Liste des maîtres de la province d'Allemagne de l'ordre du Temple

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Cet article présente une liste des maîtres de la province d'Allemagne de l'ordre du Temple.

Province d'Allemagne[modifier | modifier le code]

La Bohême et ses alentours au XIIe siècle et XIIIe siècle.

La province d'Allemagne ne se forme qu'au XIIIe siècle pendant le règne de Frédéric II de Hohenstaufen dans le Saint-Empire romain germanique et incluait également les commanderies établies dans le royaume de Bohême, les duchés de Pologne et la Prusse teutonique[1].

Dès 1157, Albert Ier de Brandebourg leur octroie des terres près de la rivière spree et en 1200 ils fondent le château de Mongberg dans la marche de Brandebourg[2]. Avant le milieu du XIIIe siècle, certaines commanderies dans l'ouest de l'Allemagne faisaient partie de la province de France[3].

L'expansion de la province débute à partir de 1232 avec de nombreux dons comme ceux de Ladislas Odonic concernant Quartschen[4],[5], de l’Évêque de Lebus pour les terres de Custrin[6], de Barnim Ier le Bon dans le Duché de Poméranie, d'Henri Ier le Barbu pour le duché de Grande-Pologne, de Boleslas V le Pudique pour celui de Petite-Pologne, de Boleslas Ier de Mazovie dans le duché de Mazovie[7] et de Venceslas Ier pour le royaume de Bohême[8].

On trouve à partir de 1227 un commandeur (preceptor) d'Alémanie (Alemannia)[9]. C'est peut-être le même individu, du nom de Gebhard (Gevehardus) que l'on retrouve en 1241 actant comme maître puis en 1244 comme commandeur des maisons du Temple en Allemagne au moment des donations relatives à Schiedlow[N 1] et Sulęcin en Pologne[11].

En dehors des titulatures qui varient fréquemment, certaines bulles papales nous permettent d'attester l'existence de cette province et nous renseignent sur son étendue à des dates précises. En 1238 Grégoire IX confirme les biens reçus à Custrina dans l'évêché de Lebus en s'adressant au maître et aux frères de la maison du Temple en Teutonie[12], en 1247 c'est Innocent IV qui s'adresse au commandeur et aux frères en Alémanie (Alemannia)[12], en 1249/50 ce sont deux bulles de ce même pape adressées au maître et aux frères en Alémanie et en Pologne (Polonia)[13] puis une troisième qui mentionne l'Alémanie et la Poméranie (Slavia)[14],[15]. Compte tenu de la proximité de ces dates, il apparaît que le royaume de Pologne et les duchés de Poméranie ont toujours fait partie de cette province et que la Hongrie (Hungaria) n'en faisait pas partie.

La maîtrise du frère Widekind[N 2] confirme l'emploi du titre de maître en Alémanie et en Slavie (Poméranie)[17] mais on constate que Frédéric d'Alvensleben (de), avant-dernier maître de cette province[5] portait le titre de « maître en Allemagne et en Esclavonie » et est également cité comme « maître d'Allemagne et d'Italie » en 1307[18].

Maître Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
? 1208 (la): « provisor bonorum Theotonie »
fr. Martin 1219 (la): Martinus

1219: « fratri Martino templario in Alemanniam destinatis », registre d'Honorius III[19],[20]

fr. Gebhard 1227[9],[21] (la): Geuehardus

1226/27: « domni Geuehardi tunc preceptoris Alemannie »[22]

fr. Gebhard / Gerhard 1238[N 3] - 1244[25] (la): Geuehardus, Gevehardus[11],[26]

1238: « Magistro fratibus Domus militie Templi in Teutonia »[N 3] 1241: « Magistri Gebehardi militiae Templi Praeceptoris »[27],[N 4],[29]

1244: « Geuehardo preceptori domorum militie Templi per Alemanniam »[28],[29] , sans titre régional dans un deuxième acte[30]

fr. Johann 1251[31] (la): Johannes, « summus preceptor militie Templi per Teutoniam, per Bohemiam, per Moraviam et per Poloniam »[31]
Pierre Berka de Dube & Lippa [8],[25]
Widekind 1262 - 1279[25] (la): Wedekindus, Widekindus[32]

: « frater Wedekinus, domorum militie Templi in Alemannia et Sclavia magister » 1262: « Widekinus domorum militie Templi in Alemannia et Slavia preceptor »[17] : « frater Widekindus magister domorum militie templi per Alemanniam et Poloniam » ?: « frater Wedekindus magister domus milicie templi » ; : « frater Wedekindus domorum militie Templi per Alemanniam et Slaviam magister »[33] : « frater widekindus magister fratrum de Templo per Allemanniam »

Friedrich Wildgraf (de) 1282-1292[34] (la): Fridericus Silvester (dictus Silvester), preceptor domorum militie Templi per Alemanniam et Slaviam[34]

En 1288, son second (vice-preceptor) est le commandeur de Lietzen, Jordan von Esbeke (Jordanus)[35]. De 1295 à 1297, il se trouve dans le duché de Bavière, plusieurs documents dont un où il est qualifié de « maister Weilent »[N 5]

Renier de Villers 1292[37] : « frater Reynerus dictus de Vileyr commendator domus Templi in partibus Almanie »[38]

Commandeur de la baillie de l'Hesbaye (1275, 1289)

Bertram von Esbeke 1294-1297[25],[35] (la): Berchramus de Czwek, Bertramus de Esbeke[39],[40]

1295: domorum militie Templi per Alamaniam, Schlaviam, Boemiam et Moraviam humilis preceptor[41]

Friedrich von Nigrebe 1301[40] (la): Fridericus de Nigrip[42]

1301: « fratris Frederici de Nigrip, nostri generalis preceptoris » dans la même charte que Friedrich von Alvensleben (de) alors commandeur de Supplingburg[43] « Frederico dicto Nigro », frère du Temple en 1291 pourrait être le même individu[44],[42]

Friedrich Wildgraf (de) 1302-1303[34],[45] (ou 1302)[N 6] : « Nos frater Fredhericus dictus Silvester, preceptor humilis domorum militie templi Jherosolimitani per Alimaniam et Slaviam »[46]

Procès, Chypre (mention): « Fredericus, frater tunc comitis de Savoya, tunc preceptor in Alamania »

