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Liste des commanderies templières en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes[modifier | modifier le code]

Cette liste recense les principales baillies et commanderies de l'ordre du Temple qui ont existé dans l'actuelle région administrative d'Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes au début du XIVe siècle telle qu'elles sont mentionnées au cours du procès de l'ordre du Temple.

L'Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes ne correspondant à aucune région historique de cette période, il y a lieu de distinguer:

  • Les commanderies des départements du sud de l'Aquitaine qui faisaient partie de la province templière de Provence
  • Celles du Nord de l'Aquitaine (Dordogne) qui faisaient partie de la province templière d'Aquitaine
  • Celles de l'ancienne région Poitou-Charentes qui faisaient également partie de la province templière d'Aquitaine (auxquelles s'ajoutent aussi les commanderies des Pays de la Loire et celles de Bretagne)
  • Celles de l'ancienne région du Limousin qui quant à elles faisaient partie de la province templière d'Auvergne.

Pour plus de précisions et de détails sur l'ensemble des possessions de l'ordre, il faut se référer aux listes détaillées par département

Cartes des principales maisons de l'ordre avant 1312[modifier | modifier le code]

A Fusionner lorsque la carte existera


Les commanderies des départements faisant partie de l'ancienne province templière de Provence[modifier | modifier le code]

Lot-et-Garonne[modifier | modifier le code]

Le Lot-et-Garonne correspond à L'Agenais

Pyrénées-Atlantiques[modifier | modifier le code]

Les Pyrénées-Atlantiques également partie intégrante du duché d'Aquitaine, sauf la vicomté de Béarn, vassal de la Couronne d'Aragon.

Les commanderies des départements faisant partie de l'ancienne province templière d'Aquitaine[modifier | modifier le code]

Armes de l'Aquitaine

Le comté de Poitou fut l'une des sept premières provinces mentionnées dans la règle des templiers, et les commanderies situées en Aquitaine faisaient partie de la province d'Aquitaine-Poitou, aux ordres d'un maître de province[2]. Par contre le sud (Gascogne) et en particulier les possessions autour d'Argentens et de Bruhles faisaient partie de la province de Provence et partie des Espagnes puis de la province de Provence.
Au XIIe siècle le Duché d'Aquitaine fut d'abord vassal du Royaume de France puis du Royaume d'Angleterre, suite au second mariage d'Aliénor d'Aquitaine le . Le Duché demeura anglais tout au long du XIIIe siècle, et ne sera conquis par la couronne de France qu'en 1453 aux dépens d'Henri VI d'Angleterre.

Charente[modifier | modifier le code]

Charente-Maritime[modifier | modifier le code]

Deux-Sèvres[modifier | modifier le code]

Dordogne[modifier | modifier le code]

La Dordogne correspond au comté du Périgord.

Gironde[modifier | modifier le code]

La Gironde correspond à une petite partie du Duché d'Aquitaine, Bordeaux ayant été la capitale de ce duché.

Les Landes[modifier | modifier le code]

Les Landes étaient morcelées entre différentes sauvetés, seigneuries et vicomtés, mais globalement vassaux du duché d'Aquitaine

Vienne[modifier | modifier le code]

Les commanderies des départements faisant partie de l'ancienne province templière d'Auvergne[modifier | modifier le code]

Aux XIIe et XIIIe siècles, le Limousin correspondait au comté de la Marche au nord et à la vicomté de Limoges au sud, tous deux vassaux du Duché d'Aquitaine. Les templiers avait une organisation territoriale qui leur était propre et une grande partie de cette région faisait en fait partie de la province templière d'Auvergne qui se forme entre 1180 et 1190[3], le reste étant vraisemblablement dépendant de la province d'Aquitaine[4]

On dénombre près de trente six établissements[5] dans le Limousin[6]

Corrèze[modifier | modifier le code]

La Corrèze...

Creuse[modifier | modifier le code]

La Creuse...

Haute-Vienne[modifier | modifier le code]

La Haute-Vienne...

