Famille Gardey de Soos
Gardey de Soos | |
Armes | |
Blasonnement | Écartelé, aux 1 et 4 d'azur, à une colombe d'argent portant en son bec un rameau d'olivier de sinople ; aux 2 et 3 de gueules, au lion d'or. |
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Devise | « Plus d’honneur que d’Honneurs » |
Branches | Peyrun, Soos |
Pays ou province d’origine | Comté de Bigorre |
Fiefs tenus | Peyrun Soos |
Demeures | Domaine de Gardey (Montégut sur Arros - Gers) La Seigneurie (Tillac en Pardiac - Gers) Château du T (Balma - Haute-Garonne) |
Charges | Procureur du roi (XVIIIe siècle) Secrétaire d'État (Ve République) Député Conseiller général Maires |
Fonctions militaires | Garde du corps du roi Général Officiers et sous-officiers |
Récompenses civiles | Ordre national de la Légion d'honneur Ordre national du Mérite Médaille d'honneur de la famille française |
Récompenses militaires | Croix de Saint-Louis Croix de la Légion d'honneur Médaille militaire Croix de guerre |
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La famille Gardey de Soos est une famille subsistante d'ancienne bourgeoisie française, originaire de la province de Bigorre en Gascogne, illustrée à l'époque contemporaine par Françoise Gardey de Soos, épouse Hébrard de Veyrinas, secrétaire d'État aux quartiers en difficulté, auprès du ministre chargé de l'intégration et de la lutte contre l'exclusion dans le gouvernement Alain Juppé en 1995.
Histoire
Sos (ou Soos) est un territoire du village de Peyrun du département des Hautes-Pyrénées à la limite du Gers.
Gustave Chaix d'Est-Ange, dans Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle (tome 20, pages 147 à 148), rapporte que cette famille ne figure pas au nombre de celles qui ont pris part aux assemblées de la noblesse en 1789 ni de celles qui ont été anoblies au XIXe siècle. Il donne quelques éléments de généalogie depuis le commencement du XIXe siècle[1].
Pierre-Marie Dioudonnat indique cette famille « non noble » dans l'Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence[2], opinion partagée par Charondas dans À quel titre ?[3].
Sans qu'aucune source ne prouve son rattachement à cette famille, on trouve un Jean de Gardey, maître particulier de la Monnaie de Morlaàs (Pyrénées-Atlantiques) nommé sur les instances des États de Béarn[4]. Ce personnage a été révoqué le par la reine Catherine de Navarre, car il n'était pas Béarnais, mais natif du lieu de Faget, au comté de Pardiac[5] (ancien nom de Haget en Pardiac[réf. nécessaire]), berceau de la famille Gardey de Soos[réf. nécessaire].
Un Jean Gardey Faget traduit du latin en français Le Recueil des Fleurs et Sentences de Lactance, qui sera imprimé en 1558 par Clément Baudin[6].
D'après les Minutes des notaires d'Auch, sénéchaussée de Tholose en Gascogne, on trouve en 1692 un certain Jean Gardey, juge du marquisat de Fieumarcron, situé à Lagarde (Gers), témoin et signataire d'un acte de mariage[7].
Joseph Gardey fait le dénombrement le des terres et seigneuries de Peyrun et de Soos[8]. Il figure à ce titre dans la liste des gentilshommes reçus aux États de Bigorre vers 1776[9].
En 1754-1755, Jean Gardey est inscrit comme possesseur de biens roturiers au cadastre de Montégut en Pardiac[10].
En 1789, les seigneuries de Peyrun et Soos figurent sur la liste des seigneuries donnant droit aux entrés aux États avec M. Gardey comme propriétaire[11], mais la mention sur cette liste signifie non pas que les propriétaires étaient de fait reçus aux États, mais seulement qu’ils étaient les propriétaires d’une terre ou d’un fief y donnant entrée[12].
