Alexandra Roubé-Jansky

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Alexandra Roubé-Jansky
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Alexandra[1] Roubé-Jansky est une romancière et journaliste française née le à Varsovie et morte à Paris 16e le [2]. Elle fut directrice du théâtre des Arts de 1951[3] à 1969.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et famille[modifier | modifier le code]

Fille de Nasmi Bey (1875-1940), capitaine de la marine turque[4], et de Marie Dombrovska, elle passe son enfance en Russie. Elle fréquente le lycée de Rostov-sur-le-Don puis apprend le piano au Conservatoire de Moscou. À la Révolution de 1917, elle fuit à Constantinople.

Le , elle épouse Emmanuel Boyarinoff[5].

Le 4e de couverture de l'édition J'ai lu de son roman Rose noire (1981) indique qu'elle est née en Russie et qu'elle fut veuve à 17 ans. Elle confirme en effet en 1937 avoir été mariée deux fois[6].

Le couple eut un fils, Nicolas Boyarinoff. En 1924, il fréquente le lycée Hoche à Paris[7] et est admis à l'école des Hautes études de Commerce en [8]. En , sa maîtrise de l'anglais est certifiée[9]. Militaire de réserve, il est promu sous-lieutenant par décret du [10]. Il trouve la mort au combat en , en défendant le fort du Chanot à Toul ; son décès n'est signalé dans la presse qu'en , mais, dès , sa mère tente déjà d'obtenir de ses nouvelles par le biais des petites annonces[11].

L'origine du nom "Roubé-Jansky" reste mystérieux. On peut, à titre d'hypothèse, signaler l'existence d'un philologue turc du nom d'Herbert Jansky.

Paris[modifier | modifier le code]

Elle s'installa en France à la fin des années 1920, acquit rapidement la notoriété et s'installe dans la vie mondaine et culturelle.

Le , elle fit publier une nouvelle, Mon suicide[12] qui marque le début de sa carrière littéraire.

Son nom réapparut dans la presse le [13], alors qu'elle est employée comme vendeuse au théâtre de l'Athénée. Le , sa photo en pleine page fait la une du magazine féminin Eve.

Durant les années 1930, elle publie plusieurs romans axés sinon sur sa vie personnelle, en tous cas sur des circonstances et des cadres qui furent les siens, comme la vie en Russie après la Révolution de 1917 (Le Mariage d'Hamletow) ou la vie à Constantinople (Rose noire). En même temps journaliste et globe-trotter, elle anime aussi la vie mondaine à Paris. Elle est membre du Club des Belles Perdrix en 1932.

En 1933, elle est signalée comme collaboratrice de Paris-Magazine - avec Marcel Aymé, Maurice Dekobra, etc. - et de la revue Scandale[14]. Cette même année, elle visite Shanghaï[15].

En 1936 et 1937, elle est correspondante pour le journal Paris-Soir. Elle est entre autres envoyée en Russie au printemps 1936[16].

Le , elle embarque à bord du Massilia[17] en tant que journaliste, pour un reportage à faire à Casablanca pour Paris-Soir. Raillée par les autres passagers, elle quittera le navire et fera le trajet par la route[18].

Elle habita entre autres à Paris, rue des Belles-Feuilles en 1932-1933 [19] et à Garches dès 1935[20].

Le groupe Diderot[modifier | modifier le code]

Alexandra Roubé-Jansky affiche un intérêt pour Denis Diderot en achetant, entre 1933 et 1939, une vingtaine d’autographes ou de documents le concernant au libraire parisien Georges Blaizot. Au début de la guerre, elle confia ces archives à un ami taiwanais, mais ne parvint jamais à les retrouver, en dépit des recherches menées dans les années 1970, avec le soutien des autorités françaises[21].

Après des séjours en Chine[22] et au Japon[23], elle fonde en 1936 un groupe Diderot[24] pour la compréhension mutuelle des peuples[25] puis pour la propagande française en Extrême Orient. Son siège est établi à Paris, rue des Eaux, 8.

Dans ce cadre, le groupe Diderot établit des bibliothèques destinés à favoriser les échanges littéraires entre les nations : l'une à Genève (château de Montalègre), compte 150 000 volumes en langue chinoise, l'autre à Shanghaï rassemble 50 000 livres, essentiellement étrangers. Grâce à ses contacts, Alexandra Roubé-Jansky envisage aussi l'ouverture d'une bibliothèque à New York. Dans l'esprit de sa fondation, elle encourage aussi les éditeurs français à faire don de volumes[26].

