Aires protégées en Belgique

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Les aires protégées en Belgique répondent à plusieurs législations différentes. Depuis 1980, la conservation de la nature est une matière dévolue aux régions. Chacun élabore ses plans d'actions et définissent les réglementations relatives aux espaces naturels protégées en fonction de leurs plans d'aménagement du territoire[1].

Principes généraux[modifier | modifier le code]

Les aires protégées communes aux trois régions sont définies par la loi de conservation de la nature du 12 juillet 1973[2] modifiée par le décret du 6 décembre 2001 pour inclure la gestion des sites Natura 2000[3].

Natura 2000[modifier | modifier le code]

En vertu du décret de 2001, les trois régions appliquent les directives Oiseaux et Habitats en désignant des sites inscrits au réseau Natura 2000[4].

Bruxelles-Capitale[modifier | modifier le code]

La Directive Habitat a été initialement transposée en droit bruxellois par l'arrêté du relatif à la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages et modifié à deux reprises par la suite (arrêtés de modification du et du )[5]. Trois sites ont été créés à la suite de cet arrêté[6] :

  • la forêt de Soignes avec ses lisières, les domaines boisés avoisinants et la vallée de la Woluwe (2071 ha) ;
  • les zones boisées et ouvertes au sud de la Région bruxelloise (134 ha) ;
  • les zones boisées et les zones humides de la vallée du Molenbeek dans le nord-ouest de la Région bruxelloise (116 ha).

Aucun site correspondant à la Directive Oiseaux n'ont été créés[7].

Flandre[modifier | modifier le code]

Les directives Habitat et Oiseaux ont été transposées en droit flamand en désignant des zones de protection spéciale pour les oiseaux et des zones de protection spéciale pour les habitats qui font partie du réseau Natura 2000.

La région compte 38 Zones de protection spéciale Habitats (ou speciale beschermingszone (SBZ) habitats):

  • Zones de dunes incluant l'embouchure de l'Yser et le Parc naturel du Zwin
  • Polders
  • Heuvelland de Flandre occidentale, notamment les bois et landes de Gasthuisbossen (Ypres)
  • Bois, landes et vallées de la Flandre sablonneuse : partie ouest
  • Bois et landes de la Flandre sablonneuse : partie est
  • Bassin versant de l'Escaut de la frontière néerlandais jusqu'à Gand
  • Bois des Ardennes flamandes et autres bois du sud de la Flandre
  • Forêt de Soignes
  • Bois du sud-est de la Flandre du sud
  • Bois de Hal et les bois alentour avec sources et landes
  • Vallées entre Melsbroeck, Campenhout, Cortenbergh en Veltem
  • Vallée de la Dyle Laan en IJse met aangrenzende bos- en moerasgebieden
  • Vallées du Winghe et de la Motte avec leurs pentes
  • Vallée du Démer
  • Lande de Kalmthout
  • Zones de vois et de Landes à l'est d'Anvers
  • Kempense kleiputten (Het Blak, Kievitsheide, Ekstergoor en nabijgelegen kamsalamanderhabitats)
  • Heesbossen, Vallei van Marke en Merkske en Ringven met valleigronden langs de Heerlese Loop
  • Étangs, landes en marais autour de Turnhout
  • Vallée de la Petite Nèthe avec sources, marais et landes
  • De Maten
  • Bosbeekvallei en aangrenzende bos- en heidegebieden te As-Opglabbeek-Maaseik
  • Vallei- en brongebied van de Zwarte Beek, Bolisserbeek en Dommel met heide en vengebieden
  • Mangelbeek en heide- en vengebieden tussen Houthalen en Gruitrode
  • Valleien van de Laambeek, Zonderikbeek, Slangebeek en Roosterbeek met vijvergebieden en heiden
  • Hageven met Dommelvallei, Beverbeekse Heide, Warmbeek en Wateringen
  • Abeek met aangrenzende moerasgebieden
  • Itterbeek met Brand, Jagersborg en Schootsheide en Bergerven
  • Mechelse heide en vallei van de Ziepbeek
  • Plateau van Caestert met hellingbossen en mergelgrotten
  • Uiterwaarden langs de Limburgse Maas en Vijverbroek
  • Bossen en kalkgraslanden van Haspengouw
  • Région de la voer
  • Bovenloop van de Grote Nete met Zammelsbroek, Langdonken en Goor
  • Jekervallei en bovenloop van de Demer vallei
  • Overgang Kempen-Haspengouw
  • Historische fortengordels van Antwerpen als vleermuizenhabitat