A rechercher[modifier | modifier le code]

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Gérard de Villiers (Gerardus de Villaribus)[modifier | modifier le code]

Dernier maître de la province de France. mériterait son article

  • Vérifier si Gerardus de Villaribus (graphie la plus fréquente) et Giraldus de Villers sont les mêmes. A étudier par rapport à la mention de Jean Cenaud, commandeur de la Fouilhouze sur la redevance d'une obole d'or à chaque changement d'évêque de Clermont. La date de cet acte est 1209 dans la Gallia christiana[7], Ambroise Tardieu la considérant fausse[8]. Ce fait ne semble pas mentionné dans les pièces du procès, Jean cenaud y étant de nombreuses fois cité[9], Roger Sève citant Ambroise Tardieu[10]. Sa source unique est la Gallia Christiana, tome II. Divers graphies en français pour ce commandeur : Jean Cenaud[11], Jean Senaud[10], Jean Senand[12]
    • Premier problème, Giraldus de Villers y est qualifié de maître en France et en Auvergne. Ce serait la seule fois s'il s'agit du dernier maître en France. La graphie habituelle de Gérard de Villiers étant Gerardus de Villaribus, jamais mentionné comme maître d'Auvergne dans le procès. En revanche, Gerard de Villiers en qualité de maître de la province de France a effectué une réception d'un nouveau frère, Guillelmus Rayneri à la Marche (donc en Auvergne) vers 1300[13].
    • Dans cet acte, le précepteur de la Fouilhouze (Domus de Folhosa) est orthographié Johannes Senaldi. Au cours du procès, on trouve Johannes Senandi comme dernier commandeur de cette maison.

Gérard de Villiers
Illustration.
Titre
Maître de province de France

(7 ans)
Prédécesseur Hugues de Pairaud
Successeur Aucun
Maître de la baillie de Sens

(720 ans)
Biographie
Date de naissance ?
Lieu de naissance Villiers-en-Brie[14]
Date de décès ?
Lieu de décès ?

Gérard de Villiers, de Vilars ou encore de Vilers ((la): Gerardus de Villaribus) est un dignitaire de l'ordre du Temple, dernier maître de la province de France . Il a pris la fuite au moment de l'arrestation des templiers en 1307.

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. L. d'Agostino, J-M Roger et J-M Allard, « Carte des principales maisons des ordres militaires en Limousin au début du XIVe siècle. », dans Nicole Bériou (dir. et rédacteur), Philippe Josserand (dir.) et al. (préf. Anthony Luttrel & Alain Demurger), Prier et combattre : Dictionnaire européen des ordres militaires au Moyen Âge, Fayard, , 1029 p. (ISBN 978-2-2136-2720-5, présentation en ligne), p. 544
  2. Demurger 2008, p. 147
  3. Guiho 2009, p. 21.
  4. Voir l'article Liste des maîtres de province de l'ordre du Temple pour plus de précisions. Section Aquitaine et Auvergne. On remarque par exemple que Gerard de Sauzet, maître de la province d'Auvergne s'est rendu régulièrement dans la commanderie de Paulhac. cf. Demurger 2008, p. 442
  5. Commanderies et maisons du Temple confondues. Une « simple » maison dépendant d'une commanderie.
  6. Allard et Barrière 2003.
  7. (la) Denis de Sainte-Marthe et Barthélemy Hauréau, « Instrumenta ad Tomus II : Galliae Christianae », dans Gallia christiana : in provincias ecclesiasticas distributa, vol. 2 (lire en ligne), p. 85
  8. Ambroise Tardieu, Histoire de la ville de Clermont-Ferrand, Lafitte, (1re éd. 1870), 1234 p. (lire en ligne), p. 47
  9. (la) Jules Michelet, Le procès des Templiers, vol. 2, , p. 121, 136, 147, 242, 244, lire en ligne sur Gallica
  10. a et b Roger & Anne-Marie Sève, Le procès des templiers d'Auvergne, Éd. du CTHS, , 322 p. (présentation en ligne), p. 278
  11. Amédée Trudon des Ormes, « Listes des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France. d'après les pièces du procès », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. VII., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 552-553
  12. Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (1re éd. 2005), 664 p., poche (ISBN 978-2-7578-1122-1), p. 415
  13. Michelet 1851, p. 134, lire en ligne sur Gallica.
  14. Amédée Trudon des Ormes, « Listes des maisons et de quelques dignitaires de l'ordre du Temple, en Syrie, en Chypre et en France. d'après les pièces du procès », dans Charles-Jean-Melchior de Vogüé, Revue de l'Orient latin, vol. V., Paris, Ernest Leroux, (réimpr. 1964) (ISSN 2017-716X, lire en ligne), p. 445, lire en ligne sur Gallica

