Bernadette Malgorn

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Bernadette Malgorn
Illustration.
Bernadette Malgorn en 2009.
Fonctions
Conseillère municipale de Brest
En fonction depuis le
(10 ans et 26 jours)
Élection 30 mars 2014
Maire François Cuillandre
Conseillère régionale de Bretagne
Présidente du groupe UMP

(5 ans, 8 mois et 22 jours)
Élection 21 mars 2010
Président Jean-Yves Le Drian
Pierrick Massiot
Secrétaire générale du ministère de l’Intérieur

(2 ans, 6 mois et 27 jours)
Prédécesseur Daniel Canepa
Successeur Henri-Michel Comet
Préfète d'Ille-et-Vilaine, préfète de Bretagne

(4 ans et 5 jours)
Prédécesseur Claude Guéant
Successeur Jean Daubigny
Préfète de la Moselle, préfète de Lorraine

(5 ans, 9 mois et 8 jours)
Prédécesseur Roger Benmebarek
Successeur Bernard Hagelsteen
Biographie
Date de naissance (72 ans)
Lieu de naissance Nantes (Loire-Atlantique, France)
Nationalité Française
Parti politique Non encartée[1]
Diplômée de Université Rennes-I
Université Rennes-II
ENA
Profession Femme politique

Bernadette Malgorn, née le à Nantes, est une haute fonctionnaire et femme politique française.

Première femme nommée préfète de région et première femme secrétaire générale du ministère de l'Intérieur, elle est par ailleurs magistrate à la Cour des comptes de 2009 à 2019. Conseillère régionale de Bretagne de 2010 à 2015, deux fois tête de liste de la droite aux élections municipales, elle est depuis 2014 conseillère municipale de Brest et conseillère communautaire de Brest Métropole.

Biographie[modifier | modifier le code]

Formation[modifier | modifier le code]

Bernadette Malgorn est née à Nantes dans une famille originaire du Finistère.

Licenciée en sciences économiques en 1971 de l'université de Rennes I, diplômée d’une maîtrise d’histoiregéographie en 1972 de l'université de Rennes II Haute Bretagne à Rennes[2], son mémoire de fin d'étude porte sur « La Population d'Ouessant au XVIIIème siècle : étude démographique » et est dirigé par François Lebrun[3]. Bernadette Malgorn intègre ensuite l'École nationale d'administration (ENA) en 1973 (promotion « Léon Blum »)[2] et en sort diplômée en 1975.

Début de carrière[modifier | modifier le code]

Bernadette Malgorn commence la carrière préfectorale en tant que directrice de cabinet de Préfet, respectivement de Saône-et-Loire, de Val-de-Marne et de la région Bretagne.

Elle rejoint ensuite en 1980 la Cour des Comptes des Communautés Européennes qui venait d'être créée peu avant en octobre 1977 et elle y travaille en tant que chef de cabinet auprès de Pierre Lelong qui en devient président en 1981[4].

En 1982, elle est nommée au poste de secrétaire générale pour les affaires régionales de Lorraine, région faisant face à d'importantes mutations industrielles. Elle accompagne ces mutations en préparant et mettant en œuvre, avec Jacques Chérèque, le plan acier Fabius pour la Lorraine. Ce plan prévoyait la suppression de 30 000 emplois en trois ans[5]. Elle élabore également des programmes de formation et de reconversion dans la sidérurgie, les charbonnages, le textile et autres industries de main-d’œuvre, et participe à la création du Pôle Européen de Développement de Longwy, expérience pilote de coopération transfrontalière[6].

En 1986, elle est appelée auprès de Philippe Séguin, ministre des affaires sociales et de l’emploi, en qualité de directrice adjointe de cabinet. Elle prépare de nombreux projets de loi, à l'instar de celui sur la réforme de l'apprentissage ou de celui sur l’emploi des travailleurs handicapés (Loi no 87-572 du 23 juillet 1987 relative à l'apprentissage.)[7]. Elle accompagne les négociations Unédic (union nationale interprofessionnelle pour l'emploi dans l'industrie et le commerce) de 1987 et s’implique dans les États généraux de la Sécurité sociale. Elle contribue à la réforme de l'Agence nationale pour l'emploi (ANPE) et de l'Association pour la formation professionnelle des adultes (AFPA).