Le [27], Alexandra Roubé-Jansky annonce la mise à disposition de fonds permettant au Groupe de décerner annuellement pendant 10 ans un « prix Diderot » ; concrètement, un jury récompense un journaliste au moyen d'une bourse destinée à financer un séjour de deux mois en Chine, à Shanghaï, à charge, pour le lauréat, de rendre un article sur ses impressions de voyage[28].

1936

Il est décerné pour la première fois, le , à Jacques Vidal-Lablache[29], par le jury composé d'Abel Bonnard, Roland Dorgelès, Marius Moutet (ministre des Colonies et fondateur de la Société d'éducation franco-chinoise), Henri Bonnet, Georges Bourdon, Paul Boyer (directeur de l'École des études orientales), Étienne Dennery, Scie-Ton-Fa (premier secrétaire de l'ambassade chinoise), Andrée Viollis, Louis Roubaud, Georges Charensol et Pierre Descaves (journalistes)[30].

1937

En , quand la guerre sino-japonaise éclate, le jury se réunit pour envisager les modalités du prix au regard des événements. La remise du prix est avancée, mais maintenue, à titre de signal universaliste et pacifiste[31]. Le prix est donc bien remis à Henri Rohrer, journaliste à Cassis, le [32]. L'événement fit l'objet d'un « radioreportage » d'Alex Virot diffusé sur Radio 37 depuis le domicile d'Alexandra Roubé-Jansky, à Garches[33].

Lors de cette soirée, Alexandra Roubé-Jansky fait part de son intention de créer des prix similaires dans différents pays ; elle a déjà concrètement eu l'occasion d'envisager la fondation d'un groupe et d'un prix « Franklin », lors de sa rencontre avec Eleanor Roosevelt, à la Maison-Blanche, en [34].

1938

« Dans les circonstances actuelles, cette aubaine n'est peut-être pas un chance », écrivait alors Le Petit Journal[35]. Et en effet, quand Rohrer revient de Chine, en , le jury suspend la remise jusqu'à ce que la paix soit rétablie en Extrême-Orient ; aucun lauréat n'est désigné en 1938.

1939

Alexandra Roubé-Jansky, pour prolonger son engagement, remplace la bourse de voyage par un prix annuel de 3 000 francs que le jury est chargé de remettre à l'auteur d'un article ou d'une étude sur la Chine publié au cours de l'année écoulée[36].

Aucun lauréat n'est désigné en 1939, mais un appel à candidature est ouvert pour l'année 1939. Les candidats sont invités à adresser leurs articles sur la Chine publiés en 1939, au Groupe Diderot à Garches, entre le et le [37]. L'approche de la guerre et l'invasion de la France le 20 mai 1940 a sans doute contrarié la remise du prix.

1948

Roubé-Jansky profite d'un nouveau voyage de plusieurs mois, à Shanghaï, Nankinget Peiping, pour relancer le prix Diderot en 1948. Le prix est désormais double, puisqu'il doit permettre un échange de quatre mois entre un journaliste français envoyé en Chine et un journaliste chinois accueilli en France. Le jury, placé sous la double présidence de l'ambassadeur de Chine en France, Tsien Taï, et de Paul Boncour, se compose d'Andrée Viollis, Francis Carco, Jean Paschoud, Pierre Mac Orlan, Pierre Descaves et Georges Charensol. L'intention se dégage alors d'envoyer « une » journaliste française[38].

Directrice du théâtre des Arts[modifier | modifier le code]

Alexandra Roubé-Jansky liquide une partie de son patrimoine pour racheter le Théâtre Verlaine (l'entreprise, mais apparemment pas le bâtiment) en 1954 ; elle en devient directrice et le renomme en Théâtre des arts en 1954[39] et s'y établit.

Le premier spectacle créé est Gigi de Colette, pour la première fois créé en français, mis en scène par Jean Meyer, avec Evelyne Ker et Alice Cocéa. Le soir de la première, le , le théâtre organise un prestigieux gala, en l'absence de Colette, mais en présence de la femme du président René Coty et de nombreuses personnalités de l'Académie française (François Mauriac, Fernand Gregh et Maurice Garçon), de l'Académie Goncourt (Roland Dorgeles, Gérard Bauer, Armand Salacrou, Philippe Hériat, Alexandre Arnoux et Francis Carco), de la politique (Edgar Faure et des Arts et des Lettres (Marguerite Pierry, ...)[40].

Les années 1957 et 1958 sont marquées par la polémique politique et judiciaire autour des représentations de Bérénice de Robert Brasillach en 1957 et 1958. Elle marque par ailleurs la fin de la collaboration entre Roubé-Jansky et Alice Cocéa.