{{DEFAULTSORT:Villiers, Gérard de}} [[Catégorie:Dignitaire de l'ordre du Temple]]

Domus Templi de Versali[modifier | modifier le code]

Un certain fr. Oliverius, precepteur de cette maison en 1271 (Ici. Figure dans la liste des précepteur présents à un chapitre tenu par Henri de Trevise. Je trouve pas à quelle maison çà correspond...

Dans l'ouvrage de Bramato, il écrit Domus de Vergali pour cette même maison mais çà m'aide pas... ()

La suite du texte non visible , c'est Ivanus prec. Domus Templi de Alba, fr. Oliverius prec. Domus Templi de Versali, fr. Girardus prec. Domus Templi de Casellis

A propos de la dernière, Casellis, on trouve aussi Cum Frater Morotius de Plazano Preceptor Domus Mìlitie Templi de Papia et Casellis

Pons de Rigaud (templier)[modifier | modifier le code]

Regroupement des infos avant tentative de rédaction d'un article:

  • Maître en Italie, Provence et Espagne en décembre 1200[1] ⇒ était Maître en deçà-mer à cette période. Sont cités dans cet acte d'Alphonse II de Provence, Hugues de Roquefort (commandeur en Provence, baillie de Provence ?, j'ai pas ce nom là à cette période), Pierre de Cologne (commandeur de Huesca), Bermond (commandeur du Ruou, ou de Richerenches où il était encore en avril 1200 ?)
  1. Jean Paul Boyer et Thierry Pécout, La Provence et Fréjus sous la première maison d'Anjou (1246-1382), Université de Provence, , 213 p. (ISBN 978-2-8539-9761-4, présentation en ligne), p. 125

Ecosse[modifier | modifier le code]

L'Ecosse en 1200:

Autres points de repères historiques:

les première villes royales

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) David Webster, A topographical dictionary of Scotland (lire en ligne), p. 429

Famille Sinclair[modifier | modifier le code]


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Richard Ier de Normandie
 
Gunnor de Normandie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Richard II de Normandie
 
Papia
 
Robert le Danois
 
Mauger
comte de Corbeil et de Mortain
(† 1040)
 
Germaine de Corbeil
 
Emma de Normandie
 
Havoise de Normandie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Mauger de Rouen
archevêque de Rouen
(† av. 1060)
 
 
Guillaume Guerlenc
 
?
 
Walderne de Saint Clair
(† 1047)
 
Hélène le Bon
 
 
Hamon le Dentu
(† 1047)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Henri de Saint Clair
Première croisade ?[N 1]
(1096)
 
?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
{{{ }}}
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Guillaume de Saint-Clair
 
? de Montfort{{{ }}}
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Richard de Creully
c.1149)
 
Matilde de Saint-Clair
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Richard de Saint Clair
Lexham (en), Wortham (en)
(c.1045, † c.1122)
 
 
 
?
 
 
 
Bretel de Saint Clair
seigneur de
Stoke Trister
 
 
 
?
 
Hubert de Saint Clair
seigneur de
Wintreburne, Kingstone
 
 
 
?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Gilbert de Saint Clair
 
 
 
?
 
?
none à Shaftesbury
 
 
 
 
 
 
 
 
 
William de Saint Clair
seigneur de
Winfrod
(c.1097, † c.1149)
 
?
 
Hamo de Saint Clair
shérif de l'Essex
(c.1099, † c.1155)
 
Gunnor de Bigod
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Matilda
 
 
 
 
 
 
Hubert de Saint Clair
(† 1155)

Références[modifier | modifier le code]

  1. Mentionné dans un seul ouvrage comme ayant accompagné Robert II de Normandie pendant la première croisade[1].
  1. Paul André Roger, La Noblesse de France aux croisades, Derache, , 399 p. (lire en ligne), p. 188, qui cite le manuscrit de la bibliothèque du Roi comme source