En 1988, elle devient sous-préfet de Dieppe, première femme sous-préfète en région Normandie[8] et en 1990 secrétaire-générale de la préfecture de la Moselle[9]. Nommée préfète en 1991, elle sert en Tarn-et-Garonne, jusqu'à ce que Philippe Séguin, élu Président de l'Assemblée nationale, l’appelle à diriger son Cabinet du Président de l'Assemblée nationale et du Congrès en 1993.

Préfète de région[modifier | modifier le code]

Première femme préfète de région et de zone de défense et de sécurité [10], et plus jeune à être nommée préfet de région[2],elle retrouve la Lorraine de 1996 à 2002 en tant que préfète de la Moselle. Elle coordonne des dossiers de premier plan tels que le TGV Est[11] et la gestion de l’eau dans le Bassin Rhin-Meuse[12]. Elle agit pour l’aménagement du territoire lorrain notamment en faveur de transports multimodaux afin de soutenir la position géographique centrale de la Lorraine en Europe. Elle promeut le projet de Pôle Métropolitain Européen du Sillon Lorrain[13].

En juillet 2002, Bernadette Malgorn revient en Bretagne en tant que préfète d'Ille-et-Vilaine. Elle élabore le projet d'action stratégique de l'État en région (PASER)[14] qui fixe les grandes priorités d’action pour la Bretagne. C’est ainsi qu’elle coordonne le projet de TGV Bretagne Atlantique et œuvre en faveur de la reconquête de la qualité de l'eau et de la mise en valeur de la mer. Elle mène également une politique de prévention des risques menaçant la région: risques naturels, maritimes, de santé publique et économiques. Elle accompagne les mutations du tissu industriel et la formation de pôles de Compétitivité[15],[16], particulièrement dans le domaine des télécommunications, de l'agroalimentaire et des industries de défense. Elle prend l’initiative d’un observatoire régional de la parité[17].

Elle fait l'objet de critiques sur sa gestion du maintien de l'ordre du centre-ville rennais : elle est accusée par le maire de Rennes de l'époque, Edmond Hervé, d'avoir une politique « très sécuritaire, voire provocatrice[18] » et d'être la cause d'affrontements à la suite de sa décision d'interdire la rave party en marge du festival des transmusicales en 2005[19]. A la suite du refus du maire de Rennes d'organiser sur sa commune le Off des transmusicales, la préfète avait en 2002 réquisitionné, pour des questions d'ordre public, des terres agricoles dans une commune située à Marcillé-Raoul, près de Rennes, terrain peu adapté en hiver pour ce genre de manifestation. A la suite de la tenue de cette rave party, l'article L2215-1 du code général des collectivités territoriales est venu préciser un cadre réglementaire pour ces manifestations festives[20].

Secrétaire générale du ministère de l'Intérieur[modifier | modifier le code]

À partir de 2006, succédant à Daniel Canepa, Bernadette Malgorn est la première femme secrétaire générale du ministère de l’Intérieur et de l’aménagement du territoire[21] auprès de successivement Nicolas Sarkozy, François Baroin et Michèle Alliot-Marie. Elle occupe ce poste pendant trois ans au cours desquels elle est rapporteur de la Révision générale des politiques publiques (RGPP)[22] pour l'administration territoriale de l'État et participe à la commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale[23].

Comme elle l'a fait en Bretagne, elle installe en mars 2007 un observatoire de la diversité et de la parité au ministère de l'Intérieur[24]. Dans ses différentes fonctions, elle s’est engagée activement pour l’égalité femmes-hommes et pour la mise en œuvre effective de la parité. Elle est nommée, en outre, en 2008 haut fonctionnaire de défense de ce même ministère, renommé entre-temps ministère de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales[25].

Elle a également participé à la mise en place du Pôle emploi en 2008.

Magistrate à la Cour des comptes[modifier | modifier le code]

De 2009 à mars 2019, elle est magistrate à la Cour des comptes[26], où elle se retrouve avec Philippe Séguin, premier président de la Cour des Comptes. Depuis 20 mai 2009 elle est membre titulaire du Conseil supérieur de la fonction publique de l'État, pour la Cour des Comptes[27].

