Geoffroy Ier de Lusignan (seigneur de Jarnac)

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Geoffroy Ier de Lusignan
Premières armoiries de Geoffroy Ier
seigneur de Jarnac
Fonction
Sénéchal de Gascogne
Titres de noblesse
Seigneur de Jarnac, Châteauneuf,
Château-Larcher, Sainte-Hermine,
Montignac, Luçon
Biographie
Naissance
V. 1223
Décès
Famille
Maison de Lusignan
(sous-lignage de Jarnac)
Père
Mère
Fratrie
Conjoint
Almodis de Sainte-Hermine
Jeanne de Châtellerault
Enfants
Eustachie de Lusignan (1)
Geoffroy II de Lusignan (2)
Autres informations
Grands-Parents
Conflit
Faits d'armes
Bataille de Taillebourg
Bataille de Saintes ⚔
Bataille de Lewes
Héritier
Armoiries de Geoffroy Ier de Lusignan
1246

Geoffroy Ier de Lusignan[1] (v. 1223-1274)[2] est un cadet de la Maison de Lusignan et membre de la haute aristocratie féodale poitevine. Il fut seigneur de Jarnac, Châteauneuf, Château-Larcher et Bois-Pouvreau[3]. Il devient par son premier mariage seigneur de Sainte-Hermine[4]. Il acquiert le château de Montignac de son frère Guillaume Ier de Valence en 1248[5],[6] et la seigneurie de Luçon en 1258, tenue auparavant par Maurice II de Belleville[7].

Geoffroy Ier ne porte jamais le titre de vicomte de Châtellerault[8], comme certaines sources l'indiquent à tort, tout comme son fils Geoffroy II (v. 1268-nov. 1306), décédé avant sa mère Jeanne (av. 1243-1315)[9].

Geoffroy Ier est le fondateur du sous-lignage[10] de Jarnac de la Maison de Lusignan.

Biographie[modifier | modifier le code]

Famille[modifier | modifier le code]

Geoffroy Ier est le troisième fils d'Hugues X de Lusignan (v. 1182-1249), comte de la Marche (1219-1249) et de son épouse Isabelle d'Angoulême (v. 1188/1192-1246), reine consort d'Angleterre (1200-1216), par son premier mariage avec Jean sans Terre (1166-1216), et comtesse d'Angoulême suo jure (1202-1246). Geoffroy Ier de Lusignan est de ce fait le frère utérin du roi Henri III d'Angleterre (1207-1272) et de Richard de Cornouailles (1209-1272), roi des Romains (1257-1272).

Son frère aînée, Hugues XI le Brun (v. 1221-1250) est seigneur de Lusignan, comte de la Marche (1249-1250) et d'Angoulême (1246-1250). Il décède à la bataille de Fariskur[11] lors de septième croisade. Ses cadets, Guillaume Ier de Valence (v. 1227-1296) et Aymar de Lusignan (1228-1260) deviennent respectivement comte de Pembroke (1247-1296) et évêque de Winchester (1250-1260) en Angleterre.

Homonyme[modifier | modifier le code]

Geoffroy Ier de Lusignan, seigneur de Jarnac, ne doit pas être confondu avec Geoffroy Ier de Lusignan (av. 1150-1216) et son fils Geoffroy II (v. 1195-1248), tous deux seigneurs de Vouvant et de Mervent. Il est nommé parfois Geoffroy III par certains généalogistes pour éviter ces confusions.

Mariages et descendance[modifier | modifier le code]

Almodis[modifier | modifier le code]

Avant 1246[4], il épouse Almodis[12] dame de Sainte-Hermine (v. 1230-ap. 1248) et ont une fille :

Jeanne de Châtellerault[modifier | modifier le code]

En 1259, il épouse en secondes noces Jeanne de Châtellerault[2] (av. 1243-1315), fille d'Aimeri II (v. 1170-1242), vicomte de Châtellerault (1239-1242) et d'Agathe de Dammartin (v. 1215-1268) dame de Lillebonne[15],[16] ; ils ont comme unique enfant connu :

Sceaux et Armoiries[modifier | modifier le code]

Geoffroi Ier de Lusignan reprend le type de chasse propre à la famille de Lusignan. Il y appose au revers un premier sceau avec les armes au burelé brisées d'un lion et d'un lambel (1246). Puis à partir de 1248, un nouveau sceau armorial avec seulement le lion brochant sur le burelé. Le lambel est donc supprimé. Cette suppression atteste du fait que la brisure au lion était devenue disponible à partir de 1248 et n'imposait plus le lambel comme surbrisure.

Grand Sceau [1246][modifier | modifier le code]

Avers : Rond, 60 mm[17].

