Noailhac (Corrèze)

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Noailhac
Noailhac (Corrèze)
L'église Saint-Pierre-ès-Liens.
Blason de Noailhac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Brive-la-Gaillarde
Intercommunalité Communauté de communes Midi Corrézien
Maire
Mandat
Caroline du Mas de Paysac
2020-2026
Code postal 19500
Code commune 19150
Démographie
Gentilé Noailhacois, Noailhacoises
Population
municipale
352 hab. (2021 en diminution de 7,37 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 26″ nord, 1° 37′ 09″ est
Altitude Min. 161 m
Max. 502 m
Superficie 13,51 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Brive-la-Gaillarde
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Midi corrézien
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Noailhac
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Noailhac
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Noailhac

Noailhac (Noalhac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune arrosée par la Loyre qui y prend sa source.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte de la commune.

Géologie[modifier | modifier le code]

Le bourg est notamment bâti en grès rouge comme Collonges-la-Rouge. Il est installé sur le premier rivage calcaire du Quercy et du Périgord déposé par la mer du Jurassique[1]. La faille de Meyssac[2] d'une soixantaine de kilomètres, de direction E-W à NW-SE (matérialisée par les tranchées excavées dans les années 1990 lors du redressement de la départementale 38 au nord du bourg) signe le contact entre cette mer liasique et le bassin sédimentaire permien, le promeneur pouvant faire en quelques pas un bond dans le temps de plus de 60 millions d'années. La mer liasique correspond à une transgression marine franche liée à l'individualisation du Bassin aquitain qui donne un domaine de sédimentation marine ouverte communiquant avec l'océan Atlantique en cours d'ouverture, d'où la formation d'une plate-forme carbonatée nord-aquitaine (vases carbonatées issues de cordons oolithiques et de barrières coralliennes qui isolaient des lagons et des lagunes côtières) qui s'appuie sur le Massif Central avec la mise en place d'une série épaisse de dépôts de calcaires et marnes à ammonites et bélemnites. Le bassin permien est un fossé d'effondrement formé à la fin du cycle hercynien et constitué de sédiments issus de l'érosion du Massif central, épandant dans le bassin de Brive de vastes dépôts de grès (au nord de Collonges, il correspond au grès de Mayssac, grès rouge en bancs réguliers, parfois schisteux)[3].

La morphologie actuelle, sans rupture brutale de relief, masque le rejet vertical de cette faille de plusieurs centaines de mètres entre les deux compartiments nord et sud. Sa matérialisation se traduit par les terrains qu'elle fait affleurer : au-dessus des terrains de l'ère secondaire, les couches plus anciennes de grès de diverses couleurs selon les conditions climatiques torrides ou tropicales, et le taux d'oxyde de fer dans le grès[4]. Au Trias, la région était à la latitude du Sahara actuel, d'où l'oxydation des minéraux ferrifères du grès sous forme d'hématite, en raison du climat tropical chaud et sec, et du taux d'oxyde de fer dans cette roche (2,2 % pour celui de Collonges, d'où les tons de grenat et de lie de vin alors que celui des Vosges est rose et celui de Brive est blanc et bariolé avec des tons blond et lie de vin)[1],[5]. Au sud de cette faille, les terrains marno-calcaires sont généralement orientés vers le sud-ouest, et les affleurements occidentaux de calcaires gréseux donnent des cuestas typiques dans les roches dures mais qui n'ont pas de réelle vigueur[6].

Les géologues débattent sur l'origine de cette faille complexe : ancienne faille varisque de direction armoricaine, réactivée sous le poids des sédiments calcaires du Jurassique et subissant le contrecoup lointain de la surrection des Pyrénées au Tertiaire ? Faille de direction « pyrénéenne » héritée du grand décrochement des sillons houillers du Massif Central[1] ?