Bernadette Malgorn a pris le temps, simultanément à l’exercice de ses fonctions, d’accomplir d’autres missions à titre bénévole : Elle préside de 2004 à 2014 l’Observatoire national des zones urbaines sensibles (ONZUS) chargé d’évaluer l’évolution des quartiers de la politique de la ville[28], elle siège au Conseil d'orientation pour l'emploi (COE) comme personnalité qualifiée et siège également entre 2012 et 2015 au Conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS) comme personnalité qualifiée[29].

Essais en politique tardifs à partir de 2010[modifier | modifier le code]

Élue régionale et locale[modifier | modifier le code]

Élue régionale et locale depuis 2010, Bernadette Malgorn s’engage sur les grands dossiers d’aménagement du territoire et notamment le désenclavement de la pointe bretonne. Elle milite pour la lutte contre l’étalement urbain et la revitalisation des centres villes et centres bourgs, comme vice-présidente de l’Établissement public foncier de Bretagne, de 2010 à 2015, et au niveau local. Elle prône la maîtrise de la dépense publique y compris au niveau local.

Conseillère municipale et conseillère métropolitaine de Brest métropole, Bernadette Malgorn préside le principal groupe d'opposition à la mairie de Brest : le Rassemblement pour Brest. Son groupe subit deux départs de membres pour le parti d'opposition "Brest Nouvelle Alternative" : le premier en octobre 2014 et le second en septembre 2017. Les raisons invoquées étant le manque de pluralité des expressions[30] et « le manque de concertation au sein d'un groupe caporalisé[31] ». Néanmoins le groupe Brest Nouvelle Alternative a lui-même connu deux départs dont celui de Michel Callonec qui, après avoir quitté le groupe Rassemblement pour Brest, a fait son retour[32],[33]

Bernadette Malgorn est candidate aux élections municipales de 2020 à Brest[34].

Résultats aux diverses élections

Bernadette Malgorn prend la place de Jacques Le Guen comme tête de liste à la demande Nicolas Sarkozy.

Le député Jacques Le Guen avait début 2009 en seul candidat gagné les « primaires » organisées par l'UMP en vue des élections régionales de mars 2010 en Bretagne. C'est alors que sur la demande expresse de Nicolas Sarkozy[35], Bernadette Malgorn se porte après-coup candidate à la candidature de l'UMP[36]. Elle accède à cette place fin novembre 2009 et est par ailleurs tête de liste pour le Finistère[37]. La constitution de la liste provoque des tensions, notamment dans le Finistère, où le député Jacques Le Guen, présent en deuxième position (donc éligible), conteste plusieurs choix de Bernadette Malgorn qu'il accuse de réserver trop de places à ses proches[38],[39]. Les personnes en question n’étant pas des membres de l'entourage personnel de la candidate mais des soutiens de la première heure.

Le 21 mars 2010, la liste qu’elle menait est largement distancée par celle menée par Jean-Yves Le Drian : elle obtient 32,36 % des suffrages contre 50,27 % à la liste PS et 17,37 % pour la liste Europe Écologie menée par Guy Hascoët[40]. Tête de liste dans le Finistère, Bernadette Malgorn est élue conseillère régionale de Bretagne[41].

Élections municipales de Brest de 2014[modifier | modifier le code]

Le 21 juin 2013, elle déclare être candidate aux élections municipales de 2014 à Brest[42]. Lors du second tour des élections municipales du 30 mars 2014, la liste de Bernadette Malgorn obtient 47,28 % des suffrages face à la liste de François Cuillandre qui obtient 52,71 %.

Candidatures aux élections régionales et départementales[modifier | modifier le code]

Candidate au conseil départemental du Finistère en 2015, sur le Canton de Brest-2, elle est battue de peu au deuxième tour obtenant 48,25 % des voix[43].

Pour les élections régionales de 2015, Bernadette Malgorn ne se représente pas. Le député Marc Le Fur prend la tête de liste régionale UMP[44].

Élections municipales de Brest de 2020[modifier | modifier le code]

Elle conduit la liste de la droite aux élections municipales de 2020 à Brest[45], terminant en deuxième position après celle de la municipalité sortante.

