Plessis-de-Roye

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Plessis-de-Roye
Plessis-de-Roye
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Sources
Maire
Mandat
Patrick Peyr
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60499
Démographie
Population
municipale
234 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 44″ nord, 2° 49′ 56″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 180 m
Superficie 6,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Plessis-de-Roye
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Plessis-de-Roye
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Plessis-de-Roye
Liens
Site web www.plessisderoye.fr

Plessis-de-Roye, appelée également Plessier-de-Roye comme écrit sur le panneau d'entrée du village, est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village de Plessis-de-Roye est situé en France, à 21 km au sud-est de Montdidier, 18 km au nord de Compiègne et 13 km à l'ouest de Noyon. Il est accessible depuis l'autoroute A1.

La partie sud-ouest de la commune est boisée, et le village est adossé aux coteaux qui occupent la région méridionale de l'ancien canton de Lassigny.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Canny-sur-Matz Lassigny Dives Rose des vents
Gury N
O    Plessis-de-Roye    E
S
Mareuil-la-Motte Thiescourt
Entrée du village: Plessier-de-Roye ou Plessis-de-Roye.

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Écart : Belval, en continuité de celui de celui du Petit-Bocage, qui se trouve dans la commune de Thiescourt.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Divette[1] et le ruisseau des Prés de Vienne prennent leur source au Plessis-de-Roye. Après leur confluent, la Divette rejoint l'Oise, affluent de la Seine.

Le ruisseau de Belval se jette dans la Broyette, qui conflue dans la Divette.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 17 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Plessis-de-Roye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46 %), terres arables (43,1 %), zones urbanisées (6,4 %), prairies (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 664, 674 et 6307 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village s'est appelé le Plessis-de-Roye, Plessier-de-Roye, Plessis-Belval, le Plaissier, Plaissis[15]

Durant la Révolution, la commune porte le nom de Plessis-Belval[16].

Le Plessis : lieu ou un terrain clos à l'aide de haies ou d'éléments faits de branches tressées entrelacées[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

La mairie.
Le monument aux morts.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

La commune a été fortement touchée par les combats de la Première Guerre mondiale lors desquels le château a été totalement détruit[Note 3],[18],[19].

François Flameng, peintre officiel de l'armée a immortalisé ces durs combats dans de nombreux croquis et dessins qui furent publiés par la revue L'Illustration.

Le , le 9e régiment de cuirassiers perd 4 915 hommes vers Plessis-de-Roye, durant la bataille du Matz, qui s'est déroulée du 5 au dans les environs de la Matz, dans le cadre plus général de la seconde bataille de la Marne.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[20],[21] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lassigny[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Thourotte.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, créée fin 1996.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995[23] En cours
(au 26 janvier 2019)
Patrick Peyr   Employé
Vice-président de la CC du Pays des Sources (2014 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[24]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

En 2021, la commune comptait 234 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
319306355345377382382381382
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
363366378359326307299280275
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
237237281113154166156139144
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
119116121107147193225234236
2018 2021 - - - - - - -
232234-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 121 femmes, soit un taux de 52,16 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
5,4 
75-89 ans
3,3 
19,8 
60-74 ans
17,4 
21,6 
45-59 ans
28,9 
22,5 
30-44 ans
17,4 
12,6 
15-29 ans
10,7 
18,0 
0-14 ans
22,3 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants du village sont scolarisés à Lassigny, ainsi que ceux de Crapeaumesnil, Fresnières, Gury[30].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Monuments aux libérateurs de la France, inauguré le par le maréchal Foch, le monument aux défenseurs de l’Île de France rend aussi hommage aux enfants de la commune morts au champ d'honneur[réf. nécessaire].

L'église St-Jean-Baptiste[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Plessis-de-Roye

Les armes de Plessis-de-Roye se blasonnent ainsi :
D'azur à trois fleurs de lis d'or, au bâton de gueules péri en bande.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Comte Jules Delaborde, Eléonore de Roye, princesse de Condé (1535-1564), 1876.
  • Henri d'Orléans, Histoire des Princes de Condé pendant les XVIe et XVIIe siècles, 1863-64.
  • Henry Bordeaux, Un coin de France pendant la guerre. Le Plessis-de-Roye (-), 1920.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Il en existe des photos prise par l'armée, dont l'une intitulée "Plessis-de-Roye, Oise, aile du château en ruines, 22 aout 1918, opérateur Jacques Ridel - SPA 62 w 2526.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Retour au naturel pour la Divette dans le Noyonnais : Le lit de la rivière va être retracé pour retrouver son lit d’origine, dès la fin de l’année. L’un des principaux objectifs : réduire les risques d’inondations l’hiver pour les habitants », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Plessis-de-Roye et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod, « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Plessis-de-Roye », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 111 p. (lire en ligne), p. 67-68.
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 118.
  18. Résultat de la requête sur le site de ecpad : 2 photos de 1918 et un film [1].
  19. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. L'église : contrefort de la façade ouest et tableau des soldats tombés dans le secteur », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  20. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. Le parc après notre préparation d'artillerie », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, début avril 1918 (consulté le ).
  22. Journal officiel du , p. 2098.
  23. « Le maire Patrick Peyr vise un quatrième mandat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Parmi les gros travaux réalisés sous sa mandature, la commune a effectué l'aménagement d'une grande salle à l'étage de la mairie. À terme, elle deviendra la salle du conseil : l'actuelle pouvant être dévolue à d'autres activités ».
  24. « Plessis-de-Roye », Cartes de France (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Plessis-de-Roye (60499) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. « La nouvelle cantine espérée cette année à Lassigny », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Dominique Vermand, « Plessis-de-Roye, église Saint-Jean-Baptiste », Diocèse de Noyon, sur Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  32. Section photographique de l’Armée, « Photo : Plessier-de-Roye. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - volume n°20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  33. « L’église, le gros chantier de Patrick Peyr », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. Le château : abris dans les fossés », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  35. « A Plessis-de-Roye, les ruines du château se dévoilent samedi », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. Le château : les fossés », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).