Coat-Méal

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Coat-Méal
Coat-Méal
La place de Rohan au centre du bourg.
Blason de Coat-Méal
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Brest
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Abers
Maire
Mandat
Martial Clavier
2020-2026
Code postal 29870
Code commune 29035
Démographie
Gentilé Coat-Méaliens
Population
municipale
1 131 hab. (2021 en augmentation de 3,67 % par rapport à 2015)
Densité 105 hab./km2
Population
agglomération
37 226 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 31″ nord, 4° 32′ 27″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 88 m
Superficie 10,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brest
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plabennec
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel de la commune de Coat-Méal

Coat-Méal [kwat meal] (en breton : Koz-Meal) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le bourg de Coat-Méal vu de la campagne proche.

Coat-Méal est une commune du Léon, située au nord de Brest et au sud de l'Aber Benoît, proche de la mer d'Iroise. Elle est située à 15 km au nord de Brest et limitrophe de Bourg-Blanc à l'est, de Plouvien au nord-est, de Tréglonou au nord, de Plouguin à l'ouest et de Milizac-Guipronvel à l'ouest et au sud.

Communes limitrophes de Coat-Méal
Plouguin Tréglonou Plouvien
Coat-Méal Bourg-Blanc
Guipronvel Milizac

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 9,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 040 mm, avec 16,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ploudalmézeau à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 997,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coat-Méal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,6 %), terres arables (42 %), forêts (5,1 %), zones urbanisées (4,9 %), prairies (2,5 %)[13].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Coetmael[15], Coat Meal en 1173.

Les formes anciennes nous informent bien sur la signification de ce toponyme avec Coat (« bois » en breton) et mael (« noble homme ») qui pourrait être un « bois du Prince » . Mael, prénom breton ayant retrouvé une certaine notoriété, signifiant « Prince, Homme noble »[réf. nécessaire]. Une autre forme ancienne est Coz-Mael avec Coz ("vieux-vieille" en breton) et Mael ce qui pourrait donc signifier: la Vieille seigneurie. La forme ancienne du gentilé des habitants Cozméalis semble corroborer cette appellation.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

On retrouve des traces très anciennes d'occupation humaine à Coat Méal. Au début du XXe siècle, dans un champ du hameau de Lesvern, il y avait un magnifique tumulus ayant plusieurs galeries dans lequel ont été retrouvés cinq vases romains de terre cuite et de nombreuses pièces métalliques. Ce tumulus a été arasé et les trésors dispersés.

Un peu plus au sud, sur la hauteur, se trouve le château de Castel Huel posé sur une motte ovale de cinquante mètres par quarante mètres qui domine le bourg actuel de onze mètres. Des fouilles ont permis de découvrir des murs en moellons disposés en lignes régulières et réunis par un mortier jaunâtre ayant toutes les apparences du ciment romain. Dans la partie Est on a trouvé des pierres calcinées et du charbon, laissant croire à la présence possible d'une forge rudimentaire. On a aussi retrouvé une meule romaine et une allée pavée de 142 m de long et 2,50 m de large.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Un aveu de 1467 donne à l'église de Coat-Méal le titre d'église pastorale et priorale des sires de Léon. Coat-Méal était en effet une vicomté et un des trois membres de la principauté de Léon ; elle avait une juridiction dont les plaids se tenaient, dès 1488, au manoir de Locmajean, en Plouguin[16]. Coat-Méal aurait été un prieuré donné par Guyomarch IV de Léon à l'abbaye Notre-Dame de Daoulas, puis le siège d'une vicomté] qui fut érigée en 1572 en principauté sous le nom de Léon, pour la Maison de Rohan, titre aujourd'hui porté dans la Maison de Rohan-Chabot, par les fils aînés des ducs de Rohan.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Aux XVIe siècle et XVIIe siècle, la châtellenie (parfois dénommée vicomté) de Coat-Méal s'étendait sur six paroisses : Coat-Méal (en totalité), la majeure partie de Landunvez et de Plouguin et une petite partie de Porspoder, Plourin et Tréglonou ; la juridiction de cette châtellenie s'exerçait au bourg même de Coat-Méal. La paroisse de Coat-Méal, très petite, était alors totalement enclavée dans celle de Plouguin[17].

En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Coatméal [Coat-Méal] de fournir 3 hommes et de payer 19 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[18].

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le le conseil municipal de Coat-Méal et son maire, Yves Arzur, signèrent une pétition demandant l'annexion par leur commune, dont la superficie était toute petite, d'une partie du territoire de la commune voisine de Plouguin peuplée d'environ 500 habitants, plus proche du bourg de Coat-Méal que de celui de Plouguin[19]. Cette annexion est décidée par la loi du [20].

Coat-Méal décrit en 1889[modifier | modifier le code]

Benjamin Girard écrit ainsi Coat-Méal en 1889 :

« Coat-Méal, naguère une des plus petites communes du Finistère, avec une superficie de 43 hectares, a été récemment agrandie par l'annexion d'une des sections voisines de la commune de Plouguin. Le bourg a une population de 205 habitants. L'église paroissiale est un édifice des XIIIe siècle et XIVe siècle, à l'exception du clocher qui date de 1770. (...)[16]. »

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La lutte contre l'emploi de la langue bretonne par le clergé (journal La Croix du ).

Le comte de Blois, maire de Coat-Méal et conseiller général , fit partie des onze maires qui adressèrent en octobre 1902 une protestation au préfet du Finistère à propos de la circulaire interdisant l'usage de la langue bretonne dans les églises[21].