Décorations[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

  • «1973 : La population d'Ouessant au XVIIIe siècle : étude démographique[47]. »
  • « Ordre public et pouvoirs territoriaux », in Association française de philosophie du droit, 2015.
  • « Philippe Séguin : sous l’homme politique, le magistrat financier » in Philippe Séguin à la Cour de comptes, Comité d’histoire de la Cour des comptes, 2012[48].
  • « Dix ans de programme de rénovation urbaine : Bilan et perspectives »ONZUS, le 4 Mars 2013[49].
  • « Quelle Bretagne dans un monde ouvert ? » in Association bretonne, 2015[50].
  • « L’action publique dans la ruralité », in Les cahiers de la fonction publique, 2014
  • « Des circonstances de 2010 aux nécessités d’un monde numérique » et « Pour une régulation nationale globale et indépendante » in Régulation et jeux d’argent et de hasard, Actes du colloque des 17 et 18 octobre 2016.
  • « Le préfet de région » in Dictionnaire encyclopédique de la décentralisation, Berger-Levrault, 2017[51].
  • « Territoire et territoires : vue de l’intérieur et d’ailleurs » in Administration, 2018[52].
  • « Le régalien et la mer » in Politiques et management public 36/4, Décembre 2019.
  • « Philippe Séguin, un intellectuel en politique », colloque Faculté de droit de Rennes, mars 2019. (à paraître)
  • « La loi organique relative aux lois de finances (LOLF) et la déconcentration ». Revue française d'administration publique, no117(1), 113-115. doi:10.3917/rfap.117.0113[53].
  • « Le budget 2006 en régime LOLF », Revue Française de Finances Publiques, septembre 2005 No 91[54]
  • « Euro: Séguin avait tout dit », Causeur.fr, 7 janvier 2005[55].
  • « Toutes les banlieues sensibles ne sont pas des ghettos » Causeur.fr, 3 février 2015[56].
  • "Pandémie & Démocratie : Que demande le peuple ?" Novembre 2020[57]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Lors d'un débat organisé sur France 3 Bretagne pour les élections régionales de 2010, Bernadette Malgorn s'est réclamée de l'aile centriste de la majorité présidentielle.
  2. a b et c Michel Foucault, op.cit.
  3. Bernadette Malgorn, La Population d'Ouessant au 18e siècle : étude démographique, Maîtrise, Histoire, Rennes 2, 1972, 76 p., Dirigé par : LEBRUN, François, Bibliothèque F.-Lebrun (Rennes), cote MH 0195
  4. Pierre Lelong, Souvenirs d’un ancien Président, in: Cour des comptes européenne 35e anniversaire, Reflexions, European Court of Auditors, 2012
  5. 1984 - Laurent Fabius abandonne l'industrie sidérurgique, in: La Marmite du XXe siècle.
  6. Isabelle Mandraud, Trois entreprises annoncent leur fermeture. Longwy renoue avec les licenciements. Les sociétés qui débauchent aujourd'hui faisaient partie du plan de reconversion mis en place en 1985 pour limiter l'hémorragie dans l'ancienne capitale de la sidérurgie, in: Libération, 25 juillet 1997
  7. Résumé de la loi handicap 1987 sur handiplace.org
  8. Vidéo : JT Haute Normandie 22 décembre 1988
  9. Sa fiche sur Archives Livre blanc défense et securité, gouv.fr/2008
  10. Pour la première fois, une femme, Bernadette Malgorn est nommée préfet de région, La Croix, 27 septembre 1996
  11. Claire Lesegretain, op.cit.
  12. Comité de Bassin Rhin-Meuse, Communiqué de presse de juillet 2000
  13. Malick Dia, Le regard de Bernadette Malgorn sur la Lorraine, in: Le Républicain Lorrain, 27-11-2011
  14. Lien PASER Bretagne 2004-2006
  15. Un pôle de compétitivité en agro-alimentaire en Bretagne, La Gazette.fr, 21 février 2005
  16. Les quatre pôles de compétitivité bretons liés aux spécialisations industrielles de la région, INSEE, 2008
  17. Stasnislas du Guerny, La Bretagne veut doper la parité dans les sociétés, in les echos.fr, 10 février 2006
  18. « Régionales. Edmond Hervé allume Bernadette Malgorn », Le Télégramme, 28 octobre 2009.
  19. [1]
  20. Code général des collectivités territoriales : Article L2215-1 (lire en ligne)
  21. Légifrance Décret du 20 juillet 2006 portant nomination de la secrétaire générale du ministère de l’intérieur et de l’aménagement du territoire - Mme Malgorn (Bernadette).
  22. Site de la Révision Générale des Politiques Publiques
