Saint-Michel-de-Lapujade

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Saint-Michel-de-Lapujade
Saint-Michel-de-Lapujade
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Christian Malandit-Sallaud
2020-2026
Code postal 33190
Code commune 33453
Démographie
Gentilé Lapujadais
Population
municipale
214 hab. (2021 en diminution de 4,89 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 34′ 57″ nord, 0° 04′ 17″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 122 m
Superficie 7,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction La Réole
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Saint-Michel-de-Lapujade est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Lapujadais[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située dans l'extrême est de l'Entre-deux-Mers en limite du département de Lot-et-Garonne, la commune se trouve à 72 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 29 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et à 10 km à l'est de La Réole, ancien chef-lieu de canton[2].

La commune est aujourd'hui composée de deux villages, Saint-Michel et Lorette, distants de deux kilomètres, ayant chacun leur église, leur cimetière et, autrefois, leur école.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Sainte-Gemme, Fossès-et-Baleyssac, Lamothe-Landerron, Mongauzy, Saint-Vivien-de-Monségur, Lagupie et Saint-Martin-Petit.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 815 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Talence à 17 km à vol d'oiseau[6], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Michel-de-Lapujade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Réole, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (35,1 %), terres arables (24 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), forêts (18,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée, en dehors du bourg proprement dit, par la route départementale D230 qui relie Mongauzy au sud-ouest à Saint-Vivien-de-Monségur au nord-est.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 dont l'accès no 4, dit de La Réole, est distant de 22 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 35 km vers le sud-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 9,5 km vers l'ouest, de La Réole sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Michel-de-Lapujade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[18]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Michel-de-Lapujade.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 109 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 109 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2018, par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

L'origine étymologique du nom de la commune est l'archange éponyme et pujada qui signifie puy, colline : la « pujade » ou le « puch » évoquent la hauteur du relief caractérisant cette partie de la commune, à l'extrémité est.

En gascon, le nom de la commune est Sent Miquèu de la Pojada.

Histoire[modifier | modifier le code]

La chapelle Notre-Dame de Lorette est à l'origine du village de Lorette au XIIIè siècle. C'est vers 1250 que de jeunes bergers auraient vu apparaître une dame d'une grande beauté auprès d'une source ou s’abreuvait le troupeau. Effrayés ils s'enfuirent pour revenir avec leurs parents récupérer le troupeau, à la place de la Dame il y avait une statue de la Vierge à l'enfant. Déposée dans l'église de Lapujade cette statue revint auprès de la source dès le lendemain, transportée dans l'église de St Michel elle revint aussi. Il fut donc décidé de construire une petite chapelle pour héberger cette statue auprès de la source. Eléonore d'Aquitaine finança cette première chapelle autour de la source historique lors de son passage dans la région pour la création de la bastide de Monségur en 1253. L'église actuelle de Notre Dame de Lorette a été élevée en 1864 au-dessus de la chapelle existante créant ainsi un monument atypique à deux niveaux dans lequel coule une source au pied de l'autel.

À la Révolution, la paroisse annexe Saint-Michel-Lapujade (de Saint-Jean de Mongauzy) est démembrée pour former les communes de Lapujade et de Saint-Michel. Le , la commune de Lapujade est rattachée à celle de Saint-Michel. Le , la commune de Saint-Michel devient Saint-Michel-de-Lapujade[21],[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1870 1871 Jean Amblard    
1871 1890 Charles Castanet    
1890 1892 Antoine Pépin    
1892 1900 Jean Amblard    
1900 1909 Jean Paillou    
1909 1912 Antoine Pépin    
1912 1919 Jean Paillou    
1919 1925 Laurent Laffargue    
1925 1950 François Veyssières    
1950 1977 Daniel Lufflade    
mars 1977 mars 2008 Luc Gaudenèche    
mars 2008 mars 2014 Philippe Boissonneau    
mars 2014 En cours Christian Malandit-Sallaud   Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le , la communauté de communes du Réolais ayant été supprimée, la commune de Saint-Michel-de-Lapujade s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 214 habitants[Note 3], en diminution de 4,89 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
496362368442500447461442433
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
411436368430424381339337360
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
353284273243248233260268260
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
222217209221222221203204193
2015 2020 2021 - - - - - -
225217214------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Viticulture : Entre-deux-mers (AOC)

Comme dans nombre de campagnes, la mécanisation de l'agriculture a réduit le nombre d'emplois disponibles sur place. Les bassins d'emplois de La Réole, chef-lieu du canton, et de Marmande, dans le département voisin, concentrent l'essentiel des entreprises.

La viticulture propose encore quelques emplois essentiellement saisonniers.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le chœur comporte une travée droite avec voûte en berceau, puis un sanctuaire voûté en cul-de-four. Des fenêtres éclairent cette partie de l'édifice, dont l'un des chapiteaux est sculpté d'une sirène à deux queues largement écartées. Cette représentation de la séduction, du mal et de la luxure est encadrée de têtes monstrueuses.
La façade occidentale est surmontée d'un clocher mur percé de deux baies en plein cintre.
La cloche datée de 1556 est l'une des plus anciennes du secteur.
  • L'église Notre-Dame-de-Lorette se situe dans un écart appelé Lorette, sur cette route départementale D230, écart situé à cheval sur les territoires communaux de Saint-Michel-de-Lapujade et de Saint-Martin-Petit en Lot-et-Garonne. Cette église a été bâtie sur l'emplacement d'une chapelle que fit construire Aliénor d'Aquitaine, après le XIIIe siècle, en commémoration d'une apparition de la Vierge survenue en 1150 à deux jeunes bergers[28],[29].
Pendant la Révolution, elle est vendue comme bien national. En 1830, alors que la fréquentation diminue, l'abbé Dupuch entreprend la restauration de l'édifice. En 1864, la nouvelle église est bâtie sous l'impulsion du cardinal Donnet et du comte O'Kelly, propriétaire du château de Lamothe.
  • Sur la route départementale D230 (Mongauzy-Saint-Vivien-de-Monségur), un monument aux morts a été dressé en souvenir de l'attaque[30] subie le par le maquis de Lorette fondé par Daniel Faux et son épouse en [31].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 24 juin 2011.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 58,5 km pour Bordeaux, 25,5 km pour Langon et 8,3 km pour La Réole. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 24 juin 2011.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Michel-de-Lapujade et Talence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Talence » (commune de Talence) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Talence » (commune de Talence) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Michel-de-Lapujade », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Michel-de-Lapujade », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. Historique des communes, p. 56, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 6 avril 2013.
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Classement de l'église Saint-Michel », notice no PA00083790, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 29 juillet 2010.
  27. « Images de l'église Saint-Michel », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture, consulté le 29 juillet 2010.
  28. L'église Notre-Dame de Lorette sur Comité régional du tourisme Aquitaine, consulté le 29 juillet 2010.
  29. Charles Denis William O'Kelly Farrell, « La fontaine d'Esther : notice sur l'antique chapelle de Notre-Dame-de-Lorette de la Pujade, ou de la Colline, de fondation royale, arrondissement de La Réole (Gironde) », sur Google books, Impr. Th. Henrion, (consulté le ).
  30. Dominique Lormier, Bordeaux brûle-t-il ? ou La Libération de la Gironde, 1940-1945, 1998, 72 p., p. 97, consulté le 29 juillet 2010.
  31. Dominique Lormier, Bordeaux brûle-t-il ? ou La Libération de la Gironde, 1940-1945, 1998, 72 p., p. 95, consulté le 29 juillet 2010.