Friedrich von Alvensleben (de) 1303-1308[35] (la): Fredericus de Alvensleve

21 avr. 1303: « Frater Fredericus de Alvensleben domorum milicie templi per Alemanniam et Slaviam preceptor humilis »[47] avr. et : « Frater Fredericus de Alvenseleve, Dei gracia domorum milicie templi in Alamannia et Slavia preceptor humilis ; Nos frater Fredhericus de Alvensleve, humilis preceptor domorum militie templi Jherofolimitani per Alemaniam et Slaviam »[48] : « Fredericus de Alvensleve, domorum militie Templi per Almaniam et Slaviam preceptor humilis » : « domorum milicie Templi per Alemanniam et Slaviam preceptor humilis »[49] 1308: « frater Fredhericus de Alvensleve domorum milicie templi per alemaniam et Slaviam preceptor humilis »[50],[5],[51]

Commandeur de Supplingburg (1301)[40]

Hugo de Gumbach 1310[52],[53],[54]

Baillie de Bohème, Moravie et Autriche[modifier | modifier le code]

(la): Comendator provincialis per Bohemiam, Moraviam et Austriam

Magister ordinis Templi per Bohemiam et Moraviam, magister militie Templi tocius Boemie et Maravie

Possessions subordonnées au maître d'Allemagne depuis au moins 1251[31], des maîtres dont la présence dans cette région est attestée plusieurs fois, notamment Bertram von Esbeke commandeur (preceptor) d'Allemagne, Hongrie, Bohême et Moravie. La baillie/province de Bohême et de Moravie apparaît pour la première fois en 1297 aux ordres d'un maître (magister) et l'Autriche ne se rajoute que tardivement, pas avant le début du XIVe siècle. Un seul commandeur connu avec ces titulatures mais on mentionne tout de même un commandeur de Moravie en 1243. En 1267, on trouve à Prague un maître de la maison du Temple à l'occasion d'un chapitre qui se déroule dans cette ville[55] (Bohême) sans que l'on puisse affirmer qu'il s'agit du maître de la baillie incluant les commanderies en Moravie voir du maître de la province d'Allemagne[N 7]. Problème identique à propos de Peter Ostrew, le maître qui a supervisé la construction de Saint-Laurent de Prague en 1253.

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Friedrich 1243[58],[59] (la):Fridericus, commendatoris militie Templi per Moraviam[59],[N 8]
fr. Bertholt von Czinnburg 1250[61]
fr. Peter Ostrom von Berka und Duba 1253-1254 [Commandeur de Bohême ?]

(de): Johann Peter Burka ; Ostrowo von Berka ; Peter Ostrowo Chronique: « supremus magister ordinis Templariorum, Petrus Berka, nominatissimae famigeratissimae familiae regulus, penes Templum S. Laurentii magnificum monasterium aedificavit »

fr. Sulislav 1267[55],[62] [Incertain]

(la): magistrum Sulizlaum de domo Templi dans deux chartes relatives à la ville de Prague[55]

fr. Ekko 1297-1308[63] (la):Ekko, Ecchoni, Eckone, Ekkonis

Ekko d'Egerberger Commandeur de Čejkovice en Moravie (1292[64]-1295)[41]

Maître de Bohême et de Moravie (1297-...)[65]

Baillie du Brabant et de l'Hesbaye[modifier | modifier le code]

(la): Preceptor domorum milicie Templi in Brabantia et in Hesbannia (Hasbania)

Les possessions de l'ordre dans le duché de Brabant, bien que faisant partie du Saint-Empire, semblent se rattacher à la province de France[66] et non à celle d'Allemagne comme on aurait pu le supposer.

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Renaud 1240 [Commandeur en Hainaut et en Brabant, à vérifier][67]

: « ? »

fr. Walter / Wautier 1248 : « fratrem Walterum, praeceptorem domorum balliviae militiae Templi in Hasbania »[68]

Commandeur de la baillie de Lorraine (1244)[69], (1262, 1264-1265)

Commandeur de la baillie de Flandre (1250-1251, 1257) Accompagne Guy de Bazainville, maître en France (1251, Valenciennes)[70],[71]

fr. Gérard 1255 (la): Gerardus

(nl): Geeraart : « quod frater Gerardus, magister sive provisor milicie Templi in Brabantia »[72] (?): « frater G., preceptor fratrum militie Templi in Hasbania et Brabantia »[73]

fr. Inguelran 1256 : « frater Inghelramus, domorum milicie Templi in Brabantia commendator »[74]
fr. Gérard 1257-1260 (la): Gerardus, Gerardus de Villari

(fr): Gérard de Villers : « frater Gerardus, domorum milicie Templi in Brabant. et Hasban. commendator »[74],[75]

: « preceptor domorum milicie Templi in Brabantia et in Hesbannia »[76] : « frater Gerardus, provisor domorum Militie Templi in Hesbania »[77]

fr. H. 1262[37] : « H. commendator omnium Domorum Militie Templi in Brabantia & in Hasbania »[78]
fr. Gérard de Villiers 1265 : « frater Gerardus de Villari, preceptor domorum fratrum Militie Templi in Brabantia, Hasbania et Condrusio »[79]

/74

fr. Renier de Villers 1274-1291 [Période à vérifier]

: « Homme saige et discreiz freres Reniers de Vileir commaistre des maisons dou Temple en Hesbaings »[80] 17 oct 1289: « religioso fratre Renero, fratre et magistro domus militie Templi in Hasbania Leodiensis diocesis »[81]

Maître de la province d'Allemagne (1292)[37]

fr. Henri de Lille 1286-1289 Commandeur de l'ordre du Temple en Brabant

: « ? », avec le commandeur de Vaillampont[82] : « ? »[83]

fr. Godefroid 1291
fr. Jacques de Bruges 1295 05 oct. 1295: « domorum militie Templi in Brabantia preceptor generalis »[84]
fr. Guillaume c.1300- 1307

Baillie de Lorraine[modifier | modifier le code]

Cette baillie regroupait les commanderies dans le duché de Lorraine ainsi que dans le comté de Bar. Avant la création de la province d'Allemagne, ces maisons faisaient déjà partie de la province de France comme l'atteste la présence répétée des maîtres de cette province tel que Olivier de La Roche en 1228 et 1232[N 9] puis Amaury de La Roche en 1269[85] ou encore Guillaume de Malay en 1284[N 10]. En l'état actuel des recherches, aucune charte ne met en évidence l'intervention d'un maître d'Allemagne dans cette baillie où la langue d'oïl était d'usage et cette hypothèse n'est évoquée que par Auguste Digot[86]. Initialement la province de France regroupait justement les possessions de l'ordre dans les pays où l'on parlait cette langue. On voit également le maître de Lorraine intervenir jusque dans l'électorat de Trèves en 1228[87] et en 1273[88] à propos de la commanderie de Trèves (Trier)[89]. À la fin du XIIIe siècle, les possessions en Bourgogne, Lorraine et dans les trois évêchés (Metz, Toul et Verdun) étaient réunies sous l'autorité d'un même commandeur, notamment pendant la maîtrise de Jean de Mars et de son successeur Aymon d'Oiselay (Jean Haimmes d'Oixeleir)[90] qui deviendra ensuite le dernier maréchal de l'ordre[N 11].