Dans leur étude historique et généalogique sur Les comtes de Toulouse et leurs descendants, les Toulouse-Lautrec, publié en 1992, Jacques-René Magné et Jean-Robert Dizel écrivent que cette famille est largement représentée de nos jours avec la descendance de Bernard de Gardey de Soos, décédé, propriétaire du château du T à Balma, près de Toulouse. Ils citent les quatre garçons de ce dernier, qui ont eu descendance : Aymard, Hugues, Philippe et Bruno Gardey de Soos[13].
Généalogie
Arbre simplifié des Gardey de Soos[14],[15] :
- Jean GARDEY, substitut du procureur du roi au comté de Pardiac
- Joseph de GARDEY, seigneur de Peyrun et de Soos, procureur du roi au comté de Pardiac
- Joseph de GARDEY de SOOS, décédé en 1804, emprisonné sous la Révolution française à Auch, sans postérité
- Pierre-François de GARDEY de SOOS, écuyer[réf. nécessaire], garde du corps des rois Louis XV et Louis XVI, chevalier de Saint-Louis (1790), emprisonné sous la Révolution française à Auch
- Jean-Marie de GARDEY de SOOS, marié le à Buzon (Hautes-Pyrénées), avec à Callixte-Constance d’ASTUGUE de SORÉAC de BUZON
- Hyppolite de GARDEY de SOOS, marié à Toulouse en 1838 avec Albanie d'ADHEMAR de CRANSAC, née à Toulouse en 1809, dont:
- Noémie de GARDEY de SOOS
- Claire de GARDEY de SOOS
- Émile de GARDEY de SOOS (1811-1883), marié à Toulouse en 1840 avec Marie d'ADHEMAR de CRANSAC, née à Toulouse en 1820, dont:
- Alfred de GARDEY de SOOS, (né en 1841), conservateur des hypothèques
- Gabrielle de GARDEY de SOOS, épouse de Émile FAUGERE, ingénieur civil, chevalier de la Légion d’honneur
- Joseph de GARDEY de SOOS, chef d'exploitation des chemins de fer de l'Anjou
- Caroline de GARDEY de SOOS, épouse de Gustave DUBOURG, avocat
- Germaine de GARDEY de SOOS, épouse de Gilbert PRADAL de FARGUETTES
- Louis de GARDEY de SOOS, inspecteur des chemins de fer de l'Anjou, marié en 1851 avec Blanche de FALGUIÈRE, dont:
- Joseph de GARDEY de SOOS, directeur des Chemins de Fer de l'Anjou, croix de guerre 14-18, marié avec Jeanne RICHETEAU de La COUDRE
- Jean Emmanuel de GARDEY de SOOS, marié avec Françoise de BODARD de La JACOPIÈRE
- Henri de GARDEY de SOOS, marié avec Anne RICHETEAU de La COUDRE
- Bernard de GARDEY de SOOS (1917-1940), officier mort pour la France, médaille militaire, croix de guerre 39-45
- Chantal de GARDEY de SOOS (1921-1969), mariée en 1946 avec Bernard BOREAU de ROINCE (1914-1985)
- Thérèse de GARDEY de SOOS, religieuse
- Paul-Emile de GARDEY de SOOS, marié avec Raymonde d'AREXY
- Paul de GARDEY de SOOS, croix de guerre 39-45, marié avec Geneviève SATGÈ-MANDEVILLE
- Françoise GARDEY de SOOS, secrétaire d'Etat, adjointe au maire de Toulouse, officier de le Légion d'honneur, officier de l'ordre national du Mérite, épouse de Francois HÉBRARD de VEYRINAS
- Chantal GARDEY de SOOS, marié avec Bernard de MALEFETTE
- Vincent GARDEY de SOOS, assureur
- Marie de GARDEY de SOOS, en religion
- Raymond de GARDEY de SOOS, marié avec Geneviève de BON
- Béatrix GARDEY de SOOS