Description : Type équestre de chasse, à droite. Le cheval au galop. Le personnage, nu-tête, vêtu d'une cotte, tient de la main gauche les rênes de sa monture, et de la droite, un petit chien sur la croupe du cheval ; dans le champ le cor voltige derrière lui.

Légende : ✠ S G DE LEZIN MI..... ..LII COMITIS MARCH

Légende transcrite : Sigillum Gaufridi de Leziniaco, militis, filii comitis Marche.

Revers : Rond, 60 mm[18].

Description : Écu burelé de seize pièces au lion rampant à la queue nouée chargé d'un lambel de quatre pendants brochant sur le tout.

Légende : ✠ S • G • D • LEZIN • MILITIS • ..... ....TIS • MARCHE

Légende transcrite : Sigillum Gaufridi de Leziniaco, militis, filii comitis Marche.

Références[19],[20],[21],[22]

Grand Sceau [1248][modifier | modifier le code]

Avers : Rond, 60 mm.

Description : Type équestre de chasse, à droite. Le cheval au galop. Le personnage, vêtu d'une cotte, tient de la main gauche les rênes de sa monture, et de la droite, un petit chien sur la croupe du cheval.

Légende : Détruite.

Revers : Rond, 60 mm.

Description : Écu burelé au lion rampant à la queue nouée.

Légende : Détruite.

Références[23],[24],[25]

Sceau du secret [1258-1269][modifier | modifier le code]

Avers : Rond, 35 mm[26].

Description : Écu burelé de dix-neuf pièces au lion rampant à la queue nouée.

Légende : ✠ SECRETUM : DNI : GAUFRIDI : DE LE

Légende transcrite : Secretum Domini Gaufriidi de Leziniaco

Références[27],[28],[29]

Armoiries [1246][modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'argent et d'azur de seize pièces au lion rampant de gueules à la queue nouée brochant sur le tout chargé d'un lambel de quatre pendants de gueules
Commentaires : Blason de Geoffroy Ier de Lusignan, chevalier, fils du comte de la Marche, d'après l'empreinte d'un contre-sceau de 1246.

Références[20],[21],[22],[18]