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Pons de Guillaume 1217-1222 (la): Poncius, Pontius « de Villame »

: « major magister Templarius de Lothoringia / temporis magister Poncii Templarii »[93] 1218: « Sigillum Pontii magistri de Villame »[94] 1220: ?[95] : « magistro Pontio de Guillaume, magistro fratrum militie Templi in Lotoringia »[96]

fr. ? 1228 : « ? », Templermeister von Lothringen (à Trèves)[87]
fr. Ferry de Mohrange 1231-1232[95] (la): Fredericus dictus de Moherenges

: « magister domorum militiae templi in Lotharingia »[97] : « frater Frid., preceptor fratrum milicie Templi in Lothoringia » ou « Nos fratres Fredericus preceptor fratrum milicie Templi in Lotharingia »[98] : « frater Ferricus, tunc preceptor Lothoringie »

fr. Jean de Naix 1232[99]
fr. Ferry de Mohrange 1239/40[95],[100] (fro): Freriz de Moherenges

(fr): Ferri de Mohrange /40: « ju freres Freriz de Moherenges, maistres de la chevalerie dor Temple de Lorregne »[101]

Commandeur de Norroy (1239) [erreur][N 12]

fr. Domenges 1243[95] (la): Dominicus ; (fro):Domenges

(fr): Dominique 1243: « freires Domenges, comanderes des maisons dou Temple an Lorreigne ; Freire Domenge, maistre de Lorreigne »[102]

Commandeur de Norroy (1231)[97]

fr. Gautier de Villers 1244[69] : « ? »[103]
fr. Domenges 1246 1246: « freires Domenges comanderes des Maisons dou Temple an Lorreigne ; Et por cen que se soit ferme chose, si avons nos mis le seel freire Domenge, maistre de Lorreigne »[104],[N 13]

Commandeur de Norroy (1231)[97] Commandeur de Saint-Georges de Lunéville (1249, 1254)[105],[106],[107]

fr. Rou d'Apremont 1247[108],[109] : « Ront d'Espremont »[110]

: « au proïres de frere Roul dou Tanple... au freres de Tanple de la ballie de Louyrenne »[104] Commandeur (maître) de Doncourt (1243, 1248)[111]

fr. Poençon 1251[109] : « ? »[112]
fr. Paris 1259[113] (la): Parisius

Commandeur de la baillie de Bourgogne (1254-1255) Commandeur de la baillie de Laumusse et de Belleville (1254-1255)[N 14]

fr. Gautier de « Villers » 1262-1267[69],[114]

(1262-1265)[115]

(la): Galterius de Vileis

oct. 1262: « frere Wautier comandor des Maisons de la chevalerie dou Temple de la baillie en Loherainne »[104],[116] /65: « freres Gautiers de Vileis commederes de Lorainne »[104],

: « frere Gautier commandeur des maisons de la chevalerie du Temple en Lorraine »[117]

fr. Martin[N 15] 1260,

1269-1274[95]

sept. 1269: « freires Martins, commanderes des maisons de la chevalerie dou Temple en Lorrengne »[118]

1271: « commandeur des maisons de la chevalerie du Temple de Loherenne »[119], « ? »[120],[N 16] : « frater Martinus preceptor et procurator... fratrum milicie Templi in Lotthoringia »[88],[121]

: « Nos freires Martins, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Lorreine »[122] 1275: « ? »[123] [à vérifier]

1277: « ? »[124] [à vérifier] Commandeur d'Epailly (1256) Commandeur de la baillie de Bures et Epailly (1257-1258, 1267) Commandeur de Laumusse (1275)

fr. Jean 1285 [Sources contradictoires, 1275-1288 ?]

mai 1264 [?]: « freres Jehans de la balie dou Temples en Lohereine »[N 17] 1285: « Jennas Clowanges, li mares de la frarie des massons dou Tample »[126] 1287: « Ci gist Mesires Jehans Freires chapelens ki fut maistre des mazons dou tanple de Lorene xxiii ans ki fut mors la vigile de la chandelour lan m cc iiiixx vii »[125] , inhumé à la commanderie de Metz.

fr. Martin[N 15] 1287/88 1288: « ? »[127]

Commandeur de la baillie de Bures et Epailly (1257-1258, 1267) Commandeur de la baillie de Lorraine (1260, 1269-1274)

fr. Jean de Mars 1289-1294[128] [Commandeur de Bourgogne et de Lorraine]

(la): Johannes Ademari, Demar, de Mares aut des Maix, de Mars, de Marciis (fr): Jean Adhémar, Jean des Mars : « virum religiosum, fratrem Johannem, preceptorem domorum militie Templi in Lothoringia »[128] : « freres Jehan de Marx, freres dou Temple, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Loherainne »[128] : « freires Jehans des Mars, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Lorrainne »[129] 1293: « ke freires Jehans, c'on dit de Mairs en Borgoigne, et freires Renalz, comandeires de lai Maxon dou Temple de Mes »[130] : « Jehans de Mars, maistres des maisons dou Temple en la baillie de Lorrainne »[128],[131] Commandeur de Payns (c.1298-1303)[132] Commandeur de Ruetz (1303-1307)[133]

fr. Aimé d'Oiselay 1296 - 1303[134] [Commandeur de Bourgogne et de Lorraine][N 11]

(la): Aymo d'Oiselaers, Aymone d'Oysilieres, de Oiselier, deu Zelet (de): Hannes[N 18] (fr): Aymon du Zelet, Hennes d'Oixelier ou d'Oiseley, Jean Haimmes d'Oixeleir : « Nos, freires Hianmes, Commandeires des maisons don Temple en la bailie de Loherengne »[131] : « freire Heine d'Oixeleir, maistres et commandeires de la baillie de Lohairainne et de la grant Borgoingne »[135] : « Haimmes d'Oiseley, Maistres & Commandeires de la Balie dou Temple en Loharainne »[131],[136]

et : Aimne d'Ozilley[131] Commandeur de Virecourt (1298-1302) [Erreur][N 19] Maréchal de l'ordre (1304-1312)

fr. Henri de Vaucouleurs 1304[95] (la): Henricus de Vauquelours

(fr): Henri de Vauquelein, de Vauquelour : « honorauble home et discret, freire Hanri de Vauquelour, maistre des maisons de la chevalerie dou Temple en la ballie de Lorreinne », Marbotte[134]