- Louis de GARDEY de SOOS, marié avec Odile DUCLERT
- Gaëtane GARDEY de SOOS, épouse de Jacques de HEERE, directeur de sociétés, chevalier de la Légion d'honneur
- Arnaud GARDEY de SOOS, marié avec Alexia AUBÉ
- Geoffroy GARDEY de SOOS
- Louis GARDEY de SOOS
- Monique de GARDEY de SOOS, épouse de Charles de GANNE de BEAUCOUDRAY
- Paul de GARDEY de SOOS, croix de guerre 39-45, marié avec Geneviève SATGÈ-MANDEVILLE
- François-Xavier de GARDEY de SOOS
- Claude de GARDEY de SOOS
- Bernard de GARDEY de SOOS, inspecteur d’assurance, marié avec Charlotte ROSSIGNOL, médaille d’honneur de la famille française[13]:
- Aymard de GARDEY de SOOS (1923-2012), propriétaire viticole, marié avec Marie-Louise MANDEVILLE-PERIERE(1926-2020)[16],[17]
- François GARDEY de SOOS, agriculteur, marié avec Marie de GUERRY de BEAUREGARD, médaille d'honneur de la famille française
- Anne GARDEY de SOOS (1951-2021), artiste peintre
- Gabrielle GARDEY de SOOS, épouse de Pierre FAYET, banquier
- Bernard GARDEY de SOOS, viticulteur
- Jean GARDEY de SOOS, prètre du diocèse de Carcassonne (Aude)
- Benoît GARDEY de SOOS, directeur de société
- Guillaume GARDEY de SOOS, musicien trompettiste
- Claire GARDEY de SOOS, épouse de Louis FABRE, propriétaire viticole
- Emmanuel GARDEY de SOOS (1966-2021), viticulteur
- Henri de GARDEY de SOOS (1924-2012), père Marie-Bernard, bénédictin de l'abbaye d'En Calcat[18]
- Hugues de GARDEY de SOOS (1926-2018), commandant de cavalerie, officier de la Légion d’honneur, croix de guerre des T.O.E, marié avec Marie-Josée LELONG[19]
- Hélène GARDEY de SOOS (1953-2021)
- Bénédicte GARDEY de SOOS
- Henri GARDEY de SOOS, directeur des Ressources Humaines
- Blandine GARDEY de SOOS, magistrate
- Paul GARDEY de SOOS, directeur de filiale RATP Dev
- Xavier GARDEY de SOOS, lieutenant-colonel du Génie, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite
- Dominique GARDEY de SOOS, architecte
- Florence GARDEY de SOOS, chevalier des Arts et des Lettres, épouse de Nicolas FORISSIER, secrétaire d'Etat, député de l'Indre, chevalier de la Légion d'honneur
- Denis GARDEY de SOOS, directeur de société
- Anne GARDEY de SOOS, épouse d’Antoine DESCHAMPS
- Elisabeth GARDEY de SOOS, épouse de Thierry de GHAINE de BOURMONT, directeur administratif et financier
- Philippe de GARDEY de SOOS, inspecteur d’assurance, marié avec Geneviève de BARRUEL (1932-2018)[20]
- Marie GARDEY de SOOS, épouse de Eric Le BRETHON
- Jérôme GARDEY de SOOS, colonel d’infanterie parachutiste, chevalier de la Légion d’honneur, marié avec Elisabeth de VOLONTAT, médaille d’honneur de la famille française
- Louis GARDEY de SOOS, directeur des Ressources Humaines, marié
- Max de GARDEY de SOOS, moine bénédictin
- Bruno de GARDEY de SOOS (1936-2018), général, officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite, marié avec Chantal de VILLIERS[21]
- Isabelle GARDEY de SOOS, épouse de Luc du PERRON de REVEL, général de division, officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite
- Laurence GARDEY de SOOS, épouse d’Eric de LAMBERTERIE du CROS, ancien officier
- Aude GARDEY de SOOS, épouse d’Hubert GOMART, général de division, officier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite
- Christelle GARDEY de SOOS, épouse d’Hubert de MOULINS d'AMIEU de BEAUFORT, docteur en médecine
- Thibaud GARDEY de SOOS (1971-2006), capitaine de cavalerie au 1er RHP, chevalier de la Légion d’honneur
- Caroline GARDEY de SOOS, épouse de François AUGARDE, directeur juridique
- Aymard de GARDEY de SOOS (1923-2012), propriétaire viticole, marié avec Marie-Louise MANDEVILLE-PERIERE(1926-2020)[16],[17]
- Antoine de GARDEY de SOOS, marié avec Yvonne d'AREXY
- Claire de GARDEY de SOOS, épouse de Gilbert de GUERRY de BEAUREGARD, conseiller général de la Vendée
- Jacqueline de GARDEY de SOOS, Jean LEREBOURS-PIGEONNIERE (1921-2006), ingénieur de l'école Polytechnique (1942) et du corps des Mines de Paris (1945), directeur général d'USINOR (1973-1980)
- Anne de GARDEY de SOOS, épouse de Guy CHALMOT de La MESLIÈRE, ingénieur de l'école centrale Paris
- Bernard de GARDEY de SOOS, épouse de Aude de La FOREST DIVONNE
- Joseph de GARDEY de SOOS, directeur des Chemins de Fer de l'Anjou, croix de guerre 14-18, marié avec Jeanne RICHETEAU de La COUDRE
- Valérie de GARDEY de SOOS
- Paul de GARDEY de SOOS, chef de bataillon au 145e régiment d'infanterie, chevalier de la Légion d'Honneur, croix de guerre 14-18, marié avec Madeleine DELQUIER
- Elisabeth de GARDEY de SOOS, mariée avec Hector d’AUSSAGUEL de LASBORDES
- Henriette de GARDEY de SOOS
- Hyppolite de GARDEY de SOOS, marié à Toulouse en 1838 avec Albanie d'ADHEMAR de CRANSAC, née à Toulouse en 1809, dont:
- Jeanne de GARDEY de SOOS, mariée en 1774 avec Jean Clément LAFFONT DE MASCARAS, garde du corps du roi Louis XVI, chevalier de Saint-Louis
- Jean-Marie de GARDEY de SOOS, marié le à Buzon (Hautes-Pyrénées), avec à Callixte-Constance d’ASTUGUE de SORÉAC de BUZON
- Joseph de GARDEY, seigneur de Peyrun et de Soos, procureur du roi au comté de Pardiac
Personnalités
- Jean Louis Gardey (1661-1725), né le et décédé le à Haget, maire de Rabastens-de-Bigorre de 1693 à 1715, procureur du roi au comté de Pardiac[22].
- Pierre François Gardey de Soos (1746-1795), capitaine de cavalerie[9], chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis le [23], inscrit en sur la liste des gardes du corps du roi Louis XVI compagnie de Noailles[24]
- Bernard de Gardey de Soos, officier aspirant au 57e régiment d'artillerie, né le à Angers et mort au champ d'honneur à l'âge de 22 ans le à Aïssey (Doubs) lors de la deuxième guerre mondiale. Médaille militaire et croix de guerre 1940[25]
- Hugues Gardey de Soos, (1926-2018), officier diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr promotion Général Leclerc (1946-1948). Il quitte l'armée avec le grade de lieutenant-colonel. Officier de la Légion d'honneur, croix de guerre des théâtres d'opérations extérieurs, croix de la valeur militaire, croix du combattant (1930 France), médaille d'outre-mer (coloniale).