En complément, elle comprend 23 Zones de protection spéciale Oiseaux (ou speciale beschermingszone (SBZ) vogels):

  • Arendonk, Merksplas, Vieux-Turnhout, Ravels en Turnhout
  • Bokrijk en omgeving (Bokrijk et alentours)
  • De Kuifeend en Blokkersdijk
  • Groot Schietveld, De Maatjes, Wuustwezelheide
  • De Maten
  • De Ronde Put
  • De Zegge
  • Vallée du Démer
  • Durme en Middenloop van de Schelde
  • Ceinture de dunes
  • Hamonterheide, Hageven, Buitenheide, Stramprooierbroek en Mariahof
  • Vallée de l'Yser
  • Lande de Kalmthout
  • Krekengebied
  • Complexe de Polders
  • Schorren en polders van de Beneden-Schelde
  • Vallée de la Dyle
  • Domaine militaire et vallée de Zwarte Beek
  • Houthalen-Helchteren, Meeuwen-Gruitrode en Peer
  • Vijvercomplex van Midden-Limburg
  • Achterhaven Zeebrugge-Heist
  • Côte belge
  • Parc naturel du Zwin

Wallonie[modifier | modifier le code]

Les sites Natura 2000 couvrent 220 944 ha pour 240 sites en 2022, soit environ 13 % de la surface de la région[8],[4].

Réserves naturelles et forestières[modifier | modifier le code]

La loi de 1973 prévoit quatre types de réserve naturelle en Belgique[2] :

  • la réserve naturelle intégrale : créée dans le but d'y laisser les phénomènes naturels évoluer (elles correspondent alors à la catégorie Ia de l'IUCN) ;
  • la réserve naturelle dirigée : mise en place d'une gestion appropriée visant à la maintenir dans son état (correspondent alors à la catégorie IV de l'IUCN) ;
  • la réserve naturelle domaniale : érigée par le Roi sur des terrains appartenant à l’État, pris en location par lui ou mis à sa disposition à cette fin ;
  • la réserve naturelle agréée : gérée par une personne physique ou morale autre que l'Etat et reconnue par le Roi, à la demande du propriétaire des terrains et avec l'accord de leur occupant.

Les réserves naturelles belges interdisent a minima :

  • de tuer, de chasser ou de piéger de n'importe quelle manière les animaux, de déranger ou de détruire leurs jeunes, leurs œufs, leurs nids ou leurs terriers ;
  • d'enlever, couper, déraciner ou mutiler des arbres et des arbustes, de détruire ou d'endommager le tapis végétal ;
  • de procéder à des fouilles, sondages, terrassements, exploitations de matériaux, d'effectuer tous travaux susceptibles de modifier le sol, l'aspect du terrain, les sources et le système hydrographique, d'établir des conduites aériennes ou souterraines, de construire des bâtiments ou des abris et de placer des panneaux et des affiches publicitaires ;
  • d'allumer des feux et de déposer des immondices.

La loi crée également le statut de réserve forestière afin de protéger une forêt ou partie de celle-ci « dans le but de sauvegarder des faciès caractéristiques ou remarquables des peuplements d'essences indigènes et d'y assurer l'intégrité du sol et du milieu »[2].

À Bruxelles, 14 réserves naturelles ont été créées pour protéger des milieux plutôt rares dans la région. À côté de ça, deux réserves forestières ont été créées pour protéger respectivement des habitats et paysages forestiers typiques et particuliers[9]. Toutes sont gérées par Bruxelles Environnement[10].