Commandeur de Lunéville & aumônier du duc Thiébaud II de Lorraine (1306) [probable][N 20]

fr. Demanges 1306 - 1307[134] (fro): Domanges li Allemans

(fr): Domenge Lallemant[137] : « Domange »[N 20] : « Nous, frères Demanges, maistres de la baillie dou Lorreigne »[138] : « Demange, frere chappelain dou Temple Maistres & commandaires des maisons dou Temple, en la baillie de Lorraigne »[131] 30 oct. 1307: ?[131] Tenant lieu[N 21] de maître de la baillie de Lorraine (1300)[131]

Baillie de Pologne, Poméranie et Nouvelle Marche[modifier | modifier le code]

(la): humilis preceptor domorum milicie Templi per Poloniam, Sclaviam et Novam Terram

Commandeur Période de maîtrise Commentaires et autres fonctions
fr. Bernhard von Eberstein 1291[58] (la):Bernhardus dictus de Euirsten

1291: « preceptor domorum milicie Templi per Poloniam, Sclaviam, Novam Terram et magister curie Quarczanis (pl) »[139]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. À priori Szydłów (en) puisque la charte émane de l’évêque de Lebus (en), Henri[10] et qu'il s'agit d'un bien dans le duché de Silésie.
  2. A priori, il était déjà templier en 1253. Un frère Widekinus apparait dans une charte de 1253 signée à Magdebourg pendant la maîtrise du fr. Heinrich[16]
  3. a et b Date incertaine qui figure dans certains ouvrages du XIXe siècle. Le premier auteur qui a proposé d'identifier Gebhard comme étant le « Magistro fratibus Domus militie Templi in Teutonia » qui apparait sans être nommé dans une confirmation du pape Grégoire IX en 1238[23] est S. W. Wohlbrück (de) dans Geschichtliche Nachrichten von dem Geschlechte Alvensleben und dessen Gütern, 1819, vol. 1, p. 213[24]. Information reprise par Joseph Hormayr zu Hortenburgen en 1842 lorsqu'il dresse une liste des maîtres de la province d'Allemagne[25]. Même information annotée dans Lehmann et Patzner 2004, p. 19 (note 6).
  4. Paul Vincent Smith indique à tort que fr. Gebhard n'apparait jamais avec un titre régional[27]. Dans la source qu'il cite pour 1244, Gebhard est pourtant mentionné comme « preceptori domorum militie Templi per Alemanniam »[28],[29].
  5. Trois documents en relation avec son frère, Emcho, évêque de Freising. Le premier en langue germanique où il a le titre de « maister Weilent » (p. 454, doc. 413, août 1295), les deux suivants en latin et il y apparaît sans titre particulier (p.460, doc. 419, sept 1297) dont un qui stipule bien qu'il n'est plus maître en Allemagne, « Fridericus quondam magister Templi » (p. 457, doc. 416, oct. 1296)[36]. Dans ce même ouvrage, figure une charte de 1285 où il est maître, p. 429, doc. 392.
  6. Cette charte date bien du 7 mai mais il parait plus plausible que ce soit l'an 1302 et non 1303 car dès avril 1303, on trouve Frédéric de Alvensleben qui est maître de cette province et qui tient un chapitre provincial à Lietzen (Leśnica). Ce maître est sans doute mort peu avant.
  7. Maître ou simplement commandeur de Prague ? Le titre de maître (magister) était généralement réservé aux maîtres de province mais on trouve habituellement l'expression magister domorum templi in... à savoir le maître des maisons du Temple d'une région donnée. Concernant la province d'Allemagne au sens large, fr. Widekind est attesté en 1262[56], 1268, 1271 et 1279[57]. Ces maîtres étant en général nommés pour 4 ans, on ne peut pas affirmer qu'il était à la tête de cette province en 1267 ou qu'il a conservé cette maîtrise sans interruption de 1261 à 1279. Mais on ne peut pas pour autant être certain que Sulislav exerçait une fonction autre que celle de commandeur d'une maison du Temple, en l’occurrence Prague.
  8. Quelques noms des autres templiers présents en Moravie à cette période apparaissent dans d'autres documents de ce même ouvrage: fr. Cuno, fr. Cunradus (Commanderie de Jamolice, 1242)[60]
  9. Pour les templiers de Doncourt et de Pierrevillers (Henry 2006, p. 98). Concernant ceux de Norroy et de Marbotte en 1228 (Roger 2001, p. 112). Déjà en 1160 pour la commanderie de Marbotte mentionné par Auguste Digot (Digot 1868, p. 278-279). À priori ce serait Guillaume Pavet mais l'auteur ne le précise pas. On voit aussi le commandeur de Bourgogne et de Lorraine Aymon Oisiliers intervenir en 1300 (Clouët 1870, p. 80).
  10. Guillaume de Mallain qui n'est autre que Guillaume de Malay, le commandeur de la province de France entre 1283 et 1285 (Demurger 2008, p. 162, 313). Auguste Digot supposait à tort qu'il était commandeur de Brouvelieures (Digot 1868, p. 285) et Michel Henry indique qu'il était peut-être maître de Lorraine (Henry 1998, p. 111).
  11. a et b Dans les interrogatoires du procès de l'ordre, Aymon d'Oiselay est presque toujours cité comme Maréchal de l'ordre, rang qu'il occupait au moment de l'arrestation des templiers mais aussi comme commandeur de la bailli de Bourgogne (Burgtorf 2008, p. 463-464)(Schottmüller 1887, p. 169 (n°6), 199 (n°49)) en 1303. Il apparaît également dans des documents relatifs aux templiers de Lorraine ⇒ En 1296, Jean Haimmes d'Oixeleir (Huguenin 1853, p. 20) ; En 1300, frère Hennes d'Oixelier ou d'Oiseley (Clouët 1870, p. 80) ; En 1302, Aymon du Zelet (Henry 2006, p. 72) à chaque fois commandeur de Lorraine. Michel Henry mentionne, sans doute à tort, Aymon du Zelet comme commandeur de Virecourt (1298-1302)(Henry 2006, p. 75). Une autre charte de 1302 où l'on voit frère Hannes, maître et commandeur de la baillie du Temple [Il s'agit toujours d'Aymon Oiselay] confirme ce regroupement entre la Lorraine et la Bourgogne puisqu'on y trouve la mention des commandeur de Xugney, Pierrevillers, Metz et La Laigne en Bourgogne (Hammerstein 1895, p. 24 (n°72)). Pierre-Vincent Claverie a publié un article sur ce dignitaire[91] (source non consultée) tout comme Jochen Burgtorf mais ce dernier ne mentionne pas la période en Lorraine[92].