- Bruno, Marie, Antoine, Augustin Gardey de Soos (1936-2018), officier général. Diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, promotion Général Laperrine (1956-1958), puis officier de l'arme blindée cavalerie, il est chef de corps du 12e régiment de chasseurs à cheval de 1982 à 1984. Il prendra rang au comme général de brigade. Il fut également maire (1995-2018) du village de Saint-Aubin-des-Chaumes dans la Nièvre. Officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du mérite, croix de la valeur militaire, médaille de bronze de la défense nationale.
- Françoise, Marie, Émilie Gardey de Soos, épouse Hébrard de Veyrinas (1943-2008), secrétaire d'État aux quartiers en difficulté, auprès du ministre chargé de l'intégration et de la lutte contre l'exclusion dans le gouvernement Alain Juppé (1) en 1995, député et femme politique du département de la Haute-Garonne. Officier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du mérite.
- Xavier, Bernard, Marie, Gardey de Soos, lieutenant-colonel, né en 1958 à Carcassonne, diplômé de l'École militaire interarmes. Professeur à l'École du génie. Chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'ordre national du mérite, croix de la Valeur Militaire, médaille d'outre-mer (coloniale), médaille d'argent de la défense nationale.
- Jérôme, Olivier, Marie, Gardey de Soos, colonel, né en 1961, diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, promotion lieutenant-colonel Gaucher (1983-1986), il sert au 1er régiment de chasseurs parachutistes (1990-1995 puis 1999-2003). Il commande le 4e bataillon de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr de 2003 à 2005 puis devient chef de corps du groupement recrutement sélection de la région sud-est de 2005 à 2007. Il quitte l'armée en 2010. Chevalier de la Légion d'honneur, croix de la Valeur Militaire, croix du combattant (1930 France), médaille d'outre-mer (coloniale), médaille d'argent de la défense nationale, médaille de reconnaissance de la nation (d'Afrique du Nord), UNTAC Medal.
- Thibaud, Marie, Gardey de Soos, officier, né en 1971, diplômé de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, promotion Maréchal Lannes (1993-1996). Il intègre l'école d'application de l'arme blindé cavalerie à Saumur. Il sert au 2e régiment de hussards ainsi qu'au 1er régiment de hussards parachutistes. Le au cours d'une séance programmée d'entraînement au saut en parachute à ouverture retardée, le capitaine Thibaud Gardey de Soos ne se relève pas de son atterrissage. Sans connaissance, il est évacué vers l'hôpital de Tarbes où il succombe à ses blessures à l'âge de 34 ans. Parachutiste confirmé (avec 325 sauts), il est fait chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume. Médaille d'outre-mer (coloniale), médaille de la défense nationale (or), OTAN Ex-Yougoslavie, médaille de reconnaissance de la nation (d'Afrique du Nord), médaille commémorative française.
Armoiries
- Blason : Écartelé, au 1 et 4 d'azur à une colombe d'argent portant en son bec un rameau d'olivier de sinople, au 2 et 3 de gueules au lion d'or[15]
- Supports : Deux lévriers au naturel.
- Écu timbré d’un heaume de chevalier accompagné de ses lambrequins (le tout surmonté d’une couronne de comte).
- Devise : Honorus cuam Honoribus, Plus d’honneur que d’Honneurs.
Alliances
Les principales alliances de la famille Gardey de Soos sont : 1810 d'Astugue de Buzon, de Richeteau, 1838 et 1840 d'Adhémar de Cransac, 1871 Pradal de Farguettes, 1881 du Bourg, 1883 de Falguière, 1885 d'Aussaguel de Lasbordes, 1912 et 1916 de Richeteau de La Coudre, 1917 et 1921 d'Arexy, 1937 de Fadate de Saint-George, 1945 et 1975 de Guerry de Beauregard, 1946 Boreau de Roincé, 1949 Mandeville-Peirière, 1953 Chalmot de La Meslière, 1954 de Barruel-Bavas, Morel de Villiers, 1958 de Bon, Ganne de Beaucoudrey, 1963 Hébrard de Veyrinas, de Malefette, 1974 de La Forest de Divonne, 1975 Fayet, 1984 de Lamberterie du Cros, 1984 de Volontat, 1985 de Heere, de Place-Bisseret, 1986 de Revel du Perron, 1993 Aubé, 1993 de Ghaisne de Bourmont, de Moulins d'Amieu de Beaufort, 2003 de La Noë , 2007 et 2010 Grassin d'Alphonse, 2010 Zeller, 2010 d’Avout d’Auerstaedt, 2012 Magon de La Villehuchet, 2013 de Montagu, 2014 de Bonneval, 2017 Guillet de la Brosse, 2017 de Bentzmann, etc.