En Wallonie, il existe en 2022 153 réserves naturelles agréées[11], 206 réserves naturelles domaniales[12] et 16 réserves naturelles forestières[13].

Le terme de réserve naturelle privée, parfois utilisé, ne correspond lui à aucun statut officiel[14].

Parc National[modifier | modifier le code]

Bien qu'il s'agisse d'une dénomination commune aux régions flamandes et wallonnes, et malgré la dénomination, les parcs nationaux sont des initiatives régionales en Belgique.

En 1998 le gouvernement flamand mandate le Regionaal Landschap de Campine et Maasland de mettre en place un parc national de la Haute Campine dans la province du Limbourg. Celui-ci fut inauguré officiellement le et devient le premier parc national de Belgique[15]. En 2023, 4 nouveaux parcs nationaux flamands sont nommés sur les 10 candidatures reçues en 2021[16].

Le , la Région wallonne a désigné ses deux premiers parc nationaux : le parc national de l'Entre-Sambre-et-Meuse et le parc national de la Vallée de la Semois[17].

Sites Ramsar[modifier | modifier le code]

La convention de Ramsar est entrée en vigueur en Belgique le 4 juillet 1986.

En janvier 2020, le pays compte 23 sites Ramsar, couvrant une superficie de 469,44 km2 (soit environ 1,5% du territoire belge).

Aires protégées à Bruxelles[modifier | modifier le code]

En complément de la loi de 1973, le gouvernement bruxellois établit en 1995 une ordonnance « relative à la conservation et à la protection de la nature »[18] qui précise les statuts de réserves naturelles (régionales) et forestières sur son territoire[9].

En 2002 elle crée également le statut de réserve archéologique afin de conserver deux sites datant du néolithique et d’âge romain ou pré-romain en forêt de Soignes.

Aires protégées en Wallonie[modifier | modifier le code]

En complément de la loi de 1973, le gouvernement wallon définit au niveau régional des statuts d'aires protégées complémentaires :

  • parc naturels
  • zone humide d'intérêt biologique (ZHIB)
  • cavité souterraine d'intérêt scientifique (CSIS).

Parcs Naturels[modifier | modifier le code]

Logo de la Fédération des parcs naturels

Les parcs naturels reposent sur un décret du gouvernement wallon de 1985[19] largement modifié en 2008[20]. Ils sont inspirés des parcs naturels régionaux français, comme territoires développés selon le modèle du développement durable, en associant développement des activités humaines et préservation de la flore et de la faune variées et souvent précieuses[21]. Ils sont approximativement l'équivalent des regionale landschappen en Région flamande[réf. souhaitée].

Les textes législatifs précisent qu'un parc naturel est, en Wallonie, « un territoire rural, d'un haut intérêt biologique et géographique » sur lequel sont prises de« mesures destinées à en protéger le milieu, en harmonie avec les aspirations de la population et le développement économique et social ». Les parcs naturels doivent être composés d'un territoire de minimum 10 000 hectares[19].

Les missions des parcs naturels wallons sont[19] :

  1. Assurer la protection, la gestion et la valorisation du patrimoine naturel et paysager du parc naturel.
  2. Contribuer, dans les limites du périmètre du parc naturel, à définir et à orienter les projets d'aménagement du territoire suivant les principes du développement durable.
  3. Encourager le développement durable sur le territoire du parc naturel, en contribuant au développement local, sur les plans économique et social, ainsi qu'à l'amélioration de la qualité de la vie.
  4. Organiser l'accueil, l'éducation et l'information du public.
  5. Participer à l'expérimentation de nouveaux modes de gestion de l'espace rural, au test de processus et méthodes innovants de planification, ainsi qu'à la mise en œuvre de programmes européens et de coopération territoriale européenne.
  6. Rechercher la collaboration entre les parcs naturels et, le cas échéant, la collaboration transfrontalière avec les zones similaires des régions ou pays limitrophes.
  7. Susciter la mise en œuvre d'opérations de développement rural dans les communes qui le composent et veiller à ce que la cohérence des projets transcommunaux dans le cadre des programmes communaux de développement rural soit assurée.