  23. Le livre blanc sur la défense et la sécurité nationale
  24. L'Observatoire de la diversité et de la parité sur le site du ministère.
  25. Légifrance, Décret du 11 juillet 2008 portant nomination du haut fonctionnaire de défense du ministère de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales - Mme Malgorn (Bernadette)
  26. Décret du 16 février 2009 publié au JORF du 17 février 2009.
  27. Légifrance Décret du 20 mai 2009 portant nomination au Conseil supérieur de la fonction publique de l'État
  28. Liste des rapports de l'ONZUS 2004-2013
  29. Maison de l'Europe de Brest, Présentation des intervenants.
  30. « Opposition. Trois élus centristes quittent le groupe Malgorn », sur Le Telegramme, (consulté le )
  31. « Brest - Brest. Quatre élus quittent Malgorn pour Brest Alternative ! », sur Le Telegramme, (consulté le )
  32. Olivier Pauly, « Kerbérénès quitte Brest nouvelle alternative », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  33. Olivier PAULY, « ANALYSE. Brest nouvelle alternative, la centrifugeuse à candidats pour la municipale », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  34. « Bernadette Malgorn reste candidate aux municipales », sur Ouest-France, (consulté le )
  35. Soazig Quéméner, Le malaise des troupes UMP, in: Le Journal du Dimanche, dimanche 07 février 2010
  36. « Bernadette Malgorn. Candidate pour rassembler les Bretons », Le Télégramme, mardi 6 octobre 2009
  37. « Bretagne. Bernadette Malgorn tête de liste de la droite aux régionales », Ouest-France, consulté le 26 novembre 2009
  38. « UMP. Un ultimatum fixé à Bernadette Malgorn », Le Télégramme, édition Bretagne, 31 janvier 2010.
  39. « Régionales/Bretagne: Le Guen proteste », Le Figaro, 30/01/2010
  40. « Bretagne. Jean-Yves Le Drian réélu avec 50,27 % des voix », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  41. « Bretagne. Zoom sur le nouveau conseil régional », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  42. [2]
  43. « Départementales : les résultats des cantons brestois », sur Côté Brest (consulté le )
  44. « Régionales 2015 en Bretagne : Marc Le Fur, l'erreur de casting? », France Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. Olivier PAULY, « Brest. Bernadette Malgorn candidate « sans surprise excessive » aux municipales de 2020 », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  46. Décret du 27 décembre 2005
  47. Bernadette Malgorn, La population d'Ouessant au XVIIIe siècle : étude démographique, Annales de bretagne, 1973, volume 80, pages 289-315, consultable http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/abpo_0003-391x_1973_num_80_2_2688
  48. Comité d'histoire de la Cour des Comptes, Philippe Séguin à la Cour des comptes, Paris, La Documentation française, , 328 page(s) (ISBN 978-2-11-008954-0 et 2-11-008954-7)
  49. http://www.ville.gouv.fr/IMG/pdf/pnru1.pdf
  50. MALGORN Bernadette, “Quelle Bretagne dans un monde ouvert ?”, in Association Bretonne 2014, Nantes 141e Congrès, Tome CXXIII, pp 217-232, Atelier Liv’Edition, 2014
  51. Nicolas Kada, Romain Pasquier, Claire Courtecuisse et Vincent Aubelle, Dictionnaire encyclopédique de la décentralisation, Paris, Berger-Levrault, , 1096 pages (ISBN 978-2-7013-1921-6)
  52. Bernadette Malgorn, « Territoire et territoires : vue de l’intérieur et d’ailleurs”. », Revue de l'administration territoriale de l'état,‎ , p. 21-23 (lire en ligne)
  53. Bernadette Malgorn, « La loi organique relative aux lois de finances (LOLF) et la déconcentration », Revue française d'administration publique, vol. 117, no 1,‎ , p. 113 (ISSN 0152-7401 et 1965-0620, DOI 10.3917/rfap.117.0113, lire en ligne, consulté le )
  54. Collectif, Le budget 2006 en régime LOLF, Paris, L.G.D.J, (ISBN 978-2-275-02597-1), p. 232 pages
  55. Bernadette Malgorn, « "Euro : Séguin avait tout dit" », sur Causeur.fr, Causeur,
  56. « "Toutes les banlieues sensibles ne sont pas des ghettos" », Causeur,‎
  57. « Pandemie Et Democratie Bernadette Malgorn », sur calameo.com (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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