Économie[modifier | modifier le code]

Le bourg, vu de la place de l'église.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1978 Gabriel de Poulpiquet Gaulliste Militaire et agriculteur
Député (1958-1978)
mars 2001 mars 2014 Marie-Louise Jaouen (2 mandats)   Agricultrice
mars 2014 juin 2021 Yann Le Louarn [22]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD Professeur
juillet 2021 En cours Martial Clavier    

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'enclos paroissial :
    • L'église paroissiale Notre-Dame-des-Sept-Douleurs : ancien prieuré et chapelle des ducs de Rohan, elle devint église paroissiale à la fin du XVIIIe siècle. Le porche ouest remonte au XIVe siècle. Le porche sud, voûté en ogive, est un travail du XIe siècle exécuté en pierres taillées en croûte de Kersanton, offre un contraste entre les statues noires du Christ et des apôtres et la couleur rougeâtre des murs et des socles. Notre-Dame-des-Sept-Douleurs est considérée comme la patronne de la paroisse, d'où la statue de la Mater Dolorosa en chêne et datant du XVIe siècle qui se trouve à l'intérieur, ainsi que plusieurs statues de la Vierge Marie en pierre de kersanton. Le porche est inscrit monument historique par arrêté du .
    • Le monument aux morts avec la vigne grimpante (ou plutôt du lierre) sculptée sur son fût. Il porte les noms de 30 personnes mortes pour la France dont 18 pendant la Première Guerre mondiale, 8 pendant la Seconde Guerre mondiale, 3 pendant la guerre d'Indochine et 1 pendant la guerre d'Algérie[23].
  • Des croix et calvaires : la commune est jalonnée de 10 calvaires et croix érigées pour sanctifier un lieu où se sont produits des évènements du passé[24].
    • Le calvaire dit Croaz-ar-Beg-Houarn porte une plaque commémorative en l'honneur de deux résistants FFI de l'« Amicale Violette » morts pour la France : Louis Bourdonnec, chef de section FFI (né le , décédé le ) et Pierre Gourvennec, soldat FFI (né le et décédé le ).
  • Castel Huel : motte féodale qui date probablement de l'occupation romaine et qui devient fief de la châtellenerie de Coat-Méal jusqu'à la Révolution. « Ollivier du Chastel acquit la terre de Coat-Méal en 1437 » est-il écrit sur le calvaire proche.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 1 131 habitants[Note 3], en augmentation de 3,67 % par rapport à 2015 (Finistère : +1,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
212230197195198210213249208
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
202192206214593619662613636
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
633612607533567558503524504
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4814565086326697378709341 009
2015 2020 2021 - - - - - -
1 0911 1211 131------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Langue bretonne[modifier | modifier le code]

L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le Conseil municipal le 3 mai 2010.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Coat-Méal Blason
Parti d'azur et de sinople, au calvaire d'or du lieu perronné de quatre degrés du même, maçonnés de sable et brochant sur la partition ; mantelé d'or chargé au point du chef d'une tour de sable, ouverte et ajourée d'or, et de deux mouchetures d'hermine de sable en flancs[29].
Détails
L'or et le noir sont les deux couleurs du Léon, ancien comté dont l'appartenance à la Bretagne est ici symbolisée par les hermines. Le rouge situé en bas du blason était la couleur utilisée par les familles nobles qui se sont succédé tant à kérascoët que dans les manoirs du bourg. La tour évoque le Castel Huel, jadis siège de la vicomté de Coat-Méal, bâti au sommet d'une motte figurée par la pile bleue et verte. Le calvaire rappelle les nombreux lieux sanctifiés (croix et calvaires) édifiés par les seigneurs pour commémorer les événements survenus sur la commune. Les couleurs utilisées en pointe représentent la campagne de Coat-Méal, le bleu étant pour les plans d'eau et les rivières, le jaune pour la vocation agricole (moisson), le vert pour les bois et les taillis.
Conception : Bernard Le Brun
Créé par la commission départementale d'héraldique en 1993[30]. Approuvée par décision municipale du 15 novembre 1993.

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Coat-Méal et Ploudalmézeau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Ploudalmezeau » (commune de Ploudalmézeau) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Ploudalmezeau » (commune de Ploudalmézeau) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  15. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 64, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828, consulté le ).
  16. a et b Benjamin Girard, "La Bretagne maritime", 1889, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5744832r/f246.image.r=Ploudalm%C3%A9zeau
  17. Arthur de la Borderie, La vicomté ou principauté de Léon, "Revue de Bretagne et de Vendée", 1889, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207871k/f110.image.r=Porspoder?rk=3712464;4
  18. "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f8.image.r=Plovan
  19. Abbé François-Marie Calvez, "Coat-Méal : principauté de Léon, prieuré-cure", 1947, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k33471606/f49.image.r=Coat-Meal
  20. J.-B. Sirey, "Recueil général des lois et des arrêts : en matière civile, criminelle, commerciale et de droit public", 1875, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5546662b/f974.image.r=Ploudalm%C3%A9zeau?rk=8862704;4
  21. Journal L'Univers, n° du 30 octobre 1902, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k711249b/f4.image.r=drennec?rk=858373;2
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. Memorialgenweb.org - Coat-Méal : récapitulatif des inscrits sur les monuments aux morts
  24. http://www.croix-finistere.com/commune/coat_meal/coat_meal.html
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Site de la commune de Coat-Méal
  30. Site sur la commune de Coat-Meal

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]