Début , Alexandra Roubé-Jansky rencontre Georges Simenon pour obtenir les droits d'adaptation de Maigret se trompe ; elle obtient les droits, Michel Simon est pressenti pour le rôle titre, mais le projet ne verra manifestement pas le jour[41].

En 1958, le théâtre programme une adaptation du roman de sa directrice J'ai quatorze ans ; le spectacle est retransmis à la radio[42].

Dès le début des années 1960, le théâtre est en butte à des difficultés financières et toute l'ingéniosité de la directrice ne suffit pas pour maintenir la trésorerie à flot.

Le , un incendie cause d'importants dégâts au théâtre[43].

Le théâtre peut rouvrir en et programme Le Pain des Jules, nouvelle adaptation du roman noir de Ange Bastiani. La salle est désormais transformée en restaurant-théâtre : chaque fauteuil est équipé d'un plateau amovible et une imposante cuisine, confiée à Louis Garault, permet de sustenter les spectateurs. Ces installations, alors nouvelles à Paris, sont inaugurées avec faste , en présence de Fernandel, Tino Rossi, Raymond Queneau, Mireille Darc, Rita Renoir, César, Henri Tisot, Jacques Gambier de la Forterie, la princesse Anne de Bavière et la comtesse Isabelle de la Rochefoucauld...

Durant l'été 1968, elle s'associe avec Gérard Descotils, ancien analyste financier new-yorkais, pour établir un ultime plan de sauvetage du théâtre. Le théâtre est rénové et de nouveaux fonds sont apportés pour prévoir deux nouvelles pièces. Ce plan est présenté à la presse début , lors de la répétition générale de la pièce The Connexion ; la préparation du spectacle suivant semble en bonne voie : La Chatte sur les rails de Joseph Topol[44] devrait être interprétée par Jean-Claude Drouot et Emmanuelle Riva[45].

Elle reste directrice du théâtre et disperse son patrimoine pour payer le loyer, jusqu'à la fermeture du théâtre et la démolition du bâtiment en [46].

Articles, reportages, conférences[modifier | modifier le code]

  • Contes d'action : un drame de la faim, Dimanche illustré, , n° 471.
  • Toute la terre : l'âme orientale à travers la chanson, conférence. In : Conferencia (Paris), .
  • Les conseils de bonheur du Bouddah, La Vie parisienne, , p. 1357-1360.
  • Visite à Mme Franklin D. Roosevelt, Le Journal, , p. 5.
  • Josette Ollivier, P. C. C.[Quoi ?] Alexandra Roubé-Jansky, Impressions d'Istamboul, Air-France revue, , n° 9, p. 100.

Œuvres littéraires[modifier | modifier le code]

  • Mon suicide, nouvelle, 1928
  • J'ai quatorze ans, roman, Paris, A. Fayard, 1931[47].
  • La fin, nouvelle, Candide, , p. 9. Constituera un chapitre du Mariage d'Hamletow (1934).
  • Le comte Léon Tolstoï, Dimanche-Illustré[48], , n° 429.
  • Rose noire, roman, Paris, A. Fayard, 1932[49].
  • Le Mariage d'Hamletow, roman, Paris, A. Fayard, 1934[50].
  • L'amour par correspondance, Paris magazine, , n° 32.
  • Les amants de glace, Paris magazine, , nouvelle érotique[51].
  • A night of love, Paris magazine, début , nouvelle érotique[52].
  • Écume, roman, Paris, A. Michel, 1935[53]. « un livre très mâle et très bien », selon Roland Dorgeles[54].
  • L'Homme qui a vu l'enfer, d'après Dostoïewsky, pièce de théâtre, créée à Paris, au théâtre Hébertot - alors appelé théâtre des Arts, début 1938[55].
  • Le grand amour de Dostoïevsky, pièce de théâtre, écrite en 1946, présentée au théâtre des Célestins à Lyon en [56].
  • La Nuit orientale, spectacle-bal, grande salle de l'hôtel des Bergues (Genève ?), 1947. Affiche du spectacle, dessinée par Paul Colin, imprimée sur les presses de l'imprimerie Bedos & Cie à Paris[57]. Avec Ter Abramoff, Leila Bederkhan, H. T. Cheng, Roberte Jan, Paul Lorenz, Lee Hsien Ming, etc.
  • Princesse parfumée, pièce de théâtre, création en préparation au théâtre des Arts à partir d' ; avec Silvia Monfort et Juliette Gréco ; costumes de Balmain ; décors de Louis Touchagues[58].