  12. Erreur initiée par Digot 1868, p. 287 et reprise par Michel Henry (Henry 2006, p. 72, 75) qui le qualifie pourtant bien de maître de Lorraine (Henry 2006, p. 97) sur la base d'un acte de février 1239 qui concerne la commanderie de Norroy et dans lequel son titre est bien celui de maître de Lorraine (Bonnardot 1873, p. 247), (Philippe et Florence 2004, p. 183).
  13. Accord de paix entre les templiers de Lorraine et Wacelon d’Avilliers: p. 17, onzième charte. Y figure également Raoul d'Apremont: « par l'o_troi et par lo crant de freire Rou d'Aspremont, et des altres freires ». La commanderie de Marbotte n'est pas explicitement citée mais comme cette charte provient du cartulaire de Marbotte, on peut supposer que Raoul d'Apremont en est alors le commandeur.
  14. (la): præceptor domorum Templi de Mucia et de Ballivia, præceptor de la Musce et de Belleville. E.G Léonard pense que cela correspond à la baillie de Bourgogne.
  15. a et b Michel Henry indique 1264-1287 (Henry 2006, p. 72) sans interruption mais cette proposition paraît infondée, tout comme celle d'Hammerstein: 1275-1288 (Hammerstein 1895, p. 6) mais elle est partagée par Jean-Marc Roger 2001, p. 114. La pierre tombale du frère Jean (oratoire de Metz) suggère que ce dernier a été maître de Lorraine de 1275 à février 1288, 13 ans (Trapp et Mercier 2008, p. 41). Frère Martin retrouve éventuellement ce rang à la suite de son décès avant de céder la place à Jean de Mars (1289). On retiendra plutôt les dates données par Émile-Guillaume Léonard, à savoir 1269-1274 sachant qu'il a lu la publication d'Hammerstein. Commandeur de Metz Durant l'intervalle ? Il faudrait pour cela vérifier deux documents mentionnés par Hammerstein relatifs à la commanderie de Metz et dans lesquels Martin apparaît car il indique qu'il y figure comme « maître de Lorraine »: 1275 et 1277 (Hammerstein 1895, p. 18, n°32 et 34) provenant de l'inventaire des titres de la commanderie magistrale du petit Saint-Jean de Metz, f.12-13, anciennes archives du grand prieuré de Champagne (Voulaines), aujourd'hui archives de Moselle, série H 4601, registre de Voulaines, n°16 et 19. La note descriptive de ces deux documents a été reprise par Michel Henry (Henry 1998, p. 256, n°127 et 129) mais pas le texte original.
  16. Il existe un 3° acte pour 1271: traité de réconciliation entre Martin, commandeur de la baillie de Lorraine et le chapitre de Saint-Dié, cf. N. F. Gravier, Histoire de la ville épiscopale et de l'arrondissement de Saint-Dié, Épinal, 1836, p. 157, lire sur Google Livres.
  17. Archives départementales de la Meuse, 4 H 6, p. 222. Charte issue d'un recueil de copies du XVIIe siècle que Jean-Marc Roger qualifie de suspecte (Roger 2001, p. 113, note 6-7). Peut-être une simple erreur de date du copiste ? À rapprocher éventuellement de la période du frère Jean qui fut maître pendant treize ans et qui est mort en février 1288[125]. Cette charte pourrait plutôt dater de 1284 puisque frère Martin est formellement attesté entre 1269 et 1274.
  18. Michel Henry considère à tort que le frère Hannes mentionné par Hammerstein et Aymon du Zelet qui apparaît dans les pièces du procès (Aymo deu Zelet, Michelet 1851, p. 268) sont deux individus distincts[99]. La période 1296-1306 proposée par Hammerstein[109] va un peu trop loin mais il s'agit bien de Aymon d'Oiselay que l'on trouve déjà en 1296[131]. On trouve ensuite Henri de Vauquelours en 1304 puis frère Demanges, dernier commandeur connu en 1306, Cf. (Roger 2001, p. 115).
  19. Information donnée par Michel Henry sur la base d'une assertion qu'il tire des interrogatoires publiés par Michelet: Dans Itinéraires templiers en Lorraine, p. 126, il parle de l'interrogatoire du « frère Gérard, sergent du Temple de la commanderie de Virecourt qui indique avoir été reçu par Aymon d'Oyselier, commandeur » or la référence qu'il mentionne correspond à l'interrogatoire du frère Raynaldus Belli Pili , reçu à Payns par Jean de Mars et qui indique avoir assisté à la réception de frère Gérard dans la chapelle de Virecourt par Aymon d'Oiselay mais il ne précise pas qu'il en était le commandeur (Michelet 1851, p. 267-268). Dans Les ordres militaires en Lorraine, p. 75, on constate la même assertion, Michel Henry partant du principe qu'il ne devient maître de la baillie qu'en 1302 et qu'il était commandeur de Virecourt avant, au moins depuis 1298 lorsqu'il est aux côtés d'Hugues de Pairaud toujours sur la base des pièces du procès (Michelet 1851, p. 263-268). Mais qu'il s'agisse de l'interrogatoire du frère Johannes de Chali ou de celui de Raynaldus Belli Pili, jamais ils ne précisent son rang et encore moins qu'il était commandeur de Virecourt. Il était déjà commandeur de la baillie de Bourgogne et de Lorraine et non de cette maison.
  20. a et b Charte du frère Domange du 05 janvier 1306 relative à un don fait aux templiers et à une prébende accordée par lui et dans laquelle on trouve le nom de plusieurs commandeurs: qu'alors estoient Commandeur, Scavoir, à Lineyville, seigneur Henri, Aumosnier du duc de Lorraine, Frere Louis à Gilocourt, Freire Piere Commandour de nostre Maxon de Mes & de Pierrevillers. (François et Tabouillot 1781, p. 244). Jean-Marc Roger en déduit qu'il devait déjà être maître de la baillie de Lorraine bien que son titre ne soit pas précisé (Roger 2001, p. 115 (note 10))
  21. La locution latine correspondante est « Locum tenens ». Il ne s'agit pas d'un lieutenant au sens actuel de ce terme, à savoir un subordonné permanent de ce dignitaire chargé de certaines tâches (le compagnon). Le Tenant lieu, toujours un templier avec un rang moins important, prenait sa place durant l'absence du titulaire ou actait comme tel en attendant la nomination d'un nouveau dignitaire à la suite de son décès par exemple. Il arrivait que le dignitaire soit mandaté pour une mission particulière à l'extérieur de sa province, convoqué à un chapitre général de l'ordre ou encore parce qu'il s'est rendu au couvent de l'ordre en Orient.