Ascendance[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Nom patronymique attesté dans les chartes.
  2. a et b Chartes et documents pour servir à l'histoire de l'abbaye de Saint-Maixent (éd. Alfred Richard), vol. II, t. XVI, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), partie CCCCLXXII, p. 114-115
    1275, 4 mars, Chapitre général de Saint-Maixent : Jeanne de Châtellerault, veuve de Geoffroy [Ier] de Lusignan [seigneur de Jarnac] fait hommage lige à l'abbé de Saint-Maixent, pour ce qu'elle tenait de lui en fief, comme l'avait autrefois fait son mari.
  3. Layettes du trésor des chartes, de l'année 1224 à l'année 1246 (éd. Alexandre Teulet), t. II, Paris, Plon, (lire en ligne), partie 3049, p. 498-499
    1243, mars, Angoulême, couvent des franciscains : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême et son épouse, Isabelle, reine d'Angleterre, règlent le partage de leurs biens après leur mort, à l'exception de la dot d'Isabelle, si le comte venait à mourir avant elle. Guy reçoit Cognac, Merpins, Archiac et Les Borderies. Geoffroy reçoit Jarnac, Châteauneuf, Château-Larcher et Le Bois-Pouvreau avec tous les hommages qui y sont attachés à l'exception de celui de Guillaume de Curzay, qui appartient au seigneur de Lusignan ainsi que Sanxay, s'il peut être récupéré. Autrement, Hugues [XI] le Brun devra assigner à son frère 500 sous de revenus en compensation. Si Geoffroy perdait Jarnac par jugement ou par guerre contre Pierre Baudrand, son frère aîné devra lui assigner 5000 sous de revenus sur sa part à Ahun et à Pontarion et Guy, 100 livres sur le port saunier de Cognac. Guillaume de Valence reçoit Montignac, Bellac, Rancon et Champagnac. Aymar reçoit Couhé. Le fils aîné, Hugues [XI] le Brun reçoit les comtés de la Marche et d'Angoulême avec leurs monnaies, Lusignan, et toutes les terres restantes. Il devra aussi assurer à ses sœurs un revenu annuel sur ses terres à raison de 200 livres tournois pour Isabelle et Marguerite et 100 livres tournois pour Alix. Si Guy, Geoffroy, Guillaume, Aymar et leurs sœurs, y compris Agathe, épouse de Guillaume [II] de Chauvigny, décèdent sans héritiers ou que leurs héritiers meurent sans avoir de descendance, leurs parts devront revenir à Hugues [XI] et à ses héritiers.
  4. a et b Cartulaire des sires de Rays, 1160-1149 (éd. René Blanchard), vol. 2, t. XXX, Poitiers, coll. « Archives historiques du Poitou », (lire en ligne), partie CLXXIII, p. 186-187
    1246 : Geoffroy [Ier] de Lusignan, seigneur de [Jarnac] Sainte-Hermine et son épouse Almodis étaient en conflit avec Gérard [Ier] Chabot, seigneur de Retz et son épouse, Eustachie, qui revendiquaient le village des Pineaux et ses dépendances. Sauvage, dame de Retz et de la Mothe-Achard, mère d'Eustachie, ratifie l'accord selon lequel Geoffroy et Almodis gardent le village et donnent à Gérard et Eustachie la moitié des terrages qu'ils possèdent à Thiré et des terres à Frosse et à Corpe pour lesquelles ils devront faire hommage au seigneur de Jarnac.
  5. Cartulaire des comtes de la Marche et d'Angoulême (éd. Georges Thomas), Angoulême, Imprimerie Ouvrière, (lire en ligne), partie XLVIII, p. 99-100
    1248, 22 août, Sainte-Hermine : Guillaume de Valence, chevalier, donne à son cher frère Geoffroy de Lusignan, seigneur de Jarnac et de Châteauneuf, et à ses héritiers, son château de Montignac avec toutes ses dépendances, qu'il a hérité de sa mère, Isabelle [d'Angoulême], reine d'Angleterre, et qu'il tient de l'évêque d'Angoulême.
  6. Cartulaire des comtes de la Marche et d'Angoulême (éd. Georges Thomas), Angoulême, Imprimerie Ouvrière, (lire en ligne), partie XLVIII, p. 99-100
    1248, 23 août : Geoffroy [Ier] de Lusignan, seigneur de [Jarnac et] Sainte-Hermine promet à son très cher frère Hugues [XI] le Brun, comte d'Angoulême, que si leur frère Guillaume de Valence meurt sans héritier direct, il lui rendra le château de Montignac avec toutes ses dépendances, malgré la donation que Guillaume lui avait faite la veille.
  7. Gaël Chenard, L'Administration d'Alphonse de Poitiers en Poitou et en Saintonge (1241-1271), vol. 3 (Thèse de doctorat de l'université de Poitiers sous la direction de Martin Aurell), Poitiers, Université de Poitiers, , p. 252
  8. Alfred Hérault, Histoire de Châtellerault, t. I, Châtellerault, Imprimerie A. Videau, (lire en ligne), p. 413-420
  9. Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), vol. 1 (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Poitiers, Université de Poitiers, (lire en ligne), p. 24 :

    « Jeanne, elle, devient vicomtesse à la mort de son frère Jean Ier en 1290. »

  10. José Enrique Ruiz Doménec, « Système de parenté et théorie de l’alliance dans la société catalane (environ 1000-environ 1240) », Revue Historique, no 262,‎ , p. 305-326
    José Enrique Ruiz Doménec propose de substituer à la notion généalogique de branche cadette le concept de « sous-lignage » : issu d'une souche principale qui en encadre les membres, il est toujours prêt à combattre à son service.
  11. Matthieu Paris (éd. Henry Richards Luard), Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani, Chronica Majora, vol. V : A. D. 1248 à A. D. 1259, Londres, Longman, (lire en ligne), p. 158 :

    « Hugo Brunus comes de Marchia cujus pater paulo ante obiit apud Damiatan »

  12. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe-XIV siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne), p. 868 :

    « La garde de cette jeune fille et son mariage avaient été confiés, avant 1230, au seigneur de Parthenay, Guillaume V Larchevêque. L'union entre le jeune seigneur de Jarnac et l’héritière de la seigneurie de Sainte-Hermine est donc le résultat de tractations entre sa famille et Guillaume V. Or, entre 1242 et janvier 1247, la cousine issue de germaine de son père, Valence de Lusignan, nièce et seule héritière de Geoffroy II de Vouvant et de ses seigneuries de Vouvant, Mervent et Moncontour épouse le fils de Guillaume V, Hugues II Larchevêque, seigneur de Parthenay à partir de 1243. La coïncidence amène à s'interroger sur la possibilité d'un échange matrimonial entre les Parthenay et les Lusignan. Comme la consanguinité interdisait d'organiser une union qui aurait permis de garder les seigneuries du sous-lignage de Vouvant au sein du groupe, Valence aurait été accordée en mariage à Hugues II Larchevêque contre Almodis de Sainte-Hermine dont sa famille avait la garde. En dépit de l'acquisition par mariage des domaines du sous-lignage de Vouvant par une autre famille, l'acquisition de la seigneurie voisine de Sainte-Hermine maintenait la présence du groupe familial dans cette partie du Bas-Poitou. »