Actuellement[évasif], il existe 12 parcs naturels en Wallonie[21] :

Image nom Communes concernées Superficie
Pays des Collines Ath, Ellezelles, Flobecq, Frasnes-lez-Anvaing, Mont-de-l'Enclus 233 km2
Hautes-Fagnes–Eifel
Naturpark Hohes Venn-Eifel
Amel, Baelen, Bullange, Butgenbach, Burg-Reuland, Eupen, Jalhay, Malmedy, Raeren, Saint-Vith, Stavelot, Waimes 720 km2
Plaines de l'Escaut Rumes, Brunehaut, Antoing, Péruwelz, Beloeil, Bernissart 260 km2
Hauts-Pays Colfontaine, Dour, Frameries, Honnelles, Quévy, Quiévrain 157 km2
Viroin-Hermeton Viroinval 120 km2
Vallées de la Burdinale et de la Mehaigne (nl) Braives, Burdinne, Héron, Wanze 110 km2
Deux Ourthes Bertogne, Gouvy, Houffalize, La Roche-en-Ardenne, Tenneville, Sainte-Ode 760 km2
Haute-Sûre et de la forêt d'Anlier (nl) Bastogne, Vaux-sur-Sûre, Fauvillers, Habay, Martelange, Léglise, Neufchateau 833 km2
Vallée de l'Attert Attert 70 km2
Sources (nl) Spa, Stoumont 148 km2
Gaume Virton, Meix-devant-Virton, Florenville, Rouvroy, Musson, Étalle, Tintigny, Aubange, Saint-Léger 581 km2
Ardenne méridionale Bertrix, Bièvre, Bouillon, Daverdisse, Gedinne, Herbeumont, Paliseul, Vresse-sur-Semois, Wellin 945 km2

Zone humide d'intérêt biologique[modifier | modifier le code]

L'arrêté de l'Exécutif régional wallon relatif à la protection des zones humides d'intérêt biologique édicté en 1989[22] définit des zones humides d'intérêt biologique dont la valeur écologique et scientifique est reconnue[14]. Elles sont l'objet d'un gestion au cas par cas, avec une protection passive stricte des espèces animales et végétales indigènes[23]. Il en existe 55 en 2022[24].

Cavité souterraine d'intérêt scientifique[modifier | modifier le code]

L'arrêté du Gouvernement wallon organisant la protection des cavités souterraines d'intérêt scientifique de 1995[25] crée le statut de cavités souterraines d'intérêt scientifique (CSIS) afin de protéger des grottes et cavités dont la valeur écologique, géologique, historique et scientifique est reconnue[14]. Elles font l'objet de mesures et de travaux pour assurer la croissance, l'alimentation, la reproduction, le repos, l'hibernation ou la survie des espèces qui y vivent et sont protégées contre la détérioration et la destruction[23]. Il en existe 76 en 2022[26].

Aires protégées en Flandres[modifier | modifier le code]

Paysages régionaux[modifier | modifier le code]

Les paysages régionaux (Regionale Landschappen) sont définis spécifiquement par la réglementation flamande mais ne sont pas définis comme des aires protégées[réf. nécessaire]. Ils désignent des territoires comprenant un paysage culturel spécifique au travers d'un patrimoine culturel et naturel caractéristique[20]. 16 ont été créés à ce jour[27] et recouvraient en 2017 69% des communes flamandes et en 2021 11 635 km2 (pour une région de 13 522 km2).:

  • Regionaal Landschap Houtland (Flandre occidentale)
  • Regionaal Landschap IJzer & Polder (Flandre occidentale)
  • Regionaal Landschap West-Vlaamse Heuvels (Flandre occidentale)
  • Regionaal Landschap Meetjesland (Flandre orientale)
  • Regionaal Landschap Schelde-Durme (Flandre orientale)
  • Regionaal Landschap Vlaamse Ardennen (Flandre orientale)
  • Regionaal Landschap de Voorkempen (Province d'Anvers)
  • Regionaal Landschap Kleine en Grote Nete (Province d'Anvers)
  • Regionaal Landschap Rivierenland (Province d'Anvers)
  • Regionaal Landschap Dijleland (Brabant flamand)
  • Regionaal Landschap Groene Corridor (Brabant flamand)
  • Regionaal Landschap Noord-Hageland (Brabant flamand)
  • Regionaal Landschap Pajottenland & Zennevallei (Brabant flamand)
  • Regionaal Landschap Zuid-Hageland (Brabant flamand)
  • Regionaal Landschap Haspengouw en Voeren (Limbourg)
  • Regionaal Landschap Kempen en Maasland (Limbourg)
  • Regionaal Landschap Lage Kempen (Limbourg)