Références[modifier | modifier le code]

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  2. L' Art De Vérifier Les Dates Des Faits Historiques, Des Chartes, Des ... sur Google Livres, François Clément, 1783.
  3. (en) Paul Vincent Smith, « The Templar Province of Alemannia and Slavia », dans Crusade and society in eastern Europe : The Hospital and the Temple in Poland and Pomerania (1145-1370), London university, (lire en ligne), p. 358
  4. (la) Adolph Friedrich Johann Riedel, Codex diplomaticus Brandenburgensis, vol. 19, Berlin, (lire en ligne), p. 1 (doc. 2)
  5. a b et c Mémoires de l'Académie royale des sciences et belles-lettres depuis l'avénement de Frédéric Guillaume II au trône, 1788 et 1789 avec l'histoire pour le même temps. sur Google Livres
  6. Riedel 1860, p. 1 (doc. 1)
  7. La marche de Brandebourg sous la dynastie ascanienne sur Google Livres, Ernest Lavisse, 1875.
  8. a et b Claude Mansuet Jeune, Histoire critique et apologétique de l'ordre des chevaliers du temple de Jérusalem dits Templiers, (lire en ligne), p. 27, 70-89
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  10. (la) Winfried Irgang, Schlesisches Urkundenbuch : 1231-1250, vol. 2, Böhlau, (ISBN 978-3-205-08133-3, présentation en ligne), p. 225
  11. a et b (la) Helmut Lüpke et Winfried Irgang, Urkunden und Regesten zur Geschichte des Templerordens : im Bereich des Bistums Cammin und der Kirchenprovinz Gnesen, Böhlau, , 96 p. (ISBN 978-3-412-05487-8, présentation en ligne), p. 23, 26, 28
  12. a et b Riedel 1860, p. 4 (doc. 5), lire sur Google Livres
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  14. Lüpke et Irgang 1987, p. 37
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  18. cf. mémoires de l'Académie royale : « Magister Domorum militiae Templi per Alemaniam et Sclavoniam », Cf. Divertissements historiques et diplomatiques : « Domorum militiae Templi per Alemanniam et Italiam praeceptor humilis »
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  20. (la) Pietro Pressuti, Regesta Honorii papae III, vol. 2, G. Olms, (1re éd. 1888), 772 p. (ISBN 978-3-487-06532-8, présentation en ligne), p. 665
  21. (de) Gunther Lehmann et Christian Patzner, Die Templer in Mitteldeutschland, LePa-Bücher, , 142 p. (ISBN 978-3-9808859-1-1, présentation en ligne), p. 19
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  51. Bulst-Thiele 1974, p. 335,372,375,379 ; (fr)Divertissements historiques et diplomatiques. "Diplomatische und historische Belustigungen", volume 2 sur Google Livres, Friedrich Carl Moser, 1755, p. 265.
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  54. Ivy-Stevan Guiho, L'Ordre des Templiers : petite encyclopédie, L'Harmattan, , 292 p. (ISBN 978-2-296-23087-3, lire en ligne)
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  56. (la) Adolph Friedrich Johann Riedel, Codex diplomaticus Brandenburgensis, vol. 1, Berlin, (lire en ligne), p. 70 (doc. 96) où janvier 1162 est indiqué, charte publiée également dans le volume 19 de ce même ouvrage, cf.Riedel 1860, p. 5 (doc. 8) mais avec la date de décembre 1262
  57. Bulst-Thiele 1974, p. 415
  58. a et b Bulst-Thiele 1974, p. 212
  59. a et b (la) Antonii Boczek, Codex diplomaticus et epistolaris Moraviae, studio et opera Antonii Boczek : Ab annis 1241 - 1267, vol. III, Skarnitzl, (lire en ligne), p. 36
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  61. Lehmann et Patzner 2004, p. 17
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  64. Národní archiv Praha (cs), RM 1887(la) « Charte (1292) », sur monasterium.net (consulté le ); Également cité dans une charte de juillet 1292 : (la) Antonii Boczek, Codex diplomaticus et epistolaris Moraviae, studio et opera Antonii Boczek : Ab annis 1268 - 1292, vol. IV, Olomucii, (lire en ligne), p. 389
  65. Boczek et Chytil 1850, p. 78-80
  66. Chestret de Haneffe, « L'ordre du Temple dans l'ancien diocèse de Liège ou la Belgique orientale », Compte rendu des séances de la commission royale d'histoire, ou recueil de ses bulletins, 5e série, t. IX,‎ (lire en ligne), p. 300-301
  67. Chestret de Haneffe 1901, p. 320 ; Victor Barbier, Le chapitre noble de Moustier-sur-Sambre, (présentation en ligne), p. 126
    Laurent Dailliez ne le mentionne que comme « précepteur » de Hainaut. cf. Laurent Dailliez, Les templiers : Flandre-Hainaut-Brabant, Liège et Luxembourg,
  68. Godefroid Kurth, Chartes de l'abbaye de Saint-Hubert en Ardenne, t. I, Bruxelles, Kiessling et cie, P. Imbreghts, successeur, (lire en ligne), p. 322-324 (n°26)
  69. a b et c Michel Henry, Les ordres militaires en Lorraine, Serpenoise, , 354 p. (ISBN 978-2-87692-706-3, présentation en ligne), p. 73
  70. (en) Jochen Burgtorf, The Central Convent of Hospitallers and Templars : History, Organization, and Personnel (1099/1120-1310), Leiden/Boston, Brill, , 761 p. (ISBN 978-90-04-16660-8, lire en ligne), p. 548-551
  71. Devillers 1876, p. 31-32 (n°132)
    Dans cette charte, les templiers accompagnant Guy de Bazainville n'ont pas de titre précis contrairement aux affirmations de Laurent Dailliez... on y trouve néanmoins frère Tierry Deni ainsi que Gérard et Wautier de Villers dont on sait qu'ils étaient dignitaires dans le Brabant et l'Hesbaye et en Flandre
  72. (nl + la) « ? », Bijdragen tot de geschiedenis bijzonderlijk van het aloude hertogdom Brabant, vol. 10,‎ (présentation en ligne), p. 527-528 (n°173-174)
  73. Ibid., p. 544 (n°192).
  74. a et b Alphonse Wauters, « Mélanges : Deux chartes concernant l'ordre du Temple », Revue d'histoire et d'archéologie, t. I,‎ (lire en ligne), p. 213-214
  75. (nl + la) « ? », Bijdragen tot de geschiedenis bijzonderlijk van het aloude hertogdom Brabant, vol. 5,‎ (présentation en ligne), p. 426-427