Un double circuit de découverte (automobile et pédestre) est mis en place depuis 2010 pour la mise en valeur touristique et pédagogique de ce géosite. Il comprend cinq stations d’interprétation avec des panneaux explicatifs illustrés (falaise du Sinémurien avec le calcaire relevé de plus de 50 m au lieu-dit le col de la Croix du Buis, pli synclinal « en genou » à la station 5)[7],[8]. Ce patrimoine géologique est également mis en valeur au centre du bourg de Noailhac, dans une salle d’exposition sur la géologie, l'’Espace de Découverte de la Faille de Meyssac et de la Pierre inaugurée le 30 mai 2015[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 168 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nespouls à 10 km à vol d'oiseau[13], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 836,4 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Noailhac est une commune rurale[Note 1],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (48,1 %), prairies (38 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %)[22].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Noailhac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Noailhac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 40,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 217 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 92 sont en aléa moyen ou fort, soit 42 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Noailhac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le bourg, qui comprenait un petit château et une église, appartenait aux La Chassagne, mais ces derniers le vendirent aux vicomtes de Turenne au XIIIe siècle. Ainsi la paroisse fut rattachée à la châtellenie de Collonges, membre de la vicomté de Turenne.

Sur la demande du vicomte, la famille d'Astorg garda le village. Puis par mariage, il fut cédé aux Noailles. En 1738, grâce au démantèlement de la vicomté de Turenne, la famille Noailles acheta Noailhac et le rattacha au duché de Noailles.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2014 Bernard Bleslu DVG Fonctionnaire des Postes et Télécommunications
mars 2014 En cours Christian Lassalle DVD Conseiller juridique

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30]. En 2021, la commune comptait 352 habitants[Note 3], en diminution de 7,37 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8147099379191 0109881 0621 0321 026
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
985970965774789727705690685
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
636634585458412369353345341
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
337276242266276310323326359
2015 2020 2021 - - - - - -
380355352------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre-ès-Liens[modifier | modifier le code]

L’église Saint-Pierre-ès-Liens (XIIe-XVe siècles), construite en grès rouge, date en partie de la période romane. Détruite en partie pendant la guerre de Cent Ans, la nef a été reconstruite dans le style gothique au XVe siècle, par les Noailles. L’édifice religieux mis à mal pendant la Révolution, fut mal réparé vers les années 1830, puis en 1905, un mur plat fut élevé sur sa façade ouest. Depuis le 6 février 1923, l’église est classée monument historique[33].

Châteaux de Noailhac[modifier | modifier le code]

  • Le château de Lacoste, construit au XVe siècle, formait un ensemble fortifié avec l’église. La tourelle du flanc sud de l’édifice religieux était peut-être défensive. Le château était accolé au flanc nord de l’église (sur la place actuelle). Il survécut aux guerres de religion et connut des campagnes de travaux aux XVIIe et XVIIIe siècles. Abandonné par ses propriétaires, il tomba en ruines, ruines encore présentes au début du XXe siècle, mais inexistantes aujourd’hui. C’est un monument inscrit[34].
  • Le château de Chabrignac, aujourd'hui en ruines, était la propriété de la famille de Geoffre depuis l'époque des Croisades.
  • Le château de Lon date de 1650.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Noailhac Blason
Parti : au 1er d'or à trois bandes de sinople, au 2e coupé au I d'or à une main de gueules, au II d'azur à trois tours d'argent maçonnées de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Claire König, « La faille de géologique de Meyssac », sur futura-sciences.com, .
  2. Les principales formations géologiques autour de Brive. Académie de Limoges, sur futura-sciences.com
  3. France: introduction à la géologie du sud-ouest, Elf Aquitaine, , p. 235.
  4. Géologie de la France, Editions du BRGM, , p. 87.
  5. Isabelle Varin, « Collonges-la-Rouge (Corrèze). Sanguine en pays vert », Les Plus Beaux Villages de France, no 23,‎ , p. 8.
  6. DREAL du Limousin, Les sites remarquables du Limousin, t. 3, Les Ardents éditeurs, , p. 252.
  7. « Faille mésozoïque de Meyssac », sur mnhn.fr (consulté le ).
  8. « Faille mésozoïque de Meyssac », sur developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Géologie à Noailhac »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur noailhacpatrimoine.fr (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Noailhac et Nespouls », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Brive-souillac » (commune de Nespouls) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Brive-souillac » (commune de Nespouls) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  17. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Noailhac », sur Géorisques (consulté le ).
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Noailhac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. notice sur la Base Mérimée, consultée le 25 août 2008
  34. Arrêté du 16 mai 1972, notice de la Base Mérimée, consultée le 25 août 2008

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes