par le Laboratoire Central des Ponts et Chaussées. Cet examen montra que ce câble, d'aspect extérieur sain, avait perdu environ 60% de sa force portante. La circulation fut suspendue de façon immédiate sur l'ouvrage et ne put être rétablie qu'après la mise en place d'un pont Bailey. L'ensemble de la suspension (câbles porteurs, câbles de tête, câbles de retenue) y compris les étriers, les colliers et les culots, fut remplacé. Toutefois, en raison de l'étroitesse du tablier et de l'absence de trottoir, la vitesse des véhicules fut limitée à 40 km/h et une circulation alternée fut appliquée aux poids lourds.

Passerelle piétonne - 1967[modifier | modifier le code]

Afin d'améliorer les conditions de circulation et la sécurité des usagers, une passerelle pour piétons fut créée en encorbellement sur le bord amont de l'ouvrage.

Remplacement de la dalle - 1973[modifier | modifier le code]

Au cours de l'été 1972, suite au passage d'un poids lourds, un effondrement se produisit dans la dalle du tablier de la première travée rive gauche. Après une réparation provisoire, un examen général du tablier montre la nécessité de procéder au remplacement complet de la dalle sur l'ensemble de l'ouvrage. Durant les travaux, la circulation est maintenue par un pont Bailey mis en place sur toute la longueur de l'ouvrage, mais surélevé de 2,50 m au-dessus de la chaussée actuelle, afin de permettre la réalisation des travaux au-dessous. La première travée rive gauche fut réalisée en dalles préfabriquées, tandis que les cinq autres travées furent bétonnées en place avec des coffrages métalliques perdus. Afin d'alléger l'ouvrage au maximum, le béton utilisé fut un béton de granulats légers, la chape d'étanchéité fut une chape époxy et le revêtement fut en enrobé compoflex de 3,5 cm d'épaisseur. L'ensemble de ces travaux permit le déclassement de la route nationale 721 et la remise au Département le .

Diaporama[modifier | modifier le code]

Pont suspendu
Le pont suspendu de Jargeau, depuis la rive droite de la Loire
L'entrée du pont suspendu côté Saint-Denis-de-l'Hôtel
L'entrée du pont suspendu côté Jargeau, rive gauche de la Loire
Le pont suspendu et la ville de Jargeau, depuis la rive droite de la Loire

Le pont à ossature mixte[1][modifier | modifier le code]

Construction - 1987-1988[modifier | modifier le code]

La circulation des poids lourds (tonnage supérieur à 3,5 T) est interdite sur le pont suspendu de Jargeau depuis le , date de l'effondrement du pont de Sully-sur-Loire. En effet, sa structure elle-même, qui avait déjà conduit à des conditions particulières pour le passage des poids lourds ainsi que l'hétérogénéité de ses aciers mise en évidence par les analyses, ne tendait pas à garantir la sécurité de cet ouvrage.

Compte tenu de l'importance économique du pont de Jargeau, qui supportait un trafic d'environ 10 000 véhicules par jour, il était indispensable d'envisager rapidement une solution qui permette un franchissement sans restriction de la Loire. C'est pourquoi, après une étude comparative entre les différentes solutions de reconstruction ou de renforcement possibles, le Conseil Général du Loiret, par délibération du a décidé la reconstruction d'un pont neuf à proximité du pont actuel, solution qui présente le double avantage d'éviter la construction coûteuse d'un pont provisoire pendant la durée des travaux et de permettre une amélioration très importante des conditions de circulation pour le franchissement de la Loire à cet endroit. Le coût de cette opération s'élève alors à 53 millions de Francs dont 8 millions de Francs pour les acquisitions foncières et 45 millions de Francs pour les travaux. Le pont est réalisé par l'entreprise Baudin Chateauneuf[4] Il s'agit d'un pont à ossature mixte, c’est-à-dire qu’il est composé d’un tablier constitué par une dalle en béton armé supporté par deux poutres métalliques. Sa longueur totale est de 323 m et sa largeur de 10 m. Il comprend cinq travées : deux travées de rive de 52 m et trois travées intermédiaires de 73 m. Les poutres ont une hauteur constante de 2,50 m dans les travées intermédiaires et une hauteur variable de 2,50 m à 1,50 m pour les deux travées de rives[1]. Le nouvel ouvrage fut inauguré le .

Le pont de Jargeau saturé[modifier | modifier le code]

Depuis l'ouverture à la circulation de l'actuel pont de Jargeau en 1988, le trafic n'a cessé d'augmenter. Dès 1994, le Conseil Général du Loiret envisage la construction d'un nouveau pont sur la Loire afin de désengorger le pont gergolien. La réunion du permet de choisir le "fuseau ouest", à savoir, l'aval de Jargeau, pour la construction d'un nouveau pont[5]. En avril 2005, le tracé définitif est adopté. D'après les études menées, il était prévu que de 2005 à 2015, le trafic routier sur le pont de Jargeau passe d'environ 15 000 à 20 000 véhicules/jour. Le nouveau pont devrait permettre de détourner environ 10 000 véhicules/jour[6]. Le début des travaux est prévu pour 2010[7].