    p. 427 ⇒ « commendator et magister domorum militie Templi in Brabantia et Hasbania »
  76. J. de Saint-Genois, « Templiers en Belgique », Messager des sciences historiques, des arts et de la bibliographie de Belgique,‎ (lire en ligne), p. 376
    « Anno domini MCCLX, feria sexta post purificationem B. Virginis » ⇒ 08 février 1260 et non le 06 février 1263 tel qu'indiqué par Dailliez 1978.
  77. Abbé Evrard, « Cartulaire de l'abbaye de Flône », Analectes pour servir à l'histoire ecclésiastique de la Belgique, t. XXIII,‎ (lire en ligne), p. 392 (n°89)
  78. (la) Jean Charles Diercxsens, Antverpia Christo nascens et crescens, t. I, (lire en ligne), p. 268
    Laurent Dailliez attribue cette charte à Gérard de Villiers sans justification, Cf. (Dailliez 1978).
  79. Evrard 1892, p. 408 (n°103)
  80. Chestret de Haneffe 1901, p. 335-336 (n°5) ; Ferdinand Henaux, « Les Templiers au pays de Liège : Le Temple de Visé », Bulletin de l'institut archéologique liégeois, Liége, t. I,‎ (lire en ligne), p. 341 (note 1)
  81. Chestret de Haneffe 1901, p. 336-337 (n°6)
  82. Chestret de Haneffe 1901, p. 302, 310
  83. Joseph Cuvelier, Inventaire des archives de la ville de Louvain : N°3809 à 10278, t. II, (OCLC 63482263, présentation en ligne), p. 70 (n°4236)
    D'après Laurent Dailliez, on trouve également le commandeur de Louvain (Jean Leminghe) et celui de « Fain » [sic] (Godefroid de Huy) dans cette charte. FainFaimes ? Nom de commanderie templière inédit pour le duché de Brabant et l'actuelle province de Liège. À rapprocher de la supposée commanderie de Corswarem.
  84. Alphonse Wauters, « Exploration des chartes et des cartulaires belges existants à la bibliothèque nationale, à Paris », Compte rendu des séances de la commission royale d'histoire, ou recueil de ses bulletins, 4e série, t. II,‎ (lire en ligne), p. 174.
  85. Henry 2006, p. 99
  86. Auguste Digot, « Mémoire sur les établissements de l'ordre du Temple en Lorraine : (Duchés de Lorraine et de Bar, évêchés de Metz, Toul et Verdun) », Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, Nancy, 2e série, vol. X,‎ (lire en ligne), p. 266, lire en ligne sur Gallica
  87. a et b (de) Ad. Goerz, Mittelrheinische regesten : chronologische Zusammenstellung des quellen-materials für die Geschichte der Territorien der beiden Regierungsbezirke Coblenz und Trier in kurzen Auszügen, vol. II, (lire en ligne), p. 499-500 (n°1874)
  88. a et b (de) Ad. Goerz, Mittelrheinische regesten : chronologische Zusammenstellung des quellen-materials für die Geschichte der Territorien der beiden Regierungsbezirke Coblenz und Trier in kurzen Auszügen, vol. IV, (lire en ligne), p. 3 (n°14)
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  92. Burgtorf 2008, p. 462-465
  93. Jean-Marc Roger, Le Prieuré de Champagne des "chevaliers de Rhodes" : 1317-1522, , 2000 p. (OCLC 491104531), p. 111
  94. (de) Freiherr von Hammerstein, « Der Besitz der Tempelherren in Lothringen », Annuaire de la Société d'histoire et d'archéologie lorraine, vol. 7,‎ , p. 6, lire en ligne sur Gallica ; Hammerstein 1895, p. 26-27 (n°90)
    Page 6, Il faut lire 1218 et non 1213 pour Pontius de Villame.
  95. a b c d e et f Léonard 1930, extraits en ligne
  96. Roger 2001, p. 112-113
  97. a b et c Roger 2001, p. 112-113 (note 16) ; Jean-Charles Chapellier et Gérard Gley, Documents rares ou inédits de l'histoire des Vosges, t. VII, Paris, J.-B Dumoulin & H. Champion, , p. 17-19, lire en ligne sur Gallica
  98. Roger 2001, p. 112 (note 12) ; Chapellier et Gley 1882, p. 19-21
    Date=1232, octave de Saint Pierre et Saint Paul donc en juillet. Archives départementales des Vosges, G 1321, vidimus de 1279.
  99. a et b Henry 2006, p. 72
  100. André Philippe et Raymonde Florence, Archives départementales des Vosges, Répertoire numérique détaillé : Série H, clergé régulier avant 1790, 18 H Abbaye de Flabémont, Épinal, (1re éd. 1925) (lire en ligne), p. 183
  101. Roger 2001, p. 112 (note 15) ; (F. Bonnardot, « Mélanges: Variétés Lorraines », Romania: recueil trimestriel consacré à l'étude des langues et des littératures romanes, vol. 2,‎ (lire en ligne), p. 246-247
    Archives départementales des Vosges, série H, fonds de l'abbaye de Flabémont. Ce document infirme l'assertion initiée par Auguste Digot selon laquelle il était commandeur de Norroy en 1239, erreur que l'on trouve également chez Michel Henry (Henry 2006, p. 72, 75).
  102. Roger 2001, p. 113 ; Noël Becquart, Jean Colnat et Archives départementales de la Meuse, Inventaire sommaire de la série H (clergé régulier) : Ordres d'hommes, t. I, (lire en ligne), p. 367.
    cote 22 H 9, f.42: « Charte de frère Domenge, commandeur des templiers de Lorraine »
  103. Henry 1998, p. 181 ; Becquart et Colnat 1958, p. 366 (cote 22 H 9 f.12)
    Donation par Laurent de Saint-Aignan de tous ses biens à la commanderie de Marbotte.
  104. a b c et d Anne-Christelle Matthey, « 13 chartes du XIIIe siècle rédigées par le Scriptorium de la Commanderie de Marbotte, Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem », sur www.commercy.org, (consulté le )
    Dans la présentation de certaines de ces chartes, l'auteur désigne (à tort) les dignitaires qualifiés de maître de Lorraine comme étant commandeurs de Marbotte. Exemple p. 5-6, quatrième charte où sont clairement mentionnés, Gautier de Villers, le commandeur de Lorraine et W[i]llars, le commandeur de Marbotte. Idem p. 16, Gautier est commandeur de Lorraine, pas de Marbotte etc...
  105. Martin-D. Glessgen (dir.) et Michel Arnold, Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », Sept. 1249, Abandon par Baudouin et Aubert, clercs, de Lunéville, de leurs droits sur l'église d'Harmonville et de leur dîmes à frère Demenge et à la maison du Temple de Lunéville., Corpus : Array, chartes de Meurthe-et-Moselle, ChMM068 (consulté le )