La couverture importante (86% du territoire régional) s'explique par l'absence de critères de désignation servant de référentiel pour la qualité/quantité des espaces désigné, ou pour leur valeur patrimoniale[20]. Originellement le concept était celui d'une marque de qualité territoriale basée sur le paysage, mais est devenu au finale une structure territoriale accompagnant les acteurs de celui-ci dans la prise en compte de la nature et la transversalité[20]. Bien qu'ils aient comme objectif comme d'améliorer la qualité écologique des zones rurales en se basant sur le territoire comme levier de développement régional (tourisme, nature, etc), leur concept est très différent des autres parcs naturels régionaux européens[20].

Un parc a été défini spécialement, indépendamment des autres statuts, à la frontière des Pays-Bas: le Parc transfrontalier de Zoom-Kalmthoutse Heide.

Parcs paysagers[modifier | modifier le code]

La Flandre désignera en 2023 3 parcs paysagers parmi les 7 candidats au statut[28], qui seront limités en taille et nombre (contrairement aux paysages régionaux) et seront basés sur des aires de beauté naturelle exceptionnelle avec des paysages offrant des caractéristiques culturelles spéciales[20].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « belgium.be/fr/environnement/bi… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. a b et c http://www.ejustice.just.fgov.be//mopdf/1973/09/11_1.pdf#Page18
  3. http://www.ejustice.just.fgov.be//mopdf/2002/01/22_2.pdf#Page1
  4. a et b « La biodiversité en Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
  5. « Transposition légale », sur Bruxelles Environnement (consulté le ).
  6. « Désignation des sites Habitats », sur Bruxelles Environnement (consulté le ).
  7. « Directive Oiseaux », sur Bruxelles Environnement (consulté le ).
  8. « belgium.be/fr/environnement/bi… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  9. a et b « Types de réserves », sur Bruxelles Environnement (consulté le )
  10. « Gestion », sur Bruxelles Environnement (consulté le ).
  11. « La biodiversité en Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
  12. « La biodiversité en Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
  13. « La biodiversité en Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
  14. a b et c « La biodiversité en Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
  15. « rlkm.be/fr/hoge-kempen/algemee… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  16. « Nationale Parken Vlaanderen », sur Agentschap voor Natuur en Bos, (consulté le ).
  17. Michel De Muelenaere, « Parcs nationaux en Wallonie: les deux sites choisis », Le Soir,‎ (lire en ligne)
  18. http://extwprlegs1.fao.org/docs/pdf/bel46038.pdf
  19. a b et c « 8 - WALLEX », sur Wallex (consulté le ).
  20. a b c d e et f https://www.parcs-naturels-regionaux.fr/sites/federationpnr/files/document/centre_de_ressources/paysages_vivants_web_version_0.pdf
  21. a et b « Les Parcs naturels », sur Parcs naturels de Wallonie (consulté le ).
  22. « 1 - WALLEX », sur Wallex (consulté le ).
  23. a et b Adeline Louvigny, « Un parc national en Wallonie ? En quoi est-ce différent (et complémentaire) de la réserve et du parc naturels ? », sur rtbf.be, (consulté le ).
  24. « La biodiversité en Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
  25. « 1 - WALLEX », sur Wallex (consulté le ).
  26. « La biodiversité en Wallonie », sur wallonie.be (consulté le ).
  27. « Home », sur Regionale Landschappen (consulté le ).
  28. « Landschapsparken Vlaanderen », sur vlm.be (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]