Notes et références
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 20, pages 147 à 148 Gardey de Soos.
- Pierre Marie Dioudonnat, Encyclopédie de la fausse noblesse et de la noblesse d'apparence, Sedopols, 1994, page 309.
- Charondas, À quel titre ?, Les cahiers nobles, 1970.
- Le livre des syndics des États de Béarn (texte béarnais) publié pour la Société historique de Gascogne, H. Champion, 1889, pages 7 et 23.
- Paul Parfour Lsitué dans le Gers à Castelnau des Fieumarcone livre des syndics des États de Béarn : (texte béarnais). T.1 / publié pour la Société historique de Gascogne par Léon Cadier (1re partie) et par Henri Courtault.
- Les bibliothèques françoises de La Croix-du-Maine et de Du Verdier. Tome 1 par La Croix du Maine, François Grudé (1552-1592 ; sieur de).
- Histoire généalogique de l'illustre maison de Barbe de La Barthe (issue des anciens ducs d'Aquitaine) édité à l'Institut héraldique et biographique de France (Paris) en 1898.
- Gustave Bascle de Lagrèze, Le trésor de Pau: archives du château d'Henri IV, 1851, page 194.
- Bulletin local (Société académique des Hautes-Pyrénées - Impr. E. Croharé (Tarbes).
- Paul Parfouru, Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790: Gers : archives civiles, série C, Impr. typ. Cocharaux frères, 1892, page 129.
- Louis Ricaud, Un régime qui finit, H. Champion, 1905, page 61.
- Louis Ricaud, Un régime qui finit, H. Champion, 1905, page 58.
- Les comtes de Toulouse et leurs descendants, les Toulouse-Lautrec : étude historique et généalogique : IXe – XXe siècles / Jacques-René Magné, Jean-Robert Dizel ; préface par le comte Raymond de Toulouse-Lautrec, 1992, page 378.
- Bulletin local (Société académique des Hautes-Pyrénées - Impr. E. Croharé (Tarbes)..
- Joseph Eugène, Marquis de Boisgelin, Les Adhémar : généalogie, vol. 1, (lire en ligne), p. 87
- Avis de décès Aymard Gardey de Soos.
- Avis de décès Aymard Gardey de Soos.
- Avis de décès Henri Gardey de Soos.
- Avis de décès Hugues Gardey de Soos.
- Avis de décès Geneviève Gardey de Soos, née de Barruel.
- Avis de décès Bruno Gardey de Soos.
- Prosper Lafforgue, Histoire de la ville d'Auch depuis les romains jusqu'en 1789, 1851, page 388.
- Société académique des Hautes-Pyrénées, Impr. E. Croharé (Tarbes)Date d'édition : 1889-1913
- Convention nationale. - Recueil des pièces justificatives de l'acte énonciatif des crimes de Louis Capet, réunies par la commission des vingt-un. Imprimé par ordre de la Convention nationale, Imprimerie Nationale, 1792, page 47.
- Service Historique de la Défense
Articles connexes
- Liste de familles subsistantes d'ancienne bourgeoisie française
- Armorial des familles de Gascogne et Guyenne
Bibliographie
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome 20, pages 147 à 148 Gardey de Soos
- Alfred de Gardey de Soos, Tillac en Pardiac à travers les âges, Bonnafous-Thomas, 1905, 106 pages