Conférences et interventions diverses[modifier | modifier le code]

Interprétation[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Choura pour ses amis ou parfois dans la presse, par exemple dans Candide, 30 mars 1933, p. 3.
  2. Relevé des fichiers de l'Insee
  3. 14 femmes dirigent quatorze théâtres parisiens, L'Officiel de la mode, décembre 1951, nos 357-358
  4. Sa biographie ; son journal.
  5. Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Who's who in France, J. Lafitte, 1969, p. 1278.
  6. Hunt for couple ideally married, The Bismarck tribune, 17 March 1937, p. 3 - avec photo.
  7. Le Temps, 29 juillet 1924, p. 4
  8. « L'Ouest-Éclair : journal quotidien d'informations, politique, littéraire, commercial » Accès libre, sur Gallica, (consulté le ).
  9. Bulletin de la Société pour la propagation des langues étrangères en France (Paris), juillet 1938, p. 20.
  10. Journal officiel de la République française, 10 octobre 1939, p. 12220.
  11. Candide, 12 février 1941, p. 3 ; Le Matin, 26 octobre 1940, p. 4 ; Paris-Soir, 20 octobre 1940, p. 4.
  12. Candide, 24 mai 1928, p. 7.
  13. Comoedia, p. 3.
  14. Annuaire général des lettres, Paris, 1933, p. 350 et 361.
  15. Jens Damm, Mechthild Leutner, China in a Global Context, LIT Verlag Münster, 2019, p. 26.
  16. Myriam Boucharenc, L' écrivain-reporter au cœur des années trente, Presses Univ. Septentrion, 2004, p. 59.
  17. Christiane Rimbaud, L'Affaire du Massilia : été 1940, Seuil, 1984 (voir dans Gallica.
  18. [1].
  19. Annuaire général des lettres, 1932, p. 944 ; id., 1933, 1121.
  20. Interview d'Alexandra Roubé-Jansky, Les Dimanches de la femme : supplément de la "Mode du jour", 29 septembre 1935, p. 4] ; en particulier rue Henri-Fontaine, villa Loubouchka, voir Le Journal, 24 novembre 1938, p. 8.
  21. Annie Angremy, Quatre lettres inédites de Diderot, Recherches sur Diderot et sur l'Encyclopédie, 2013, n° 48, p. 9.
  22. L'Intransigeant, 3 janvier 1936, p. 4 ; Gaston Derys, La Chinoise moderne, La Femme de France, 10 mai 1936, p. 14 ; La Chine dormait depuis mille ans... Mme Roubé-Jansky conte son réveil, Le Petit journal, 3 septembre 1937, p. 6.
  23. A. Joubé-Jansky, Impression du Japon, France-Japon (Paris), janvier 1936, p. 81-82.
  24. Elle explique son choix de Denis Diderot dans une interview donnée en 1936 : Comoedia, 29 février 1936, p. 3.
  25. L'Intransigeant, 17 février 1936, p. 4.
  26. Jean Emile-Bayard, Mme Roubé-Jansky demande des œuvres d'auteurs français pour le groupe Diderot de Shanghaï, Comoedia, 14 avril 1936, p. 3.
  27. L'Intransigeant, p. 4.
  28. Paris-Soir, 26 février 1936, p. 10 ; Madame Roubé-Janky fonde le prix Diderot, Le Petit Journal, 1er juillet 1936, p. 8 ; Voici le prix Diderot (avec composition du jury), Comoedia, 1er juillet 1936, p. 3
  29. J. Vidal-Lablache reçoit le prix Diderot, L'Intransigeant (Paris), 20 décembre 1936, p. 2 et 4 (avec photo du lauréat, d'Alexandra Roubé-Jansky et d'un buste de Diderot) ; Demain, attribution du prix Diderot, Le Petit Parisien, 17 décembre 1936, p. 7 - il s'agit d'un journal du soir, supposé lu le matin suivant la publication.
  30. Comoedia, 1er juillet 1936, p. 3
  31. L'Intransigeant, 9 octobre 1937, p. 2.
  32. Paris-Midi, 17 novembre 1937, p. 2 ; Ce Soir, 17 novembre 1937, p. 2 ; photo d'Henri Rohrer dans Le Grand écho du Nord de la France, 18 novembre 1937, p. 1.
