Moussac (Vienne)

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Moussac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes Vienne et Gartempe
Maire
Mandat
Daniel Bourgoin
2020-2026
Code postal 86150
Code commune 86171
Démographie
Gentilé Moussacois
Population
municipale
431 hab. (2021 en diminution de 2,71 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 16′ 55″ nord, 0° 41′ 17″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 184 m
Superficie 24,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lussac-les-Châteaux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Moussac
Géolocalisation sur la carte : France
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Moussac
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Moussac
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Moussac

Moussac, également Moussac-sur-Vienne[1] est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Moussac
Queaux Persac
Moussac Nérignac
Le Vigeant L'Isle-Jourdain Adriers

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 875 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Vigeant à 6,93 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 781,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Moussac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,2 %), terres arables (16,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), forêts (6,5 %), eaux continentales[Note 2] (2,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Moussac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage et le risque nucléaire, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne, la Blourde et la Franche Doire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[17],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vienne "amont" - Section Availles-Limouzine/Valdivienne », approuvé le et par le PPRI « Vienne Communauté de Communes Vienne et Gartempe (CCVG) », prescrit le [18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Moussac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[19]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. 93,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et de Vassivière dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 4]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[24].

La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Civaux, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 5]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 6],[25],[26].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Moussac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Toponyme celte gaulois. Le suffixe en '-ac' signifie domaine. 'Moto' signifie membre viril d'un homme. 'Moto,motto,mottio,mottus,mottius' signifient homme membré[28]. Peut être si analogie avec le vieil irlandais homme courageux, héros. Moussac signifie donc le domaine de l'homme membré (de l'homme courageux, du héros peut être).

L’adjonction « -sur-Vienne » apparaît dans les textes au moins en 1449. La majeure partie des terres de cette commune est située sur la rive droite de la Vienne, mais quelques villages et hameaux se développent sur la rive gauche.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moussac accueille favorablement les avancées de la Révolution française. Elle plante ainsi son arbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires. Il est abattu au moment de la réaction royaliste, et les responsables sont acquittés pour vice de forme ()[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Pierre Villessot    
mars 2008   Jean-Daniel Rivaux[30]    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 431 habitants[Note 7], en diminution de 2,71 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9666477388539059168528861 025
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0931 0231 0741 0091 0571 1471 1971 1761 203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1921 1721 0591 012959939916934876
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
844772666582497504507491484
2014 2019 2021 - - - - - -
447441431------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin : l’église est dédiée à saint Martin comme à peu près 4 000 autres édifices en France (8 000 en Italie). Saint Martin était très populaire au Moyen Âge. Elle a été construite au milieu du XIXe siècle, et le clocher, achevé vingt ans plus tard (1880), contient trois cloches dont l'une a été refondue en 1889 à partir d'une vieille cloche de 1721. L'édifice a perdu ce qui fait son trésor : une Vierge à l'enfant en cuivre émaillé du XIIe siècle de style limousin. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[34].
  • Croix hosannière : elle tire son nom de l'hébreu « hosanna », premier mot d'une hymne chantée le jour des Rameaux. Il était de tradition de se rendre en procession jusqu'au cimetière ce jour-là et, au pied de ce calvaire, les habitants chantaient l'Hosanna.
  • Croix de mission. Depuis le XVIIe siècle, des croix de mission sont édifiées à l'occasion de missions populaires dans les villages et les bourgs. Les plantations de ces croix deviennent fréquentes à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, notamment à partir de 1905, en réaction à la laïcisation de la société. Celle de Moussac a été érigée le . Elle est en béton. L'ensemble dépasse une dizaine de mètres en comprenant le socle. Sur ce dernier, sur une plaque de marbre, la phrase suivante a été gravée : "Nous vous adorons,Ô Christ, et nous vous benissons puisque vous avez sauvé le monde par votre croix". C'est l'acclamation séculaire que l'on chante au cours du chemin de croix.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Château de la Messelière : situé à la limite de la commune de Moussac-sur-Vienne, la date de la première construction du château de la Messelière est inconnue. La châtellenie appartient à la famille Faugère à partir de la seconde moitié du XIIIe siècle. Elle fut transmise par alliance vers 1420 à la Frotier de La Messelière, toujours propriétaire de nos jours (ne se visite pas).

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La basse vallée de la Grande Blourde[modifier | modifier le code]

À 5 km à peine au sud de sa confluence avec la Vienne, la Grande Blourde s’écoule dans un vallon boisé encaissé dans les granites du Massif central. Dans ce défilé granitique, la rivière a un parcours en rapides sur plus d’un kilomètre. La basse vallée est restée très sauvage et évoque déjà les basses montagnes du Limousin proche.

