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Dans la revue Arts, André Breton entreprend une campagne contre le « réalisme socialiste » en peinture.
L'ethnologue Fernando Ortiz Fernández publie, à Cuba, la première monographie consacrée à Wifredo Lam : Wifredo Lam y su obra vista a través de su significados criticos[2].
Exécution du testament du marquis de Sade, sculpture et installation. Breton : « Il y a des testaments qui sautent les murs pour aller chavirer dans les yeux des loups…[3] »
Derrière son double : « Il n'existe pas 36 nuits ; malgré cela j'en connais bien une centaine et c'est en la centième, appelée alors matière-nuit, que je disparus : c'était la bonne… Alors le jour entra en terre comme dans une gare ; les gares-du-Jour et les gares-de-la-Nuit se confondirent dans les débris sonores d'un train en marche et la marche des trains imita dans ses roues l'accent incohérent d'une phrase répétée cent fois par les secousses du vent et mise en lumière dans les lingeries d'un feu, phrase dont nous ne retînmes qu'un mot (reconnu le plus solide) : ÉTERNITÉ. »[5]