Diaporama[modifier | modifier le code]

Pont à ossature mixte
En rive droite le pont est implanté sur la commune de Saint-Denis-de-l'Hôtel. On note sur la photo deux futreaux, une toue cabanée et deux barques. Le pont de Jargeau sert de port d’attache aux bateliers au sud comme au nord. Noter également la présence d’un massif maçonné presque à la verticale de l’église de Saint-Denis-de-l’Hôtel, en avant du pont, à gauche sur la photo. Il s’agit de l’ancienne culée du pont suspendu qui a été détruit quand ce pont à ossature mixte a été construit.
Pont et vue générale de Saint-Denis-de-l'Hôtel depuis Jargeau en rive gauche. On notera en premier plan la présence d’un futreau, un bateau de Loire à fond plat. Un effort important est en effet fait pour la remise en valeur de la batellerie de Loire. Une association construit en particulier des bâteaux et faire des tours en Loire aux touristes. Son port d’attache est au pied du pont de Jargeau.
Vue de la culée de l'ancien pont suspendu (à gauche sur la photo) en aval du pont actuel. On voit bien sur la photo que l’ancien pont suspendu débouchait au nord sur une petite rue en plein centre ville. Cela était devenu insupportable avec l’augmentation du trafic …
… Mais on n'a trouvé rien de mieux que de reconstruire le nouveau pont en plein centre-ville. On voit ici, rive gauche, le Boulevard Carnot à Jargeau et le parc de stationnement. L’important trafic poids lourds traversant la ville et se dirigeant vers Orléans, à gauche sur la photo, crée ainsi d’importantes nuisances aux riverains.
Le garde corps n’a quant à lui fait l’objet d’aucune recherche esthétique. Il s’agit d’un garde corps standard.
Piles rive droite. Noter un aspect spécifique à ces piles : le niveau d’arase supérieur est situé au-dessus du tablier du pont, alors que dans la plupart des ponts, le tablier s’appuie sur les piles et est habillé d’une corniche en bordure. Ici la corniche est interrompue au droit de la pile pour laisser passer le corps de la pile. Ce concept a été retenu pour rompre la rectitude du pont donnée visuellement par les poutres.
Vue rapprochée d'une pile et de la corniche. Apprécier les effets de lumière sur le crénelage
Appareil d'appui
Piles et culée rive droite. Noter l’originalité des candélabres, dessinés spécialement pour cet ouvrage.
Le pont est constitué de poutres métalliques de 2,50 m de hauteur supportant le tablier en béton armé, ce qui constitue des poutres de très grande hauteur. Le tablier est en béton armé. La jonction se fait à l’aide de connecteurs soudés sur le plat de la poutre, non visibles sur la photo. Contrairement aux apparences sur la photo, le tablier ne s’appuie pas sur la pile, mais seulement la poutre. L’espace entre le bas du tablier et le haut du premier palier de la pile est en fait très faible.
Le crénelage vertical de la pile comme d’ailleurs l’excroissance supérieure de la pile au-dessus du tablier ont spécialement été étudiés pour accrocher la lumière dans tous les positions du soleil ou de l’observateur. Voir aussi cet aspect sur la photo précédente à partir d’un autre point de vue.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

wikilien alternatif2

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Roland45/ Pont de Jargeau.

Jargeau - Saint-Denis-de-l'Hôtel
Carnaval de Jargeau - Bataille de Jargeau
Mairie de Jargeau - Église Saint-Étienne de Jargeau

Liens internes[modifier | modifier le code]

Pont - Liste des ponts sur la Loire - Liste de ponts du Loiret
département du Loiret - Loire (fleuve) - Val de Loire

Liens externes[modifier | modifier le code]

Vue satellite et cartographie[modifier | modifier le code]

Observez le pont de Jargeau : vues satellites ou cartes routières

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Les ponts de la Loire : de sa source à l’Atlantique. Textes : Serge Vannier ; photographies : Alain Ruter et Charly Hel. Communication Presse Éditions (CPE). 319 pages. 2002. (ISBN 2-84503-356-7).
  • Le pont médiéval de Jargeau sur la Loire. Bulletin de la Société Archéologique et Historique de l'Orléanais. Jean Mesqui. Tome 11, n°91, pages 3-48. Janvier 1991. Jean Mesqui profita du chantier du troisième pont (1987) pour effectuer une analyse détaillée des restes du pont médiéval de Jargeau.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Les ponts sur la Loire et le Loiret. Direction Départementale de l’Équipement du Loiret. 1984. Archives départementales. Non commercialisé.
  2. a b et c Le pont médiéval de Jargeau sur la Loire. Bulletin de la Société Archéologique et Historique de l'Orléanais. Tome 11, n°91, janvier 1991.
  3. Eté 1944 : la libération du Loiret. . Site du Conseil Général du Loiret. Consultation : mars 2008.
  4. Baudin-Châteauneuf vers de nouveaux marchés. . Site du Conseil Général du Loiret. Consultation : mars 2008.
  5. A l'ouest, un nouveau pont. . Site du Conseil Général du Loiret. Consultation : mars 2008.
  6. Tracé définitif à l'ouest de Jargeau. . Site du Conseil Général du Loiret. Consultation : mars 2008.
  7. Le Département retient l'avant-projet de déviation de Jargeau. . Site du Conseil Général du Loiret. Consultation : mars 2008.

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