  13. Ernest Petit, Histoire des ducs de Bourgogne de la race capétienne avec des documents inédits et des pièces justificatives, t. V : Règne de Hugues IV (suite), Dijon, Darantière, (lire en ligne), partie 3880, p. 442 :

    « Hic jacet illustris mulier Eustasia, uxor quondam domini Droconis de Merloto, Edoardi illustris regis Anglorum consanguinea, que apud Chartaginem migravit ad Dominum, anno Dom... CC.LXX... »

    1270 ?, abbaye de Fontenay
  14. Pour la transmission de Ste-Hermine, Jarnac et Châteauneuf-sur-Charente, voir la page : Dreux V de Mello.
  15. Copie du XVIIe siècle, d'après original perdu (fol. 298 r°), Paris, BnF, coll. « Dupuy 822 » :

    « Universis presentes litteras inspecturis, Gaufridus de Leziniaco, dominus Jarnaci et Castri Achardi, salutem in Domino. Noveritis quod reverendus pater Hugo, Dei gratia Pictaviensis episcopus, nos recepis in homagium ligium de terra sita apud Calvignacum et apud la Plaine vel alibi cum pertinenciis suis, quam nobilis domina Agatha quisdam vicecomitissa Castri Eraldi ab eodem episcopo tenebat in homagium ligium tempore mortis sue. Qua terra ad nos ratione maritagii nobilis domina, uxoris mea videlicet Joanne filie nobilis viri Johannis vicecomitis et Agatha predicte quondam vicecomitisse Castri Eraudi dinoscitur pertinere. Pro quibus eidem patri, rachatamentum fecimus usque ad tres vigintas libras monete currentis, quas eidem patri solvimus in pecunia numerata. In cujus rei testimonium, eidem patri dedimus litteras sigilli nostri munimine roboratas. Datum die lune ante festum apostolorum Petri et Pauli, anno Domini M° CC° LXIII°. »

    1263, 25 juin : Geoffroy [Ier] de Lusignan, seigneur de Jarnac et de Château-Larcher, fait hommage lige à Hugues, évêque de Poitiers, pour des terres à Chauvigny et à la Plaine, qu'il tient du chef de son épouse, Jeanne de Châtellerault, laquelle la tenait de sa mère, Agathe.
  16. Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), vol. 2 : Tableau de filiation de la première famille vicomtale de Châtellerault (Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell), Poitiers, Université de Poitiers, (lire en ligne), p. 9
  17. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy de lusignan - sceau avers », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  18. a et b SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy de Lusignan - premier - sceau revers », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  19. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°838 : Geoffroi de Lusignan, Frère du comte Hugues XI (1246), p. 398
  20. a et b Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°838 bis : Geoffroi de Lusignan, Frère du comte Hugues XI (1246) / revers, p. 398
  21. a et b Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°441, pl. XV, p. 223
  22. a et b Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VII (« Seigneurs de Jarnac / Geoffroy Ier de Lusignan / grand sceau [1246] »), p. 325-326
  23. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°839 : second sceau (1248), p. 398
  24. Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°442, pl. XV, p. 223
  25. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VII (« Seigneurs de Jarnac / Geoffroy Ier de Lusignan / grand sceau [1248] »), p. 326-328
  26. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy Ier de Lusignan - sceau du secret », sur sigilla.org, Université de Poitiers.
  27. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°2637 : Lusignan (Geoffroi de), Seigneur de Jarnac (1269), p. 644
  28. Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°443, pl. XV, p. 223
  29. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. VII (« Seigneurs de Jarnac / Geoffroy Ier de Lusignan / sceau du secret [1258-1269] »), p. 328

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Sources sigillographiques[modifier | modifier le code]

  • SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Geoffroy Ier de Lusignan », Université de Poitiers. [lire en ligne]
  • Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux, éd. François Eygun, Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, 1938, n°441, p. 223 et pl. XV ; n°442, p. 223 et pl. XV ; n°443, p. 223 et pl. XV.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Anaïs Lancelot, Les vicomtes de Châtellerault : une puissance discrète (XIIe – XIIIe siècles), Mémoire de Master 2 sous la direction de Martin Aurell, Université de Poitiers, 2 vol., 231 p., 2018. [lire en ligne]
  • Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, Université de Nantes, 4 vol., 2 797 p., décembre 2018. [lire en ligne]

Articles connexes[modifier | modifier le code]