  33. Paris-Soir, 17 novembre 1937, p. 6 ; Excelsior, 16 novembre 1937, p. 6.
  34. Le Journal, 17 novembre 1937, p. 2 ; Le Journal, 18 août 1937, p. 5 ; Le Temps, 16 juin 1937, p. 2.
  35. 18 novembre 1937, p. 10
  36. L'Œuvre, 27 novembre 1938, p. 7.
  37. Action française, 3 janvier 1939, p. 6 ; Le Journal, 24 novembre 1938, p. 8.
  38. Le prix Diderot et le théâtre en Chine, Les Lettres françaises, 1er janvier 1948, p. 6.
  39. Ce nom avait été abandonné par le théâtre Hébertot en 1940.
  40. Paris-presse / L'Intransigeant, 24 février 1954, p. 1 et 7.
  41. Paris-presse / L'Intransigeant, 5 juin 1955, p. 9 (avec photos).
  42. Le 8 juin 1958, à 21h20 ; voir Paris-presse, L'Intransigeant, 8 juin 1958, p. 13.
  43. Prince Yaloul [le chat de la directrice] sauve le théâtre des arts, Paris-presse / L'Intransigeant / France-Soir, 15 juin 1966, p. 18.
  44. [2].
  45. Paris-presse, L'Intransigeant, 8 septembre 1968, p. 5.
  46. Paris-presse, L’Intransigeant 26 septembre 1969, p. 19 ; Philippe Chauveau, Les théâtres parisiens disparus: 1402-1986, Éd. de l'Amandier/Théâtre, 1999, p. 299 ; Du tremplin à la... scène. In : Trudaine-Rochechouart dans tous ses états, Paris, 2006, p. 48-50, en particulier p. 49 et sq.
  47. Classé parmi « les romans mauvais, dangereux ou inutiles pour la généralité des lecteurs » par la Revue des lectures, 15 janvier 1931, p. 669 ; signalement dans Le Matin, 22 mai 1931, p. 2
  48. Disponibilité.
  49. Compte rendu positif dans L'Intransigeant, 3 avril 1932, p. 2.
  50. Le Temps, 17 octobre 1934, p. 5.
  51. Signalé [3].
  52. Signalé ici.
  53. L'Écho d'Oran, 17 mars 1935, p. 5 ; compte rendu, très négatif, dans L'Echo d'Alger, 27 septembre 1935, p. 4.
  54. L'Echo d'Oran, 17 mars 1935, p. 5.
  55. Paris Soir, 27 juillet 1937, p. 9 ; Le Figaro, 26 décembre 1937, p. 4 ; Le Petit journal, 23 août 1939.
  56. Les Lettres françaises, 19 avril 1946, p. 7 ; l'article annonce aussi des représentations au théâtre des Carrefours à Paris. Voir aussi ce feuilleton homonyme d'A. Roubé-Jansky et L. Rouyer, diffusé sur France Culture autour du 9 octobre 1984 : L'Impartia, 9 octobre 1984, p. 24.
  57. Voir vente Paris Drouot, Yann Le Mouel, Affiches online, 15, lundi 13 Novembre 2017, 14:00, lot n° 324.
  58. Paris-Presse / L'Intransigeant, 18 octobre 1952, p. 6.
  59. Auteur de Tu m'appartiens (Flammarion), Pouf-Pouf au pays des surprises, La vraie vie est absente.
  60. Paris-midi, 3 décembre 1937, p. 7.
  61. L'Œuvre, 23 février 1938, p. 6.
  62. Excelsior, 16 mars 1940, p. 1.
  63. L'Intransigeant, 20 avril 1929, p. 7.
  64. L'Intransigeant, 28 avril 1929, p. 7.

Autres références[modifier | modifier le code]

  • Woman writer plans society to aid China ; Mrs. Alexandra Roube-Jansky, French Journalist, Says Group Will Send Literature There, The New York Times, (accès en ligne).
  • Oakland Tribune from Oakland (California), , p. 17.
  • Alexandra Roubé-Jansky. In : Éric Dussert, Cachées par la forêt : 138 femmes de lettres oubliées, Paris, La Table Ronde, 2018 (ISBN 9782710377146).
  • Comment elles mangent : A. Roubé-Jansky, La Vie parisienne, , p. 1219 (avec une photo et un échantillon d'écriture).
  • Michel Georges-Michel, Choura la turque, Le cri de Paris, , n° 2243.
  • Ch. H. thuât, Bà Roubé Jansky nói về... Nhu'ng cái bí-mật của nước Nhự't : Chuyện một nhà ngoại giao Nhựt có vợ Nga (Tiếp theo), Saigon (journal), , p. 6.

Liens externes[modifier | modifier le code]