    « à frere Demeinge et au freres dou Temple »
  106. Martin-D. Glessgen (dir.) et Michel Arnold, Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », Déc. 1249, Don par Ferri chevalier de Lunéville, Roscegnourt et Arnould, ses frères, Charles, fils de Ferri, et ses autres enfants, au Temple de Lunéville., Corpus : Array, chartes de Meurthe-et-Moselle, ChMM069 (consulté le )
    «  à frere Demonge· et au freres de la chevalerie dou Temple »
  107. Martin-D. Glessgen (dir.) et Michel Arnold, Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », 30 juin 1254, Arbitrage rendu par Renaut comte de Blieskastel et seigneur de Bitche, entre Simon de Parroy et frère Demenge commandeur du Temple de Lunéville, Corpus : Array, chartes de Meurthe-et-Moselle, ChMM104 (consulté le )
    « freire Demenge, commandor de la maison sein George de Linevile de la chevalerie de Temple »
  108. Henry 2006, p. 72, 74
  109. a b et c Hammerstein 1895, p. 6
  110. Henry 1998, p. 256 (n°126) ; Hammerstein 1895, p. 18 (n°30)
    Ront d'espremont / Rout d'Apremont. Hammerstein propose 1247 ou 1248, Henry mentionne uniquement 1247
  111. Michel Henry, Itinéraires templiers en Lorraine, Serpenoise, , 288 p. (ISBN 978-2-87692-367-6, présentation en ligne), p.155, 177, 180
  112. Hammerstein 1895, p. 21 (n°53)
  113. M. Noël, Catalogue raisonné des collections lorraines, t. I, Nancy, 1850-1851 (lire en ligne), p. 254 (n°1635) ; Catalogue analytique des archives de M. le baron de Joursanvault, t. 2, Paris, (lire en ligne), p. 8 (n°2126)
    Note descriptive :« Convention entre frère Paris, commandeur du Temple en Lorraine et le comte de Salm en 1259  ». La collection Joursanvault a été vendue et dispersée en 1838. M. Noël a acquis cette pièce qui est un original rédigé en vieux français. Reste à vérifier si ce document a été acquis depuis par un collectionneur privé ou s'il a rejoint les archives départementales de Moselle ?
  114. Henry 1998, p. 177
  115. Léonard 1930
    Galterius de Vileis
  116. Anne-Christelle Matthey et Martin-D. Glessgen (dir.), Université de Zurich, « Les plus anciens documents linguistiques de la France : Édition électronique », Oct. 1262, accord à la suite d'une querelle entre Gauthier commandeur des Templiers de Marbotte[commandeur des Templiers de la baillie de Lorraine] et Albert de Prény chanoine de Metz, Corpus : chartes de la Meuse, ChMe169 (consulté le )
  117. Hammerstein 1895, p. 27 (n°93)
  118. Acte n°222379 dans Chartae Galliae. Édition électronique: Institut de Recherche et d'Histoire des Textes, 2014. (Telma). En ligne
  119. Henri Lepage, « Notice sur quelques établissements de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem situés en Lorraine : IX. Commanderie de Libdeau et de Toul », Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe,‎ (lire en ligne), p. 61
    « et frère Renaut commandeur du Temple de Liebedos ».
  120. Becquart et Colnat 1958, p. 366 (cote 22 H 9 f.13)
  121. Roger 2001, p. 116
  122. Abbé Clouët, Histoire de Verdun et du pays verdunois, t. II, , p. 252, lire en ligne sur Gallica
    Archives départementales de la Meuse, 22 H 9, n°30 (Marbotte). Voir aussi Henry 1998, p. 248, n°90 et Becquart et Colnat 1958, p. 366-367 (cote 22 H 9 f.31).
  123. Henry 1998, p. 256 (n°127) ; Hammerstein 1895, p. 18 (n°32)
  124. Henry 1998, p. 256 (n°129) ; Hammerstein 1895, p. 18 (n°34)
  125. a et b Julien Trapp et Pierre-Marie Mercier, « A-t-on retrouvé la commanderie templière de Metz ? », Les Cahiers Lorrains, nos 2/2,‎ (lire en ligne), p. 41
    Montre qu'il y a eu une coupure concernant Frère Martin qu'on retrouve de nouveau en 1287/88.
  126. (de + fro) Karl Wichmann, Die Metzer Bannrollen des dreizehnten Jahrhunderts : Band II., coll. « Quellen zur lothringischen Geschichte, vol. 6 », , p. 166 (n°538), lire en ligne sur Gallica
    Bans de Tréfonds de Metz.
  127. Hammerstein 1895, p. 19 (n°38)
  128. a b c et d Roger 2001, p. 114
  129. Roger 2001, p. 114 ; Becquart et Colnat 1958, p. 370
    Archives départementales de la Meuse, Série H, cote 22 H 13, n°6. Avec son sceau.
  130. Wichmann 1910, p. 371 (n°87)
  131. a b c d e f g et h Jean François et N. Tabouillot, Preuves de l'histoire de Metz : partie 1, (lire en ligne), p. 243-244 ; Paul Ferry, Observations séculaires, XVIe siècle, t. II, p. 20, arche de Saint-Livier.
    Hammerstein indique 1296 « Bruder Hannes, Comtur in Lothringen » ⇒ Frère Hannes, commandeur en Lorraine. Huguenin indique Jean Haimmes d'Oixeleir, maître de la baillie de Lorraine à partir des mêmes documents. Il s'agit donc bien de Aymon d'Oiselay. Malheureusement la layette qui contenait ces chartes dans l'arche de Saint Livier a été détruite pendant la seconde guerre mondiale et on ne dispose plus que de leurs descriptions.
  132. Amédée-Louis-Alexandre Trudon des Ormes, « Liste des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VI., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 197-198, lire en ligne sur Gallica ; Léonard 1930
    (la): Johannes de Marciis.
  133. Trudon des Ormes 1898, p. 205-206, lire en ligne sur Gallica ; Léonard 1930
    (la): Johannes de Marciis.
  134. a b et c Roger 2001, p. 115
  135. Roger 2001, p. 115 (note 6)
  136. Hammerstein 1895, p. 24 (n°72)
  137. Abbé Clouët, Histoire de Verdun et du pays verdunois, t. III, , p. 80, lire en ligne sur Gallica
  138. Chapellier et Gley 1882, p. 37-38
  139. (de + la) Pommersches Urkundenbuch : Rodgero Prümers: 1287–1295, vol. 1, t. III, (lire en ligne), p. 140-141 (doc. 1596)