Sur les pentes raides, le boisement dominant est une chênaie-charmaie qui est une formation typique de ces vallons au sol frais mais sain, profond et riche en nutriments. Dans le bas des vallons, parmi les blocs rocheux qui bordent la Blourde, l’aulnaie-frênaie forme une étroite galerie forestière.

La basse vallée de la Blourde présente un grand intérêt botanique, qui a justifié son classement, par la présence d’une flore à nettes affinités montagnardes, favorisée par le degré hygrométrique élevé, l’ambiance forestière et, la situation géographique du site aux confins des "terres froides" des basses montagnes limousines toutes proches. Les plantes suivantes y ont été recensées :

  • l’ Aconit tue-loup : il s’agit d’une robuste Renonculacée dont la tige, haute jusqu’à un mètre, porte de grandes feuilles profondément divisées et produit à partir du mois de juin une grappe plus ou moins rameuse de fleurs jaune pâle en forme de casque allongé très caractéristiques. Elle est répandue dans les Pyrénées, les Alpes et le Massif central mais rarissime dans les plaines atlantiques. En Poitou-Charentes, l’aconit se trouve dans des sites très dispersés, presque tous situés dans la partie granitique du département de la Vienne (quelques très rares cas sont connus sur calcaire toutefois comme à Ligugé), toujours en situation fraîche, en général en fond de vallons ombragés ou en bordure de ruisseaux ou de petites rivières. C’est le cas ici, où l’espèce forme de beaux peuplements le long de la Blourde.
  • la Balsamine des bois : elle est aussi appelée Impatiente en raison de ses fruits qui explosent au moindre contact lorsqu’ils sont mûrs. Elle est presque aussi rare que l’Aconit tue-loup. Elle possède aussi de fortes affinités montagnardes. Elle accompagne souvent l’Aconit tue-loup.
  • l’Orme de montagne.
  • l’Osmonde royale : c’est la plus grande des fougères de France. Elle peut dépasser les 2 m. Elle agrémente de ses énormes touffes la base des rochers immergée dans les eaux de la Blourde.
  • la Petite Ciguë.
  • la Primevère élevée, sans être aussi rare que l’Aconit tue-loup occupe des sites très disséminés dans la région dont les conditions climatiques ne lui convient pas.
  • la Sérapias langue.
  • la Véronique des montagnes, sans être aussi rare que l’Aconit tue-loup occupe des sites très disséminés dans la région dont les conditions climatiques ne lui convient pas.
Le coteau de la Barlottière[modifier | modifier le code]

Le coteau de la Barlottière borde la Grande Blourde dans une zone géographique située à cinq kilomètres à peine au sud de sa confluence avec la Vienne, sur le territoire des communes de Moussac, et de Persac. À cet endroit, la Grande Blourde s’écoule en rapides sur plus d’un kilomètre, dans un vallon boisé encaissé.

Sur ses pentes raides, le boisement dominant, bénéficiant d’un sol frais et sain, profond et riche en nutriments, est composé de chênes et de charmes. Au pied du coteau, parmi les blocs rocheux qui bordent la Grande Blourde, l’aulnaie-frênaie forme une étroite galerie ripicole.

Le bas du coteau de la Barlottière présente avant tout un intérêt botanique remarquable, qui a justifié son classement, par la présence d’une flore à nettes affinités montagnardes, favorisée par le degré hygrométrique élevé et l’ambiance forestière. Ainsi, sept plantes présentent un fort intérêt patrimonial :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Léon Pineau (1861-1965), né à Moussac, universitaire renommé et écrivain[35] dont l'avenue de Poitiers menant au campus porte le nom depuis .
  • Théodore Édouard Gilles de La Tourette (1827-1902), négociant, maire de Moussac-sur-Vienne et suppléant du juge de paix du canton de L'Isle-Jourdain, père de Georges Gilles de la Tourette.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles de Wikipédia[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Sources[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  5. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  6. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Moussac et Le Vigeant », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le-Vigeant » (commune du Le Vigeant) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le-Vigeant » (commune du Le Vigeant) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Moussac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Les plans de prévention des risques naturels (PPRN) dans la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Moussac », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Civaux - plaquette de présentation. », sur edf.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  27. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  28. Xavier Delamare, Le dictionnaire de la langue gauloise.
  29. Robert Petit, Les Arbres de la liberté à Poitiers et dans la Vienne, Poitiers : Éditions CLEF 89/Fédération des œuvres laïques, 1989, p. 202-203.
  30. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Eglise paroissiale Saint-Martin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. Louisette Genaud-Levrault, "Un universitaire renommé natif de Moussac-sur-Vienne : le recteur Léon Pineau", Bulletin du Groupe de recherches historiques et archéologiques de l'Isle-Jourdain, n° 14, 2004, p. 165-196.