Aller au contenu

Enceinte de Fourvière

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 9 août 2021 à 14:18 et modifiée en dernier par Arflhn (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Erreur : le thème « militaire » du modèle {{ébauche}} n’est pas défini.

Enceinte de Fourvière
Image illustrative de l’article Enceinte de Fourvière
Enceinte de Fourvière avec bastion en direction de Saint-Just

Lieu Lyon (5e)
Fait partie de la première ceinture de Lyon
Type d’ouvrage Muraille
Construction 1834-1838
Contrôlé par Drapeau de la France France
Coordonnées 45° 45′ 16″ nord, 4° 49′ 20″ est
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Enceinte de Fourvière
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
(Voir situation sur carte : métropole de Lyon)
Enceinte de Fourvière
Géolocalisation sur la carte : Lyon
(Voir situation sur carte : Lyon)
Enceinte de Fourvière

L’enceinte de Fourvière est un ouvrage d'origine militaire destiné à protéger les hauteurs de la ville de Lyon, faisant ainsi partie de la première ceinture de Lyon.

Histoire

Construite entre 1834 et 1838, elle ferme la ville à l'ouest du haut de sa courtine à 3m du sol. Initialement prévue pour englober le fort Saint-Irénée et le quartier Saint-Just en 1831, il sera finalement décidé de réutiliser les bases dans l'ancienne enceinte dite de la Retraite qui avait été érigée au XIVe siècle.

Elle partait au sud du fort Saint-Irénée, rejoignant le fort de Loyasse puis le fort de Vaise, entourant une partie du pont d'Ainay, passant par la porte de la Quarantaine, montant ensuite jusqu'à Saint-Just par un bastion gardant la porte Saint-Just, aussi appelée des Farges. L'enceinte continue vers le cimetière de Loyasse en le longeant, puis la porte de Fourvière, Pierre-Scize et finit son chemin sur la porte de Montauban.

Aujourd'hui

Une résidence sur le rocher occupe une ancienne batterie casematée, alors appelée bastion 7.

Des restes de la muraille sont encore visibles sur certaines portions, notamment depuis le quartier de la Confluence au bord de la Saône.

Bibliographie

  • François Dallemagne (photogr. Georges Fessy), Les défenses de Lyon : enceintes et fortifications, Lyon, Éditions Lyonnaises d'Art et d'Histoire, , 255 p. (ISBN 978-2-84147-177-5), p. 93.